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    La France, je l'aime corps et biens, en amoureux transi, en amant comblé. Je la parcours, je l'étreins, elle m'émerveille. C'est physique. Pour l'heure, c'est le plus beau pays du Monde, le plus gracieux, le plus spirituel, le plus agréable à vivre. En dépit de ses défauts, le peuple français a des réserves inépuisables de vigueur, d'astuce et de générosité. j'écris cela en toute connaissance de la déprime qui périodiquement enténèbre nos compatriotes. Ils ont une pente à l'autodénigrement, une autre au nihilisme. Je suis français au naturel et j'en tire autant de fierté que de volupté. J'ai pour ce vieux pays l'amour du preux pour sa gente dame, du soudard pour la servante d'auberge, de l'érudit pour ses grimoires, du paysan pour son enclos, du bourgeois pour ses rentes, du croyant des hautes époques pour les reliques de son saint patron... J'ai la France facile, comme d'autres ont le vin gai ; je l'ai au coeur et sous la semelle de mes godasses. Je suis français, ça n'a pas dépendu de moi et ça n'a jamais été un souci. Ni une obsession. Toujours un bonheur...

    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

  • a bientot

recherche d’ancêtres anglais

Posté par francesca7 le 12 juin 2013


 

recherche d’ancêtres anglais dans AUX SIECLES DERNIERS bibliothe-160x300Certains seront surpris d’apprendre que l’enregistrement de l’état civil ne commença en Angleterre et au pays de Galles qu’en 1837. Avant cela, uniquement les registres paroissiaux ou les registres des églises contenaient les renseignements sur les baptêmes, les mariages et les décès. Tous les certificats de naissance, de mariage et de décès pour l’Angleterre et le pays de Galles sont conservés au « General Register office, St. Catherine House.

 Notre prochain pas consiste à faire des recherches dans les registres paroissiaux. Chercher si notre paroisse est comprise dans les paroisses de la Grande-Bretagne dont les registres ont été microfilmés par l’Eglise mormone. Eventuellement, une découverte menant à une autre, nous pourrons visiter différentes bibliothèques et les dépôts d’archives publiques. Avant de visiter la bibliothèque britannique, examinons tout d’abord la bibliothèque de la Société des généalogistes, reconnue comme possédant la meilleure collection sur la généalogie dans les Iles Britanniques. Elle est située près de la station Barbican et son adresse se situe en Angleterre.

 En 1977, la Société des généalogistes acquis de la Société généalogique de l’Utah quelque 25 millions de dossiers sur les baptêmes et les mariages dans les îles Britanniques entre 1538 et 1875. Cet index informatisé est réparti par comtés et peut être visionné et lu à la bibliothèque. La bibliothèque contient différentes éditions des ouvrages suivants : « Burke’s peerage, Landed Gentry », GEC Complete Peerage, Walford’s  County Familles, ainsi que les lires de la Société des généalogistes dur l’héraldique.

 La bibliothèque britannique comporte une grande section consacrée aux travaux faits sur la généalogie. On y trouve des séries du « Gentlemans magazine », du « Scots Magazine » et du « London Magazine ». Cette bibliothèque contient également une grande collection de vieux journaux et un nombre étonnant d’histoires sur les comtés. Vous pouvez la visiter..

 Au « Public Records Office Chancery Lane, Londres, vous trouverez là-aussi des registres légaux et les testaments du «Prerogative Court of Canterbury Wills » antérieurs à 1858. Les testaments et les documents des administrations postérieurs à 1858 sont conservés au « Somerset House, Londres ». La quantité de renseignements conservés au « Public Records Office » et ses dépôts est renversante. Avant de visiter le « Public Records Office », il est conseille de consulter les trois volumes intitulés « Guide to the Contents of the Public Records Office ». Si vous êtes encore incertain quant à la façon de procéder, demandez l’aide d’un responsable des archives qui se fera un plaisir de vous aider.

 La valeur d’une bonne bibliothèque ne doit jamais être sous-estimée….

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Nos ancêtres par l’Eglise mormone

Posté par francesca7 le 12 juin 2013


 

Nos ancêtres par l’Eglise mormone dans AUX SIECLES DERNIERS egliseLa bibliothèque de l’historique familial de l’Eglise de Jésus-Christ des saints du dernier jour est l’un des premiers endroits où vous pourrez commencer vos recherches généalogiques sur l’historique de votre famille. Les mormons possèdent la plus grande source d’information généalogique au monde. Aucune recherche sur votre historique familial ne devrait être considérée complète avant que vous ayez consulté les bibliothèques de l’Eglise mormone.

 L’intérêt pour les recherches généalogiques des mormons provient d e leur croyance que les liens de parenté sont éternels. Les mormons croient que toutes les familles (ancêtres et descendants) se retrouveront ensemble pour l’éternité. Les membres de cette Eglise retracent l’historique de leurs ancêtres pour se préparer à la grande cérémonie du « lien », où se retrouveront toutes les familles pour toujours. Avant que les familles se lient ensemble, il leur faut retracer l’historique de tous leurs ancêtres. Leur bibliothèque est souvent mise à profit dans les plus importants programmes de généalogie connus du genre humains.

Ils ont compilé et catalogué des informations sur plus de 10 millions de familles. Quelque 60 millions de noms peuvent être trouvés dans l’index généalogique international. Ils ont répertorié des documents tels que les registres paroissiaux, les certificats de mariage, les registres des cimetières, les actes notariés, les registres militaires, les subventions administratives agricoles, les homologations… La bibliothèque de Salt Lake City, Utah (USA) est énorme et possède un million de rouleaux de microfilms, et 200 000 volumes imprimés. Plus de 30 000 nouveaux rouleaux de microfilms et 3000 volumes imprimés sont rajoutés chaque année. Chaque jour, des informations sont microfilmées dans plus de 38 pays du monde. Toutes ces informations sont disponibles aussi pour les non-mormons, et peuvent être obtenues en contactant ou en consultant la bibliothèque mormone la plus proche. Pour l’instant, l’Eglise mormone a copié et indexé les registres paroissiaux dans plusieurs pays et vous pouvez obtenir une liste de cet indes pour le nom que vous recherchez, et cela pour un tarif raisonnable. La bibliothèque répondra à quelques-unes de vos questions, mais elle n’a pas assez de personnel pour effectuer des recherches détaillées pour chaque individu. Cependant, si vous demandez des informations spécifiques, ils vous fourniront une liste de professionnels agréés. Lorsque vous demanderez cette liste, spécifiez bien le ou les pays dans lesquels vous effectuez vos recherches, car ils ont des spécialistes dans chaque domaine géographique. Vous pourrez ainsi sélectionner vos chercheurs et négocier les arrangements financiers.

 Bien que les registres mormons soient vastes et exhaustifs, ils ne sont que le point de départ d’une recherche et non le point final. Utilisez leur compétence comme guide pour poursuivre vos recherches et n’hésitez pas à examiner d’autres sources. Vous trouverez les adresses des plus importantes bibliothèques et les branches internationales de la bibliothèque de l’historique familiale de l’Eglise de Jésus-Christ des saints du dernier jour à :

 THE FAMILY HISTORY LIBRARY OF THECHURCHOFJESUS CHRISTOF LATTER DAY SAINTS. 35 n wTemple Street–Salt Lake City– Utas 84150 Etats Unis.

 

un site à consulter……. 

 

 

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Obtenir des informations officielles

Posté par francesca7 le 12 juin 2013


 Obtenir des informations officielles dans AUX SIECLES DERNIERS phtot2-184x300

La conservation des documents n’a jamais été aussi parfaite qu’aujourd’hui depuis que les ordinateurs gardent en mémoire un volume considérable d’informations sur chacun de nous.

 Commencez vos recherches en fonction des certificats officiels dans les lieux mêmes de naissance, de mariage et de décès. Lorsque vous écrirez aux bureaux de l’état civil, voilà ce que vous ne devez pas oublier d’annoncer :

 -       le nom de la personne dont vous souhaitez obtenir le certificat,

-       la nationalité et le sexe,

-       le nom de ses parents, y compris le nom de jeune fille de la mère,

-       la date exacte de naissance, de décès ou de mariage (mois, jour et année),

-       le lieu exact de naissance, de décès ou de mariage (inclure les hospitalisations, si souhaité)

Vous pouvez demander un double des certificats complets ou un double des certificats simples (moins chers). Vous aurez peut-être besoin d’écrire deux lettres : la première pour demander le coût et la deuxième pour passer la commande. Le tarif est modéré, si vous incluez assez d’informations pour que le document vous soit facilement et rapidement envoyé ; si la personne est encore vivante, il faut prouver votre lien de parenté avec elle.

 Tant compte de toutes ces ouvertures qu’offre la généalogie, voici maintenant des conseils pratiques et des adresses où vous pouvez commencer et approfondir vos recherches. Avant tout, il importe donc :

 1-      De déterminer le lieu d’origine de la famille, des renseignements utiles peuvent être demandés à Paris à la Direction des Archives de France créées par la loi du 7 messidor an 2 (25 juin 1794) qui dépend du ministère de la Culture, ainsi qu’à la Direction des Archives nationales crées par décret du 12 septembre 1790 modifié par le décret du 3 décembre 1979.

 On consultera aussi avec intérêt le Traité d’Anthroponymie français de Monsieur Albert Dauzat édité à Paris en 1977. Du même auteur, nous relevons encore le Dictionnaire étymologique des noms de famille et prénoms de France édité à Paris en 1951 et aussi de Mademoiselle Marianne Mulon l’Onomastique française éditée à Paris en 1977 par la Documentation française.

 Si vos recherches s’avèrent sans résultat, il convient impérativement d’écrire aux Archives nationales à Paris où existe un Centre d’onomastique.

2 – Ce lieu d’origine une fois découvert, il importe de s’adresser au dépôt des archives départementales créées par la loi du 5 brumaire an 5 (26 octobre 1796) et le décret du 3 décembre 1979 dont dépend la province, la généralité, le bourg ou la ville qui ont été repérés. Ces dépôts aux archives départementales sont en général situés dans les mêmes locaux que la préfecture ou les sous-préfectures et en tout cas en dépendent administrativement.

3 – La recherche ayant été affinée, ce sont les archives paroissiales du lieu de résidence de la famille qui apporteront le plus d’éléments : actes de baptême, de mariage, d’inhumation ainsi que les archives hospitalières, la famille que vous recherchez pouvant très bien y avoir été recueillie ou au contraire avoir élargi des dons. Ces registres paroissiaux sont valables uniquement pour les actes antérieurs à la Révolution de même que les registres des protestants et des israélites dans les provinces à forte concentration de ces religions.

Pour la période postérieures à la Révolution, nous rappellerons que l’état civil a été institué par la loi du 20 au 25 septembre 1792, ce qui nous permet de nous référer aux archives communales ou même, si le dépôt du double des actes de naissance, de mariage et de décès a été effectué, auprès du greffe du tribunal de grande instance.

 En ce qui concerne les personnes provenant de l’étranger, pour tout ce qui a trait à la période antérieure à 1789, il faut consulter, aux Archives nationales, les séries J – K – L et M. pour la période postérieure à 1789, consultez la série judiciaire. On consultera aussi avec intérêt les archives du ministère du Travail et du ministère des Affaires étrangères, qui peuvent être intéressantes dans le cas où la famille a occupé des fonctions diplomatique,s ainsi que les archives de la Commission du Sceau auprès du ministère de la Justice dans le cas où la famille a fait enregistrer un titre de noblesse étranger. Enfin, nous préciserons que si un de vos prédécesseurs a exercé des fonctions spécifiques dans une grande administration, il conviendra de faire la recherche correspondante auprès du ministère de dépendance où, selon le rang administratif, des informations plus ou moins complètes et étendues sont conservées : ministère des Colonies, de la Marine, de l’Armée, de l’Education nationale, de l’Intérieur, etc.

 Les délais de communication ont été strictement définis par la loi du 3 janvier 1979 et sont étroitement liés à la matière. Par exemple, en ce qui concerne les dossiers médicaux, il faut attendre 150 ans depuis la date de naissance alors que ce délai est réduit à 60 ans en ce qui concerne les archives relatives à la sûreté de l’Etat. La délivrance ou l’expédition des actes de l’état civil de moins de cent ans est faite gratuitement. En ce qui concerne par contre les archives de l’état civil de plus de cent ans, ainsi que les visas de conformité des copies, reproductions photographiques et extraits de documents, ils sont délivrés uniquement pour des motifs administratifs ou judiciaires ou par la preuve d’un droit, les frais de copie étant à la charge du demandeur. Il se peut que le nom que vous portez actuellement ne soit pas celui que votre famille portait à une période plus ou moins éloignée.

Vous aurez donc intérêt à consulter les modifications et changements de noms intervenus par décision administrative ou judiciaire. Il existe des fichiers aux Archives nationales séries Y7 à 18 pour la période allant de 1363 à 1703, inventaire 1008 pour la période allant de 1674 à 1787, et l’ouvrage de l’archiviste Jérôme « Dictionnaire des changements de noms » en plusieurs volumes allant de 1803 à 1964. Il existe aussi des copies de jugements des tribunaux civils portant rectification de noms, pour la plupart nobiliaires, qui concerne les israélites, les déclarations de changement de noms se trouvent sous la cote F 19 11010 à 11016.

 Pour les familles descendant d’enfants trouvés ou naturels, les archives hospitalières peuvent donner de bons résultats de recherche ou l’Aide sociale à l’Enfance à Paris où existent des dossiers remontant jusqu’à 1639. On peut obtenir également des informations sur les enfants trouvés à l’ARS de Paris ou bien encore à la CNAMTS. Des légitimisations sont référencées pour l’ancien régime sous les cotes E 3706 11 etc… registre des bannières du Chapelier de Paris : à la bibliothèque nationale existe le Manuscrit français 33047, recueil général des légitimisations et bâtardises, ainsi que le manuscrit 22237 par Gaignières pour les périodes 1356 à 1385 et 1514 à 1655.

 Les actes notariés (contrats de mariage, donations, testaments) conservés, soit chez le notaire soit aux archives départementales s’il les a versés, sont une source intéressante, mais le dépouillement étant effectué de manière très fragmentaire, une recherche n’est possible que si on connaît la date approximative et bien entendu le nom du notaire. La législation a permis aux minutes notariales centenaires d’entrer aux Archives nationale et départementales mais le contenu n’a pu jusqu’à ce jour en être déchiffré. Il faut tenir compte qu’entre 1928 et 1962 les minutes déposées atteignent, sur les étagères, une distance linéaire de 78 kilomètres. Dans ces conditions, il est intéressant de consulter le répertoire qui est un résumé chronologique des minutes reçues par un notaire avec, en général, mention de la date t du nom des parties et indication de la nature de l’acte. Pour compliquer le tout, nous ajouterons que jusqu’au 17ème siècle, les répertoires sont classés par ordre de prénom ce qui est loin de simplifier la tâche du chercheur !

Pour terminer, nous conseillerons au chercheur de s’adresser également aux diverses bibliothèques de Paris, outre la Bibliothèque nationale où  sont conservés les manuscrits de la collection d’Hozier et Chérin, qui rassemble également des dossiers annexes comme les Dossiers Bleus, les Carrés d’Hozier, le Cabinet d’Hozier, le Nouveau d’Hozier et la collection  Chérin, sans oublier les preuves de noblesse (Ecoles royales militaires, les Pages et les Demoiselles de Saint Cyr) non plus que les Maintenues de Noblesse de 1667 à 1727.

Enfin, nous signalerons d’une part la Fédération des sociétés françaises de généalogie, d’héraldique et de sigillographie qui édite sur microfilms les Archives nationale,s départementales, provinciale,s régionale,s à des prix très concurrentiels et qui permettent une consultation aisée à domicile. Par ailleurs, on pourra aussi consulter le trésor d’érudition et la somme de documents que constitue la « Bibliographie par Monsieur Gaston Saffroy ainsi que les deux suppléments donnés par Mademoiselle Geneviève Saffroy en 1963 et 1983. en ce qui concerne les noms nobles, ceux-ci ne sont pas forcément agrémentés d’une particule. Croire que parce que votre nom est sans particule et qu’à votre connaissance, votre famille n’a jamais porté de titre est en fait démuni de toute signification. En effet, une famille peut fort bien être noble et ne pas avoir de particule. De plus, la particule peut fort bien avoir été éludée au moment de la Révolution de 1789 (et il est facile et peu onéreux d’obtenir une rectification de l’état civil). En outre, un titre peut avoir été « perdu » pour des raison multiples : revers de fortune, sentiments révolutionnaires d’un aïeul ou d’un trisaïeul, branche cadette devenue, à votre insu, l’aînée à cause de l’extinction de cette dernière, etc.

 L’intérêt de cette recherche, outre à flatter l’orgueil personnel et celui de toute la famille, comporte aussi un intérêt pratique au niveau de la recherche généalogique : en effet, les noms nobles étant répertoriés de manière davantage systématique, le lieu d’origine, point de départ de toute recherche généalogique sera plus facile à déterminer. 

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Ce lieu d’origine vous révélera :

  1. le nom de famille ancestral de vos prédécesseurs et les noms de terres nobles (fiefs) qu’ils ont pu porter.
  2. la coutume des transmissions du nom, de la noblesse et des titres quand manquent les lettres patentes.
  3. la date de rattachement à la France : époque des grands fiefs ou traités plus ou moins récents comme la Navarre ou la Savoie.
  4. la province et la généralité à laquelle appartenaient vos ancêtres vous donnera la description et la représentation de vos armoiries, si vous êtes français depuis au moins 1696, date du Grand Armorial des Hozier de Serigny. A ce sujet, il convient de préciser que les armories ne sont l’apanage de personnes, toute famille pouvant en avoir à condition de respecter les règles héraldiques et de ne pas reproduire les armes d’une autre famille. Par contre, seules les familles nobles titrées ont le droit de surmonter leur écu d’un cimier ou couronne relatif au titre dont la famille est investie et dont le port par des personnes qui ne peuvent justifier du droit à un titre, constitue une infraction punie par la loi.

En guise de conclusion, il faut préciser que, lorsqu’il n’existe aucun acte officiel (état civil, registres paroissiaux ou autres) qui établit un lien de filiation, par ailleurs bien certain (achat d’un terrain, registre des hypothèques, pierre tombale, donation, etc), il devient alors nécessaire de faire établir ce lien devant notaire au moyen d’un « acte de notoriété » ; dan cet acte, le notaire, en présence de témoins ou des pièces prouvant le lien dont il s’agit, établira officiellement ce lien de filiation qui dorénavant suppléera à un acte de l’état civil faisant défaut.

 

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Découvrir nos ancêtres

Posté par francesca7 le 7 juin 2013

 

 Les méthodes pour retracer l’historique de votre famille vous sont résumées dans ce paragraphe. Commencez par questionner les plus vieilles personnes de votre famille et construisez un petit arbre généalogique. Après avoir appris comment rassembler et classer les informations, vous pourrez commencer à remplir les cases vides de votre arbre généalogique. Toutes les recherches généalogiques se font à partir d’éléments plus ou moins connus où tout est important.

 Vous apprécierez à juste titre le présent ouvrage comme étant un outil valable pour vous aider à construire votre arbre généalogique.

 

Découvrir nos ancêtres dans AUX SIECLES DERNIERS arbre-de-vie

 

A partir du moment où vos recherches mettent en évidence des maillons manquants, envoyez une lettre ou un questionnaire sur l’historique de votre famille aux homonymes habitant la région en question. Par exemple : vous avez peut-être un ancêtre qui s’est installé dans le Bordelais pour acheter une exploitation viticole. Vous n’avez peut-être pas d’autres informations sauf son nom et la région où il habite. N’hésitez pas à écrire aux autres homonymes qui habitent cette région, vous serez sans doute surpris de ce qu’ils pourront vous apprendre.

 Avant de commencer vos recherches, lisez et informez-vous le plus possible sur les méthodes et les techniques de recherche que d’autres ont déjà utilisées pour leur propre compte. Nous vous recommandons plus loin quelques bons livres sur le sujet. Vous vous apercevrez très vitre que vous collecterez de plus en plus d’information sur votre famille. Bibles, vielles lettres, coupures de presse, carnets de bord, albums photos et documents légaux sont autant d’empreintes vivantes laissées par vos parents, pour vous aider à résoudre le mystère du passé. En d’autres termes, collectez d’abord les informations familiales. Gardez en mémoire votre but principal : trouver de nouvelles informations concernant vos ancêtres. Les résultats de vos recherches ne mettront peut-être pas en évidence une grande et illustre lignée, mais cela peut être un défi éducatif ou un bon divertissement.

 Vos ancêtres auraient pu être savants ou scélérats, chevaliers ou canailles, princes ou pirates, seigneurs ou laboureurs. Mais quels qu’ils aient pu être, ils sont une partie importante de votre héritage familial.  La science qui consiste à retracer l’historique de votre famille à travers les siècles est appelée généalogie. Ce mot ne met pas en évidence le plaisir que cela peut vous procurer ni le défi qu’il vous faudra relever.

 L’intérêt de l’intrigue que représente la généalogie résident dans le fait qu’une fois vos recherches commencées, vous ne savez jamais où vous allez aboutir ni ce que vous allez trouver. Lorsque vous déciderez d’entreprendre vos recherches généalogiques, sachez que vous pourrez louer, à tarifs variés, les services de chercheurs expérimentés ou de généalogistes professionnels qui retraceront certainement plus aisément l’histoire de votre famille que vous ne pourriez le faire vous-même.

 Mettre à jour l’historique de votre famille nécessite beaucoup d’organisation. Pour y parvenir, voilà ce dont vous avez besoin :

-       deux classeurs à feuilles volantes : un pour vos notes et vos recherches en cours, l’autre pour l’historique actuel de votre famille.

-       Des cartes géographiques retraçant l’itinéraire de votre famille. Les généalogistes les appellent « carnets de pedigrees » ou « carnets familiaux ».

-       La liste des questions sur l’historique de votre famille que vous pouvez facilement établir vous-même. Cela vous permet d’être sûr de ce que voulez demander.

 Par où commencer ?

D’abord par vous-même. Asseyez-vous et ouillez dans vos souvenirs (bibles familiales, carnets intimes, lettres) pour y retrouver toutes sortes d’informations sur les noms, les lieux et les dates importantes. L’étape suivante consiste à découvrir vos plus anciens parents. Les « interview » est un mot bien formel, mais c’est pourtant ce que vous devrez faire. Demandez à un parent ou à un ami un entretien, ou envoyez-leur un courrier. Par la suite, avant toute rencontre, envoyez leur un nouveau courrier mentionnant toutes les questions que vous souhaitez leur poser. Puis laissez-leur plusieurs semaines pour retrouver leurs carnets de bord, leurs mémentos qui leur rafraîchiront la mémoire. Si une visite personnelle n’est pas possible, vous aurez donc besoin d ‘établir un questionnaire informel. Utilisez un style neutre, ainsi ils ne se sentiront pas gênés pour répondre à vos questions. Parlez-leur de votre projet et essayez de les sensibiliser et de les enthousiasmer. Et surtout n’oubliez pas de joindre une enveloppe timbrée et libellées à votre adresse. Comme nous vous l’avons mentionné, l’historique de votre famille devrait être plus qu’une collection de noms, de dates et de lieux. Cela devrait être plutôt une collection de souvenirs et de vécus.

 Voilà comment procéder :

-       Informations vitales : extraits de naissance, certificats de décès et certificats de mariage.

-       Informations personnelles : journaux, carnets de bord, coupures de presse, photos, albums de famille, albums de mariage, faire-part de naissances et de décès, certificats de travail ou de retraite.

-       Documents légaux : contrats, feuilles d’impôts, testaments, actes notariés, hypothèques.

-       Registres d’écoles : diplômes, annuaires, récompenses, anciens élèves.

-       Registres religieux : de baptêmes, de mariages, de paroissiens et les bibles familiales.

-       Registres gouvernementaux : récompenses ou réformes militaires, papiers de citoyenneté ou de naturalisation, passeports, permis de travail, papiers administratifs en tout genre.

-       Carnets de santé : vaccinations, hôpitaux, assurances, ordonnances médicales.

 Aucun historien ne passerait uniquement son temps dans les greniers ou discutant avec des parents comme nous vous le suggérons … il sera souvent dans les bibliothèques et sera familier avec les société généalogiques et les magazines de généalogie, les bibliothèques privées avec leurs collections généalogiques, les arches et les bibliothèques  nationales, et les cimetières où les familles ont été enterrées. Et n’oubliez surtout pas les registres de recensement auprès des chefs-lieux départementaux. Vous retrouverez des registres de militaires, de pensions et de subventions aux personnes âgées aussi bien que des listes de passagers de paquebot et des certificats de naturalisation.

 La quantité et la qualité de vos informations pour retracer l’historique de votre famille dépendront de votre persévérance dans vos recherches et de votre chance. Si une quantité suffisante d’informations sur votre famille a bien été conservée, vos chances de « remonter » les branches de votre arbre généalogique seront meilleures. Vos résultats dépendent donc de la bonne préservation des informations. Si vous n’êtes pas sûr de l’endroit où vivaient les membres de votre famille, vous pouvez tenter de les localiser grâce aux extraits de naissance, aux certificats de mariage et de décès de vos ancêtres.

 

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Recherches héraldiques SUISSES

Posté par francesca7 le 7 juin 2013

 

 

Recherches héraldiques SUISSES dans AUX SIECLES DERNIERS suisses-300x194Presque tous les Suisses ont des armoiries. Même si beaucoup se sont eux-mêmes octroyés leurs blasons, on s’intéresse beaucoup à la science héraldique en Suisse. L’influence de certains pays étrangers, à divers époques, se reflète dans les armories nationales. Elles ont été accordées aux citoyens suisses à diverses périodes de l’histoire par les Allemands, les Français, les Hongrois, les Bohémiens et même les Anglais.

 Nous trouverons aussi de nombreuses armoiries où l’armet traditionnel est remplacé par le « bonnet de la liberté de Guillaume Tell ».

  L’emploi des armoiries fédérales est soumis à des conditions différentes La croix suisse est définie comme une croix blanche, verticale et alésée, placée sur un fond rouge et dont les branches, égales entre elles, sont d’un sixième plus longues que larges.

Les armoiries officielles sont constituées d’une croix suisse placée dans un écusson. Les reproductions fidèles ou les reproductions partielles des armoiries sont dorénavant réservées aux collectivités, tout comme les signes susceptibles d’être confondus avec elles. Il ne suffit donc pas de modifier les proportions des armoiries protégées ou d’utiliser une autre forme d’écusson, ni d’utiliser une autre couleur, si elle ne se différencie pas clairement de la couleur du signe protégé, pour écarter le risque de confusion.

Ainsi, une croix blanche verticale sur un écusson à fond orange est un signe susceptible d’être confondu avec les armoiries de la Confédération, parce que la couleur choisie ne se distingue pas suffisamment du rouge utilisé dans les armoiries nationales. Une croix blanche verticale sur un écusson à fond bleu est par contre propre à exclure tout risque de confusion, de sorte que son emploi n’est soumis à aucune condition particulière.

 

 

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la légende héraldique

Posté par francesca7 le 7 juin 2013


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la légende héraldique dans AUX SIECLES DERNIERS legendeDifférentes disciplines scientifiques servent à étayer des légendes héraldiques fantaisistes mais flatteuses pour la famille qui portent ces armoiries légendaires. La géographie, la généalogie, la philologie, ainsi que, curieusement, la géologie, servent à nourrir ces légendes ; ces dernières, presque toujours issues des récits imaginaires et faussement érudits des hérauts d’armes des xivet xve siècles, se colportent jusqu’au xviie siècle par le biais des publications et des manuscrits de ces hérauts, mais aussi par les traditions orales familiales, comme en attestent de nombreux auteurs héraldistes qui relatent les circonstances de leur découverte de ces légendes. Ces dernières expliquent la nature des motifs héraldiques des armoiries des familles par un système assez simple d’analogies plastiques. Ainsi, des bandes horizontales sur un écu pourraient par exemple rappeler un fleuve, une disposition géographique ou une anecdote le plus souvent flatteuse sur les origines de la famille concernée. Une attention particulière a été ici apportée au cas de l’hermine de Bretagne, expliquée par plusieurs légendes mobilisant l’histoire antique, ou des récits romanesques concernant des princes bretons. L’examen détaillé de ces dires montre une véritable érudition, fondée sur l’imagination ou la réputation, qui se met au service des connaissances héraldiques.

La fable aux origines des armoiries

Les érudits du xviie siècle, même « Ménestrier », dans une certaine mesure, rapportent volontiers des prodiges, des concessions fabuleuses, ou des exploits aussi fabuleux, aux origines de certaines armoiries. Il existe de très nombreux exemples d’armoiries de familles dont l’origine est réputée être un exploit guerrier remarquable ou extraordinaire, au cours d’une bataille, d’une chasse ; cet exploit fait parfois lui-même référence au motif de l’écu, mais il peut aussi s’agir d’une concession royale accordée suite à cet exploit. Il existe aussi des histoires de miracles, souvent liés à un événement mystique, faisant par exemple allusion à la vision de Constantin au pont Milvius, ou à un miracle eucharistique.  Il est intéressant de constater que le xviie colporte un grand nombre de ces légendes, mais en exclut certaines, comme la légende des armes de la famille de Lalaing, pourtant célèbre : ce travail ne concerne donc que les légendes rapportées au xviie siècle ; les autres sont en général redécouvertes au xixe siècle, friand de ces récits flatteurs pour la noblesse, ou les nations.

 

 

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Recherches héraldiques en Belgique

Posté par francesca7 le 2 juin 2013


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Recherches héraldiques en Belgique dans AUX SIECLES DERNIERS noblesse-217x300

Il semble qu’en Belgique, seule la noblesse privilégiée, du roi aux chevaliers, ait eu le droit de porter des armoiries. Vous trouerez les armories des vieilles familles belges ainsi que celles des familles anoblies par ses divers conquérants. L’histoire de la Belgique est tumultueuse. En effet, ce pays a subi l’influence de nombreuses régions, et vous devez donc vous attendre à trouver des armories et des symboles qui ressemblent à ceux du Saint Empire romain, des Espagnols, des Français et des Hollandais.

 Fondé en 1942, l’Office généalogique et héraldique de Belgique (OGHB) compte en 2010 un millier de membres intéressés par la généalogie et/ou l’héraldique. Leur champ d’intérêt couvre toutes les régions de Belgique, même si le caractère de l’association est résolument francophone. La renommée de l’association est liée notamment au sérieux de ses publications, ainsi qu’à l’expertise de nombreux dirigeants de l’association, et ce, dès sa création.

Le Parchemin est une publication bimestrielle de l’office généalogique et héraldique de Belgique créée en 1936. C’est une revue où sont publiées des études sur des sujets divers et variés touchant à la généalogie ou à l’héraldique.

  • Notes généalogiques sur des familles belges ou étrangères
  • Études sociologiques sur l’évolution en Belgique de la population et de sa structure
  • Études historiques ou juridiques sur les changements de la législation en matière généalogique
  • Rubrique « Héraldique vivante »
  • Bibliographie contenant la description d’ouvrages récents ou de revues sur des sujets intéressants
  • Comptes-rendus de colloques ou séminaires nationaux ou internationaux

A noter qu’en matière d’armoiries de personnes appartenant à la noblesse officielle du royaume, seul le Conseil de Noblesse est compétent. Par ailleurs, ce Conseil examine toute requête en reconnaissance de noblesse, adressée au Roi. La jurisprudence de ce Conseil, appelé antérieurement Conseil héraldique de Belgique, a fait l’objet d’une publication bilingue: P. De Win (éd.), Le droit nobiliaire et le Conseil héraldique (1844-1994), Bruxelles, 1994, 274 pp. Pour toute information, s’adresser au Conseil de Noblesse, c/o Ministère des Affaires étrangères, à l’attention du greffier, M. Paul De Win, Egmon II, rue des Petits Carmes 15, 1000 Bruxelles.

De 1974 à 2011, l’Office a enregistré près de 400 blasons anciens ou nouveaux dans la rubrique « Héraldique vivante » de sa revue Le Parchemin. Tous ces blasons sont consultables dans l’Armorial Héraldique vivante sur le présent site. Dans un esprit de service aux membres, l’Office est présentement disposée à aider et à conseiller ses membres pour la préparation de leurs dossiers auprès des Conseils héraldiques des deux communautés. Si vous désirez bénéficier de ces conseils et que vous êtes membre de notre association, vous pouvez  prendre contact avec notre secrétariat.

 

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Titres d’honneur dans la société française

Posté par francesca7 le 2 juin 2013


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Titres d’honneur dans la société française dans AUX SIECLES DERNIERS contesse-131x300

« Madame«  : cette appellation, jadis réservée à la reine et aux princesses de sang royal par un sens de courtoisie et d’honneur, s’est progressivement étendue aux grandes dames, aux bourgeoises et enfin à toutes les femme.

 Le titre de « Monsieur » désigne lui aussi les princes royaux, puis les nobles titulaires d’un fief (seigneur ou sieur de…) les bourgeois et enfin tous les hommes sans distinction.

 Le titre de chevalier, qui ne se porte guère en France, est très courant en Belgique, en Espagne, en Italie et aux Pays-bas. Il est la plus haute dignité féodale, la base de l’ordre de la noblesse, tout page ou écuyer pouvant être armé chevalier par un autre chevalier.

Les qualifications de majesté, Altesse royale ou impériale, Monseigneur ou Sire, sont réservées aux personnages royaux ; actuellement les fils et filles de souverains sont appelés princes et princesses alors qu’au Moyen Age, ils avaient le titre de comte et comtesse puis de duc et duchesse à partir du 12ème et 13ème siècle.

 Dans le courant du 19ème siècle, il a été établi, en tenant compte à la fois de la hiérarchie féodale et des usages, l’échelle des titres suivants : chevalier, baron, comte, marquis, duc, prince (issus de familles ducales ou comtales), souverain, prince royal, impérial (portant  le titre de prince, duc ou comte), roi et empereur.

Vers le milieu du dit 19ème siècle, s’est répandu l’usage du port du titre immédiatement inférieur au titre familial, les autres frères soit déclinant le titre chacun à leur tour, soit portant le même titre que leur aîné mais précédé de leur propre prénom.

 Premier exemple :

Père :                                                  Marquis de B….

1er fils :                                               Comte de B….

2ème fils :                                             Vicomte de B….

3ème fils :                                             Baron de B….

4ème fils :                                             Chevalier ou Baron de B…., le titre de chevalier étant progressivement tombé en désuétude.

Deuxième exemple :

Père :                                                  Marquis de B…

1er fils :                                               Comte de B….

2ème fils :                                             Comte Pierre de B….

3ème fils :                                             Comte Paul de B….

4ème fils :                                             Comte Jean de B….

En parlant ou en écrivant, on dit indifféremment : Monsieur le Marquis ou Comte et Madame la Comtesse ou Baronne, suivant en cela les usages allemands, anglais, espagnols, italiens, etc.

 En cardinal est appelé Eminence et un évêque, Monseigneur ou Excellence, un abbé mitré, de même, un chanoine, Monsieur le Chanoine en France et ailleurs Monseigneur, les grands maîtres des ordres de chevalerie ont en général la qualification d’Escellence et même de Prince.

 Contrairement à une opinion courante, les titres nobiliaires peuvent être confirmés ou concédés de nos jours, en s’adressant à une maison royale régnante ou ex-régnante et qui le concède ou le confirme en raison des services rendus dans la société. Ils ne sont pas vendus, contrairement à ce qui se dit. Le Conseil historique et héraldique de France à Paris, auquel vous pouvez vous adresser sans frais, peut se charger de la présentation de votre demande si, à son avis, vous semblez remplir les conditions.

La collation ou la confirmation d’un titre de noblesse peut être sollicitée pour assurer la publicité de la transmission à l’époque actuelle, soit pour organiser la transmission collatérale, soit pour permettre la transmission féminine ou la sanctionner ou encore pour concéder à tous les héritiers la possibilité selon les us et coutumes des Etats carolingiens bernicien, par exemple, de porter le titre nobiliaire de la famille ou encore de réaliser une « sanatoria » d’un ou plusieurs degrés généalogiques. En résumé, cette confirmation porte aussi bien sur le titre que sur les clauses de succession et le blason de la famille.

 La concession d’un titre nobiliaire peut, elle aussi, être appuyée sur le nom de famille ou sur un fief ou terre rappelant, par exemple, le lieu d’origine ou une propriété de la famille. La confirmation et la concession actuelle d’un titre de noblesse ont la même valeur juridique et historique qu’un titre conféré dans le passé : rappelons-nous que n’importe quel titre a eu lui aussi sa première année lorsqu’il fut concédé. La renommée d’une personnalité issue d’une famille bourgeoise ou civile, soit que cette illustration tire son origine des sciences, de l’industrie, des finances, des forces armées, de la politique, des lettres, des beaux-arts, du clergé et ainsi de suite, se dissout et disparaît en peu d’années, ramenant cette famille dans l’anonymat et la dépouillant de tout lien avec cette personnalité illustre. La concession d’un titre nobiliaire constitue au contraire cette famille en maison noble et se trouve ainsi distinguée des autres familles homonymes, et assure dans le même temps, la pérennité de la gloire de son fondateur et de ses descendants actuels et à venir.

 Cette considération est également valable dans le cas où durant une recherche généalogique, des personnes illustres sont découvertes dans l’ascendance. Cette résurgence réintègre ces personnages à leur gloire injustement obscurcie ou oubliée et la concession ou la confirmation d’un titre de noblesse à ceux qui en sont les descendants n’est qu’une mesure de justice envers tous.  Les Français ont toujours eu le droit d’accepter des titres nobiliaires de la part des souverains étrangers, tout au plus devaient-ils les solliciter du pouvoir souverain et en faire état « officiellement ». Or, par une déclaration en date du 14 décembre 1906, publiée au Journal officiel du 16 décembre 1906, le Gouvernement a fait une déclaration par laquelle cette autorisation ne serait plus donnée à l’avenir. Or, le droit à l’acceptation n’ayant été aucunement révoqué, modifié ou supprimé, il s’ensuit que les Français doivent se passer de cette autorisation : les nombreuses personnes investies de titres prestigieux par une dynastie régnante ou ex-régnante le savent fort bien et n’ont jamais été inquiétées.

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Les délais de communication des archives

Posté par francesca7 le 2 juin 2013

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Les délais de communication des archives dans AUX SIECLES DERNIERS archives

Depuis la loi du 3 janvier 1979 sur les archives, les documents d’archives publiques sont librement communicables à l’expiration d’un délai de 30 ans. Toutefois, le délai est plus élevé pour certaines catégories de documents précisées par l’article 7 de cette loi et par l’article 1er du décret du 3 décembre 1979.

1 – Dossiers médicaux : 150 ans à compter de la date de naissance pour les documents comportant des renseignements individuels à caractère médical ; ce délai concerne notamment les dossiers d’aliénés.

 2 – Dossiers du personnel : 120 ans à compter de la date de naissance.

 3 – Justice : 100 ans à compter de la date de l’acte ou de la clôture du dossier pour les documents relatifs aux affaires portées devant les juridictions, y compris les décisions de grâce.

4 – Notaires : 100 ans pour les minutes et répertoires. Le délai de communication des dossiers est laissé à la décision du notaire.

5 – Etat civil : 100 ans.

6 – Enregistrement : 100 ans.

7 – Recensements et enquêtes : 100 ans à compter de la date du recensement ou de l’enquête pour les documents contenant des renseignements individuels ayant trait à la vie personnelle et familiale et, d’une manière générale, aux faits et comportements d’ordre privé, collectés dans le cadre des enquêtes statistiques des services publics. Si des dérogations sont prévues pour les autres délais, l’article 8 de la loi prévoit qu’aucune dérogation ne peut être accordée pour ces documents.

 8 – Vie privée : 60 ans à compter de la date de l’acte pour les documents mettant en cause la vie privée, notamment : police nationale, dossiers fiscaux et domaniaux, rapports d’inspections générales.

9 – Sûreté de l’Etat : 60 ans à compter de la date de l’acte.

10 – Présidence de la République et Premier ministre : 60 ans pour les archives en provenance de leurs services.

 11 – Dommages de guerre : 60 ans.

12 – Autorisations d’exceptions : sauf en ce qui concerne les documents de base des recensements et enquêtes dont il vient d’être question plus haut, l’administration des archives peut autoriser la consultation des documents d’archives publiques avant l’expiration des délais prévus par l’article 7. Cette consultation n’est assortie d’aucune restriction, sauf disposition expresse de la décision administrative portant autorisation.

 

 

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Les pièces honorables héraldiques

Posté par francesca7 le 27 mai 2013

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Les pièces honorables, les partitions et les charges les plus courantes dans les armoiries.

On pense que les pièces honorables des armoiries proviennent des barres de bois ou de fer utilisées pour renforcer ou attacher les premiers boucliers. Ce sont, en général, des figures géométriques très simples et qui constituent les premières figures héraldiques. Elles comprennent : la barre (ou barre senestre), la bande, le chevron, le chef, la croix, la fasce, le pal et le sautoir.

 Les pièces honorables héraldiques dans AUX SIECLES DERNIERS pieces-honorables-300x244

 Les pièces honorables :

Barre – Immuable contre les tentations de la colère et du mal.
Bande – Défense ou protection.
Bordure – Généralement utilisée pour différencier les porteurs d’un même blason. En héraldique écossaise, sert à marquer le rang d’hérédité, comme le système de signes français de lambels et autres symboles suivant son rang dans la même famille.
Chef – Principal un tiers du bouclier; signifie la domination et l’autorité; souvent accordé comme récompense spéciale pour la prudence et la sagesse ou un commandement réussi durant la guerre.
Croix – Chevron – Protection; Constructeurs ou d’autres qui ont accompli un certain travail en restant fidèle à une idée.
Fasces- Ceinture ou ceinture militaire d’honneur; représente la promptitude pour servir l’intérêt public.
Flanqué – 1. Donné par le Roi pour preuve de vertu et d’apprentissage, et spécialement pour service en Ambassade..
2. Donné aux gentes Dames ayant grandement de mérite.
Franc-Canton – Récompense du souverain pour l’exécution d’un service important.
Franc-Quartier –Marque d’honneur. Voir Franc-Canton.
Gironné – Unité.
Orle ou Trêcheur (Trescheur, Essonier) – Conservation ou protection. (système de bordures écartées du bord, une pour l’orle, deux pour l’essonier)
Pal – Force.
Pile – Technologie, force du bâtiment (ponts), parfois pennon ou drapeau

 

 

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