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    St-Etienne Cathédral, Auxerre

    « La restauration est une opération qui doit garder un caractère exceptionnel. Elle a pour but de conserver et de révéler les valeurs esthétiques et historiques du monument et se fonde sur le respect de la substance ancienne et de documents authentiques. Elle s’arrête là où commence l’hypothèse, sur le plan des reconstitutions conjecturales, tout travail de complément reconnu indispensable pour raisons esthétiques ou techniques relève de la composition architecturale et portera la marque de notre temps. » citation Charte de Venise, art. 9, ICOMOS, 196.

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    « Un monument restauré traduit les connaissances, les ambitions, les goûts, non seulement du maître d’oeuvre mais aussi du maître d’ouvrage : c’est le vrai révélateur de l’appréhension des édifices par une génération donnée, qui leur permet de reconnaître pour sien un édifice centenaire. » citation de Françoise Bercé.

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    La France, je l'aime corps et biens, en amoureux transi, en amant comblé. Je la parcours, je l'étreins, elle m'émerveille. C'est physique. Pour l'heure, c'est le plus beau pays du Monde, le plus gracieux, le plus spirituel, le plus agréable à vivre. En dépit de ses défauts, le peuple français a des réserves inépuisables de vigueur, d'astuce et de générosité. j'écris cela en toute connaissance de la déprime qui périodiquement enténèbre nos compatriotes. Ils ont une pente à l'autodénigrement, une autre au nihilisme. Je suis français au naturel et j'en tire autant de fierté que de volupté. J'ai pour ce vieux pays l'amour du preux pour sa gente dame, du soudard pour la servante d'auberge, de l'érudit pour ses grimoires, du paysan pour son enclos, du bourgeois pour ses rentes, du croyant des hautes époques pour les reliques de son saint patron... J'ai la France facile, comme d'autres ont le vin gai ; je l'ai au coeur et sous la semelle de mes godasses. Je suis français, ça n'a pas dépendu de moi et ça n'a jamais été un souci. Ni une obsession. Toujours un bonheur...

    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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En piste pour Castelnaud-la-Chapelle

Posté par francesca7 le 12 février 2014

 

Dordogne Aquitaine

Le village de Castelnaud et son château.A une dizaine de kilomètres de Sarlat, Castelnaud-la-Chapelle surplombe le confluent entre la Dordogne et le Céou dans un panorama splendide faisant face à ses voisins de Beynac-et-Cazenac et de La Roque-Gageac. Connu pour ses deux châteaux, le château fort magnifiquement restauré abritant le Musée de la Guerre au Moyen Âge et le château des Milandes, ancienne propriété de Joséphine Baker, le village et son habitat périgourdin typique recèle lui aussi de nombreux atouts…

Castelnaud la Chapelle, classé parmi »Les Plus beaux villages de France »,dominant le confluent de la Dordogne et du Céou, caractérisé par sa disposition en terrasses que l’on gravit au grè des petites ruelles escarpées, est un village d’une richesse patrimoniale exceptionnelle. Ses maison très typiques, son monument aux morts, ses pigeonniers, ses points de vue, ses sentiers de promenades et des randonnées sans oublier ses falaises et ses rivières qui en font un lieu de prédilection pour les loisirs de plein air et le dépaysement. L’agriculture, l’artisanat, les commerces, la richesse de la vie associative et des loisirs assurent la vie et le renom de cette commune petit certes mais active et prospère.

 

Les premiers habitants…
Dans un univers primitif dominé par le règne végétal, minéral et animal, l’homme tente de survivre. Pour cela, il trouve un refuge avec les grottes à mi-hauteur des falaises du Comte situées à la confluence des vallées du Céou et de la Dordogne, elles soulignent l’importance du site dans le choix de l’homme.

Des millénaires plus tard…
Par sa situation géographique, contrôlant l’une des principales voies de communication fluviales et terrestres, les paroissiens de Castelnaud furent les premiers témoins d’un passé tumultueux et connurent bien des vicissitudes au cours des siècles dominés par les guerres.

Au XII° siècle, le château avec sont bourg castral apparaissent. Le XIV° siècle, c’est la guerre de Cent Ans où anglais et français se disputent ce site frontière entre deux royaumes. Après la peste de 1348, le XV° siècle est l’annonce d’une paix relative.

Castelnaud devient une place française et un développement démographique et économique s’instaure doucement. La famille de Caumont, seigneur de Castelnaud, bâtit pour y vivre le château des Mirandes (Les Milnades) moins austère que la forteresse. Le XVI° siècle est sous l’influence des guerres de religions. Le XVIII° siècle et sa Révolution française : le château est abandonné, les privilèges sont abolis, les paysans découvrent la liberté.

Les XIX° et XX° siècles agitent l’esprit des hommes : le transport par voies fluviales est supplanté par l’arrivée du chemin de fer. L’industrialisation s’introduit dans le monde rural. L’exode rural et les deux guerres mondiales conduisent à une désertification. Un tournant économique lié au tourisme est pris en 1947 lorsque le château des Milandes est racheté par Joséphine Baker.

 

PATRIMOINE
Eglise dans le bourg, chapelle des Milandes, église de Fayrac, la croix de la Mission, château de Castelnaud, château des Milandes, château de Lacoste, château de Fayrac, maisons nobles, site des falaises du Comte (30 grottes préhistoriques protégées mais non classées), cales, 3 moulins sur le Céou, cabanes, pigeonniers, fours à pain, calvaires, monument aux morts, fontaines, lavoirs et puits

 

Château de Castelnaud – Musée de la Guerre au Moyen Age

‘est le château le plus visité du midi de la France. Château fort construit sur un éperon rocheux. Magnifique panorama sur la vallée de la Dordogne. Entièrement consacré à l’art de la guerre au Moyen âge : collection d’armes et d’armures, restitutions grandeur nature de machines de guerre (magonneau, trébuchet, pierrière, bricole). Jardin d’inspiration médiévale, donjon meublé. Circuit de visite libre (multimédia, bornes interactives, maquettes). Visite guidée sur le thème de la guerre au Moyen Age en français, anglais et néerlandais, spectacles de marionnettes, essayage d’armures et de costumes, démonstrations de forge, tir au trébuchet, maniements d’armes et spectacle nocturne sont proposés au grés des saisons (vacances scolaires, ponts de mai, juillet, août et septembre), consultez le programme sur le site Internet : castelnaud.com.Librairie-boutique   spécialisée Moyen Age. Taverne en été. Fête de l’artillerie médiévale : samedi 27 et dimanche 28 mai.

Château des Milandes

Incontournable en Périgord ! La visite est une merveilleuse plongée dans la vie de château à l’époque de Joséphine Baker dont le destin reste hors du commun. Château du XV°. Individuels : visite avec brochure et commentaires audio. Spectacle de rapaces dans les jardins à la française. Brasserie (mi-avril/mi-octobre). Boutique. Parking gratuit. Animations pédagogiques de fauconnerie (enfants de 5 à 10 ans) pendant les vacances de Pâques.

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Jardins de Marqueyssac – Belvédère de la Dordogne

Le jardin le plus visité du Périgord, 6 km de promenades, visite libre, 150 000 buis centenaires. Panoramas exceptionnels sur la vallée de la Dordogne. Restaurant au salon de thé du château (avril à novembre). Activités réservées aux enfants pendant l’été, WE fériés, vacances scolaires : atelier bricolage « Curieux de nature », initiation escalade et Via Ferrata. Chasse aux oeufs de Pâques (sur résa.). Soirée aux chandelles tous les jeudis soir en Juillet/Août. Tourneur sur bois en saison. Librairie et Boutique de la nature. Pique-nique couvert.

24220 VEZAC
Tél. +33 5 53 31 36 36
Fax. +33 5 53 31 36 30
site web : www.marqueyssac.com
N�Siret : 40129143000023

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Les jardins de la Daille

Ancienne ferme quercynoise sur le causse. Pigeonnier avec toit en lauzes, fournil. Un jardin à l’anglaise au creux d’un terrain valloné et ouvert sur la campagne. En terrasses modelées par le terrain mixed borders, shrub borders, jardin entouré de murs en pierre sèche, tendance jardin de curé, jardin d’iris, basse cour, fournil, tonnelle, bassin. Goûters à déguster sous la tonnelle et visites du jardin à l’anglaise. Ouvert du 01/05 au 30/09 du vendredi au lundi inclus et jours fériés de 16h à 18/30. Label « Jardin remarquable ».

24250 FLORIMONT-GAUMIER
Tél. +33 5 53 28 40 71

 

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L’IMPRIMERIE EN EUROPE AUX XVe ET XVIe SIÈCLES

Posté par francesca7 le 1 novembre 2013


Les premières productions typographiques

et les premiers imprimeurs.

~*~

En dehors de l’intérêt que présente cet opuscule à tous ceux qui s’intéressent aux débuts de l’imprimerie, il offre une particularité curieuse qui réside dans sa confection même.

Depuis plus de quatre siècles la composition typographique a toujours été exécutée à la main. Ce qui faisait dire souvent à ceux qui ont discouru des choses de l’imprimerie que la typographie, en ce qui concerne spécialement la composition, était restée dans les limites que lui avaient assignées Gutenberg, Fust et Schœffer.
L'IMPRIMERIE EN EUROPE AUX XVe ET XVIe SIÈCLES dans Alpes Haute Provence yriarte02
Il était réservé au XIXe siècle – et les tentatives premières qui remontent presque au début de ce siècle se sont formulées plus nettement et ont abouti à de sérieux résultats dans ces vingt dernières années de donner une formule nouvelle à la composition typographique.

Jusqu’à cette heure le progrès le plus réel qui ait été réalisé dans la composition mécanique semble dû à la Linotype (machine qui compose, espace, justifie, fond et distribue), dont l’idée première appartient à James C. Cléphane, typographe à Washington et qui a été perfectionnée à la suite d’incessantes et patientes recherches par Mergenthaler.

La Linotype, véritable merveille de mécanisme, est appelée dans un prochain avenir à prendre dans l’imprimerie la place importante que lui assignent, dans notre siècle de vapeur et d’électricité, la rapidité de travail qu’elle donne et l’économie de temps et d’argent qu’elle permet de réaliser.

L’Imprimerie en Europe aux XVe et XVIe siècles a été, sauf les premières pages, entièrement composé par la Linotype, et la composition a été exécutée par un seul ouvrier en une journée de 10 heures.

C’est l’un des premiers travaux qui aient été exécutés en France, à l’aide de la Linotype. Les imperfections matérielles qu’on pourra rencontrer dans cet ouvrage sont inséparables des premiers essais. Mais déjà les résultats s’améliorent et sont de nature à satisfaire les esprits les plus rebelles.

En publiant ces notes chronologiques, nous devions au lecteur quelques éclaircissements sur la confection matérielle du volume et dégager ce point spécial qu’un ouvrage relatant les labeurs accomplis patiemment et péniblement par la main des ancêtres typographiques, il y a quatre siècles et plus, est aujourd’hui mis à jour presque automatiquement, grâce aux combinaisons ingénieuses et multiples d’une machine à composer.

AVANT-PROPOS
Le relevé chronologique des premières productions de la typographie en Europe et des noms des imprimeurs qui, les premiers, ont exercé l’art d’imprimer depuis Gutenberg (XVe siècle) jusqu’à la fin du XVIe siècle, nous semble devoir offrir quelqu’intérêt aux érudits et aux amateurs bibliographes.

Des monographies spéciales à certains pays ont été publiées et contiennent des indications plus ou moins étendues sur les origines de l’imprimerie dans telle ou telle partie de l’Europe, dans telle ou telle ville.

Mais nous ne pensons pas qu’un travail d’ensemble présentant les noms des premiers typographes en Europe et les titres des premiers ouvrages qui virent le jour du XVe au XVIe siècle ait été publié jusqu’ici.

Nous aidant des renseignements divers empruntés aux historiens de l’imprimerie, aux bibliographes, aux manuels et catalogues les plus complets, nous avons dressé un relevé aussi précis que possible, nous attachant à la reproduction fidèle des titres des ouvrages, dans leur orthographie souvent bizarre, complétant ces indications sommaires par des notes intéressantes touchant l’histoire de l’imprimerie.

Nous souhaitons que l’aridité apparente de ce travail qui nous a demandé de patientes recherches soit excusée et que ce modeste essai soit accueilli avec une indulgente faveur.
L. D.

FRANCE
________

220px-Buchdruck-15-jahrhundert_1 dans Ariège
ABBEVILLE (Somme), 1486.

L’imprimerie est exercée dans cette ville dès cette date. Jehan Dupré, l’illustre typographe parisien qui imprimait le « Missale » de 1481 confie à un artisan d’Abbeville, Pierre Gérard, les caractères et le matériel nécessaires a l’établissement d’une imprimerie considérable. Premier livre imprimé la « Somme rurale», complétée par Jeban Boutillier.

AGDE (Hérault), 1510.

Le premier livre paru dans cette ville, « Breviarium ad usum beatissimi protomartyris Agathi Diocaesis patroni », a été imprimé par Jehan Belon, qui avait également des presses à Valence en Dauphiné, sa patrie.

AGEN (Lot-et-Garonne), 1545.

On attribue l’introduction de l’imprimerie dans cette ville et l’impression du premier ouvrage à Antoine Reboul, qui fit paraître à cette date un ouvrage du célèbre César Frégose, devenu évêque d’Agen en 1550 : « Canti XI de le Lodi de la S. Lucretia Gonzaga di Gazuolo », etc.

AIX (Bouches-du-Rhône), 1552.

Le premier livre imprimé est un « Règlement des advocats, procureurs et greffiers et des troubles de cour », etc., par François Guérin. L’imprimeur est probablement Pierre Rest, ou Roux, bien que des privilèges aient été accordés en 1539 et 1545, aux libraires d’Aix, par François Ier, et que l’imprimeur de Lyon, Antoine Vincent, ait obtenu la permission pour trois ans (1536-39) d’imprimer les Ordonnances du pays de Provence.

ALBI (Tarn), 1529.

Le premier livre imprimé à cette date dans la quatrième des cités de l’ancienne Aquitaine est : « Sensuyt la vie et légende de madame saincte Febronie, vierge et martyre ». Le présent livre faict imprimer par Pierres Rossignol, marchât et bourgioys Dalby.

ALENÇON (Orne), 1530.

Le premier livre connu, « Sommaire de toute médecine et chirurgie », par Jean Gouevrot, vicomte du Perche, sort des presses de maistre Simon du Bois. A la fin du XVIe siècle et pendant tout le XVIIIe, une famille d’un nom très connu, les Malassis, fournit de nombreux imprimeurs à Alençon.

ANGERS (Maine-et-Loire), 1476.

C’est la cinquième ville de France dans laquelle ait pénétré l’imprimerie. Le premier ouvrage imprimé est la « Rhetorica nova » de Cicéron, qui dispute la priorité au « Coustumier d’Anjou », le plus ancien Coutumier français que l’on connaisse. La « Rhétorique » porte à la fin : « Audegani per Johanem de Turre atque Morelli impressores. »

ANGOULÈME (Charente), 1491.

Tous les bibliographes font remonter à cette date l’introduction de l’imprimerie dans cette ville par la publication de cet ouvrage : « Auctores octo Continentes libros videlicet », etc. etc. Le nom de l’imprimeur est inconnu. Au XVIe siècle, il faut citer parmi les imprimeurs la famille des Minières.

Lire la suite… »

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Le Bournat en Dordogne – village découverte

Posté par francesca7 le 26 février 2013

Le Bournat (Dordogne) :
un village en 1900

Le Village du Bournat, mémoire vivante de la vie rurale en Périgord, vous invite à venir vivre une
journée à l’ancienne en famille … Retrouver des émotions et des gestes oubliés, conjuguer les
plaisirs de s’amuser et s’instruire, rire et danser, déguster des mets d’antan et écouter des
histoires qui font rêver … A la fête foraine, manèges anciens et jeux d’hier font rire aux éclats les enfants 

Il est un village au cœur du Périgord Noir, où le temps s’est arrêté en 1900.
Au Bournat tout est différent, il vous entraîne au coeur d’une vie authentique. Les artisans vous font revivre les métiers oubliés. Un véritable voyage qui, le temps d’une journée, vous fait oublier le reste du monde.

Le Bournat en Dordogne  - village découverte dans Dordogne le-moulin-du-bournat-en-dordogne-a25431477-300x199

Partez en visite : http://www.lebournat.fr/visite-d-un-village-en-1900.html

Remontez la grande horloge du temps de cent ans en arrière. Tous vos sens seront en fête dans cette reconstitution grandeur nature d’un village périgourdin. Le Village du Bournat se vit autant qu’il se visite.

bournat1 dans VILLAGES de FRANCEEn 1990, Paul Jean Souriau cherche un lieu pour y reconstruire le village paysan dont il rêve afin de transmettre le patrimoine culturel de la région aux jeunes générations oublieuses des temps anciens. Le site idéal s’impose rapidement en plein coeur du Périgord, au Bugue sur les berges de la Vézère. Le lieu-dit s’appelle « Le Bournat ». Le Village s’étend aujourd’hui sur 7 hectares. C’est une réplique identique et grandeur nature d’un bourg du XIXe siècle, peuplé de ses habitants.

bournatChaque bâtiment abrite une scène ou l’univers d’un artisan : c’est ainsi que l’on découvre une scène de mariage avec 11 mannequins, la répétition d’un cantique par des enfants de choeur dans la chapelle, l’école du temps du « Petit Chose » avec son préau, sa cloche, ses encriers de porcelaine ; la maison typique avec son cantou, un repas de battage dans la grange, le chai, le séchoir à tabac, le poulailler, la borie, le moulin à huile de noix, le café « chez Paul », le lavoir, la mairie, la toilette des jeunes filles dans leur chambre …. Un café et ses curiosités.

Au gré de la visite, vous rencontrerez également des artisans qui exercent leur art. Sous vos yeux, on forge, on file la laine, on bat la faux, on tourne le bois, la pierre, on récolte le miel. C’est ainsi que l’on croise le sabotier, le feuillardier, le tourneur sur bois, la fileuse, la dentellière, le rempailleur, le forgeron, le bourrelier, le maréchal- ferrant, le gabarrier, les charbonniers, le souffleur de verre, etc… N’hésitez pas à leur poser des questions. Ils se feront un plaisir de partager leur passion.

Le Village du Bournat s’enorgueillit également de collections exceptionnelles. Le hangar à calèches recèle de richesses. Il abrite un cabriolet, une calèche, une charrette, un tonneau, une jardinière, un tombereau, un Milord et même un authentique corbillard.

La brocante rassemble des objets usuels de la paysannerie périgourdine d’il y a cent ans : ustensiles de cuisine, outils agricoles et bien d’autres, mais aussi des trésors que vous pourrez dénicher dans la galerie des jouets anciens (landau en meccano, pistolet, lance parachute, voitures à pédale, youpala, rameur en bois).

bournat3L’imprimerie regroupe d’anciennes machines. De temps à autre, des imprimeurs à la retraite viennent au Village pour expliquer les secrets de la xylographie, d’une linotype Heidelberg, d’une composeuse ou d’une plieuse. Au Village du Bournat, la fête est quotidienne : une authentique fête foraine 1900 entièrement gratuite : jeux d’adresse, de massacre, pousse-pousse, balançoires et manèges rétro.

Également, l’été, un petit train à l’ancienne vous permettra d’avoir une vision d’ensemble du parc. Il vous conduira au « Faubourg en Fête » aménagé de manèges actuels redécorés (ver à soie pour les adolescents avides de sensation,) un pousse-pousse d’autrefois et une chenille pour les enfants et pour toute la famille des chevaux galopants.

Au delà du plaisir pur que procure cette journée, vous pourrez profiter de l’ombre et vous reposer. Un service de restauration rapide est à la disposition des visiteurs, sous le grand chapiteau bleu du cirque du Village. Mais si vous préférez, vous pouvez déguster des spécialités au restaurant « Chez Paul », à vous de choisir !

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POUR TOUT RENSEIGNEMENT : 
VILLAGE DU BOURNAT
Tél. 05 53 08 41 99 – Fax 05 53 08 42 01
Web 
www.lebournat.fr  

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