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    La France, je l'aime corps et biens, en amoureux transi, en amant comblé. Je la parcours, je l'étreins, elle m'émerveille. C'est physique. Pour l'heure, c'est le plus beau pays du Monde, le plus gracieux, le plus spirituel, le plus agréable à vivre. En dépit de ses défauts, le peuple français a des réserves inépuisables de vigueur, d'astuce et de générosité. j'écris cela en toute connaissance de la déprime qui périodiquement enténèbre nos compatriotes. Ils ont une pente à l'autodénigrement, une autre au nihilisme. Je suis français au naturel et j'en tire autant de fierté que de volupté. J'ai pour ce vieux pays l'amour du preux pour sa gente dame, du soudard pour la servante d'auberge, de l'érudit pour ses grimoires, du paysan pour son enclos, du bourgeois pour ses rentes, du croyant des hautes époques pour les reliques de son saint patron... J'ai la France facile, comme d'autres ont le vin gai ; je l'ai au coeur et sous la semelle de mes godasses. Je suis français, ça n'a pas dépendu de moi et ça n'a jamais été un souci. Ni une obsession. Toujours un bonheur...

    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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La Faune du Finestère

Posté par francesca7 le 26 septembre 2013

La Faune du Finestère dans FAUNE FRANCAISE 220px-ouessant.-.ruine-phareL’isolement dû à l’insularité a favorisé l’émergence d’espèces endémiques, caractérisées par leur relatif nanisme. Si les chevaux nains d’Ouessant, race caractérisée par son nanisme, ont disparu, l’île possède toujours, même si elle a été menacée de disparition, sa propre race ovine, le mouton noir d’Ouessant, considérée comme la plus petite espèce de moutons au monde. Une association « Les Amis du mouton d’Ouessant » cherche à pérenniser la race.

« Il existait jadis une race de moutons nains. Elle tend à disparaître, comme a disparu une race également naine de chevaux. (…) Pendant l’hiver, ils sont libres. Pendant les quelques mois de la récolte, comme on ne peut pas les parquer comme à Molène dans un îlot, on les entrave. Ce sont les gamins qui ont mission d’aller les changer de place. Seulement les gamins, ça oublie. Alors de temps en temps on retrouve un mouton étranglé. Ces moutons en liberté, comment s’y reconnaître ? Chaque famille a une marque déposée, enregistrée à la mairie, une combinaison de trous dans l’oreille, et chacun reconnaît les siens. Ceux qui n’ont pas de marque sont présentés trois fois de suite au printemps, à la sortie de la messe. Si l’on ne retrouve pas leur propriétaire, on les vend au profit du bureau de bienfaisance. L’hiver, le vent cavalcade sur la falaise. Alors, on a fabriqué des abris à moutons : à hauteur de mouton, un noyau de pierres avec trois petits murs rayonnant en étoile. Selon la direction du vent, les moutons se tassent, pour dormir sous la lune, dans l’un ou l’autre des trois crans. »

 

Autrefois, les moutons étaient laissés en liberté du 15 juillet au 15 mars, puis le troupeau était parqué dans la presqu’île d’Ar Lan jusqu’à la Saint-Michel, pour éviter que ces animaux ne ravagent les champs avant les récoltes. Chaque année encore, au début du mois de février, tous les moutons de l’île d’Ouessant rentrent au bercail. Deux foires aux moutons sont organisées pour que les propriétaires viennent les récupérer, l’une à Pors Gwen pour les moutons de la moitié sud de l’île, l’autre dans le nord de l’île.

Mouton d'OuessantL’insularité a aussi favorisé le maintien d’espèces disparues ou en voie de disparition sur le continent. Ouessant est ainsi devenu le sanctuaire de l’abeille noire : cette espèce, qui avait presque disparu de France, est bien conservée dans l’île, milieu préservé des pollutions et des pesticides et à l’abri du varroa. Cette race d’abeilles a presque disparu du continent, remplacée par l’abeille jaune. L’association « Conservatoire de l’Abeille Noire Bretonne » protège, sauvegarde et développe cette race d’abeilles et vise à la réintroduire dans tout le Grand Ouest français.

 Par ailleurs, Ouessant et l’archipel de Molène abritent une colonie de phoques gris, qui est la plus méridionale d’Europe, principalement à la Pointe de Cadoran, sur la côte nord d’Ouessant, ce qui s’explique par les forts courants marins qui homogénéise la température de l’eau de mer, qui ne dépasse guère 15 degrés, les phoques gris ne supportant pas une température plus élevée.

Ouessant est aussi une terre d’accueil pour observer à l’automne les migrations des oiseaux sibériens et de nombreuses espèces exotiques, parmi lesquelles le pouillot à grands sourcils, le gobe-mouche nain, le bécasseau tacheté, la grive mauvis, le goéland à bec cerclé, le pipit de Richard, le chevalier grivelé, le phragmite des joncs, le traquet motteux, le grand gravelot, les sternes, les pétrels, les puffins et les fous de bassan.

 

 

Publié dans FAUNE FRANCAISE, Finistère | Pas de Commentaire »

Le Finistère, la Bretagne à l’état brut

Posté par francesca7 le 22 septembre 2013

Le Finistère, la Bretagne à l'état brut dans Bretagne 170px-costume_traditionnel_bretagne_couple_grandÀ l’époque antique le Finistère était habité par le peuple gaulois armoricain des Osismes (Celtes). Après la conquête romaine le territoire relevait de la province de Gaule lyonnaise. Le chef-lieu des Osismes fut installé à Vorgium (l’actuelle Carhaix). À la fin du iiie siècle fut construit à Brest un castrum pour se protéger des pirates scots, saxons et frisons. Un siècle plus tard, il fera partie du système de défense et de contrôle de la Manche mis en place par le gouvernement impérial, le Tractus Armoricanus et Nervicanus.

Le territoire des Osismes aurait été concédé aux Bretons par l’empereur Maximus à la fin du ive siècle. Augmenté de celui des Coriosolites, il formera la Létavie, bientôt appelée Nouvelle Bretagne ou Petite Bretagne. Ce berceau de la Bretagne continentale fut divisé en deux royaumes, la Cornouaille et la Domnonée qui avaient leurs correspondants insulaires. Ces royaumes doubles d’un côté à l’autre de la Manche étaient vraisemblablement régis par les mêmes dynasties à l’origine. Le Broërec (l’actuel département du Morbihan) se détacha de la Cornouaille et le Léon se détacha du royaume de Domnonée.

Le royaume de Cornouaille devint un comté sous l’influence franque avant de se fondre dans le domaine ducal de Bretagne lors de l’accession de la dynastie comtale au trône ducal en 1066.

Le Léon reste sous l’autorité de ses vicomtes, quoique fort écornée par les ducs Pierre Mauclerc et Jean le Roux. Les Rohan héritent du Léon par mariage. Le titre de prince de Léon est encore porté aujourd’hui par le fils de l’actuel duc Josselin de Rohan (c’est bien sûr un titre de courtoisie).

Le département est créé à la Révolution française, le 4 mars 1790 en application de la loi du 22 décembre 1789, à partir de la partie la plus occidentale de l’ancienne province de Bretagne. Il comprend l’ouest de l’évêché de Cornouaille, l’intégralité du Léon et le tiers ouest du Trégor, ainsi qu’un petit bout du Broërec ou Vannetais : communes de Rédené, Arzano et Guilligomarc’h situées à l’est de Quimperlé. Par ailleurs le département s’est agrandit en 1857, aux dépens du département voisin du Morbihan, en annexant la commune de Locunolé. Ce sera l’unique modification territoriale du département, après sa création, bien que d’autres communes réclameront en vain leur rattachement au Finistère pour des raisons à la fois géographiques, linguistiques et historiques. Ce sera notamment le cas des communes de l’ancienne sénéchaussée de Gourin : Gourin, Le Faouët, Guiscriff etc., qui dépendaient sous l’Ancien Régime de l’évêché de Cornouaille. La création du département ne s’est pas fait sans heurts, notamment pour le choix du chef-lieu, les deux villes de Landerneau et de Quimper s’étant toutes les deux portées candidates.

Le coup d’État du 2 décembre 1851 de Napoléon III est largement soutenu dans le Finistère, département catholique, conservateur et monarchiste ; il fait même partie des quatre départements où aucun opposant n’est arrêté.

A l’extrémité ouest de la France, le Finistère offre un littoral sauvage magnifique et un arrière-pays rural typique de la Bretagne.

De ses paysages de carte postale de la Pointe du Raz à sa mystérieuse forêt de Huelgoat, le département breton dévoile une nature authentique et préservée.

Prendre l’air du large sur Ouessant ou à Bénodet, déambuler dans les ruelles de Locronan ou dans le Vieux-Quimper ou encore s’offrir une balade aux Monts d’Arrée et assister à la fête de la mer de Brest seront autant de façons de découvrir l’âme finistérienne. Mais il faudra certainement plus d’un séjour pour voir tout ce que réserve le Finistère. Amoureux du Finistère ? | 

Les habitants du Finistère sont les Finistériens. Le Finistère était déjà peuplé au néolithique comme en atteste la présence de nombreux mégalithes et menhirs. Entre le ive et le viie siècle il y eut plusieurs vagues migratrices des Bretons insulaires vers l’Armorique suite à la désorganisation de l’Empire romain et aux invasions des Saxons et des Angles. Ils se mêlèrent aux populations locales présentes sur place. Par la suite la population du Finistère demeura isolée des autres populations à cause de son particularisme linguistique et de la position du Finistère à l’extrémité d’une péninsule. La francisation des Finistériens et le désenclavement de la péninsule grâce aux moyens modernes de transport contribueront à faciliter le brassage ethnique avec les habitants d’autres régions.

220px-Jamaica_Inn2 dans FinistèreBeaucoup de Finistériens ont été obligés de s’expatrier pour trouver un travail à partir des années 1850. La région parisienne ainsi que les grandes villes de l’ouest de Rennes et de Nantes et les ports du Havre et Toulon ont constitué les destinations favorites. Aujourd’hui les Finistériens tendent à vouloir revenir de plus en plus souvent dans leur département d’origine. La région parisienne où les prix de l’immobilier sont élevés attire de moins en moins.

La majeure partie de la population vit dans les villes. Le taux d’urbanisation de la population atteint en effet 73 %. Brest compte environ 210 000 habitants pour son agglomération et Quimper environ 80 000 habitants. La population se concentre dans les zones proches du littoral tandis que l’intérieur des terres (régions des monts d’Arrée et des montagnes Noires) est largement sous-peuplée et a vu sa population fortement décliner au cours du siècle dernier en raison d’un important exode rural. Le département compte 893 914 habitants au 1er janvier 2009. Il est l’un des plus peuplés de France et se classe à la 24e place pour le nombre d’habitants.

Évolution de la population

1800

1806

1821

1831

1836

1841

1846

1851

1856

439 046

452 895

483 095

524 396

546 955

576 068

612 151

617 710

606 552

 

Évolution de la population, suite (1)

1861

1866

1872

1876

1881

1886

1891

1896

1901

627 304

662 485

642 963

666 106

681 564

707 820

727 012

739 648

773 014

 

Évolution de la population, suite (2)

1906

1911

1921

1926

1931

1936

1946

1954

1962

795 103

809 771

762 514

753 702

744 295

756 793

724 735

727 847

749 558

 

Évolution de la population, suite (3)

1968

1975

1982

1990

1999

2009

2010

-

-

768 929

804 088

828 364

838 687

852 418

893 914

897 628

-

-

 

Le paysage du Finistère est profondément marqué par son patrimoine religieux. La campagne est parsemée de croix et de chapelles. Les bourgs possèdent des églises renfermant bien souvent des trésors.

 

 

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A Pont-Croix en Finistère

Posté par francesca7 le 22 février 2013

Pont-Croix (Finistère)

 

A Pont-Croix en Finistère dans Finistère 280px-pont-croix_goyen

 

 Pont-Croix (en breton : Pontekroaz) est une commune française, située dans le département du Finistère et la région Bretagne.

La ville est bâtie en forme d’amphithéâtre et se développe dès le XIe siècle. Elle a vu au cours de son histoire s’affairer une population d’artisans, de gens de robe, de marchands opulents qui commerçaient par mer avec l’Espagne. PONT-CROIX reste une ville animée les jours de foires et de marchés. Son activité est étroitement liée à l’agriculture. PONT-CROIX , petite cité de caractère, est chef-lieu de canton : 12 communes au total. Capitale du Cap Sizun composé de villes connues telles Audierne, Ile de Sein, Plogoff avec son site de la Pointe du Raz.

A mi-route de Quimper (32 km) et de la Pointe du Raz (25 km) En 1997, PONT-CROIX comptait 1762 habitants. Comme en bien des communes de Bretagne et pour les mêmes raisons, les chiffres actuels de peuplement accusent une baisse assez importante par rapport au début du siècle (2025 habitants). Depuis 1992, PONT-CROIX est jumelée avec une petite ville de la Cornouailles anglaise : Contantine-Gweek. De nombreux échanges ont lieu, d’une part entre les familles pontécruciennes et celles de Constantine et d’autre part entre le collège de la ville et nos correspondants anglais.

De nombreux artistes et artisans ont choisi de vivre à PONT-CROIX (peintres, sculpteurs, potier, artisan du cuir…). Sans compter les nombreux peintres amateurs et professionnels qui y trouvent maintes inspirations pour leurs toiles. (voir le concours de peinture et de dessin du 15 Août).

Pont-Croix et plus généralement le Cap a toujours beaucoup inspiré les peintres. Il en est venu de célèbres tels que Matisse en 1895, Désiré Lucas, Max Jacob, Emile Simon.. Tous ces artistes étaient très bien accueillis au Cap. La propriétaire de l’Hôtel des Voyageurs, à Pont-Croix, qui était Mme Gloaguen dans les années 30, jouait un peu le même rôle que  » Marie Poupée  » à Pont-Aven… D’autres artistes fréquentaient l’Hôtel Poupon (famille de Vonnick Caroff). On pouvait les rencontrer en arpentant les petites rues escarpées ou sur la place du marché…

640px-pont-croix_grande_rue_chere_3-300x225 dans Finistère

Histoire

La civilisation gallo-romaine a laissé une trace importante dans les vestiges de la villa de Kervénenec (découverte de mosaïques) à l’ouest. Une voie dite romaine a donné un tracé rectiligne à une route prenant en écharpe le plateau qui domine la ville sur un itinéraire qui joignait Quimper à la Pointe du Van. S’il n’y a pas trace de fortifications, la tradition a gardé le souvenir du quadrilatère de rues dénommé le « Tour du Chastel » indiquant l’emplacement au milieu de la ville moderne de l’ancien château du Moyen Âge.

L’emplacement de Pont-Croix qui en fait un lieu stratégique à la jonction du Cap Sizun, dont elle est la capitale, et du Pays Bigouden, lui confère un rôle commercial et administratif majeur, car elle est à la fois le lieu de foires réputées et le siège d’une sénéchaussée. Elle héberge de nombreux membres des professions judiciaires, procureur, notaires, sergents de justice, dont une partie est au service des propriétaires de terres nobles. Elle a le statut apparent d’une ville, mais pas les attributs attachés, puisqu’il n’y aura pas de communauté de ville sous l’Ancien Régime et que malgré la superficie remarquable de son église et l’importance du clergé attaché, la paroisse restera un trève de Beuzec-Cap-Sizun jusqu’en 1791.

La famille de Rosmadec originaire de Telgruc-sur-Mer finit par y acquérir la prééminence avant d’être portée aux plus hautes charges ducales et épiscopales au début du xvie siècle.

En 1590, l’aventurier Guy Éder de La Fontenelle s’empare de la ville à la tête d’une troupe de cavaliers. Comme les bourgeois qui n’avaient pu fuir s’étaient retranchés dans la tour de l’église, le chef brigand fit traîner dans celle-ci par des chevaux des fagots de bois pour allumer un feu et déloger les assiégés en les enfumant et prendre les biens qu’ils avaient cru mettre à l’abri. Selon la tradition, les massacres perpétrés par les reîtres auraient fait dévaler des flots de sang sur les pavés pentus de la Grand rue Chère.

Au XVIIe, elle devient le siège de la subdélégation de l’Intendance royale, mais voit Audierne qui est à l’embouchure du Goyen, commencer à la concurrencer dans le commerce maritime.
Au siège du Présidial, dit ensuite la « Maison commune », furent rédigés, en 1789, les cahiers de doléances, « pardevant Louis Tréhot de Clermont, Sénéchal et Premier Juge Civil et Criminel de la Juridiction ». Celui-ci siègera comme député suppléant du Tiers-État aux États-Généraux, puis à l’Assemblée constituante.
La ville devient chef-lieu de district de 1790 à 1795.

Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de Pont-Libre.
En 1823, dans les bâtiment de l’ancien couvent des Ursulines, est créé le petit séminaire dont l’emprise constitue un espace clos à l’ombre de la flèche élancée de l’église qui inspire l’architecte diocésain Joseph Bigot pour les flèches de la cathédrale Saint-Corentin de Quimper (1856).

Le petit séminaire sert aussi de collège-lycée privé placé sous le vocable de Saint-Vincent et contribue à former une partie des élites locales. Au {XIXe, le port est doté d’un quai en pierre, mais est handicapé par la marée et l’envasement qui limitent la taille des bateaux de charge, tandis que la ville devient un îlot républicain qui se donne au parti radical-socialiste. Le commerce de gros s’y installe, ainsi que se renforce la présence des artisans, des notaires et des commerçants. Des hôtels de tourisme sont construits à la fin du siècle et on inaugure le chemin de fer départemental à voie étroite qui fait se rejoindre les lignes de Douarnenez à Audierne (le train youtar) et de Pont-l’Abbé à Pont-Croix (le train carottes).

315px-Pont-Croix_MarquisatLe xxe siècle voit un affaiblissement de la position de la ville dont la population décline après 1950, mais se stabilise autour de 1 700 habitants à la fin du siècle.

Le développement relatif du tourisme ne compense pas la perte du rôle commercial aggravée par le lancement d’un pont entre Audierne et Plouhinec en 1933. En 1946, le vieux quartier outre-Goyen de Keridreuff est annexé par Pont-Croix aux dépens de Plouhinec, commune encore très rurale bien que beaucoup plus peuplée. La même année, la municipalité décide de faire démolir les anciennes halles, couvertes en charpente, pour cause de vétusté. La gare est fermée en 1947.

Le développement du tourisme de masse renforce la position de petit centre commercial jusqu’aux années 1960, mais un déclin progessif des fonctions de centralité atteint la ville jusqu’à la fin du 20e siècle.

Dans la nuit du 27 octobre 2006, le Petit Séminaire et ancien collège a été victime d’un violent incendie ravageant plus de la moitié des bâtiments.

Il y a eu des écrivains aussi : Gustave Flaubert, Maxime du Camp, François Coppée, Octave Mirabeau, Guy de Maupassant, André Theuriet… Par ailleurs, nous pouvons citer plusieurs films cinématographiques tournés à PONT-CROIX :

  • « La merveilleuse visite » de Marcel CARNE
  • « Vos gueules les mouettes » de Robert DHERY
  • « Le cheval d’orgueil » de Claude CHABROL, d’après le livre de Pierre-Jakes Hélias
  • « Le quincailler amoureux » épisode du téléfilm « Les cinq dernières minutes » avec Daniel Prévost et Pierre Santini. Episode tourné durant l’été 1995.
  • « Des croix sur la mer » film tourné en Juin 2000 sur les pavés de l’église. Il s’agit d’un film tiré du livre de Jean-François COATMEUR : l’action se passe à la fin de la guerre 1939-1945, avec flash back sur les 4 années de la guerre.

Si vous passez à PONT-CROIX, les sites incontournables :

  • la collégiale
  • les rues « chère » : rues pittoresques en escalier, reliées par la rue des Courtils (rue des remparts)
  • les quartiers des vieux moulins : Pen Ar C’Han, Pont de Keridreuff avec son moulin à marée
  • le vieux port de Pennanguer et le jardin de plantes médicinales
  • les lavoirs, les fontaines
  • les maisons chargées d’histoires et les vieilles maisons en pierres apparentes
  • une visite aux nombreux artistes et artisans présents au fil des rues et ruelles typiques.

VISITER LE SITE 
www.pont-croix.fr.fm

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