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    !!!!
    La France, je l'aime corps et biens, en amoureux transi, en amant comblé. Je la parcours, je l'étreins, elle m'émerveille. C'est physique. Pour l'heure, c'est le plus beau pays du Monde, le plus gracieux, le plus spirituel, le plus agréable à vivre. En dépit de ses défauts, le peuple français a des réserves inépuisables de vigueur, d'astuce et de générosité. j'écris cela en toute connaissance de la déprime qui périodiquement enténèbre nos compatriotes. Ils ont une pente à l'autodénigrement, une autre au nihilisme. Je suis français au naturel et j'en tire autant de fierté que de volupté. J'ai pour ce vieux pays l'amour du preux pour sa gente dame, du soudard pour la servante d'auberge, de l'érudit pour ses grimoires, du paysan pour son enclos, du bourgeois pour ses rentes, du croyant des hautes époques pour les reliques de son saint patron... J'ai la France facile, comme d'autres ont le vin gai ; je l'ai au coeur et sous la semelle de mes godasses. Je suis français, ça n'a pas dépendu de moi et ça n'a jamais été un souci. Ni une obsession. Toujours un bonheur...

    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

  • a bientot

Couleurs et formes utilisées en héraldique

Posté par francesca7 le 27 mai 2013


 

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Vous réaliserez que même les teintes utilisées en héraldique représentent un indice sur le détenteur des armories. Les émaux sont divisés en métaux, couleurs et fourrures. Les métaux utilisés sont l’or et l’argent.

 L’or (doré ou jaune) marque la générosité, la bravoure ou la persévérance. L’argent (argenté ou blanc) symbolise la sérénité et la noblesse. Les couleurs sont ; gueules (rouge), sinople (vert), sable (noir), azur (bleu) et pourpre (violacé). Le rouge symbolise le courage et le pouvoir créatif. Le vert signifie l’espérance et une grande vitalité, tandis que le noir représente le repentir et la vengeance. E bleu et le pourpre symbolisent la loyauté et la splendeur.

Couleurs et formes utilisées en héraldique dans AUX SIECLES DERNIERS formes-utilisees-214x300

 Les fourrures les plus fréquemment utilisées sont l’hermine et le vair. L’hermine symbolise la dignité et la noblesse, tandis que le vair indique une haute marque de dignité. Les couleurs rouge-pourpre et orange-tanné sont rarement utilisées, car ces deux couleurs marquent la honte suite à un « honneur amoindri ». Par ce que les motifs étaient de grande importance sur le champ de bataille, il en fut de même pour le déploiement des couleurs.

 La règle principale à se rappeler ici est la suivante : le métal est toujours exhibé sur la couleur et la couleur est toujours exhibée sur le métal. Par exemple, bleu sur or et non bleu sur vert, car la précision ou la distinction des motifs en serait réduite.

 La blason est orné de diverses couleurs : on distingue les émaux au nombre de cinq (l’azur, le geules, le sable, le sinople et le pourpre), deux métaux (l’or et l’argent), et diverses fourrures. Les couleurs sont soit peintes selon le ton qu’elles indiquent, soit représentées sous forme de dessins en noir et blanc, grâce à un système de lignes et de points créé au 17ème siècle par Hérald Silvestre de Petra-Sancta.

 

LES EMAUX

Note : dans l’explication des divers signes et symboles, nous employons à dessein les termes de droite et de gauche en nous plaçant par rapport au lecteur. C’est seulement lorsque nous lirons ensemble quelques blasons que nous nous placerons alors par rapport au porteur et emploierons les termes d’usage de dextre et de senestre.

1.L’or. 
a.Couleur jaune.
b.Planète : le soleil.
c.Pierre : la topaze.
d.Symbolisme : noblesse, intelligence, vertu
Couleur du soleil et du plus précieux des métaux il symbolise la pureté, la majesté et le principe divin manifesté dans la matière.
Selon les pays il est la vie, la vérité, la raison ou l’immortalité.

2.L’argent. 
a.Couleur gris ou blanc.
b.Planète : la lune.
c.Pierre : la perle.
d.Symbolisme : sagesse, richesse
En général : symbole de l’élément terre, le blanc représente la pureté, la virginité et la transcendance, mais il est également lié à la pâleur du cadavre. Selon les civilisation c’est la mort, le deuil, la couleur du centre du monde qui signifie l’ascension spirituelle vers la lumière et le retour à l’unité

3.Gueules
a.Couleur : Rouge.
b.Planète : Mars
c.Pierre : le rubis.
d.Symbolisme : désir de servir sa patrie, amour
En général : symbole universel de l’élément feu, le rouge représente le principe de vie qui gouverne le monde animal, l’énergie circulant dans le corps, les émotions fortes. C’est la couleur de la guerre, de la force, de la virilité, de l’action.

4.Azur
a.Couleur : Bleu.
b.Planète : Jupiter.
c.Pierre : Saphir.
d.Symbolisme : fidélité, persévérance, loyauté
En général : à la fois profond et immatériel, le bleu, couleur de l’azur représente l’intelligence, la paix et la contemplation. C’est le ciel, l’infini, le vide d’où jaillit l’existence et auquel il retourne.

5.Sable
a.Couleur : Noir (gris foncé en fait)
b.Planète : Saturne.
c.Pierre : diamant.
d.Symbolisme : tristesse, humilité
En général : Selon les civilisations c’est le symbole de la mort, du mal, du deuil, du monde souterrain, du temps, de la fécondité ou de la renaissance

6.Sinople
a.Couleur : Vert.
b.Planète : Vénus.
c.Pierre : émeraude.
d.Symbolisme : liberté, joie, santé, espoir, honneur
En général : symbole de l’élément eau, le vert est lié au monde des sensations, mais il représente aussi la nature, dans ses processus de germination et de putréfaction.

7.Pourpre
a.Couleur : violet 
b.Planète : Mercure.
c.Pierre : améthyste.
d.Symbolisme : Majesté royale et impériale, souveraineté et justice, largesse. 
Selon les civilisations c’est le symbole de la mort, du mal, du deuil, du monde souterrain, du temps, de la fécondité ou de la renaissance. Symbole de l’Eglise.

8.Carnation
a.Couleur : Rose tendre
b.Symbolisme : aucun, couleur chair dans les représentations humaines.

9.Orange
a.Couleur : orange. (héraldique anglaise)
b.Symbolisme : indéfini, ambition et valeur

10.Sanguine
a.Couleur ; rouge foncé – lie de vin.(héraldique anglaise)
b.Symbolisme : La patience, bataille, victoire.

11.Terre.
a.Couleur ; marron.
b.Symbolisme : nature.

 

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FOURRUES OU PANNES :

L’hermine, représentée par un champ blanc moucheté du motif de la queue d’hermine, symbolise la dignité et la noblesse.

Le Vair, composé à l’origine de pièces de fourrures, représenté maintenant par de petites cloches alternées d’argent et d’azur, en lignes horizontales, symbolise une haute marque de dignité.

 

METAUX

L’Or (jaune), représenté par un pointillé, symbolise la générosité, la bravoure et la persévérance.

L’ARGENT (blanc), représenté par un champ nu, symbolise la sérénité et la noblesse.

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Symboles et signification de l’héraldique

Posté par francesca7 le 27 mai 2013

 

 

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 Il est facile d’apprendre les différents termes de la science héraldique et le nom des parties de la cotte d’armes. Des armoiries complètes sont composées d’un bouclier, d’un cimier et, éventuellement d’une devise. Le bouclier, ou écu est l’élément principal. Le cimier (un animal en général) est placé au sommet de l’écu. La devise peut être dans n’importe quelle langue, mais elle est souvent en latin, en français ou en anglais.

Symboles et signification de l’héraldique dans AUX SIECLES DERNIERS herarldique Dans de nombreuses armoiries, on trouve un casque ou des supports (soutiens ou tenants) en plus de l’écu. Beaucoup de blasons comportent des accessoires comme le lambrequin et la guirlande. Le lambrequin servait à l’origine à protéger le chevalier des rayons directs du soleil et à empêcher son armet de rouiller et de s’oxyder. La guirlande symbolise le dispositif de protection de l’endroit où le cimier était attaché à l’armet du chevalier. Il est important de noter que le mot « blason » est le terme technique approprié pour une cotte d’armes.

 Les diverses formes de boucliers : On distingue l’écu rectangulaire, appelé targe ou parme, des anciens Romains : le bouclier de forme ronde, appelé rondache ou rondelle ; les boucliers des anciens Gaulois qui sont rectangulaires, carrés ou échancrés ; le bouclier ovale des Italiens ; l’écu en bannière porté par les Bretons ; les Francs qui portent l’écu de bois rectangulaire arrondi sur la partie inférieure ou losangé, et bien d’autres encore.

 Les parties de l’écu : Lorsque l’on décrit, lit ou établit un blason, il faut toujours nécessairement tenir compte du fait que l’on se place à la positon du porteur de l’insigne. C’est ainsi que les notions de droite (dextre) et de gauche (senestre) sont inversées par rapport au lecteur. Le terme « teinture » correspond aux couleurs utilisées sur les armories. Les tentures représentent deux métaux, sept émaux et diverses fourrures.

LE CHAMP : L’écu quand il n’a aucune division, est dit plein de la couleur du métal ou de l’émail. Quand une ligne coupe le blason horizontalement, on dit que le bouclier est blasonné « par fasce ». Si la ligne est verticale, l’écu est blasonné « par pal » ; en diagonale de dextre à senestre « par barre de bâtardise ». Les lignes, qui ne sont ni simples ni droites, ont des noms particuliers, comme nébulées, dentées ou crénelées.

 1ère division : parti, c’est la division de l’écu en deux parties égales par une ligne verticale ;

-       coupé, c’est la division de l’écu en deux parties égales par la ligne horizontale ;

-       tranché, c’est la division de l’écu en deux parties égales par une ligne allant de la langue du chef à l’extrémité du flanc senestre, c’est à dire à droite pour celui qui regarde ;

-       taillé, c’est la division de l’écu en deux parties égales par une ligne allant de l’angle senestre du chef au flanc dextre, c’est-à-dire à gauche pour celui qui regarde ;

-       écartelé en sautoir, c’est la combinaison du tranché et du taillé ;

-       tiercé en pal est la division en trois parties égales par deux lignes verticales et dont une division est toujours soit un métal, soit un émail, et les deux autres vice versa.

-       Le tiercé en bande est le même que le tiercé en fasce, de même que le tiercé en barre ainsi que toutes les divisions qui découlent des divisons fondamentales précédentes.

LES MEUBLES

Le blason donne ensuite la description du meuble. Presque tout ce qui peut être symbolisé par une couleur ou une forme peut être un meuble. Les meubles représentent des animaux, des personnes, des monstres, des créatures divines, des objets naturels ou fabriqués. Les meubles sont souvent composés d’un seul mot qui simplifie la tâche de description. Par exemple, un lien debout sur ses pattes arrières avec les pattes de devant levées est dit « rampant ». Un aigle, qui regarde par-dessus son épaule droite avec les serres et les ailes déployées, s’appelle un « déployé ».

 Les meubles sur le champ les plus souvent utilisés sont les lions, les roses et les lys. Puis, il y a les pièces honorables. Ce sont des figures géométriques utilisées comme meubles de champ. Les sept pièces honorables sont la bande, le chevron, le chef, la croix, la fasce, le pal et le sautoir. Les quatorze pièces sous-honorables sont l’annelet, la billette, la bordure, le canton, le flaunch, le fet, le gyron, l’écusson, le label, le losange, l’orle, la pile, la rosace et le tressure. Les lignes de partition servent à séparer le champ et la bordure, les pièces honorables et les pièces sous-honorables. Les huit styles de base sont l’ondulé, le nébulé, ‘engrené, le dentelé, le danté, le crénelé, le danché et la ligne en lambel.

 On distingue différentes figures qui sont la combinaison des huit divisions fondamentales dont nous avons parlé précédemment et qui constituent :

-       le sautoir,

-       le chevron renversé, tourné, contourné,

-       le chevronné de diverses pièces, entrelacé, burelé, abaissé vers la ponte de l’écu,

-       les fasces mises l’une dans l’autre, c’est-à-dire la moitié de l’écu supérieur en selle inférieure ou la fasce dentée placée au centre de l’écu,

-        les pals ondés verticalement ou horizontalement et les bandes chevronnées de trois pièces, par exemple.

 220px-Armoiries_Roederer dans AUX SIECLES DERNIERSLe blason peut être orné d’arbres, de fleurs, de plantes et de fruits : ces pièces sont en général comparées aux hommes bons et mauvais et chacun d’eux a un sens caché sous son écorce. En ce qui concerne les arbres, le sapin, étant donné sa hauteur prodigieuse, représente la souveraineté ; le palmier signifie victoire et abondance ; le laurier est le symbole du triomphe : l’olivier, celui de la paix et de la concorde : le chêne symbolise la force et la longue vie : le grenadier et le myrte représentent l’amitié. Le cyprès est le symbole du deuil et de la mort, on le compare aussi à la beauté inexorable. Le pin est aussi symbole de la mort pour le même motif que le cyprès ; une fois coupé, il ne produit pas de rejeton. Le noyer représente l’innocence persécutée. La vigne est le symbole d’intempérance, elle signifie aussi réjouissance et liesse.

 Pour ce qui est des fleurs : les roses rouges symbolisent la beauté et l’amour ; l’oranger, représenté par l’orange, symbolise la dissimulation : le pommier, la fécondité : les fleurs de pensée, d’ancolies et la violette symbolisent la piété envers Dieu ; le tournesol est le symbole de l’homme de bien. Enfin, la corne d’abondance, pleine de fleurs débordantes, signifie libéralité, opulence, liesse et prospérité.

 Des animaux peuvent être représentés. On distinguera le lion, qui est, depuis la plus haute antiquité, déclaré le roi de tous les animaux quadrupèdes ; symbole de puissance et de force. Le lion rampant ne se blasonne pas car c’est sa position ordinaire. Le jeune lion est appelé lionceau. Lorsque le lion est représenté passant, on l’appelle léopard, ou léopardé lorsque la gueule est de face. Il représente spécifiquement la réalisation d’une entreprise hardie effectuée avec force et courage.

 D’autres quadrupèdes peuvent figurer sur le blason : la panthère est le symbole de la légèreté (elle représente la femme) ; le griffon est un animal imaginaire et dénote la vigilance ; le cerf est le symbole de la vitesse et de la crainte ; la licorne est un animal très beau, très noble, qui combat les choses impures ; le sanglier représente la fureur guerrière et la brutalité ; le loup symbolise un vaillant capitaine, mais il dénote aussi un homme paillard et menteur ; les louves sont comparées aux femmes de mauvaise vie.

 On trouve encore d’autres animaux tel le basilic, le serpent, le renard, le tigre, le taureau, le bélier, le chien, le chat, la guivre, la vipère, le dauphin, le cheval, l’hydre, les divers coquillages ; ces différentes figures pouvant être blasonnées ; ailées, dragonnées, adossées, chevillées, ondoyantes, barbées, diadémées, couronnées….

 Parmi les oiseaux et les poissons on distingue : l’aigle, qui est qualifié de roi des oiseaux, il fait sa demeure sur le sommet des montagnes les plus élevées pour s’approcher au plus près des rayons du soleil. On le blasonne ordinairement déployé, c’est-à-dire à deux t^tes, becqué, langué, lampassé, diadémé. Son diminutif est l’alérion ; le merle ayant comme diminutif les merlettes. Les éperviers sont le plus souvent blasonnés comme chaperonnés, liés, perchés, ailes ouvertes ou ployées. De même que le faucon, le vautour. La colombe tient dans son bec un rameau d’olivier, la chouette est couronnée d’or, le paon fait la roue et le pélican a l’estomac ensanglanté de geules.

 Les châteaux, les tours et portails peuvent faire l’objet de représentation sur les blasons. Les châteaux ou maisons sont toujours émaillés et les liaisons sont de sable, de même en ce qui concerne les tours qui peuvent être rondes, carrées, avec ou sans créneaux. Le donjon peut être sommé d’une girouette ou de diverses bannières. L’église ou chapelle est dite couverte, accompagnée ou non d’une ou plusieurs tours. Le portail peut être ouvert ou fermé, de même que la maison. Cette dernière peut être ornée de colonnes mises en pal, qui elles-mêmes, peuvent supporter un lion ou un aigle, par exemple.

 Pour plus d’informations voir ici : http://pedagogie.ac-toulouse.fr/lotec/EcoleCinema/robindesbois/heraldique2.pdf

 

 

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Chevalier médiéval en armure

Posté par francesca7 le 18 mai 2013


 

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Chevalier médiéval en armure dans AUX SIECLES DERNIERS armure

L’armure du chevalier est un accessoire très important dans la chevalerie. Plus d’une centaine de pièces pouvaient constituer une armure, et le destrier du chevalier avait autant de pièces pour le protéger. Au début de la chevalerie, il n’y avait que des armures en cotte de mailles, mais avec l’évolution des armes tel que l’arbalète, elle ne fut plus efficace. C’est alors qu’on décida d’ajouter à cette cotte de mailles des plaquettes de fer ou du cuir d’animal sécher. 

Le chevalier en armure de fer était né! Voici les diverses pièces d’armure du chevalier et de son destrier au Moyen-Âge. 

BLIAUT 
 Le bliaut était un tissu mince qui recouvrait le haubert. Il était décoré des couleurs du chevalier. Il servait à la reconnaissance du chevalier au même titre que l’écu et empêchait de ce fait même l’armure de rouiller. 

CHAUSSE 
 Les chausses, faites d’étoffe ou de mailles de métal, recouvraient les pieds et les jambes du chevalier. 

COTTE DE MAILLES 
 La cotte de mailles rendait difficile pour l’épée ou la lance de l’adversaire d’atteindre le coeur. Elle était composée de 200 000 pièces et pouvait peser jusqu’à 30 livres. Avec le temps et l’amélioration de l’entrelacement des mailles, l’armure pouvait se porter seule et rendait le chevalier beaucoup moins maladroit et lourd. De plus, elle pouvait se rouler dans un petit sac pour les voyages. Elle se nettoyait en la mettant, avec du sable et du vinaigre, dans un sac de cuir, puis on brassait le mélange. 

 DESTRIER 
Le destrier était le cheval de combat du chevalier. L’écuyer doit le mener de la main droite (dextre), d’où vient son nom. Le palefroi était, contrairement au destrier, qu’un cheval de promenade. 

 ÉCU 
L’ écu était le bouclier du chevalier. Il était à l’origine rond, mais il fut transformé en forme oblongue de manière a couvrir le chevalier de l’épaule jusqu’au pied. Il pouvait mesuré jusqu’à 1,30 mètres de haut et 56 centimètres de large. La surface du boulier était bombée. On fabriquait les boucliers en assemblant des planches cintrées dans le sens transversal. L’intérieur était matelassé et le dessus était recouvert de cuir. Le tout était relié par une armature de bandes de métal qu’on ornait. Certains écus possédaient une boucle (sorte de bosse en métal) au centre. Lorsque le chevalier ne se battait pas, il pendait l’écu à son cou par une large courroie de cuir richement ornée. S’il advenait que le chevalier meurt en bataille, on ramenait le corps inanimé dans le bouclier. Le bouclier pouvait aussi orné un blason qui caractérisait le chevalier. 

ÉPÉE 
L’épée est un être à part entière qui possédait un nom ainsi qu’une généalogie, une biographie et ses annales. Le chevalier la garde pendant toute sa vie et va même jusqu’à converser avec elle. L’épée se compose en trois parties distinctes : la lame, les quillons et la fusée, ainsi que le pommeau. La lame, longue d’un à deux mètres, est faite d’acier et elle pouvait posséder plusieurs formes. La plus fréquenté est l’épée dite normande qui était courte et large du talon. La pointe était formée par une faible diminution et elle était allégée par une gorge qui la parcourait de toute sa longueur. Cette lame est protégée par le fourreau qui était un objet de luxure orné de pierres. Les quillons étaient droits ou recourbés vers la pointe. La fusée, c’est-à-dire la poignée, était droite et mince. Ces parties de l’épée étaient richement décorées. Le pommeau était formé d’un disque d’un éclat métallique dans lequel des reliques y étaient enfermées. 

 ÉPERON 
L’éperon, généralement fait de fer, était petit mais il était le signe même de la chevalerie. Il servait ordonner au cheval un ordre. 

ÉTRIER 
L’étier a été inventé en Chine vers l’an 700 a rendu beaucoup plus stable les combats à chevaux dans les années 1050. C’était une bande de cuir munie d’un anneau attachée à la selle. 

FEUTRE 
Le feutre était un bourrelet placé devant la selle afin que la lance du chevalier trouve appui au moment de la charge.

GAMBISON 
Le gambison était un vêtement long qui se portait sous le haubert. 

GANTELET 
Le gantelet est un gant d’armure servant à protéger la main et le poignet du chevalier.

GONFANON 
Le gonfanon était un étendard fait d’étoffe qui était attaché à la lance. 

GUISARME 
 Cette longue arme était composée d’une lame recourbée en forme de faucille et d’une pointe droite.

HAUBERT 
 Le haubert est la côte de mailles du chevalier que l’on portait par-dessus des autres vêtements. Avant le haubert, on utilisait le broigne: une grossière tunique de cuir sur laquelle était cousue des pièces métalliques. Avec le temps, l’idée d’entrer des anneaux les uns dans les autre est venue et le haubert est né. Cette pièce de l’armure était la principale arme défensive des chevaliers. Le haubert était une véritable chemise de mailles d’acier fine et serrées avec de longues manches et un capuchon Les mailles étaient souvent doublées ou triplées pour accroître la protection des membres. 

On teignait aussi les anneaux pour donner de la couleur aux armures. Les extrémités des hauberts étaient brodées grossièrement avec du fil d’archal. On entrelaçait des fils de couleurs afin de créer les motifs. Ce type de broderie était nommé safre. Les manches du haubert s’évasaient comme un entonnoir afin de permettre une plus grande liberté de mouvements des poignets. Les mains étaient également couvertes de mailles. Le capuchon était rembourré de tissu pour protéger le crâne contre les frottements. Il ne laissait que les yeux, les lèvres et le nez à découvert. La partie inférieure du capuchon recouvrant le menton s’appelle la ventraille. Des fentes étaient pratiquées en avant et en arrière du haubert afin d’obtenir plus d’aisance lorsque le chevalier montait à cheval.

 HEAUME 
Le heaume est le casque d’acier en forme conique qui protégeait la tête du chevalier. Le heaume est composé de trois parties : la calotte, le cercle, le nasal. Un quatrième élément était présent pour certains heaumes seulement: un morceau de fer qui protégeait la nuque. La calotte du heaume était conique. Elle était renforcée par des bandes de métal qui se croisaient au sommet. Elle était surmontée d’une boule de métal colorée. Le cercle était la partie du heaume le plus riche. C’est un cercle à la base de la calotte. Ce cercle était richement décoré d’or et de pierreries. Le nasal est une barre de fer, parfois mobile, servant à protéger le nez. Cette bande rectangulaire était parfois ornées de pierreries.  On laçait le heaume par des bandes de cuir qu’on entrelaçait entre les mailles du haubert. On ne laçait le heaume que pour la bataille.

LANCE 
La lance, avec l’épée, était les armes nobles de la chevalerie. Elle se compose de trois éléments : la hanste, le fer et le gonfanon. Elle mesurait de 2,50 m à plus de 4,50 m. Elle était fait généralement en bois de différentes essences comme le frêne (le plus commun), le sapin, le laurier ou le sycomore. On peignait le bois de la lance d’une couleur, généralement d’azur ou de sinople (bleu ou vert). Le bas du hanste se terminait d’une pointe ferrée qui servait à s’arrêter ou piquer sa lance au sol. On frappait l’ennemi avec l’arestuel, une pointe en forme de losange ou de triangle. Le bois de la lance pénétrait  intérieurement la pointe ferrée jusqu’à l’extrémité et ils étaient tenus ensemble par trois ou cinq clous  argentés. Le gonfanon était de forme rectangulaire et possédait de trois à quatre pans ou langues. Il est très long et descends sur jusque sur le heaume du chevalier et il est souvent teint et orné d’armoiries. Durant la route avant le combat, la lance était portée verticalement et posée sur l’étrier droit. Lors du combat, il la couchait horizontalement sur l’épaule droite pour atteindre l’ennemi à la hauteur des haches ou sous l’aisselle.  

ORFROI 
Le orfroi était un galon d’or servant à border une banderole au bout de la lance, ou à faire des attaches d’une épée. 

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Des recherches héraldiques dans le monde entier

Posté par francesca7 le 18 mai 2013


 

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Des recherches héraldiques dans le monde entier dans AUX SIECLES DERNIERS heraldique

Maintenant que les travaux héraldiques vous sont plus familiers, vous êtes en mesure d’effectuer vos propres recherches d’armoiries.

 Imaginez comme il serait passionnant de découvrir que votre famille a le droit de porter des armories historiques. Il y a énormément d’endroits où s’adresser en Europe pour effectuer ces recherches importantes. Il existe environ 100 000 armoiries anglaises, y compris au pays de Galles et dans les six comtés d’Irlande du Nord. Elles sont répertoriées dans les archives du Royal College of Arms à Londres.

Les Ecossais possèdent leurs propres armories, régies par leurs propres traditions et règle,s comme celles de nombreuses corporations d’artisans ; les boulangers, les chirurgiens, les dentistes, les barbiers, les journalistes et même le s écuyers de cirque. Les régions e t leurs régiments, les confréries et groupes religieux, ont aussi leurs propres blasons.

L’Allemagne, la France et l’Italie n’ont pas, à proprement parler, de système héraldique. En effet, si ces pays ne sont plus des Etats monarchiques depuis longtemps, ils portent néanmoins un grand intérêt aux blasons et armories. L’Espagne, qui est à nouveau une monarchie depuis quelque s années seulement, a toujours soigneusement tenu les registres héraldiques. De nombreux pays d’Europe disposent d’organismes qui peuvent vous aider dans vos recherches sur les armoiries. Nous décrirons ici une grande partie de ces organismes et nous vous communiquerons des informations intéressantes à leur sujet.

Recherches héraldiques en France

Les documents ne se trouvent pas indifféremment dans n’importe quel dépôt d’archives. Selon leur nature et leur provenance, les lois et les règlements prévoient qu’ils doivent être conservés dans tel ou tel dépôt.

En France, il existe quatre catégories de dépôts d’archives publiques ; les Archives nationales, les archives départementales, les archives communales et les archives hospitalières, à quoi s’ajoutent les archives de l’Armée et celles des Affaires étrangères, qui sont indépendantes. Dans chacune de ces catégories de dépôts, il existe des documents d’intérêt généalogique et biographique.

L’organisation des archives publiques est faite en France selon un système alphanumérique de cotation selon le type et l’ancienneté du document recherché. L’état civil, crée en France par l’ordonnance de Villers-Cotterêt (1539) et tenu régulièrement à partir de la déclaration royale de 1736, reste la base de toute recherche généalogique. C’est par là que débute le chercheur, aidé après 1792 par les tables décennales.

Diverses sources, touchant aux naturalisations, légitimisations, changements de noms, etc. viennent compléter l’état civil. De l’état civil, le chercheur sera tenté de pousser ses investigations dans les fonds notariaux pour y rechercher entre autres, les contrats de mariage et les inventaires après décès. C’est là une source essentiellement départementale, même si, par exception, le minutier central des notaires de paris est conservé aux Archives nationales avec quelques traces départementales dans la sous-série ZZ. De même, les notaires d’outremer dépendent de la section de ce no maux Archives nationales.

 Il arrive parfois que les archives notariales aient disparu. Comment les remplacer ?

C’est là qu’interviennent les fonds de l’insinuation, de l’enregistrement et des hypothèques, où le chercheur trouvera les actes, retranscrits intégralement dans certains cas, simplement mentionnés dans d’autres. En outre, s’il est relativement facile de retrouver dans une ville de province un acte dont on connaît la date, comment repérer un acte, même en connaissant sa date, dans les cent vingt deux études de Paris, si l’on ne connaît pas le nom du notaire chez qui il a été passé ?

C’est là que les tables des insinuations au Châtelet permettront dans bien des cas au chercheur de retrouver le nom du notaire, après quoi il n’aura plus qu’à passer de la salle des inventaires des Archives nationales à la salle de lecture du minutier central, où il pourra situer beaucoup plus rapidement sa recherche. Autres sources de renseignements : les recensements d e population (particulièrement riches à partir du 19ème siècle), les listes électorales, les archives militaires, fiscales, judiciaires et policières, culturelles.  Ces documents concernent toutes les familles : mais il existe des sources concernant plus spécialement telle ou telle catégorie de Français : les fonctionnaires et, sous l’Ancien Régime, les officiers, diverses carrières sur lesquelles les Archives sont mieux renseignées (artistes, certaines catégories d’intellectuels, médecins, pharmaciens, officiers ministériels), la noblesse, les personnes décorées.

Certaines archives privées ont été remises aux Archives, qu’il s’agisse d’archives personnelles et familiales ou d’archives d’entreprises, d’associations et de syndicats, et peuvent aussi aider le chercheur de même que parfois la sigillographie et l’héraldique. Tous ces documents se trouvent aux Archives nationales, départementales, communales ou hospitalières.

 Dans la consultation de ces archives, il faudra être particulièrement vigilant envers certaines modifications administratives : dépôt des archives de Paris, et de  l’ancien département de la Seine ; dépôts d’archives des départements correspondant en totalité ou partiellement à des territoires tardivement rattachés à la France (Alsace, Savoie, comté de Nice, Corse, Flandre et Hainaut) ; dépôts des départements et territoires d’outre-mer.

 

doc à consulter …

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Le port des armoiries

Posté par francesca7 le 18 mai 2013


 

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Conformément à la plupart des règles héraldiques, seul le fils aîné du bénéficiaire d’une cotte d’armes avait le droit de porter les armoiries de ses ancêtres. Les fils cadets pouvaient réutiliser les armories de leur père. Cependant, les règles héraldiques veulent que l’on modifie les armes paternelles pour distinguer la branche cadette de la branche principale (ce procédé est appelé « brisure »). Si le porteur d’un blason (un ayant droit aux armories) meurt sans héritiers m$ales, sa fille peut combiner les armories de son père et celles de son mari. Même si ces principes semblent aujourd’hui très archaïques, très rigides et formaliste,s ils nous donnent une idée de la richesse de la tradition héraldique à travers les âges et de la protection dont les blasons et armories ont fait l’objet.

Il existe aujourd’hui plus d’un million de noms de famille dans le monde. Cependant, seulement 75 000 peuvent être associés à une cotte d’armes. On ne peut prétendre, ni même insinuer que quelque soit le blason, il ait une quelconque relation généalogique avec vous ou votre famille. Cependant, vous souhaitez peut-être adopter un cimier pour votre usage personnel ; ou bien posséder votre propre blason, dessiné et déposé, en conformité dans les usages et les règlements du pays dans lequel vous vivez. Ceci est tout à fait possible de nos jours.

Le port des armoiries dans AUX SIECLES DERNIERS armoiries

 

l’illustration ci-dessus représente un exemple d’armories. Composées principalement d’un bouclier, d’une courtine, d’un casque, d’une troque, d’un cimier et d’un emplacement pour une devise, elles décrivent les objets que le chevalier portait quand il allait livrer bataille. Une partie extérieure, servant souvent de soutien au bouclier et aux supports, pouvait être ajoutée. Etres humains, animaux ou animaux mythiques servaient de supports au bouclier. Fréquemment, la devise, qui rappelait le nom du chevalier ou son cri de guerre, était placée sur un ornement extérieur appelé listel.

 

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L’héraldique et l’histoire de France

Posté par francesca7 le 14 mai 2013


 L’héraldique et l’histoire de France dans AUX SIECLES DERNIERS blasons-229x300

Les blasons relèvent à la fois de l’héraldique et de l’histoire. La science héraldique permet une étude fascinante des modes de vie médiévaux et nous permet d’imaginer la vie de nos ancêtres. On représentait divers animaux, végétaux, éléments naturels ou objets inanimés pour attester de certaines caractéristiques, de traits particuliers, de faits historiques ou de projets. Par exemple, le chevron symbolisait la protection et a souvent été placé sur les blasons en signe d’un exploit remarquable accompli par son porteur. Un symbole (ou meuble) placé sur un blason donnaient en général des indices sur l’existence d’une personne. Certaines armoiries sont l’interprétation artistique du nom d’un homme. Ainsi, par exemple, la plupart des blasons de la famille Marinier comportent des dauphins ou des poissons. Les armories révèlent souvent le métier d’une personne. D’autres évoquent des caractéristiques moins tangibles, par exemple, les espoirs du premier propriétaire du blason, ses vœux et ses aspirations. Ainsi, l’espoir est représenté par une gerbe de blé, et la joie par des guirlandes de fleurs ou une rose rouge. Les croix et les symboles religieux signifient souvent que la personne se sentait proche de son dieu, ou que le chevalier était le vétéran de l’une des séries de guerres des plus sanglantes ; les croisades. Les recherches héraldiques sont pleines de fiers chevaliers qui se glorifient de leurs exploits guerriers à travers leur cotte d’armes.

 Les premières armoiries étaient assez simples et ne se composaient que de l’écu. Le motif était mis en valeur par une bande horizontale ou verticale, une étole ou une demi-lune ; cependant, les motifs sont devenus, petit à petit,  plus variés et plus complexes. Juste au-dessus de l’écu se trouve le casque dont le style et la positon (de face ou de profil) sont dictés par le pays et le statut de l’homme qui l’a porté pour la première fois. La guirlande, ou torsade, est fixée au sommet du casque. L’écu ne comportait pas de cimier avant le 13ème siècle. Le cimier était l’emblème qui survivait lorsque la bannière avait été détruite et le bouclier fracassé, comme symbole de ralliement au courage du chevalier. Il était peint sur cuir, parfois sur métal fin ou même sur bois, et était fixé sur le casque pour que les combattants puissent facilement identifier le chevalier. Le lambrequin, aujourd’hui représenté par des bandes sur les armoiries, était un voile qui pendait de l’armet et couvrait le bas de la nuque. Il indiquait que le porteur avait été à la bataille. Le lambrequin, dans la plupart des cas, est d’importance secondaire par rapport au bouclier et au cimier. On utilise souvent des lambrequins types pour illustrer les divers blasons. Le lambrequin d’ornement illustré pour votre écu a été conçu de manière à pouvoir être utilisé avec n’importe quel blason.

Certaines familles se sont également transmis des devises à travers les âges. Il peut s’agir de cris de guerre ou d’une variante du nom d’une famille. Elles peuvent exprimer la piété, l’espoir ou la détermination, ou commémorer une action ou un événement passé. La tradition historique des blasons s’est compliquée du fait que les motifs devenaient eux-mêmes plus complexes. En 1419, Henry V d’Angleterre trouva qu’il était nécessaire d’imposer des règlementations sévères sur l’emploi des cottes d’armes, car ces dernières faisaient souvent l’objet de querelles à la cour.

Le roi interdit à quiconque de prendre des armoires, sauf par droit ancestral, ou à titre de présent de la couronne. Plus tard, Henry VIII envoya même les hérauts (alors experts royaux en armoiries) dans les comtés pour faire des « visites d’inspection ». Aussi incroyable que cela puisse sembler aujourd’hui, ces « visites » eurent lieu une fois par génération pendant près de deux siècles, uniquement pour vérifier, répertorier ou radier les blasons existants. Il est à noter que la langue la plus communément utilisée par les hérauts était le français de Normandie, la langue de la cour à cette époque. Par exemple, le blason écrit dans cette langue « D’azur a une fortune, posse sur une boule d’or » se traduit : « De couleur bleu avec l’emblème de la fortune posé sur une boule d’or ». Vous constaterez que même le la blason le plus complexe ne comporte pas plus d’une phrase.

 

 

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Les premiers blasons européens

Posté par francesca7 le 14 mai 2013


 

 Les premiers blasons européens dans AUX SIECLES DERNIERS armoiries

depuis le début du 13ème siècle, les blasons et les armoiries nous fascinent, et présentent un réel intérêt historique. Il est facile de comprendre pourquoi, après plus de sept siècles, on continue à examiner et à étudier plus d’un demi million de blasons déposés par des particuliers avec leurs noms de famille respectifs.

L’histoire de l’évolution du terme « cotte d’armes » est très intéressante. Au Moyen Age, on était toujours en guerre. On ajoutait donc le plus en plus d’armures à l’uniforme de bataille du chevalier, jusqu’à ce qu’il soit finalement protégé de la tête aux pieds. L’armure en métal comprenait un armet pour protéger la tête, et il était donc pratiquement impossible de distinguer un chevalier d’un autre. Afin d’éviter les mésaventures sur le champ de bataille (comme de blesser un ami) il a fallu trouver le moyen d’identifier les combattants. On a alors pensé à la couleur. Les chevaliers se sont donc mis à peindre des motifs sur leurs boucliers de bataille. Ces motifs ont finalement été portés sur des chasubles tissées et enfilées par-dessus l’armure. En fait, on voyait souvent caracoler de nombreux chevaux affublés d’une chasuble en tissu, les armoiries et leur maître resplendissaient sur leur flanc.

On exhibait fièrement cet insigne coloré. A mesure que l’on créait de nouveaux motifs, il est devenu nécessaire de les enregistrer ou de les déposer dans un livre afin d’éviter que deux chevaliers n’utilisent le même insigne. On tenait des registres qui donnaient à chaque chevalier le droit d’exclusivité sur son blason. Le plus souvent, les registres étaient ensuite copilés. Ils répertoriaient le nom de famille et la description exacte de la cotte d’armes. On les appelle « armoiries » ou « blason ». Le mot « héraldique » est associé aux cottes d’armes en raison du rôle du « héraut » qui enregistrait les blasons, pratique courante lors des événements sportifs médiévaux. Les tournois  (ou joutes) étaient très en vogue au temps de la chevalerie, et lorsque chaque combattant était présenté à la foule, un héraut sonnait la trompette, annonçait les exploits du chevalier et décrivait son blason. Celui-ci était ensuite enregistré par les hérauts pour assurer la protection des droits familiaux de procession et d’utilisation des armoiries.

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Les noms du monde entier

Posté par francesca7 le 14 mai 2013


 Les noms du monde entier dans AUX SIECLES DERNIERS enfants-du-monde

Bien que notre noms de famille nous fournisse des indices les plus substantiels sur l’historie de notre famille, les prénoms et les pseudonymes éventuels peuvent également être très précieux pour tracer notre arbre généalogique. On décompose souvent les noms en trois parties : les prénoms, ou noms de baptême, sont ainsi désignés parce que les premiers chrétiens, lors du baptême changeaient leurs prénoms païens pour des prénoms de saints chrétiens.

La plupart des prénoms employés aujourd’hui dans le monde occidental provient de cinq langues : l’hébreu, le germain (qui comprend l’allemand), le grec, le latin et le celte (qui comprend l’irlandais, le gallois et l’écossais).

Il est incroyablement facile de classer les prénoms dans des catégories distinctes. L’hébreux a engendré les noms bibliques et environ la moitié de la population de langue anglaise porte des prénoms issus du Nouveau Testament comme Elizabeth, Mary (Marie), John (Jean) et Joseph. Les langues germaniques nous ont donné des noms liés à des caractéristiques guerrières, comme Charles (devenir adulte), ou Ethel (noble). Les langues grecque, latine et celte nous ont également donné des noms qui décrivent des caractéristiques physiques et des qualités abstraites. Par exemple, le nom grec André signifie « viril » et le nom grec Dorothée signifie « don de Dieu ». En latin, Victor veut dire « victoire à la bataille » et Laura « laurier ». Les noms d’origine celtique sont surtout poétiques. Ainsi, Kevin signifie « doux et aimé » et Morgane « habitante de la mer ».

Alors qu’il existe des quantités de prénoms, le processus de sélection a, en fait, été un peu limité. Il faut savoir qu’en 1545, l’Eglise catholique a ordonné que l’on baptise les enfants sous le nom d’un saint, si bien que pendant des siècles les prénoms se sont plus ou moins limités à Jean et Marie. En fait, dans tous les pays occidentaux, au Moyen Age, il n’u avait qu’environ 20 prénoms courants pour les petits garçons et les petites filles. Dans les années 1600, les protestants ont rejeté tout ce qui avait trait au catholicisme et des prénoms de l’Ancien Testament comme Elijah, Priscilla et Joshua sont apparus. On n’a pas utilisé de second nom avant le 15ème siècle. On a alors ajouté un second prénom comme symbole de la noblesse germanique. De nombreuses années ont passé avant que cette pratique soit très répandue, et aux Etats-Unis, elle ne s’est vraiment installée qu’après la guerre de sécession, quand la mode a été d’utiliser le nom de jeune fille de la mère.

Peut-être avez-vous, ou allez-vous rencontrer le nom d’un ancêtre qui ressemble à un titre. Par exemple, « Esquire » (Monsieur, titre donné autrefois aux chevaliers et licenciés es lettres), après un nom, indiquait que l’homme était un personnage respecté, un degré en dessous du chevalier. « Gentleman » (gentilhomme) était encore un degré en dessous d e « l’ Esquire ». Le titre « Goodman » (ou « Goody » ou « Goodwife » pour une femme), s’appliquait au maître de maison.

De nombreux autres termes du passé ont changé de sens. Les titres d’Esquire et de Gentleman se sont répandus au fil des ans pour inclure les personnes qui ont une position sociale particulière dans la communauté (les médecins, les hommes d’Eglise, les juristes). Les mots « Senior » et « Junior » placés immédiatement après un nom n’impliquent pas forcément un lien de parenté direct (père-fils). Il pouvait s’agir d’un oncle et d’un neveu qui portait le même nom et demeuraient l’un près de l’autre. Le terme cousin était très utilisé pour désigner la famille étendue, et pas seulement l’enfant légitime d’une tante ou d’un oncle.

 

 

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L’origine des noms de famille dans le monde

Posté par francesca7 le 14 mai 2013


 L’origine des noms de famille dans le monde dans AUX SIECLES DERNIERS famille

En Belgique : Les noms belges sont soit d’origine française, soit d’origine hollandaise. Au  Nord, les noms viennent surtout du hollandais et ressemblent à ceux que l’on trouve aux Pays-Bas. Le reste du pays est sous l’influence de la France, et en particulier du dialecte wallon, et les noms de famille de cette région évoquent ceux des Français.

En Allemagne : La plupart des noms allemands viennent de noms de métiers, de couleurs ou de lieux géographiques. Certains sont descriptif (particularités physiques) comme Klein (petit) et Gross (gros). Les noms suivants sont d’origine germanique : Kreuser (celui qui avait des cheveux frisés), Schulter (celui qui travaillait comme gardien dans une prison), Tobler (celui qui habitait dans une forêt ou un ravin) et Shuck (celui qui fabriquait ou vendait des chaussures).

En Angleterre : A la fin du 12ème siècle, on trouvait des Anglais et des noms anglais non seulemnt en Angleterre, mais dans de nombreuses régions d’Ecosse, du pays de Galles et d’Irlande. Les noms de personnes avaient des origines multiples. Certains venaient de la Bible, ou étaient les noms des saints ou des martyrs de la première Eglise chrétienne. Beaucoup étaient normands, quelques-uns étaient des survivances ou des résurgences anglo-saxonnes. Les saints également, très populaires dans certaines régions, comme Cuthbert au nord, ont sans doute influencé le choix des noms dans ces régions. La liste suivante est celle des noms d’origine anglaise et de leur usage dans toute la Grande-Bretagne : Palmer ou Paulmier (un pèlerin de retour de la Terre sainte et portant des palmes), Weedman (responsable d’un temple païen), Yale (celui qui habite dans un recoin, un renfoncement ou un endroit secret) et Schoolcraft (celui qui habite dans une cabane dans un petit champ ou un pré).

En Irlande : Les noms de famille héréditaires ont commencé à être utilisés en Irlande dès le début du 10ème siècle, mais cette coutume ne s’est pas répandue avant le 12ème siècle. Puisque la propriété de la terre était déterminée par les relations familiale,s on a très tôt soigneusement conservé les arbres généalogiques. C’est en raison de cet intérêt pour la descendance que la plupart des noms irlandais sont patronymiques, ce qui se remarque aux préfixes O – ou Mac -. O – vient d’un vieux mot gaélique « ua » qui signifie « issu de », tandis que Mac – veut dire « fils » et est souvent abrégé en « Mc » ou « M ». en raison des persécutions, beaucoup de gens ont abandonné le O – et le Mac – de leur nom, mais aujourd’hui, l’usage de ces préfixes a repris. On trouve des noms irlandais intéressants dont : McClary (le fils de l’ecclésiastique), Rogan (celui qui avait les cheveux roux ou le tient rouge), Ryan (Le petit-fils de Rian, petit roi) et Tamory (le fils du joueur de tympanon).

En Italie : presque tous les noms de famille italiens se terminent par une voyelle et beaucoup viennent de sobriquets descriptifs. Même après que les noms de famille héréditaires aient été adoptés en Italie, les sobriquets descriptifs ont souvent continué à se transmettre d’une génération à l’autre et ont petit à petit remplacé les noms de famille héréditaires. Cette pratique a engendré de nombreux noms d’animaux, de poissons, d’oiseaux et d’insectes. Les noms de famille suivants sont d’origine italienne et se terminent tous par une voyelle : Canella (celui qui vivait là où l’herbe couchée poussait), Medici (celui qui pratiquait la médecin) , Pellicano (qui était sensé posséder les caractéristiques ‘un pélican) et Rotolo (celui qui fabriquait des manuscrits ou écrivait dessus).

En Grèce : La plupart des noms grecs sont d’origine patronymique ou viennent de noms de lieux géographiques. Le nom grec le plus répandu est Pappas, qui signifie descendant d’un prêtre. Les noms suivants ont une origine religieuse ou viennent de caractéristiques physiques : Kraikos (celui qui suit Dieu), Xenos (l’étranger), Galanis (celui qui a des yeux bleus) et Psiharis (celui qui contribue à la bonté de son âme).

Au Portugal : Les nombres et les riches propriétaires terriens portugais ont commencé à employer des noms de famille au 11ème siècle, mais ces derniers ne sont pas devenus héréditaires avant le 16ème siècle. Les nobles riches choisissaient souvent le nom de leur domaine comme nom de famille et les roturiers eux aussi ont fini par adopter des noms de famille peu courant dans les autres pays, comme « da Santa maria ». Parmi les noms d’origine portugaise on trouve aussi les suivants : Henriques (le fils d’Henri ; le maître de la maison), Marques (descendant de marcus ; appartenant à Mars), Mello (celui qui vient de Mello au Portugal) et Souza (celui qui vient d’un endroit salé).

En Chine : Même si la population chinoise compte plus d’un milliard d’habitants, il y a environ 1 000 noms, et seulement 60 sont couramment utilisés. La plupart des noms de famille chinois sont monosyllabiques et ont pour origine une caractéristique physique ou une description. Les noms chinois les plus courants sont Wang (jaune), Wong (champ d’au sauvage), Chan (vieux) et Chu (montagne). Etant donné que presque tous les noms chinois sont monosyllabiques et faciles à prononcer, et en raison des puissants liens familiaux et ancestraux, rares sont les noms qui ont été modifiés. Les Chinois continuent à placer leur nom de famille en première position, bien que cette pratique soit tombée en désuétude chez les Chinois qui vivent en occident.

 Au Japon : Au Japon, jusqu’au 19ème siècle, seuls les membres de la noblesse portaient un nom de famille. Mais tout a changé à la fin des années 1800 lorsque l’Empereur a déclaré que tout le monde devait avoir un deuxième nom. Des villages entiers ont alors pris le même nom. C’est pour cette raison qu’il n’existe qu’environ 10 000 noms au Japon et que la plupart d’entre eux sont des noms de lieux géographiques. On trouve, par exemple, les noms japonais suivants : Arakawa (rude, rivière), Yamada (montagne, champs de riz), Hata (ferme) et Shishido (chair, porte).

 

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L’origine des noms de famille EN FRANCE

Posté par francesca7 le 14 mai 2013


 L’origine des noms de famille EN FRANCE dans AUX SIECLES DERNIERS genealogie

Les français : Les noms de famille français ont des origines diverses qui s’expliquent par la diversité des influences qua subie la France ; influence romaine, musulmane et méditerranéenne, normande et anglo-saxonne, israélite, huguenote, allemande, etc.

 Jusqu’à l’ordonnance de Villers-Cotterêts (1539), la plus grande anarchie régnait au point de vue du port et de la transmission des noms, l’ordre public étant préservé par d’autres moyens, tels la difficulté des communications et la petitesse des villages. Avec cette ordonnance, l’inscription des individus dut imposée, chacun ayant pris l’habitude de prendre un prénom auquel il accolait les noms de son père et de s amère. C’est ainsi que l’on trouve des Jean Marcabrus dérivé des noms de ses père et mère Marc et Bruna. Puis, petit à petit et par désir des implication, ce fut uniquement le nom du père qui fut porté ; Jean Le Boiteux, jean Bègue, André le Galois, etc.

 C’est ainsi que les noms propres semblent s’être fixés en France vers 1350, mais il n’en est pas de même pour l’orthographe de ces noms. Pour nos aïeux, les mots avaient essentiellement une valeur auditive. Ce n’est que peu à peu que l’orthographe s’est fixée. Et ce n’est guère l’ordonnance de 1539, qui rendait obligatoire la tenue des registres paroissiaux, qui a pu fixer l’orthographe.

 L’orthographe est une notion qui a échappé à l’Ancien Régime et qui n’a commencé à apparaître qu’avec le dictionnaire de l’Académie pour les noms communs ; mais, si celle-ci en 1740 supprima le s dit « muet » qui ne se prononçait plus depuis le 11ème siècle devant une consonne sonore et depuis le 12ème devant une sourde (beste, teste, etc, écrits désormais bête, tête…), le s a persisté dans les noms de famille Lasnier (lânier), Pescheur, etc. L’académie pouvait agir sur les noms communs, mais guère sur les noms propres. Chaque curé avait sa manière d’écrie, influencée soit par la prononciation, soit par des formes latinisantes, voire par le pédantisme.

 Ceux qui savaient signer adoptaient parfois plusieurs orthographes. C’est ainsi que Malherbe (mort en 1628) signait Malerbe, Male-herbe, ou même Malesherbe. C’est seulement à partir de la Restauration que l’orthographe est devenue un signe de bonne éducation ; encore les bévues ne manquent-elles pas, le cas extrême cité par Dauzat étant Zoézédoé dû à une faute d’enregistrement : le déclarant avait épelé Zoé : zed, o, é, sons que le préposé avait transcrit d’affilée…

 Les altérations qui se produisent au 19ème siècle sont cependant assez rares et proviennent soit de la négligence des déclarants qui ne portent pas attention à l’orthographe du nom déclaré (surtout dans les déclarations de naissance faites par des tiers), soit de bévues de l’officier d’état civil. Il en est parfois résulté des scissions de nom entre branches d’une même famille.

 

 

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