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    « La restauration est une opération qui doit garder un caractère exceptionnel. Elle a pour but de conserver et de révéler les valeurs esthétiques et historiques du monument et se fonde sur le respect de la substance ancienne et de documents authentiques. Elle s’arrête là où commence l’hypothèse, sur le plan des reconstitutions conjecturales, tout travail de complément reconnu indispensable pour raisons esthétiques ou techniques relève de la composition architecturale et portera la marque de notre temps. » citation Charte de Venise, art. 9, ICOMOS, 196.

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    « Un monument restauré traduit les connaissances, les ambitions, les goûts, non seulement du maître d’oeuvre mais aussi du maître d’ouvrage : c’est le vrai révélateur de l’appréhension des édifices par une génération donnée, qui leur permet de reconnaître pour sien un édifice centenaire. » citation de Françoise Bercé.

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    Tout devient patrimoine : l'architecture, les villes, le paysage, les bâtiments industriels, les équilibres écologiques, le code génétique.

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  • Patrimoine Français

    3

    Citation sur la France.
    !!!!
    La France, je l'aime corps et biens, en amoureux transi, en amant comblé. Je la parcours, je l'étreins, elle m'émerveille. C'est physique. Pour l'heure, c'est le plus beau pays du Monde, le plus gracieux, le plus spirituel, le plus agréable à vivre. En dépit de ses défauts, le peuple français a des réserves inépuisables de vigueur, d'astuce et de générosité. j'écris cela en toute connaissance de la déprime qui périodiquement enténèbre nos compatriotes. Ils ont une pente à l'autodénigrement, une autre au nihilisme. Je suis français au naturel et j'en tire autant de fierté que de volupté. J'ai pour ce vieux pays l'amour du preux pour sa gente dame, du soudard pour la servante d'auberge, de l'érudit pour ses grimoires, du paysan pour son enclos, du bourgeois pour ses rentes, du croyant des hautes époques pour les reliques de son saint patron... J'ai la France facile, comme d'autres ont le vin gai ; je l'ai au coeur et sous la semelle de mes godasses. Je suis français, ça n'a pas dépendu de moi et ça n'a jamais été un souci. Ni une obsession. Toujours un bonheur...

    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

  • a bientot

Ce qui se passe dans l’Oise

Posté par francesca7 le 22 février 2013

 

Fête de l’Eau au Fil du Temps (Oise)
 

(Responsable : Association des Fêtes Historiques de Troissereux)

 

Ce qui se passe dans l'Oise dans Oise troissereux_-_le_chateau

Troissereux est une commune française, située dans le département de l’Oise et la région Picardie.

Ses habitants se nomment les tressoriens.

Troissereux est un bourg picard du Beauvaisis, situé dans la vallée du Thérain, situé à 6 km au nord-ouest de Beauvais, et desservi par le tracé initial de la route nationale 1 (actuelle RD 901).

La ligne de chemin de fer Paris – Beauvais – Le Tréport le traverse, mais la gare de Troissereux-Fouquenies a été supprimée, et les trains ne s’y arrêtent plus.

La commune est marquée par la proximité de Beauvais, qui a entrainé une périurbanisation du bourg.

Le Thérain a été creusé par des gravières, qui ont constitué de nombreux étangs et paysages de zones humides. D’après le recensement Insee de 2007, Troissereux compte 1 129 habitants (soit une stagnation par rapport à 1999). La commune occupe le 8 412e rang au niveau national, alors qu’elle était au 7 745e en 1999, et le 134e au niveau départemental sur 693 communes.

 dans OiseL’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Troissereux depuis 1793. Le maximum de la population a été atteint 2007 avec 1 129 habitants.

Lieux et monuments

  • Église Saint-Pierre
  • Le Château de Troissereux (ci-dessus)
    des xve et xvie siècles, construit en briques et calcaire blanc et comprenant des décors intérieurs refaits en 1791 dans le goût néoclassique, est entouré de douves et de canaux. Il est classé monument historique depuis 1983.

La tour, dite Tour du temps, renferme une horloge médiévale, l’une des plus anciennes au monde.
Son parc à l’anglaise, de 12 hectares, abrite un arboretum contenant 45 espèces d’arbres et arbustes. De nombreux oiseaux migrateurs y nichent et sont aisément observables, le parc et les petits et grand canaux, sont ouverts au public 300 jours par an.

Le dimanche 3 Juillet 2011, les fêtes historiques de Troissereux se replongent à l’époque de Marie Stuart (1542-1587), reine d’Ecosse et de France – elle passa par ce village lorsqu’elle se rendit à Paris –, épouse de François II, roi de France du 10 juillet 1559 au 5 décembre 1560. Marie fit en effet

A l’occasion de la fête de l’eau au fil du temps, le village de Troissereux propose un spectacle inédit mettant en scène le cortège de Marie Stuart et de François II dans la France du XVIe siècle. Au son des cornemuses, le cortège traversera le village, à partir de 10 h 30, pour se rendre au château et assister aux festivités : tournois, danses de cour et bien plus encore…

Fête de l’Eau au Fil du Temps

A VOIR EN VIDEO Image de prévisualisation YouTube

 

Le groupe bien connu « Somme Battlefield Pipe Band » viendra tout spécialement pour représenter la garde écossaise de la reine Marie Stuart et accompagnera le cortège composé de nos amis des fêtes historiques François Ier de Crèvecœur, des fêtes Jeanne Hachette de Beauvais, de Folleville, du souffle de la terre d’Ailly sur Noye, de Senlis, ainsi que la cavalerie des Hercui-liens de Crillon et de Folleville, sans oublier les enfants de l’école, ainsi que l’ensemble des associations de Troissereux et le Château de Troissereux qui ouvre ses portes gracieusement pour offrir un moment inoubliable aux petits comme aux grands…

troissereux_2012_1-49e9e-211x300Nombreuses animations et échoppes traditionnelles autour du château pour une journée encore plus magique …

Marie Stuart, fille de Jacques V d’Ecosse et de Marie de Guise, est l’un des personnages les plus attachants de l’histoire. Elle a seulement quelques jours lorsqu’elle devient reine par la mort de son père. Fiancée au fils aîné d’Henri II de France elle prend le chemin de Paris et passe à Troissereux.

Le village est en fête. Son intelligence, sa culture – elle parle plusieurs langues – et sa beauté en font bientôt une des plus brillantes étoiles de la cour. Elle a 15 ans lorsqu’elle épouse François de France, qui lui en a 14, et qui l’année suivante devient roi par la mort de son père Henri II (le jeune roi ayant pris comme symbole le soleil, ce symbole surmonte, en son honneur, une tour du Château de Troissereux). Mais bientôt François meurt à son tour - probablement d’une méningite - après moins de deux ans de règne et la jeune veuve doit prendre le chemin du retour vers l’Écosse.

Elle passe de nouveau à Troissereux, mais cette fois elle est en deuil et a le cœur serré. Sa vie ne sera plus alors qu’une suite de tragédies. A la fin, étant venue demander de l’aide à sa cousine Élisabeth Ière d’Angleterre, celle-ci l’a fit emprisonner et décapiter.

A VOIR une autre VIDEO Image de prévisualisation YouTube

Renseignements pratiques 
Coordonnées : Rue de la Prairie – Allée du Château, 60112 TROISSEREUX
Web : Association des Fêtes Historiques de Troissereux
Tél. 03 44 79 02 89

 

 

 

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A Pont-Croix en Finistère

Posté par francesca7 le 22 février 2013

Pont-Croix (Finistère)

 

A Pont-Croix en Finistère dans Finistère 280px-pont-croix_goyen

 

 Pont-Croix (en breton : Pontekroaz) est une commune française, située dans le département du Finistère et la région Bretagne.

La ville est bâtie en forme d’amphithéâtre et se développe dès le XIe siècle. Elle a vu au cours de son histoire s’affairer une population d’artisans, de gens de robe, de marchands opulents qui commerçaient par mer avec l’Espagne. PONT-CROIX reste une ville animée les jours de foires et de marchés. Son activité est étroitement liée à l’agriculture. PONT-CROIX , petite cité de caractère, est chef-lieu de canton : 12 communes au total. Capitale du Cap Sizun composé de villes connues telles Audierne, Ile de Sein, Plogoff avec son site de la Pointe du Raz.

A mi-route de Quimper (32 km) et de la Pointe du Raz (25 km) En 1997, PONT-CROIX comptait 1762 habitants. Comme en bien des communes de Bretagne et pour les mêmes raisons, les chiffres actuels de peuplement accusent une baisse assez importante par rapport au début du siècle (2025 habitants). Depuis 1992, PONT-CROIX est jumelée avec une petite ville de la Cornouailles anglaise : Contantine-Gweek. De nombreux échanges ont lieu, d’une part entre les familles pontécruciennes et celles de Constantine et d’autre part entre le collège de la ville et nos correspondants anglais.

De nombreux artistes et artisans ont choisi de vivre à PONT-CROIX (peintres, sculpteurs, potier, artisan du cuir…). Sans compter les nombreux peintres amateurs et professionnels qui y trouvent maintes inspirations pour leurs toiles. (voir le concours de peinture et de dessin du 15 Août).

Pont-Croix et plus généralement le Cap a toujours beaucoup inspiré les peintres. Il en est venu de célèbres tels que Matisse en 1895, Désiré Lucas, Max Jacob, Emile Simon.. Tous ces artistes étaient très bien accueillis au Cap. La propriétaire de l’Hôtel des Voyageurs, à Pont-Croix, qui était Mme Gloaguen dans les années 30, jouait un peu le même rôle que  » Marie Poupée  » à Pont-Aven… D’autres artistes fréquentaient l’Hôtel Poupon (famille de Vonnick Caroff). On pouvait les rencontrer en arpentant les petites rues escarpées ou sur la place du marché…

640px-pont-croix_grande_rue_chere_3-300x225 dans Finistère

Histoire

La civilisation gallo-romaine a laissé une trace importante dans les vestiges de la villa de Kervénenec (découverte de mosaïques) à l’ouest. Une voie dite romaine a donné un tracé rectiligne à une route prenant en écharpe le plateau qui domine la ville sur un itinéraire qui joignait Quimper à la Pointe du Van. S’il n’y a pas trace de fortifications, la tradition a gardé le souvenir du quadrilatère de rues dénommé le « Tour du Chastel » indiquant l’emplacement au milieu de la ville moderne de l’ancien château du Moyen Âge.

L’emplacement de Pont-Croix qui en fait un lieu stratégique à la jonction du Cap Sizun, dont elle est la capitale, et du Pays Bigouden, lui confère un rôle commercial et administratif majeur, car elle est à la fois le lieu de foires réputées et le siège d’une sénéchaussée. Elle héberge de nombreux membres des professions judiciaires, procureur, notaires, sergents de justice, dont une partie est au service des propriétaires de terres nobles. Elle a le statut apparent d’une ville, mais pas les attributs attachés, puisqu’il n’y aura pas de communauté de ville sous l’Ancien Régime et que malgré la superficie remarquable de son église et l’importance du clergé attaché, la paroisse restera un trève de Beuzec-Cap-Sizun jusqu’en 1791.

La famille de Rosmadec originaire de Telgruc-sur-Mer finit par y acquérir la prééminence avant d’être portée aux plus hautes charges ducales et épiscopales au début du xvie siècle.

En 1590, l’aventurier Guy Éder de La Fontenelle s’empare de la ville à la tête d’une troupe de cavaliers. Comme les bourgeois qui n’avaient pu fuir s’étaient retranchés dans la tour de l’église, le chef brigand fit traîner dans celle-ci par des chevaux des fagots de bois pour allumer un feu et déloger les assiégés en les enfumant et prendre les biens qu’ils avaient cru mettre à l’abri. Selon la tradition, les massacres perpétrés par les reîtres auraient fait dévaler des flots de sang sur les pavés pentus de la Grand rue Chère.

Au XVIIe, elle devient le siège de la subdélégation de l’Intendance royale, mais voit Audierne qui est à l’embouchure du Goyen, commencer à la concurrencer dans le commerce maritime.
Au siège du Présidial, dit ensuite la « Maison commune », furent rédigés, en 1789, les cahiers de doléances, « pardevant Louis Tréhot de Clermont, Sénéchal et Premier Juge Civil et Criminel de la Juridiction ». Celui-ci siègera comme député suppléant du Tiers-État aux États-Généraux, puis à l’Assemblée constituante.
La ville devient chef-lieu de district de 1790 à 1795.

Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de Pont-Libre.
En 1823, dans les bâtiment de l’ancien couvent des Ursulines, est créé le petit séminaire dont l’emprise constitue un espace clos à l’ombre de la flèche élancée de l’église qui inspire l’architecte diocésain Joseph Bigot pour les flèches de la cathédrale Saint-Corentin de Quimper (1856).

Le petit séminaire sert aussi de collège-lycée privé placé sous le vocable de Saint-Vincent et contribue à former une partie des élites locales. Au {XIXe, le port est doté d’un quai en pierre, mais est handicapé par la marée et l’envasement qui limitent la taille des bateaux de charge, tandis que la ville devient un îlot républicain qui se donne au parti radical-socialiste. Le commerce de gros s’y installe, ainsi que se renforce la présence des artisans, des notaires et des commerçants. Des hôtels de tourisme sont construits à la fin du siècle et on inaugure le chemin de fer départemental à voie étroite qui fait se rejoindre les lignes de Douarnenez à Audierne (le train youtar) et de Pont-l’Abbé à Pont-Croix (le train carottes).

315px-Pont-Croix_MarquisatLe xxe siècle voit un affaiblissement de la position de la ville dont la population décline après 1950, mais se stabilise autour de 1 700 habitants à la fin du siècle.

Le développement relatif du tourisme ne compense pas la perte du rôle commercial aggravée par le lancement d’un pont entre Audierne et Plouhinec en 1933. En 1946, le vieux quartier outre-Goyen de Keridreuff est annexé par Pont-Croix aux dépens de Plouhinec, commune encore très rurale bien que beaucoup plus peuplée. La même année, la municipalité décide de faire démolir les anciennes halles, couvertes en charpente, pour cause de vétusté. La gare est fermée en 1947.

Le développement du tourisme de masse renforce la position de petit centre commercial jusqu’aux années 1960, mais un déclin progessif des fonctions de centralité atteint la ville jusqu’à la fin du 20e siècle.

Dans la nuit du 27 octobre 2006, le Petit Séminaire et ancien collège a été victime d’un violent incendie ravageant plus de la moitié des bâtiments.

Il y a eu des écrivains aussi : Gustave Flaubert, Maxime du Camp, François Coppée, Octave Mirabeau, Guy de Maupassant, André Theuriet… Par ailleurs, nous pouvons citer plusieurs films cinématographiques tournés à PONT-CROIX :

  • « La merveilleuse visite » de Marcel CARNE
  • « Vos gueules les mouettes » de Robert DHERY
  • « Le cheval d’orgueil » de Claude CHABROL, d’après le livre de Pierre-Jakes Hélias
  • « Le quincailler amoureux » épisode du téléfilm « Les cinq dernières minutes » avec Daniel Prévost et Pierre Santini. Episode tourné durant l’été 1995.
  • « Des croix sur la mer » film tourné en Juin 2000 sur les pavés de l’église. Il s’agit d’un film tiré du livre de Jean-François COATMEUR : l’action se passe à la fin de la guerre 1939-1945, avec flash back sur les 4 années de la guerre.

Si vous passez à PONT-CROIX, les sites incontournables :

  • la collégiale
  • les rues « chère » : rues pittoresques en escalier, reliées par la rue des Courtils (rue des remparts)
  • les quartiers des vieux moulins : Pen Ar C’Han, Pont de Keridreuff avec son moulin à marée
  • le vieux port de Pennanguer et le jardin de plantes médicinales
  • les lavoirs, les fontaines
  • les maisons chargées d’histoires et les vieilles maisons en pierres apparentes
  • une visite aux nombreux artistes et artisans présents au fil des rues et ruelles typiques.

VISITER LE SITE 
www.pont-croix.fr.fm

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Nevers dans la Nièvre

Posté par francesca7 le 16 février 2013

 

A Nevers dans la Nièvre

 rendez-vous sur ce site http://www.nevers.fr/histoire : pour mieux connaître Nevers

 

Nevers dans la Nièvre dans Nièvre 800px-nevers_-_vue_depuis_la_rive_sud_de_la_loire

Nevers est une commune du centre de la France, située dans le département de la Nièvre et la région Bourgogne. Elle compte 37 035 habitants (recensement de 2012) au cœur d’une aire urbaine estimée à 100 556 habitants (recensement de 1999).

Il s’agit de la ville principale du département de la Nièvre et de la 3e plus grande ville de Bourgogne, située entre Chalon-sur-Saône et Auxerre. Sa capitale et chef-lieu régional est la ville de Dijon.

Capitale de la province du Nivernais sous l’ancien régime, elle est désignée comme préfecture du département de la Nièvre lors de la réorganisation territoriale de 1790. Ses habitants sont appelés les Neversois.

Dotée d’un important ensemble patrimonial médiéval (Église Saint-ÉtienneCathédrale Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte), renaissance (Palais ducal) ou contemporain (Église Sainte-Bernadette du Banlay), la ville est affiliée au réseau national des villes d’art et d’histoire.

L’histoire de Nevers Le Moyen-Age

Une lignée de comtes héréditaires se fixe à la fin du Xe siècle ; la prise en main du comté par Landri et ses successeurs correspond à la cristallisation du système féodal et à l’indépendance face au puissant voisin bourguignon. Comme les héritiers sont souvent des femmes, c’est un prétexte pour le roi, suzerain direct, d’intervenir sur ce fief stratégique, par le choix des époux pour les jeunes comtesses. Le comté de Nevers est ainsi porté par ses héritières à diverses grandes familles, pour qui le Nivernais est une source financière mais Nevers n’est jamais considérée comme une capitale princière pour des comtes qui souvent n’y résident pas, l’administration étant d’ailleurs le plus souvent le fait des comtesses. Jusqu’à fin XIIIe siècle, luttes féodales et croisades rythment la vie des comtes.

En 1068, la restauration du prieuré Saint-Etienne, rattaché à l’ordre clunisien, dote la ville d’une église qui restera un modèle d’architecture romane. En outre, la concession par le comte d’une charte de franchise au prieuré apporte une nouvelle impulsion au bourg. La ville prend corps en 1194 avec l’édification, par le comte Pierre de Courtenay, d’une nouvelle enceinte qui englobe la cité et le bourg Saint-Etienne. Au centre de cet espace, la cathédrale Saint-Cyr Sainte-Julitte, témoin de l’évolution de l’art gothique du XIIIe au XVe siècle, marque l’affirmation de l’autorité de l’évêque.

 

En 1231, la ville dans son ensemble est dotée par la comtesse Mahaut de Courtenay d’une charte de franchise qui crée un pouvoir municipal représenté par les échevins. De 1280 à 1369, le comté appartient à la famille Flandre, ce qui pose la question du choix de la fidélité à la France ou à l’Angleterre pendant la Guerre de Cent Ans. Restée dans le camp français, Nevers est épargnée. Mais menacée par les Grandes Compagnies démobilisées qui ravagent le pays, elle s’efforce de restaurer ses fortifications. A partir de 1369, le comté devient possession de la Maison de Bourgogne et rentre dans le sillage du roi de France. Cependant, malgré elle dans le camp des Bourguignons contre les Armagnacs, Nevers est sous domination anglaise avec à ses portes les armées de Charles VII. Les échevins accélèrent les efforts défensifs, la Porte du Croux date de cette période. Nevers n’a certes jamais été prise, mais elle a vécu une forme d’occupation et ses caisses sont vides. La fin du Moyen-Age est marquée par la construction d’un nouveau château, l’actuel Palais ducal, entrepris en 1467 par le comte Jean de Clamecy.

 f06.nevers.palais_ducal.1161 dans Nièvre

La ville moderne de Nevers

L’urbanisation de la première moitié du XXe siècle apparaît comme le prolongement du mouvement de la fin du XIXe siècle, avec une forte extension des quartiers pavillonnaires aux Montapins, au Banlay… Cependant, la véritable mutation qui définit la ville actuelle n’apparaît qu’après la seconde guerre mondiale. La croissance démographique entraîne une nouvelle extension spatiale. La physionomie urbaine en est considérablement transformée, surtout à la périphérie où des grands ensembles d’habitation collective et une nouvelle génération de lotissements partent à la conquête d’espaces restés jusqu’alors agricoles. La construction des nouveaux quartiers commence vers 1950 pour la Grande Pâture, 1960 pour le Banlay, puis se poursuit dans les années 1970 et 1980 pour les Bords de Loire et la Baratte. Ces réalisations importantes, représentant chacune 1000 logements ou plus, sont les formes les plus évidentes de la croissance urbaine. D’autres formes d’occupation du sol contribuent également à cette transformation. Une nouvelle génération de pavillons apparaît. Ils se développent, soit dans les quartiers extérieurs nouvellement conquis à l’urbanisation, soit dans les vides du tissu pavillonnaire préexistant, principalement dans les zones nord et ouest : marges orientales du Banlay, quartier Faidherbe et Victor Hugo, Montapins, Montots… Enfin, à partir des années 1980, la construction individuelle prend un autre aspect avec l’implantation de lotissements à l’extérieur des limites communales, sur les terrains des communes proches appartenant à l’agglomération neversoise.

Les travaux la déviation de la RN7 (1957-1968) modifient également la physionomie urbaine. Elle a entraîné la démolition du quartier des Pâtis, la mise en impasse de plusieurs rues et la couverture de la Nièvre dans sa partie aval. Une autre demi-rocade, prise sur les emprises du « tacot » assure le contournement du centre ville par l’ouest (boulevard Trésaguet et rue des Docks) ; elle a été achevée en 1981 par la réalisation de la courte percée Gonzague assurant une liaison directe entre la gare et la Loire.

 180px-094_Nevers_Porte_du_Croux_Les_remparts

Unité urbaine

D’une façon générale, le territoire urbain se définit aujourd’hui différemment : d’une part, une unité urbaine, l’agglomération, englobant les communes périphériques se substitue au territoire réduit de la ville ancienne ; d’autre part, les partages qui sont apparus avec l’ère industrielle se renforcent en passant à une échelle plus grande : quartier résidentiel, quartier d’habitat social, quartier commerçant et administratif, quartier industriel se différencient nettement et accusent une opposition plus générale entre le centre et la périphérie.

 

Relevé météorologique de la station de l’aéroport de Nevers-Fourchambault de 1948 à 1999

Mois

jan.

fév.

mar.

avr.

mai

jui.

jui.

aoû.

sep.

oct.

nov.

déc.

année

Température minimale moyenne (°C)

-0,2

0,0

1,7

3,7

7,4

10,5

12,3

12,0

9,3

6,2

2,6

0,5

5,5

Température moyenne (°C)

3,0

4,1

6,8

9,3

13,2

16,4

18,7

18,3

15,4

11,3

6,4

3,8

10,5

Température maximale moyenne (°C)

6,2

8,2

11,8

14,9

18,9

22,2

25,0

24,5

21,4

16,3

10,1

7,0

15,5

Précipitations (mm)

66,6

60,7

59,6

55,4

89,8

66,1

53,5

70,8

71,0

68,3

69,2

73,2

804,2

Source : SOPHY – Banque de données botaniques et écologiques (1948-1999)

 

Les faïences de Nevers

Nevers doit à Louis IV de Nevers sa célèbre activité de faïencerie. Vers la fin du xvie siècle, il fait venir d’Italie Augustin Conrade, potier d’Albissola, près de Savone, et ses frères, Baptiste et Dominique qu’il installe au château du Marais à Gimouille. Leur réputation et leur réussite deviendront telles, que Nevers s’affirmera au xviie siècle comme capitale française de la faïence.

Augustin Conrad avait choisi Nevers pour s’implanter en France car tous les éléments étaient réunis pour fabriquer de la faïence de qualité (Les deux types de terre nécessaires, du bois qui chauffe mais ne fait pas de feu (dans les forêts du Morvan), la Loire pour le transport sécurisé de ses produits.

Autres aspects de l’économie sur Nevers

220px-Nevers_XVIITraditionnellement administrative, Nevers ne possède guère que la faïence comme industrie ancienne laissant le soin à plusieurs petites villes de ses alentours la fonction manufacturière : Fourchambault, Imphy (métallurgie), La Machine (mine de charbon), Varennes-Vauzelles (constructions mécaniques et ferroviaires), Cercy-la-Tour (équipementier automobile), Prémery (Lambiote). Depuis les années 1960, elle accueille de nombreuses petites et moyennes industries de construction électrique et mécanique, chimie. Elle entend désormais se spécialiser et étoffer différentes filières qui constituent ses pôles d’excellence : sous-traitance automobile principalement (Valeo à Nevers, Faurecia à Cercy-la-tour).

Nevers est le siège de la Chambre de commerce et d’industrie de la Nièvre. Elle gère l’aéroport de Nevers-Fourchambault « La Sangsue ». Des liaisons par hélicoptère relient Nevers au circuit de Nevers Magny-Cours pour le Grand Prix de France de Formule 1 et une ligne « Nevers - Dijon » par avion a été ouverte avec un vol hebdomadaire, mettant Dijon à 33 minutes de Nevers.

 

 

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Amnéville en Moselle

Posté par francesca7 le 15 février 2013

 Amnéville en Moselle dans Moselle rue-des-romains

Amnéville est une commune française du département de la Moselle et de la région Lorraine.

L’ancienne commune de Malancourt-la-Montagne, à dix kilomètres à l’ouest, a été rattachée à Amnéville en 1973. La ville est aussi appelée « Amnéville-les-Thermes » sur des panneaux routiers et publicitaires depuis le développement du centre thermal et touristique dans le bois de Coulange.

Histoire

Dans l’ancienne province du Barrois jusqu’en 1480, puis du duché de Lorraine. Amnéville a subi les ravages de la guerre de trente ans. Pratiquement détruit, le bourg est devenue au xixe siècle une annexe de Gandrange. Ainsi, en 1817, le foyer de peuplement de Moulin-Neuf était constitué de 58 habitants répartis dans quelques maisons.

Annexion de 1871

Au cours de la première Annexion allemande, en 1894, la commune d’Amnéville est créée par scission, à partir de la commune de Gandrange. Le complexe de l’usine de Rombas est créé à cette époque. Il est décidé de loger les ouvriers à proximité du complexe industriel, à Amnéville. La nouvelle commune prend le nom de Stahlheim, littéralement « cité de l’acier ». La cité est conçue selon les principes des cité-jardins. La venue de travailleurs et le développement urbain ont contribué à l’essor de la ville. Stahlheim-Amnéville, rebaptisée Amnéville-Stahlheim, redevient française en 1919.

Seconde Guerre mondiale

Au début de la Seconde Guerre mondiale, un Centre de rassemblement des étrangers est créé. Comme les autres communes mosellanes, Amnéville est ensuite annexée au Troisième Reich en juillet 1940. La commune du Landkreis Metz redevient « Stahlheim », commune du CdZ-Gebiet Lothringen. À partir d’août 1942, les jeunes conscrits mosellans, incorporés de force dans l’armée allemande, partent sur le Front de l’Est. Beaucoup ne reviendront jamais. En 1944, les bombardements américains se succèdent, rendant les conditions de vie des civils plus difficiles encore. Finalement, la ville est libérée le 21 novembre 1944.

 180px-temple_amneville dans Moselle

 

Démographie d’Amnéville

En 2009, la commune comptait 10 107 habitants. L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1896. À partir du xxie siècle, les recensements des communes de plus de 10 000 habitants ont lieu chaque année à la suite d’une enquête par sondage, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans.

Évolution de la population

1896

1901

1906

1911

1921

1926

1931

1936

1946

93

2 066

3 427

4 192

5 006

5 555

6 649

5 642

6 092

Évolution de la population, suite (1)

1954

1962

1968

1975

1982

1990

1999

2006

2009

7 050

8 149

7 878

8 996

8 951

8 926

9 314

10 172

10 107

Sources : EHESS pour les nombres retenus jusqu’en 1962, Insee à partir de 1968 (population sans doubles comptes puis population municipale à partir de 2006)

 

Lieux et monuments

  • 280px-eglise_amneville-221x300tracé de la voie romaine
  • traces d’un ancien pont romain
  • ancien château xive siècle et ancienne église (l’église transformée en habitation et le château sont détruits en 1976), lors de la modification d’un tronçon routier de la vallée de l’Orne et la démolition totale du vieil Amnéville.
  • Église Saint-Joseph d’Amnéville, 1929 (chemin de croix, fresque de Nicolas Untersteller),

Édifices religieux

une première chapelle construite en 1905.

  • Église Saint-Martin à Malancourt xixe siècle
  • Ancienne église au vieil Amnéville, transformée en habitation, détruite en 1976.
  • Temple protestant église Réformée xxe siècle
  • Église néo-apostolique, rue Victor-Hugo.

Musée de Tambow

Le musée de Tambow évoque la déportation des malgré-nous de la guerre de 1939-1945. Il est dédié à la mémoire des 130 000 incorporés de force dans l’armée allemande, qui furent, pour beaucoup, retenus prisonniers par les soviétiques au camp de travail de Tambow, en Russie.

Centre thermal et touristique

Amnéville dispose d’un centre touristique et thermal réputé en Europe. Il est installé dans le bois de Coulange et sur d’anciens crassiers sidérurgiques. On y trouve notamment les activités suivantes :

  • amneville-les-thermes-4_smalldes thermes (cure thermale) ainsi que deux équipements de loisirs aquatique : Thermapolis (tout public) et Villa Pompéi (public majeur)
  • un casino
  • un parc zoologique
  • un aquarium
  • un lieu d’expositions temporaires : l’Expocenter
  • un musée de la moto et du vélo, collection de Maurice Chapleur comprenant 230 modèles dont 60 motos datant de 1895 à 1950 ; première collection technique française, elle est classée « trésor national »
  • une salle de spectacle de douze mille places : le Galaxie
  • un multiplexe cinématographique Gaumont et IMAX
  • une piste de ski intérieure : le snow hall
  • une patinoire olympique
  • une piscine olympiqueimages5
  • un golf avec dix-huit trous, club houseputting greenchipping green et practice
  • un plan d’eau dans le bois de Coulange
  • MAHC (hockey sur glace).
  • CSO Amnéville (football).
  • Golf d’Amnéville-Les-Thermes
  • 7 Amnévillois (Handball)
  • Amneville club de tennis (tennis)

Sports à Amnéville

Culture

Du 8 au 9 juillet 2011, Amnéville a accueilli le festival international de musique Sonisphere Festival qui se déroulait pour la première fois en France. Pour cette édition, le festival rassemblait certains des plus grands groupes internationaux de Heavy Metal, tels que le Big Four of Thrash (expression désignant les quatre plus importants groupes de thrash metal américain que sontMetallica, Megadeth, Slayer et Anthrax), Slipknot, Dream Theater, Airbourne ou encore Mastodon. Plusieurs groupes français d’importance étaient également présents comme Loudblast, Mass Hysteria ou encore Gojira. Le Snowhall Parc accueillait cet évènement.

Personnalités liées à la commune d’Amnéville

  • Eitel-Friedrich Kentrat (1906-74), natif d’Amnéville, était commandant de U-Boot lors de la Seconde Guerre mondiale.
  • Antoine Gorius, né en 1918 à Amnéville, footballeur français de 1938 à 1951.
  • Raymond Baratto, né en 1934 à Amnéville, footballeur français.
  • Patrick Battiston, né en 1957 à Amnéville, footballeur français.
  • Michel Ettore, né en 1957 à Amnéville, footballeur français.
  • Alexandre Weber, né en 1968 à Amnéville, ambassadeur de bonne volonté de l’ONU pour la France et les pays francophones.
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Tour du Lac des Settons

Posté par francesca7 le 13 février 2013

Département (58) dans la Nièvre

 

EN VIDEO Image de prévisualisation YouTube

Le Lac des Settons, un des grands lacs du Morvan

Au coeur du Parc Naturel Régional

Tour du Lac des Settons dans LACS DE FRANCE 300px-lac_des_settons_-_barrage_06

D’une superficie de 360 ha, le Lac des Settons se situe en plein coeur de la Bourgogne dans un Parc Naturel Régional, dans le département de la Nièvre. Niché dans un écrin de verdure composé de forêts et de rivières, à une trentaine de kilomètres du Château de Bazoches et de Vézelay, le Lac des Settons est entouré de bois de sapins et de mélèzes, à 600 m d’altitude dans le massif du Morvan. La commune de Montsauche-les-Settons regroupe autour du bourg différents hameaux comme Montgirault, Bonin, Nataloup, Champgazon ainsi que La Faye, les Settons, les Branlasses qui sont directement situés au bord du Lac des Settons. La commune de Moux-en-Morvan borde la moitié sud du Lac des Settons du Cernay sur la rive droite jusqu’à Chevigny sur la rive gauche en passant par la queue du lac et la route touristique.

 

Le Lac des Settons, un lac de barrage

Le Lac des Settons est un lac artificiel retenu par une digue en pierre, un barrage érigé au XIXè siècle, unique en son genre. La construction fut réalisée entre 1854 et 1861 dans le double but de faciliter le flottage du bois sur Paris et d’assurer la navigation de la rivière Yonne en régulant son débit. A voir : la maison du garde et la salle des machines au centre de la digue.

 

Location près du Lac des Settons

 Louez votre gîte au Lac des Settons

Choisissez parmi une vingtaine de locations disponibles à proximité du Lac des Settons pour votre séjour tourisme en Nièvre:  Voir les gîtes et locations à proximité du Lac des Settons

Louez votre chalet au Lac des Settons

Pour un séjour dans la Nièvre en famille ou entre amis, vous aurez la possibilité de location dans un chalet avec vue sur le Lac des Settons ou dans un Village de chalets à 50 mètres du Lac.
Voir la liste des locations en chalet.

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Camping au bord du Lac des Settons

 

Camping détente et nature au Lac des Settons

L’environnement du Lac des Settons est un cadre privilégié pour des vacances en Nièvre. En choisissant la formule « camping détente et nature », vous optez pour un camping à taille humaine qui vous offre la tranquilité.
Voir le détail des prestations du camping

Camping avec location au Lac des Settons

Parmi les campings du bord du Lac des settons, certains vous proposeront chalet ou mobil-home en location.

Voir les différentes formules de location en camping

 

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Hôtel près du Lac des Settons

Pour votre week-end en Nièvre, nous vous conseillons un des deux hôtels situés à quelques pas du Lac des Settons. Ces deux hôtels disposent également d’un restaurant.
Plus de précisions sur ces hôtels

  Pêche au Lac des Settons

Pour les amoureux de la pêche en lac, le Lac des Settons est un site privilégié de plus de 300 hectarres classé en lac de barrage de 2ème catégorie. Les dernières vidanges du Lac des Settons ont eu lieu en 1995 et 2008.

Pêche des carnassiers au Lac des Settons

Toutes les conditions sont réunies pour faire du Lac des Settons un site exceptionnel pour la pêche du brochet : nombreux accès à pied ou en bateau, petits poissons en quantité, îles, pentes douces. Mai, juin et novembre sont les meilleures périodes. L’été, la pêche de la perche se pratique très facilement à la cuillère ou au coup.

Pêche de la carpe au Lac des Settons

Les pêcheurs apprécient tout particulièrement le Lac des Settons très propice à la pêche de la carpe pour son accessibilité, sa superficie et sa densité de belles carpes. La pêche de nuit est autorisée excepté en juillet et août.

Activités pour les enfants sur le Lac des Settons

Baignade au Lac des Settons

Le Lac des Settons est également un lac de baignade agréable et réputé. A proximité de la Base Sport et Nature Activital, une jolie plage de détente permet aux familles de goûter au joies de la baignade dans une eau de qualité (pavillon bleu). Certains campings disposent eux-mêmes de plages privées qui offrent autant de lieux de baignade
Pour profiter de la baignade en toute sécurité, 2 lieux de baignade sont surveillés en juillet et août : plage de la Presqu’île (rive droite) et plage de la Cabane Verte (route touristique).

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Balades et randonnées au Lac des Settons

Trois boucles de randonnée à pied ou en VTT vous permettront de profiter au mieux de l’environnement du Lac des Settons : boucle du tour du lac (15km), boucle du flottage (17km) et tour du Bois du Grand Champ (5km). Le nouveau sentier de la queue du lac offre la possibilité de découvrir la richesse naturelle grâce à un parcours sur pilotis et à un observatoire de la faune et de la flore.

 Tél. : 03 86 84 51 98 – Site Internet : www.activital.net 

Base de Loisirs au Lac des Settons

Grâce à la base Sport et Nature Activital située aux Branlasses, vous pourrez pratiquer sur le lac la voile en cours particuliers ou collectifs, ou louer un catamaran ou une planche à voile à l’heure, à la demi-journée ou à la journée. Si le vente n’est pas de la partie, vous aurez la possibilité de pratiquer des activités nautiques à rame comme le canoë, la kayak et l’aviron.
Voir les prestations proposées par la Base Activital

 

VIDEO  :  Image de prévisualisation YouTube

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Auxerre dans l’Yonne

Posté par francesca7 le 10 février 2013

 

 

Auxerre (89) est une commune française, chef-lieu du département de l’Yonne, dans la région Bourgogne.

La ville compte près de 40 000 habitants. La Communauté d’agglomération de l’Auxerrois compte environ 62 320 habitants et l’aire urbaine d’Auxerre compte quant à elle 87 246 habitants. Il s’agit de la première ville du département de l’Yonne, et la quatrième de la région Bourgogne derrière la capitale régionale Dijon, Chalon-sur-Saône, Nevers et devant Mâcon.

Divisée en 11 quartiers, la ville fait partie depuis 1995 du réseau villes d’art et d’histoire. Ses habitants sont appelés les Auxerrois.

Le vignoble auxerrois est réputé ; les vignobles AOC de Chablis sont à quelques kilomètres de la ville. Elle est aussi connue pour son club de football et son ex-entraîneur Guy Roux.

La ville est le premier pôle économique et commercial du département, et joue donc un rôle majeur dans la région.

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Histoire d’Auxerre Au Moyen Âge

Les invasions normandes ont épuisé le pays. Abbés et prélats ont ceint l’épée. En 912, saint Géranévêque d’Auxerre, défait les Normands à Saint-Florentin.

L’Auxerrois et le Sénonais sont réunis à la Bourgogne de Boson et de Richard le Justicier. En 1015, le traité d’Hery attribue la Bourgogne au roi Robert II, et soumet l’Auxerrois à la double souveraineté du comte-évêque Hugues de Chalon et du comte Otte-Guillaume, divise le comté en trois baronnies.

Outre la famine qui règne vers l’an 1030, Auxerre subit deux grands incendies. Seule l’église de Saint-Alban martyr, que saint Germain avait bâtie dans le haut de la cité, réchappe au premier incendie : la cathédrale est réduite en cendres. L’évêque Hugues, au lieu de la rebâtir de moellons, comme auparavant, en jette les fondements sur le roc avec des pierres de taille ; il demande une enceinte d’une plus grande étendue, et il y fait faire les grottes ou cryptes telles qu’on les voit encore aujourd’hui sous le sanctuaire et sous la moitié du chœur. L’ouvrage était déjà bien avancé, lorsqu’il arriva un second incendie ; mais l’église fut indemne, et le feu ne toucha que quelques maisons.

1039 voit renaître les guerres de Bourgogne. L’évêque devient indépendant du comte Renaud sur arbitrage de saint Bernard, et suzerain d’une partie de la ville.

Les différends qu’il soutient, notamment en 1166 contre le comte de Chalon, incitent le comte Guillaume III à protéger les faubourgs de la ville. Vers 1171, une deuxième enceinte fortifiée est hâtivement construite (sur 4 km), appuyée à la rive gauche de l’Yonne, comme la première, mais englobant largement abbayes et monastères. La figure de boulevards, aujourd’hui séparative des villes anciennes et modernes, en figure exactement le tracé.

Le fait que la ville ait pu se satisfaire de ses limites médiévales pendant près de six siècles est caractéristique de l’absence de vigueur de l’économie rurale confinée qui était celle de la région.

En 1183, l’évêque de la ville, Hugues de Noyers, prend la tête de la répression armée du mouvement égalitaire des Capuchonnés.

En 2005 et 2006, des campagnes de fouilles effectuées dans le quartier des Brichères ont permis de délimiter plus précisément l’occupation médiévale du xiie siècle.

Il revient à Pierre de Courtenay, le plus illustre des comtes d’Auxerre, cousin germain de Philippe Auguste, d’achever la deuxième enceinte de la ville. À peine élu au trône de Constantinople, il meurt en 1218.

Sa fille, Mathilde, attache son nom à l’octroi des franchises communales. L’une des filles de Mathilde, par mariage, fait passer le comté d’Auxerre de la famille des Courtenay à celle des Chalon.

Lors de la guerre de Cent Ans, en janvier 1358, Anglais et routiers attaquent Auxerre et s’emparent de la ville par surprise le 10 mars 1358, la mettant en pillage. En 1348 et 1361, la peste noire ajoute ses ravages aux excès de brigandage.

Le vieux comte Jean IV de Chalon vend le comté au roi Charles V, par acte du 25 janvier 1370, moyennant 30 000 francs d’or. Par cette première réunion à la couronne, les Auxerrois deviennent bourgeois du roi. Mais la guerre des Armagnacs et des Bouguignons survenant, Auxerre prend le parti du duc de Bourgogne, Jean sans Peur. Une paix, plus ostentatoire que sincère, est signée à Auxerre le 22 juillet 1412. C’est Louis XI qui obtient la cession du comté d’Auxerre, cession régularisée en 1490. Entre-temps, les Auxerrois font leur soumission au roi, et Charles le Téméraire périt à Nancy en 1477. Le rattachement du comté d’Auxerre à la France est devenu cette fois définitif. Louis XI confirme également en janvier 1477 les privilèges de la ville et ordonne la création d’un bailliage.

 

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Au xxe siècle

Les guerres apportent à Auxerre leurs émotions et leurs deuils. Le 21 décembre 1870, le drapeau blanc est hissé au sommet de la cathédrale après un bombardement. Les bombardements allemands de 1940 entraînent la destruction d’une partie du quartier du Pont. En août 1944, la ville est libérée par les troupes du maréchal Leclerc. Deux monuments commémorent les morts et victimes de ces périodes néfastes (place de l’arquebuse et place Saint-Amatre). En août 1945, la 101e division aéroportée américaine (Screaming Eagles) y installe un camp (ainsi que dans les villes de Sens et de Joigny). Elle y restera jusqu’au 30 novembre de la même année, jour de sa démobilisation.

La commune de Vaux a fusionné avec Auxerre en 1972.

 

Culture et patrimoine

Article détaillé : Liste des monuments historiques d’Auxerre.

La ville a reçu le label Ville d’Art et d’Histoire en 1995. Son centre historique est classé comme secteur sauvegardé en quasi-totalité (67 hectares). Il comporte de très nombreuses maisons du Moyen Âge – notamment dans les quartiers les plus proches de l’Yonne, qui sont les plus anciens, de la Renaissance ainsi qu’un grand nombre de remarquables hôtels particuliers des xviie etxviiie siècle (vers l’église Saint-Eusèbe). D’après l’office de tourisme, l’impact des rencontres européennes footballistiques de l’AJA est notable. Beaucoup de touristes étrangers ont déclaré s’être arrêtés à Auxerre parce qu’ils avaient entendu parler de l’équipe de foot.

 

La ville d’Auxerre de plusieurs musées dont les principaux sont:

  • Musée Saint-Germain : installé dans l’ancienne abbaye du même nom, ce musée abrite les collections préhistoriques,gallo-romaines et médiévales de la ville d’Auxerre, ainsi que des expositions temporaires.
  • Musée Leblanc-Duvernoy : cette maison familiale réhabilitée en musée présente des tapisseries de Beauvais ainsi qu’une importante collection de grès de Puisaye et de faïences régionales ainsi que nationales.
  • Musée d’Histoire Naturelle : il présente des collections de paléontologie locale et des expositions temporaires. Le musée est dédié à Paul Bert
  • La Maison de l’Eau et de l’Environnement : installée dans une ancienne usine élévatoire des eaux construite en 1882 et remaniée en 1914, ce musée se consacre à des opérations de sensibilisation du grand public pour la préservation de l’environnement.

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Vignoble de l’Auxerrois

Article détaillé : Vignoble auxerrois.

Auxerre dispose d’un patrimoine viticole réputé dans le monde entier. Outre les vignes du Clos de la Chaînette, au centre de la ville, Auxerre est entouré de vignobles bourguignons parmi les plus fameux. Ils sont si célèbres, qu’on offre déjà du vin d’Auxerre aux fêtes du tournoi de Chauvency, en 1285 !

Le Vignoble Auxerrois : Bourgogne Côte d’AuxerreBourgogne Coulanges-la-VineuseBourgogne ChitryIrancy et Saint-Bris.


Le Vignoble de Chablis : Chablis Grand Crus, Premier Cru, Chablis, Petit Chablis

Le Clos de la Chainette, à Auxerre, est l’un des vignobles les plus anciennement attesté en France, puisque connu par les textes depuis le viie siècle. Propriété des moines de l’abbaye de Saint Germain jusqu’à la Révolution, il est reconnu depuis longtemps pour produire l’un des meilleurs vins de la Bourgogne. Actuellement près de six hectares sont cultivés en rouge et en blanc. Il faut attendre plusieurs années pour obtenir quelques bouteilles de vin prestigieux et rarissime. Ce vignoble est situé dans l’enclos de l’hôpital psychiatrique et certains patients participent au travail de la vigne.

Spécialités

La gougère.

Les escargots de Bourgogne.

Le bœuf bourguignon.

Les truffes de Bourgogne.

Le jambon à la Chablisienne

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Carnac en Morbihan

Posté par francesca7 le 10 février 2013

 

Carnac : Située en Bretagne Sud dans le département du Morbihan protégée par la presqu’île de Quiberon et baignée par les courants secondaires du Gulf Stream, Carnac bénéficie d’un climat particulièrement doux toute l’année.

 Carnac  est une commune française située dans le département du Morbihan et la région Bretagne.

La commune est connue pour ses alignements de 2 934 menhirs, ainsi que pour sa station balnéaire considérée comme l’une des plus attractives de la côte Atlantique.

Carnac est située sur la limite nord de Mor braz, sur la côte atlantique, entre le golfe du Morbihan à l’est et la presqu’île de Quiberon à l’ouest. C’est une commune littorale très vaste puisqu’elle occupe une surface de 3 271 hectares. L’altitude de la commune est faible, mais on rencontre de nombreuses buttes qui ont servi de repère pour la construction de monuments mégalithiques.

Le granit de Carnac des géologues forme l’essentiel du sous-sol. C’est une roche claire légèrement feuilletée, dans laquelle l’érosion a pu dégager des blocs tantôt massifs tantôt tabulaires, propices à la construction de monuments mégalithiques. 

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Histoire de Carnac

Le site de Carnac a probablement été occupé sans interruption depuis le Ve millénaire av. J.-C., bien que les datations précises fassent défaut.

Le tumulus Saint-Michel est construit entre 5000 et 3400 ans av. J.-C. (au Néolithique). À la base, il est long de 125 mètres, large de 60 mètres, et mesure 12 mètres de haut. Il a nécessité 35 000 mètres cubes de pierres et de terre. C’est un tombeau pour les membres d’une élite, il contenait divers objets funéraires pour la plupart exposés dorénavant au musée de préhistoire.

La chapelle érigée dessus, construite en 1663, a été détruite en 1923 pour être reconstruite à l’identique en 1926.

Les alignements mégalithiques auraient été érigés entre 4 000 et 2 000 ans av. J.-C., soit au Néolithique moyen ou final, mais on ignore toujours quel groupe culturel a construit ces alignements, et à quelle époque exacte.

Les alignements sont partagés en plusieurs groupes distincts. Les alignements du Ménec regroupent 12 rangées convergentes de menhirs qui s’étendent sur plus d’un kilomètre, avec les restes de cercles de pierres à chaque extrémité. Les pierres les plus grandes, à l’ouest, atteignent 4 m de haut ; leur hauteur moyenne décroit le long de l’alignement pour atteindre 60 cm de hauteur à l’extrême est. Ce schéma est répété dans les alignements de Kermario un peu à l’est. D’autres alignements plus petits parsèment le site, comme ceux de Kerlescan et du Petit Ménec.

Une légende dit que saint Cornély, poursuivi par des soldats romains, se retourna et les figea en pierres, appelées menhirs aujourd’hui.

4743.1099_menhirebis_zu_4_meter_hochvon_ostnachwest_in_1167_meter_langen_alignementsgranit-steinreihen_in_einem_halbkreis_endend_le_meneccarnac_departement_morbihanbretagne_steffen_heilfort dans MorbihanEn 1864, le quartier de la Trinité-sur-Mer et son port d’estuaire sont détachés de la commune, pour constituer une commune séparée. En 1865, la Trinité-sur-Mer devient également une paroisse distincte. En effet, les marins-pêcheurs jugeaient l’église Saint-Cornély de Carnac trop éloignée du port, et en réclamaient une à proximité.

Vers 1875, l’archéologue écossais James Miln (1819-1881) vient étudier le site et prend comme guide et aide Zacharie Le Rouzic (1864-1939). Après la mort de son mentor, Le Rouzic sera le gardien puis le conservateur du musée de la préhistoire et, bien qu’autodidacte, il deviendra un spécialiste internationalement reconnu des mégalithes de la région.

En 1903, une station balnéaire est créée sur d’anciens marais salants, elle se développe beaucoup dans les années 1950, faisant de Carnac une ville bicéphale : Carnac-ville et Carnac-Plage. En 1974, un centre de thalassothérapie voit le jour, bâti sur une partie des salines asséchées. Il reste encore quelques salines mais elles ne sont plus exploitées. En face d’elles s’est construit le casino de Carnac.

Évolution démographique de 1793 à 2009

1793

1800

1806

1821

1831

1836

1841

1846

1851

2 696

2 402

2 704

2 742

3 054

3 407

3 437

3 698

3 838

                 Évolution démographique de 1793 à 2009, suite (1)

1856

1861

1866

1872

1876

1881

1886

1891

1896

3 862

3 915

2 864

2 833

2 807

2 871

2 831

2 901

2 913

                 Évolution démographique de 1793 à 2009, suite (2)

1901

1906

1911

1921

1926

1931

1936

1946

1954

3 125

3 156

3 269

3 008

3 041

2 960

3 065

3 846

3 393

                   Évolution démographique de 1793 à 2009, suite (3)

1968

1975

1975

1982

1990

1999

2007

2008

2009

3 655

3 655

3 733

3 962

4 243

4 444

4 436

4 428

4 362

 

Sources – Nombre retenu jusque 1968 : base Cassini de l’EHESS et à partir de 1968 : Insee (population sans doubles comptes puis population municipale à partir de 2007) 

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Dans le Morbihan, Carnac est internationalement connue pour ses alignements de menhirs. Les vibrations de ce haut lieu du mégalithisme entrent en résonnance avec l’énergie de l’océan pour une thalasso inédite. Le centre Carnac Thalasso & Spa Resort, au cœur d’un domaine de 28 hectares, est unique en Europe. L’institut, le spa marin, le spa beauté, les deux hôtels et la résidence de tourisme sont entourés de salines.     
 
En savoir plus sur Thalasso Carnac

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Digne les Bains

Posté par francesca7 le 9 février 2013

Digne les Bains dans Alpes Haute Provence digne1

Mairie de Digne les Bains, Ville thermale et climatique des Alpes de Haute Provence. services de la mairie, activités évènements vie municipale.  


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 ce site : http://www.dignelesbains.fr/?page_id=173

 

 Exemple d’une belle visite :

La crypte archéologique de Notre-Dame du Bourg.

Rue du Prévôt – Quartier du Bourg
04000 Digne-les-Bains
Tél. : 04 92 61 09 73 ou 04 92 31 67 77

Horaires et jours d’ouverture :
Après sa saison d’ouverture 2012 qui s’est terminée fin septembre, la CRYPTE ARCHÉOLOGIQUE DE NOTRE-DAME DU BOURG peut toujours se visiter lors des VENDREDIS DE LA CRYPTE : 18 et 25 janvier 2013, 8 et 22 février 2013, 8 et 22 mars 2013.

Visite guidée à 14 h, sur réservation à l’avance au 04 92 61 09 73 ou au 04 92 31 67 77. Tarif : 5 € par personne. Durée de la visite 1h30. Visites guidées pour les groupes et animations pédagogiques pour les scolaires sur réservation uniquement.

Tarifs :
Entrée : 4€
Gratuit le premier dimanche de chaque mois et pour les moins de 12 ans.
Groupes : en fonction du nombre d’inscrits et du type de réservation.

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Un site majeur en Europe …

Ouverte au grand public depuis le 1er juillet 2010, la crypte archéologique divulgue de fabuleuses découvertes issues de trois campagnes successives de fouilles conduites par le professeur Gabrielle Démians d’Archimbaud. Désormais la ville de Digne-les-Bains connaît l’emplacement exact de ses origines par la présence révélée de murs antiques du Ier siècle après Jésus-Christ correspondant à un espace urbain et l’implantation de trois édifices de religion chrétienne allant du Ve siècle au XIe siècle. Le tout à proximité et sous la cathédrale actuelle de Notre-Dame du Bourg dont la restauration a été effectuée par l’architecte en chef, Francesco Flavigny. Trente ans de travaux et de recherches ont été nécessaires pour la consolidation de l’édifice du XIIIe siècle et la réalisation de ce musée occupant 870 mètres carrés.  Un travail titanesque au résultat superbe. À découvrir !

Cette édition du Passeport des musée est valable pour 2 adultes et de manière illimitée dans le temps à compter de la première visite payante à plein tarif ou à tarif réduit s’il y a lieu. Il permet ensuite de découvrir des musées et sites culturels au tarif réduit Passeport dans les sites dont l’entrée est payante. Les 4ème, 8ème et 12ème visites sont gratuites. Les réductions qu’il offre ne sont pas cumulables avec d’autres formes de réduction. N’oubliez pas de faire tamponner votre passeport à chaque visite !

 

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Pour plus d’informations, télécharger ici le Passeport Musées 2012.

 

 

 

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Histoire de Beaune

Posté par francesca7 le 7 février 2013

Histoire de Beaune dans Côte d'Or beaune

 

La charte des privilèges de Beaune : 1203

La charte de franchise de la commune de Beaune confère à ses habitants droits et privilèges. Eudes IIIduc de Bourgogne, permet à Beaune d’exister en tant qu’institution autonome dès 1203sur le modèle de Dijon. Cette charte est conservée aux Archives municipales de Beaune.

Fondation des Hospices de Beaune en 1443

En 1422, Nicolas Rolin fut nommé chancelier de Philippe le Bonduc de Bourgogne. Il fut très lié à Jean sans Peur, qui fut le parrain de son troisième fils. Veuf, il épouse en 1421, Guigone de Salins issue de la noblesse comtoise, avec qui il fonde lesHospices de Beaune, en 1443, où il crée en 1452 un nouvel ordre religieux : Les sœurs hospitalières de Beaune. C’est lui qui commande le polyptyque du Jugement dernier au peintre flamand Rogier van der Weyden, pour les hospices.

Révolte de Beaune et ralliement à Marie de Bourgogne en 1477

Les États de Bourgogne reconnaissent Louis XI comme souverain le 29 janvier 1477, à la mort de Charles le Téméraire. Avec l’occupation de la Bourgogne, par l’armée royale conduite par Jean IV de ChalonGeorges de la Trémoille et Charles d’AmboiseBeaune se rallient à Marie de Bourgogne, contre le roi de France Louis XI. Les révoltes de Beaune, ainsi que Semur-en-Auxois,Châtillon-sur-Seine sont rapidement étouffées. Cependant, le roi confirme finalement les privilèges de la ville par ses lettres patentes en octobre 1478.

Les guerres de Religion

  • Henri II accompagné de son épouse Catherine de Médicis parcourt son royaume et fait une entrée fastueuse à Beaune le 18 juillet 1548. Le maire était Girard Legoux.
  • Charles IX accompagné de sa mère Catherine de Médicis, venant de Dijon, entre dans la ville le 30 mai 1564 lors de son tour de France royal (1564-1566), accompagné de la Cour et des Grands du royaume : son frère le duc d’AnjouHenri de Navarre, les cardinaux de Bourbon et de Lorraine : ils reçoivent un accueil triomphal.
  • En 1568, Wolfgang de Bavière, financé par Élisabeth Ire d’Angleterre prend la tête d’une armée expéditionnaire de 14 000 mercenaires pour apporter des renforts aux protestants français assiégés à La Rochelle. Dans sa traversée de la Bourgogne, ses troupes composées de reîtres, cavalerie lourde équipée de pistolets, ravagent la Franche-Comté et restent deux jours devant les murailles de Beaune et y détruisent les chartreux, avant de continuer leur route.
  • Le 15 avril 1575, on exécuta à DijonFrançois de Lespine et sa tête coupée fut plantée sur une pique, au-dessus de l’Hôtel-de-ville de Beaune, le 18. Il fut reconnu coupable de comploter en vue de livrer Dijon et le château de Beaune aux huguenots.
carte-postale-postcard-1914-1918-beaune-rue-des-tonneliers-et-hopital-auxiliaire-street-of-the-wet-coopers-and-auxiliary-hospital-300x197 dans Côte d'Or

Le grand hiver de 1709

De fortes pluies s’abattent sur l’été 1708 et nuisent à la récolte annuelle, et le 2 janvier 1709 lorsque la pluie se met à tomber, immédiatement suivie d’un vent glacial : un hiver exceptionnel commence. Le vent qui souffle jusqu’au 25 janvier, sans que la neige ne soit venue protéger les cultures, anéantit les semailles et les arbres fruitiers, altère les vignes et gèle les cours d’eau. La Bouzaise est gelée en deux heures. Même le vin tourne en glace dans les bouteilles et les tonneaux. Les oiseaux et les volailles ne survivent pas à ce froid polaire. Pour sauver les vagabonds, les voyageurs et les indigents, des feux publics sont allumés. Après une courte période de répit accompagnée par la pluie, la neige tombe à partir du début du mois de février, et lorsque celle-ci fond les rivières débordent et inondent la campagne. Le soleil apparaît au mois d’avril, redonnant vie aux champs, et apportant de la chaleur aux habitants, mais une pluie verglaçante vient détruire les semences jusqu’aux racines.

Les conséquences de ce Grand Hiver sont désastreuses pour la population. Les habitants s’attendent à une grande famine, ce qui crée un sentiment général de panique. On craint les accapareurs, on s’oppose à libre circulation des blés. Pour calmer les tensions, le conseil municipal décide de bloquer toutes les provisions de blé et de les recenser pour mieux les gérer et les distribuer. Mais des émeutes ont lieu à Pommard où les habitants s’opposent à la réquisition de leur stock, alors que Beaune se constitue une réserve, alors que les récoltes de blés et les vendanges sont quasi inexistantes en 1709.

Beaune, sous-préfecture de la Côte-d’Or en 1790

Le département de la Côte-d’Or a été créé le 4 mars 1790 par l’Assemblée constituante à partir de l’ancienne province de Bourgogne.

Occupation de Beaune par l’armée autrichienne en 1814

En février 1814, 6000 hommes sont à Beaune sous les ordres du baron de Scheither qui conduit les opérations dans le Sud-Est de la France, pour prendre Chalon-sur-Saône aux troupes de Napoléon, pendant la campagne de France de 1814, où Napoléon tente d’empêcher l’invasion de la France par la Sixième Coalition.

Création de l’École pratique d’Agriculture et de Viticulture, la « Viti » en 1884

En 1881, la commission des Hospices de Beaune met en place un projet pour transformer son école horticole en école de viticulture. Le projet soutenu par la municipalité et le département voit le jour en 1884 comme l’École pratique d’Agriculture et de Viticulture de Beaune. C’est le député Sadi Carnot qui intervient auprès du ministre de l’agriculture, en mars 1884, pour faire de ce projet, une priorité nationale et l’arrêté de création paraît le 25 octobre. L’école est destinée à former des chefs de culture et une instruction professionnelle aux fils de viticulteurs. L’entrée de l’école se fait alors sur concours, et accueille 30 élèves la première année, pour un cycle de 3 ans d’études. En 1962, avec la transformation de l’enseignement agricole, « la Viti », devint un Lycée agricole : le Lycée viticole de Beaune.

L’hôpital militaire américain de 1918-1919

  • Lors de la Première Guerre mondiale, Beaune devient l’une des bases arrière du corps expéditionnaire américain (A.E.F.) et de ses 2 millions d’hommes en France. En 1918, l’hôpital militaire américain est construit aux portes de la ville, avec 20 000 lits il sera l’un des plus importants en Europe.
  • L’hôpital sera transformé après l’armistice en Université américaine, par l’A.E.F. pour former les soldats qui ne peuvent pas rentrer immédiatement aux États-Unis, dans les forces d’occupation de l’Allemagne. L’ »A.E.F. University of Beaune » ouvre de février à juin 1919 avec 15 000 militaires étudiants américains qui y suivent une formation et sa faculté de 600 enseignants et personnels. L’A.E.F. University de Beaune avait un collège d’agriculture avec 2500 étudiants dans une ferme de 13 hectares a Allerey, et une branche de 1 000 étudiants, dans un collège d’art et d’architecture situé au château de Bellevue près de Versailles. Près de 30 000 ouvrages furent rassemblés dans sa bibliothèque et seront ensuite donnés à la bibliothèque municipale de Beaune. L’université fut dirigée par John Erskine, professeur d’anglais à l’université Columbia de New York, qui fut chargé de l’organisation de cette université militaire avec le colonel Ira Reeves.
  • À la fin de la Seconde Guerre mondiale, la ville est libérée par le 2e régiment de cuirassiers du colonel Durosoy, venue par Chalon-sur-Saône et Bligny-lès-Beaune le 8 septembre 1944. Unodonyme local (avenue du Huit-Septembre-1944) rappelle cet évènement. Les forces françaises se heurtent à de fortes défenses antichar, qui causent des pertes au 3e Escadron, et ne peut entrer dans la ville que le lendemain.

A.E.F. University of Beaune en 1919

Libération de Beaune en 1944

Viticulture

images-1Beaune est considérée comme la capitale des vins de Bourgogne. Au nord, au sud et à l’ouest de la commune s’étend la Côte de Beaune sur laquelle se trouvent nombre d’appellations qui comptent parmi les plus prestigieuses des vins de Bourgogne. Elle représente une superficie de 5 980 hectares, soit un peu moins d’un quart du vignoble de Bourgogne. Elle regroupe 20 AOC communales et 331 climats classés en premier cru.

De nombreux producteurs et négociants en vin sont implantés à Beaune. Chaque année depuis 1851, les Hospices de Beaune organisent une vente aux enchères de charité de ses production, qui bénéficie aujourd’hui d’une portée internationale. Enfin, le Bureau interprofessionnel des vins de Bourgogne (BIVB), qui fédère les viticulteurs et les négociants en vin, est domicilié à Beaune.

En outre, Beaune possède sa propre appellation d’origine contrôlée, le beaune. Cette appellation compte 411,7 hectares en superficie avec une très forte majorité de vins rouges. En couleur la répartition donne 362,74 hectares de vins rouges (dont 281,49 ha en premier cru) plantés en pinot noir et 48,96 hectares en vins blancs (dont 36,06 ha en premier cru) plantés en chardonnay. Sur le volume total, cela donne 13 540 hectolitres (dont 10 322 hl en premier cru) pour les vins rouges et 2 368 hectolitres (dont 1 761 hl en premier cru) pour les vins blancs.

Cependant en plus de l’AOC Beaune, d’autres vins peuvent légalement y être produits comme : le Bourgogne aligoté, le Bourgogne, le Bourgogne Passe-tout-grains et les Coteaux Bourguignons.

Écologie

Le tri sélectif et l’usage de composteur sont entrés dans les mœurs. Des pistes cyclables facilitent la circulation des vélos. Les jardins publics sont aménagés pour favoriser les pratiques propices à l’environnement : non implantation de gazon pour éviter les tontes, pose de caillebotis pour préserver le sol, limitation des traitements. Une usine de traitement des eaux permet d’éliminer les produits phytosanitaires liés à la vigne. L’entreprise Sécula spécialisée dans le traitements des déchets a su exporter son savoir faire à l’étranger. La commune a mis en place un programme de rénovation de l’éclairage public, qui lorsqu’il sera achevée en 2012, permettra une baisse de consommation d’énergie de 47 %.

Lieux et monuments

Beaune est classée Ville d’Art et d’Histoire. Pas moins de 34 monuments y sont classés ou inscrits à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques.

24 Heures de Beaune

Cette manifestation est une course de vélos originaux se déroulant sur vingt-quatre heures. Elle est organisée sur un weekend du mois de mai. Originellement du samedi au dimanche, le départ et l’arrivée se faisaient à 16 heures, depuis 2010 elle se déroule désormais du vendredi au samedi, le départ et l’arrivée se font à 20 heures.

Les vélos sont des tandems à trois roues (deux roues avant et une roue arrière) et sont généralement décorés de plaques en carton peintes.

Deux prix sont remis à l’issue de la course : Le prix du vainqueur, pour l’équipe qui a remporté la course, et le prix du plus beau vélo. Les équipes participantes ont donc le choix de concourir pour la victoire sportive ou pour l’effort artistique. Ces deux objectifs sont généralement exclusifs, l’ajout de structures décoratives alourdissent les vélos, et sont un frein évident à l’aérodynamisme, à la maniabilité, et donc à la compétitivité sportive. Des prix sont également remportés par catégories (hommes, femmes, mixtes, jeunes), ainsi que pour le fair-play, et la décoration des stands de chaque équipe.                                        

UN SITE à Visiter ici ……  

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