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    La France, je l'aime corps et biens, en amoureux transi, en amant comblé. Je la parcours, je l'étreins, elle m'émerveille. C'est physique. Pour l'heure, c'est le plus beau pays du Monde, le plus gracieux, le plus spirituel, le plus agréable à vivre. En dépit de ses défauts, le peuple français a des réserves inépuisables de vigueur, d'astuce et de générosité. j'écris cela en toute connaissance de la déprime qui périodiquement enténèbre nos compatriotes. Ils ont une pente à l'autodénigrement, une autre au nihilisme. Je suis français au naturel et j'en tire autant de fierté que de volupté. J'ai pour ce vieux pays l'amour du preux pour sa gente dame, du soudard pour la servante d'auberge, de l'érudit pour ses grimoires, du paysan pour son enclos, du bourgeois pour ses rentes, du croyant des hautes époques pour les reliques de son saint patron... J'ai la France facile, comme d'autres ont le vin gai ; je l'ai au coeur et sous la semelle de mes godasses. Je suis français, ça n'a pas dépendu de moi et ça n'a jamais été un souci. Ni une obsession. Toujours un bonheur...

    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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Le cinéma de L.Lumière

Posté par francesca7 le 22 février 2013

Films en relief en 1936 : premières
sensations fortes et lunettes spéciales

(D’après « La Nature » paru en 1936)

 

 Le cinéma de L.Lumière dans CINEMA FRANCAIS 180px-programa

En 1936, un chroniqueur de La Nature se fait l’écho de l’enthousiasme soulevé par la présentation des premiers films en relief le 30 avril de cette même année, grâce aux lunettes conçues à cet effet par le célèbre Louis Lumière donnant l’illusion qu’une partie de l’action a lieu dans la salle elle-même, et l’on imaginait déjà pouvoir s’affranchir rapidement de cet encombrant accessoire

L’inventeur du cinématographe, explique le chroniqueur P. Hémardinquer, avait proposé un dispositif pour la projection cinématographique en relief reposant sur un perfectionnement remarquable de la méthode des anaglyphes : on projette sur l’écran deux images stéréoscopiques, de deux couleurs différentes de l’une à l’autre et complémentaires. Les mêmes couleurs servent à teinter différemment les verres d’une lunette à travers laquelle le spectateur regarde l’écran ; aussi chaque œil n’aperçoit-il qu’une image sur l’écran et précisément celle qui lui est destinée.

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Louis Lumière et son appareil de projection
en relief. Il porte les lunettes de spectateur

Louis Lumière, en reprenant cette méthode ancienne – dont le principe avait été décrit en 1853 par Rollman, et mis au point par du Hauron en 1891 –, a eu le mérite d’en voir les défauts et d’y remédier par le perfectionnement des écrans et des lunettes. Les couleurs colorant les écrans et les verres des lunettes ne sont pas le vert et le rouge, comme dans la méthode ordinaire, mais un bleu pur et un jaune légèrement verdâtre. On peut ainsi obtenir un équilibre de l’énergie lumineuse totale reçue par chacun des yeux.

Nous apprenons qu’une salle de projection des grands boulevards à Paris, « l’Impérial Pathé », a été équipée pour ces projections. Il avait été question de supprimer les lunettes portées obligatoirement par les spectateurs et de les remplacer par des systèmes optiques disposés sur le dossier des fauteuils, de manière que chaque spectateur puisse avoir devant les yeux les verres colorés nécessaires, sans tenir à la main un appareil quelconque et sans avoir de lunettes à porter. Ce projet a été abandonné pour l’instant, ajoute le chroniqueur. La disposition des appareils sur les dossiers des fauteuils aurait gêné le passage des spectateurs, et constitué un danger en cas d’accident nécessitant l’évacuation de la salle. La position fixe de ces systèmes optiques aurait, d’autre part, obligé le spectateur à maintenir constamment la tête dans une position déterminée, d’où une gêne et même une fatigue au cours d’une projection assez longue.

180px-Lumi%C3%A8re_ou_Projection_priv%C3%A9eLa présentation des premiers films en relief a eu lieu le 30 avril 1936, devant une assistance des plus brillantes et a remporté un grand succès. Le programme, encore réduit, comportait une comédie de genre, « l’Ami de Monsieur », et un documentaire, « Riviera ». Ces deux films, de métrage moyen, ont été réalisés par un technicien, metteur en scène habile, M. Pierre de Cuvier. La sensation de relief obtenue est tout à fait saisissante, poursuite Hémardinquer. le documentaire, en particulier, avec ses lointains qui s’étagent à perte de vue, et ses « gros plans » qui semblent percer l’écran et se trouver dans la salle donne une impression de naturel admirable, bien propre à renouveler tout l’intérêt de ce genre de film.

Il est certain qu’un documentaire artistique sur des monuments, des églises ou des œuvres d’art acquerra une nouvelle valeur avec la vision en relief. La comédie, dont certains tableaux ont provoqué, dans le public, des réactions très caractéristiques, soulève déjà des problèmes techniques et artistiques très intéressants. Tous les sujets au premier plan, provoquent, en effet, chez le spectateur, l’illusion qu’une partie de l’action a lieu dans la salle elle-même. Lorsqu’une jeune fille jette des fleurs devant soi, on a l’illusion de les voir tomber dans la salle.

Des serpentins lancés dans un dancing paraissent tendus dans la salle ; lorsqu’un personnage lance devant soi une paire de souliers, les spectateurs se reculent instinctivement par crainte d’être blessés. cette « mise en relief » littérale de l’image donne à cette dernière une importance qu’elle avait quelque peu perdue depuis l’apparition du cinématographe parlant, et que les essais de cinématographie en couleurs n’avaient pas encore réussi à lui rendre.

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Le Grand Escogriffe a été tourné en côte d’or

Posté par francesca7 le 17 février 2013

Le Grand Escogriffe a été tourné en côte d'or dans CINEMA FRANCAIS le_grand_escogriffe-213x300

Le Grand Escogriffe est un film réalisé par Claude Pinoteau, sorti en 1976.

Tourné en partie à Alise-Sainte-Reine (21), à proximité de la statue de Vercingétorix, aux bords du lac de Pont et la départementale D 103. Avec Yves Montand, Agostina Belli, Claude Brasseur, Aldo Maccione, Guy Marchand.

 Réalisation : Claude Pinoteau

Scénario : Jean Herman, d’après l’œuvre de Rennie Airth

Dialogue : Michel Audiard

Lieu de tournage : Alise-Sainte-Reine en côte d’or….                     ——>280px-vercingetorix_alesia dans CINEMA FRANCAIS

http://fr.wikipedia.org/wiki/Alise-Sainte-Reine

Sortie le 01 décembre 1976

Un vieil escroc sur le retour, Émile Morland, convainc son ancien complice Aristide de l’aider à enlever le jeune fils de Rifai, un armateur millionnaire. Morland engage Amandine, une jeune comédienne et loue à un certain Tony un charmant bambin nommé Alberto. L’objectif est d’échanger le fils de Rifai contre Alberto et de demander ensuite une rançon à son père. Mais, contre toute attente, Rifai refuse de payer et, trouvant qu’Alberto est un enfant beaucoup plus charmant que son pleurnichard de fils, préfère le garder à la place de celui-ci.

Impossible de contrarier un ouragan: c’est bien ce que se dit Aristide qui, après une héroïque résistance due à de trop mauvais souvenirs communs, se trouve embarqué dans la dernière « combine » de ce cabotin, ce bonimenteur, ce grand escogriffe d’Emile Morland, pompeusement rebaptisé Marc-Antoine. D’organisateur de tournées théâtrales (minables), celui-ci est devenu auteur. Mais les rocambolesques scénarii qu’il invente, c’est dans la vie qu’il les met en scène. Ainsi, avec l’aide d’Aristide et d’Amandine, une comédienne qu’il a « découverte » personnellement, Emile se prépare-t-il à enlever le fils du richissime Rifai. Arrivé à Rome, le trio « loue » un bébé professionnel (propre, obéissant et silencieux) du nom d’Alberto puis, au grand chagrin d’Amandine qui s’était habituée à pouponner, l’échange dans un parc contre Selim, insupportable bambin criard. Tandis qu’Aristide et Amandine continuent à jouer au couple parfait, Emile pose ses conditions au milliardaire: 600 000 dollars contre la restitution de Selim. Hélas, séduit par le calme Alberto, Rifai refuse le marché. Les choses deviennent alors vite confuses: Tony, qui avait « prêté » Alberto, le réclame, et Amandine aussi. Tandis qu’Emile tente une dérisoire manoeuvre d’intimidation, la jeune femme parvient à « récupérer » Alberto. Selim, lui, retrouve le foyer familial au moment où, désorienté, son père allait verser à Emile la rançon exigée. Tout est bien qui finit bien pour Amandine et Aristide qui, après avoir « acheté » Alberto à Tony, s’en vont, pauvres et « honnêtes »… Et ce grand escogriffe d’Emile, après un bref moment de découragement, dénichera vite sur place des touristes crédules qu’il pourra arnaquer tout à son aise…

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Ce troisième film du cinéaste Claude Pinoteau se veut au départ un hommage à la fois à la comédie italienne et à la Commedia dell’arte avec des personnages archétypaux qui finissent par récolter la monnaie de leur pièce. Adapté d’un roman étranger par Jean Vautrin (sous son pseudo Jean Herman) et Michel Audiard, Le grand escogriffe se caractérise par un scénario simpliste qui se fonde sur des caricatures. Aucun des personnages n’évolue vraiment dans cette pochade qui ne vise qu’à divertir à bien peu de frais. Puisque l’intrigue est clairement au point mort, le dialoguiste Audiard a utilisé tout son savoir-faire afin de rendre truculentes des situations convenues. Il y parvient de nombreuses fois, même si aucune réplique ne fait mouche comme dans ses précédentes créations. N’ayant tout simplement rien à jouer, les comédiens comblent l’absence de gags par une interprétation outrancière. Gesticulant et cabotinant de manière éhontée, Yves Montand en fait tout simplement des tonnes en petit escroc minable à la faconde particulièrement développée. Il arrive tant bien que mal à animer un certain nombre de séquences, soutenu par un Claude Brasseur plus en retrait et une Agostina Belli qui se contente d’être belle.

Trop long et tombant par moment dans le vaudeville de bas étage, ce métrage est réalisé consciencieusement – mais sans génie – par un Claude Pinoteau visiblement plus intéressé par les charmes des paysages romains que par l’histoire qu’il est censé raconter. D’ailleurs, le public français ne s’y est pas trompé en lui réservant une première place au box office lors de sa première semaine d’exploitation, puis en désertant rapidement les salles à cause d’un mauvais bouche à oreille. Le film termine finalement sa carrière autour de 700 000 entrées / France, ce qui en fait un échec assez cinglant pour toute l’équipe et le producteur Alain Poiré. Sympathique à regarder, Le grand escogriffe est un divertissement anodin aussi vite vu qu’oublié.

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Ali-Baba et les 40 voleurs

Posté par francesca7 le 14 février 2013

ALI-BABA ET LES 40 VOLEURS

Comédie de 1954 durée 92′ Couleur

             Sortie le 24 décembre 1954

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Réalisation et scénario de Jacques BECKER

Co-scénaristes Marc MAURETTE, Maurice GRIFFE et Cesare ZAVAIMNI

Dialogues de André TABET

Directeur de la photographie Robert LE FEBVRE

Musique de Paul MISRAKI

Montage de Marguerite RENOIR

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avec

FERNANDEL

Édouard DELMONT

Gaston ORBAL

Henri VILBERT

Micheline GARY

Julien MAFFRE

Edmond ARDISSON

Manuel GARY

Bob INGARAO

José CASA

Abdelkader BELKHODJA

Dieter BORSCHE

Samia GAMAL

 

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 Résumé du film

 Ali Baba est un pauvre bûcheron. Un jour, alors qu’il coupe du bois, il entend des voix : il se cache dans un arbre où il entend le chef des quarante voleurs prononcer la formule magique qui permet d’ouvrir une porte dans la roche : « Sésame, ouvre-toi ! » et la formule magique pour la fermer : « Sésame, ferme-toi ! ». Après le départ des bandits, Ali Baba prononce la formule et entre dans la grotte, découvre des trésors accumulés et emporte une partie de l’or. Son frère Cassim, qui est un riche marchand, est surpris par la fortune soudaine d’Ali Baba qui lui raconte son aventure. Cassim va à la caverne, mais troublé par la vue de tant de richesses, ne retrouve plus la formule qui lui permettrait de sortir de la grotte. Les bandits le surprennent dans la grotte, le tuent et découpent son corps en morceaux. Ali Baba, inquiet de l’absence de son frère, va à la grotte et découvre les restes de celui-ci, qu’il ramène chez lui. Avec l’aide de Morgiane, son esclave très habile, il réussit à enterrer son frère sans attirer l’attention de ses connaissances.

Les bandits, ne retrouvant plus le cadavre, comprennent qu’une autre personne connaît leur secret. Ils finissent par repérer la maison d’Ali Baba. Leur chef se fait passer pour un marchand d’huile et demande l’hospitalité à Ali Baba. Il est accompagné par un convoi de mules portant trente-huit jarres. Une d’elle est remplie d’huile et chacune des trente-sept autres cache un des bandits (deux bandits ayant été précédemment exécutés pour avoir échoué à retrouver Ali Baba). Ils projettent de tuer Ali Baba pendant son sommeil. Morgiane découvre leur plan et tue les bandits cachés dans les jarres en versant de l’huile bouillante dans chacune d’elles. Quand le chef va chercher ses complices, il découvre ses hommes décédés et fuit.

Pour se venger, quelque temps après, le chef des bandits s’établit comme commerçant et se lie d’amitié avec le fils d’Ali Baba, désormais chargé des affaires de feu Cassim. Le chef des bandits est invité à dîner chez Ali Baba, où Morgiane le reconnaît. Celle-ci effectue alors une danse munie d’une dague, qu’elle plonge dans le cœur du bandit. Dans un premier temps, Ali Baba est furieux de voir son hôte exécuté, mais lorsqu’il découvre que le bandit a tenté de l’assassiner, il rend sa liberté à Morgiane et la donne en mariage à son fils. Ali Baba est ainsi la seule personne à connaître le secret du trésor dans la grotte et le moyen d’y accéder.

 Juché sur un âne, Ali Baba se rend en chantant au marché aux esclaves. A la demande du riche Cassim, son maître, il fait l’acquisition d’une danseuse, la belle Morgiane dont il s’éprend bien vite.

 Pour la soustraire aux ardeurs de Cassim, Ali Baba fait prendre à celui-ci un breuvage soporifique puis il part acheter le beau perroquet vert pour lequel la jeune femme a manifesté de l’intérêt. Mais la caravane où a pris place le marchand est attaquée par les quarante voleurs commandés par le redoutable Abdul. Prestement caché dans un panier, accroché au flanc d’un chameau, Ali Baba est emmené devant la caverne où les voleurs entassent leurs butins et il entend leur chef prononcer une formule magique:  » Sésame ouvre-toi ».

 Après le départ des voleurs, Ali Baba la prononce à son tour et commande ainsi le déplacement d’un rocher derrière lequel se trouve un formidable trésor. Les poches emplies de pièces d’or, il va trouver Cassini et lui propose le rachat de la belle esclave.

 Cassim à cette occasion offre un festin à Ali Baba. Agissant avec ruse, il parvient à connaître le secret de cette soudaine richesse et cherche à se débarrasser d’Ali Baba. En vain. Immensément riche, Ali Baba épouse Morgiane et donne une fête dans sa nouvelle demeure. Cassim y assiste.

 Quarante hommes, cachés n’attendent qu’un signal de lui pour tuer Ali Baba. Mais, déguisé en mendiant, Abdul se fait lui aussi inviter à la fête. Les quarante voleurs sont là également cachés, prêts à frapper.

 A cause d’une méprise, les groupes armés s’exterminent, sans qu’Ali Baba n’y prenne garde. L’histoire finit bien pour tous, à l’exception de Cassim et des quarante voleurs.

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Cinéma depuis 1900

Posté par francesca7 le 8 février 2013

Vous trouverez sur ce  site : http://www.cinema-francais.fr/ ,  le détail de :

2 762 Réalisatrices et Réalisateurs français

11 796 Actrices et Acteurs français

12 101 Longs métrages de production française

Egalement quelques acteurs et actrices étrangers qui ont tourné dans des films français

et des réalisateurs et réalisatrices étrangers qui ont réalisé des films français

 postmaster@cinema-francais.fr 

Bernard SAVALLE 2001/2012

 

 

Année de réalisation des films

Cliquez sur l’année de votre choix

pour afficher tous les FILMS réalisés cette année là.

Cinéma depuis 1900 dans CINEMA FRANCAIS depositphotos_5723986-retro-cinema-theme-300x207

 

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