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L’Ariège au 19ème siècle

Posté par francesca7 le 2 décembre 2013

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510vkvCw4vL._AA278_PIkin4,BottomRight,-43,22_AA300_SH20_OU08_Dans nos pays Ariégeois, la Révolution de 1830 fut marquée par le pillage de plusieurs châteaux, dont celui de Gudanes, symbole de la grande propriété des maîtres de forges, et par une agitation chez les mineurs du Rancié. Mais ce n’était sans doute que conjonction avec la Guerre des Demoiselles alors à son paroxysme. L’opposition républicaine se fortifia autour du général Lafitte, « le Vieux de la montagne », devenu député, puis de son successeur Clément Anglade, qui se rendit célèbre par un discours à la Chambre dans lequel il dénonçait les injustices qui frappaient les montagnards et demandait la suppression de l’impôt sur le sel, produit indispensable aux éleveurs, d’où le surnom qui lui restera d’home de la sal. La misère grandissait et, en 1840, la mise en place d’un nouveau droit de place pour les bestiaux à la foire de Foix provoqua une émeute ; la troupe tira et laissa 13 morts et 50 blessés. On ne s’étonne donc pas de voir les Ariégeois se tourner vers le parti politique qui prônait plus de justice sociale.

Quand la révolution de 1848 éclata, le parti républicain était déjà puissant en milieu urbain. Si on installa la République avec enthousiasme mais dans le calme dans les trois villes du département, la montagne, elle, se souleva dans le Quérigut et autour du Rancié. En avril 1848, ce furent les premières élections au suffrage universel : sept députés ariégeois, sept républicains. Vite déçus sans doute, les Ariégeois votèrent en masse pour le prince Louis Napoléon en décembre. Mais en mai 1849, ils revinrent vers les hommes qu’ils connaissaient et élirent à nouveau sept républicains, dont Victor Pilhes, un des acteurs de la révolution parisienne.

Le Second Empire musela l’opinion ; ce fut le temps des candidatures officielles et des élections sans signification. L’Empereur avait promis la prospérité et, en effet, la prospérité revint ; les terres et le bétail se vendaient mieux que jamais, l’administration reconnaissait les droits d’usage, donnait des secours aux communes ariégeoises qui le demandaient, finançait une école ou un bureau de bienfaisance, le train arrivait… et puis le départ des émigrants rendait la vie plus facile à ceux qui restaient. L’Ariège devint bonapartiste et vota oui à 90 % lors du plébiscite de 1870, avec seulement quelques notes discordantes dans les milieux républicains de Pamiers et de Varilhes. Après la chute de l’Empire, les élections de 1871 furent remportées par les conservateurs qui jouaient sur le désir de paix des campagnes alors que les républicains voulaient poursuivre la guerre contre les Prussiens. Il faudra attendre 1876 et 1877 pour voir un triomphe républicain qui préfigurait le succès désormais permanent de la gauche en Ariège.

La vie quotidienne des Ariégeois du 19ème e siècle ne peut se comprendre, ne peut s’apprécier si on ne prend pas en compte cet environnement géographique, ces héritages, lointains ou récents, ce contexte historique et politique qu’ils ne peuvent ignorer au moment où le suffrage universel appelle chacun d’entre eux à participer à la vie publique.

Extrait du livre La vie en Ariège au XIXe siècle http://www.amazon.fr/vie-Ari%C3%A8ge-XIXe-si%C3%A8cle-ebook/dp/B00BEWB4W6 – ch.1

 

 

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Les Bateaux-Lavoirs

Posté par francesca7 le 26 mars 2013

Le 3 février 1851 : instauration
des bateaux-lavoirs à Paris

Instauration des bateaux-lavoirs à Paris. Les lavandières étant réputées de moeurs légères, nombreux étaient les hommes en quête d’aventures et venant troubler leur travail le long des cours d’eau.

Pour enrayer cette prostitution, on créer des endroits où elles pourraient laver en toute tranquillité. Dans les faits, un seul bateau-lavoir fut construit, à Montmartre. Détourné de son objectif initial, les lavandières le fréquentant peu, il devint le rendez-vous des peintres et des artistes de la Belle Epoque.

Les Bateaux-Lavoirs dans LAVOIRS DE FRANCE bateau_lavoir--300x193Le Bateau-Lavoir est un immeuble situé dans le quartier Montmartre dans le 18e arrondissement de Paris. Il est principalement connu pour avoir été, depuis 1904, une cité d’artistes, lieu de résidence et de réunion de nombreux artistes peintres, mais aussi de gens de lettres, de gens de théâtre et de marchands d’art. Un incendie l’ayant gravement endommagé en mai 1970 (il n’en restait que la façade), il a été entièrement reconstruit en 1978. Il comporte 25 ateliers d’artistes étrangers.

Histoire

Au numéro 13 de la place Émile-Goudeau (autrefois place Ravignan) et de la rue Ravignan, une maison remplace vers 1860 la guinguette du Poirier-sans-Pareil qui avait dû fermer vers 1830 suite à un affaissement de terrain. Construite en grande partie en brique et en bois sur le flanc d’une carrière éboulée, son rez-de-chaussée (aucun étage en façade avant) situé au numéro 13, correspond au deuxième étage de sa façade arrière, la dénivellation de terrain commandant la distribution intérieure originale. Elle est compartimentée en petits logements d’une pièce répartis de chaque côté d’un couloir rappelant les coursives d’un paquebot. Ce serait l’origine du nom de Bateau. Pour Lavoir ce nom ne lui aurait été donné que par ironie par Max Jacob, la maison ne comportant qu’un unique poste d’eau. En 1889, le propriétaire fait appel à un architecte pour la transformer en ateliers d’artistes dont la majorité donnait sur l’arrière. Avant de prendre le surnom de Bateau-Lavoir on l’appelait la Maison du Trappeur.

Le premier artiste à s’y installer en 1892 est le peintre Maxime Maufra, de retour d’un séjour en Bretagne. L’endroit devient rapidement un lieu de rencontre, où l’on remarque notamment la présence de Paul Gauguin. Entre 1900 et 1904, l’endroit est occupé par deux groupes d’artistes, des Italiens dont le plus célèbre est Ardengo Soffici et desEspagnols regroupés autour de Paco Durrio. Puis Picasso arrive en 1904 (il y demeure jusqu’en 1909 et y garde un atelier jusqu’en 1912). Sa période bleue étant terminée, il entame les tableaux de la période rose qui prend fin en 1907. En 1907 sa toile Les Demoiselles d’Avignon y est dévoilée marquant le début du cubisme. À cette époque les habitants se nomment Kees van Dongen, Juan batteaux-lavoirs1-300x176 dans LAVOIRS DE FRANCEGris, Constantin Brancusi, Modigliani, Pierre Mac Orlan, Max Jacob. En 1908 le Douanier Rousseau y est accueilli par un mémorable banquet. Le Bateau-Lavoir perd de son animation à partir de la Première Guerre mondiale au profit du quartier de Montparnasse et de La Ruche, son équivalent de la rive gauche. La maison fut aussi surnommée la Villa Médicis de la peinture moderne (par analogie avec la villa Médicis à Rome).

Inscription aux monuments historiques de la partie non incendiée monuments historiques le 31 mai 1965.

Parmi les nombreuses personnes ayant fréquenté l’endroit, on peut citer : Amedeo Modigliani, Henri Matisse, Georges Braque, Fernand Léger, André Derain, Raoul Dufy, Maurice Utrillo, Jean Metzinger, Louis Marcoussis, Guillaume Apollinaire, Edmond-Marie Poullain, Alfred Jarry, Jean Cocteau, Raymond Radiguet, Gertrude Stein, Charles Dullin, Harry Baur, Ambroise Vollard, Daniel-Henry Kahnweiler, Berthe Weill,Jacques Gaston Emile Vaillant, Robert Tatin, Maurice Denis, Kees van Dongen, Endre Rozsda, Ksenia Milicevic, Pierre Mac Orlan, Marie Laurencin, Pablo Picasso, Gen Paul, etc.

Publié dans LAVOIRS DE FRANCE | Pas de Commentaires »

 

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