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    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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COMMENT SE COMPORTER A TABLE

Posté par francesca7 le 5 avril 2016

 

 

Salade

Elle doit être préalablement débarrassée des « côtes » les plus importantes, et coupée  de façon à éviter qu’on ait à se servir de son couteau pour la consommer. Même dans les repas sans façon, il est préférable de  réserver une assiette  spéciale à la salade. Cela évite que la vinaigrette ne gâche le goût  des autres plats servis en même temps…
Fort heureusement, l’usage qui interdisait de se resservir de salade n’est plus guère respecté aujourd’hui.

La tradition a longtemps interdit de se servir du couteau avec la salade… Pour une bonne raison : la sauce vinaigrée attaquait le métal de la lame. Aujourd’hui les lames de couteau sont inaltérables…

Mais on continue à préconiser l’usage exclusif de la fourchette…à condition évidemment que les feuilles aient des dimensions raisonnables !

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Sauce

Quand savoir-vivre et gourmandise ne font pas bon ménage !
Quoi de plus délectable qu’une sauce « à la française » ?  Et comment supporter l’idée  d’en laisser obligatoirement les trois-quarts dans son assiette ? C’est pourtant ce que commande le « bon usage », (encore lui !) qui interdit de saucer son assiette.

Heureusement, il existe aujourd’hui  des « cuillères à sauce » qui nous évitent en partie ce crève-coeur… Elles feront autant plaisir aux invités qu’au cordon-bleu qui s’est donné du mal

Dans un « grand dîner » ou un repas un peu protocolaire, mieux vaut se servir raisonnablement de sauce, puisqu’il est interdit  d’en consommer autrement qu’avec chaque bouchée…sauf s’il y a une cuillère à sauce près de l’assiette.

Dans un repas plus simple, il est admis de saucer avec un petit morceau de pain piqué au bout de la fourchette… A condition de ne pas nettoyer son assiette jusqu’à la dernière goutte, en faisant force miettes…et surtout de ne jamais se servir de ses doigts.

Sel

Il est  laissé à disposition sur la table, soit en salière « ouverte » munie d’une petite pelle spéciale, soit en poudreuse.

Si la table est grande et les convives nombreux, il faut en prévoir plusieurs, généralement une pour six, ou opter, mais c’est plus rare, pour des salières individuelles placées à la gauche de chaque assiette.

Ne rajoutez pas de sel avant d’avoir goûté ce que l’on vous a servi, ce serait  désagréable à l’égard de la personne qui a préparé le repas. Pour se servir, on utilise la petite pelle  prévue à cet effet, et  pas la pointe de son couteau, ni surtout jamais ses doigts. On peut en revanche  secouer la poudreuse au dessus du creux de la main pour mieux doser la quantité.

Enfin, si la salière est loin de vous, n’essayez pas à tout prix de l’attraper en vous penchant devant votre voisin. Demandez poliment qu’on vous la passe.

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Serviettes

Si jolies, gaies et pratiques que soient actuellement les serviettes en papier, réservez les au buffet, ou en auxiliaires pour les plats très salissants (fruits de mer… fruits). Sur une jolie table bien décorée, elles ne peuvent pas lutter avec  des serviettes en tissu, assorties ou coordonnées à la nappe. Pliées de manière originale et esthétique (Il y a mille façons possibles), épanouies sur l’assiette, ou  « en bouquet » dans  le verre à  eau, elles sont un vrai élément de décor.

Dès que l’on a quitté l’enfance, on ne noue plus sa serviette autour du cou, pas plus qu’on ne la glisse dans son col, sauf peut être pour manger du homard, ou des écrevisses. Sitôt assis à table, on la déplie et on la pose sur les genoux. A la fin du repas, on la repose à côté de l’assiette sans la plier… Sauf si vos hôtes vous ont convié à partager avec eux le repas suivant.

Soupe

N’ont droit au nom de soupe que la soupe à l’oignon, la soupe au pistou,  la soupe de poisson, et la soupe au chou. Les autres sont des potages et des consommés.

En dehors du quotidien familial, seules les soupes sont présentées en soupière sur la table. Les potages et consommés sont servis en début de repas, avant, après, ou à la place des hors-d’oeuvre, dans une assiette creuse ou une tasse. Il existe des tasse « à bouillon » munie d’un couvercle, qui maintiennent la chaleur (le consommé peut être servi froid ou chaud ). La soupe de poissons à la méridionale s’accompagne  de « rouille » en coupelle, de croûtons grillés, aillés ou non, et éventuellement de fromage rapé (parmesan, gruyère…). Pensez au chauffe-plat (indispensable).

On ne souffle pas sur le potage pour le refroidir. On attend qu’il le fasse tout seul. On commence par remplir sa cuillère sur les bords de l’assiette, le centre étant toujours plus chaud.

Soupes, potages et consommés se dégustent sans bruit d’aspiration ou de déglutition, la cuillère tenue parallèlement à la bouche…. Et bien sûr on n’incline pas son  assiette pour prendre les dernières gouttes.

Devant une soupe de poissons à la méridionale, servez vous d’abord de soupe, puis de croûtons ( à la cuillère ou à la main) que vous garnirez d’une cuillérée de rouille puis éventuellement de fromage râpé.

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Superstitions

Elles sont beaucoup plus répandues qu’on ne le croit. Mieux vaut les connaître pour ne pas faire d’impair et gâcher l’ambiance.
Premier commandement, impératif : éviter à tout prix de se retrouver treize à table. Beaucoup ne le supportent pas.
Puis, pêle-mêle, ne pas poser le pain à l’envers, ni les couverts en croix, éviter de renverser du sel sur la table, ne pas faire circuler la salière de main en main, mais la poser devant celui qui l’a demandée… Il y en a bien d’autres, moins connues.

Le plus important, malgré tout, reste de  respecter les croyances et les craintes de vos invités, même si vous-même y êtes absolument insensible, et surtout de ne manifester aucune ironie. Ils ne vous le pardonneraient pas.

Respectez celles des autres, et  si vous êtes vous-même très superstitieux (se), soyez le discrètement.

Vous avez renversé la salière sur la table ?  Pour éviter les disputes qui vont  sûrement en résulter,  vous allez en jeter trois pincées avec la main droite par dessus l’épaule gauche… Mais sans bombarder vos voisins !…Vous avez parfaitement le droit de remettre dans le bon sens le pain posé à l’envers, ou de vous tapoter le front avec vos doigts mouillés dans la goutte de champagne  renversé … Mais n’exigez pas de votre hôtesse, si vous venez de briser un magnifique verre en cristal, qu’elle se réjouisse avec vous sous prétexte que « le verre blanc ça porte bonheur » !

Tabac

Il parait loin le temps où nul n’aurait osé mettre en cause le droit imprescriptible des amateurs de tabac à arriver à table  munis de leur poison favori ! Tout juste pouvait-on espérer alors avoir affaire à des convives suffisamment bien élevés pour ne sortir leur cigarette qu’après le fromage, ou  éviter à leurs voisins immédiats les effluves odorants de leur gros
cigare ! Aujourd’hui qu’on s’en réjouisse ou qu’on le déplore, la chasse aux fumeurs est ouverte, et il faut préciser à l’avance son attitude. S’il y a parmi vous quelques non-fumeurs, en minorité, regroupez les, et prévenez les qu’on fumera au dessert.

Si vous êtes un non-fumeur « tolérant », prévoyez un « endroit », balcon, terrasse ou fenêtre ouverte, muni de cendriers pour vos amis intoxiqués. Si en revanche vous êtes militant(te) anti-tabac, et qu’il n’est pas question » qu’on fume chez moi « , ne prenez pas vos invités en traître. Informez vous à l’avance sur les habitudes de ceux que vous ne connaissez pas bien. S’ils sont fumeurs, arrangez vous pour leur faire savoir avant de les inviter, qu’ils devront impérativement s’abstenir de leur drogue favorite… Ce qui leur laissera le loisir de décliner votre invitation !

Informez vous des habitudes de vos hôtes si vous ne les connaissez pas bien. S’ils sont fumeurs et vous pas, ou le contraire, rien ne vous oblige à accepter leur invitation. En revanche, si vous l’avez fait, vous devrez vous conformer à leurs habitudes en la matière.

Même s’il y a des cendriers sur la table, ne vous croyez pas autorisé (e) à allumer une cigarette après chaque plat.
Pas de cigarette avant la fin du fromage. On ne laisse pas non plus son mégot se consumer tout seul en empestant l’atmosphère, et on essaie dans la mesure du possible de ne pas  faire un décor de cendres sur la nappe.

Pas de cigare à table, Il est réservé à l’après repas, avec café et digestifs.

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Téléphone

Vous recevez des amis, soyez tout(e) à ce plaisir, et ne  laissez pas le téléphone, ce tyran, le gâcher. Sauf en cas (rare) d’urgence absolue (maladie d’un proche, ou autre raison grave), réduisez les appareils au silence. Eteignez votre mobile. Réglez au plus bas la sonnerie du fixe,  installez le dans une autre pièce, et laissez le répondeur faire son office.

Il existe (ils sont nombreux) des  » intoxiqués du mobile » qui ne peuvent le laisser au repos, même le temps d’un repas. Si c’est le cas d’un ou d’une proche, faites lui comprendre en le taquinant gentiment que cela n’est pas très agréable. S’il ne s’agit pas d’un proche, supportez en silence, et…ne le réinvitez plus !

Le mobile ? Impossible de s’en passer ! Et pourtant, ce que ça peut être diabolique et exaspérant !… Mais vous l’avez éteint  en arrivant chez vos hôtes.
Il peut arriver que vous attendiez une communication importante et urgente  (réfléchissez bien, il y en a beaucoup moins qu’on ne le croit). Avertissez  ceux qui vous reçoivent et vos voisins de table immédiats. Mettez l’appareil sur vibreur et quittez la table dès la première vibration. Limitez au maximum la durée de votre conversation, puis, éteignez votre téléphone, et oubliez le jusqu’au départ.

Publié dans FONDATEURS - PATRIMOINE, GASTRONOMIE FRANCAISE, HUMEUR DES ANCETRES | Pas de Commentaire »

La naissance du premier supermarché

Posté par francesca7 le 5 avril 2016

 

L’ouverture du premier supermarché en France remonte au 15 octobre 1958, soit 28 ans après celui de Michael Cullen. Goulet-Turpin fut le premier à exploiter le concept venu des Etats-Unis avec son magasin Express-Marché de 560m².

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C’est à la suite de plusieurs voyages aux Etats-Unis et en Europe que Goulet-Turpin sut qu’il pouvait implanter le concept de supermarché en France. Afin de mettre au point le premier supermarché français, Jean Goulet, fils de Goulet-Turpin se rendit fin 1957 aux Etats-Unis, pays d’origine des supermarchés.

Une fois l’apparence de son supermarché définie, il lui fallait trouver un emplacement pour le futur magasin. Pour ce faire, il appliqua une tactique quasi-militaire. Après une étude très minutieuse, le site de Rueil-Plaine, en banlieue parisienne, fut choisi comme emplacement du futur supermarché. Pierre Goulet avait recensé 20741 habitants dans un rayon de 750 mètres autour du site prévu. Après avoir peaufiné son projet, fait des études sur le fonctionnement des supermarchés aux Etats-Unis et choisi l’emplacement pour son futur supermarché par rapport aux écoles, gare… il définit le portrait-robot que pouvait avoir un supermarché : « Un magasin fonctionnant uniquement en libre-service, d’une surface de vente de 200 à 1000 mètres carrés et entouré d’un parking. La ménagère y trouve absolument tout ce qui est nécessaire à l’approvisionnement d’une famille. » (revue interne de Goulet-Turpin)

Il ne lui manquait plus qu’un nom, ce fut Express Marché. Le nom de l’enseigne ne contenait pas le mot supermarché pour la simple raison que les Goulet-Turpin voulaient insister sur le fait que l’on pouvait y faire ses courses rapidement. Si l’on regarde autour de nous, on peut s’apercevoir que Carrefour ou Leclerc ont adopté le même raisonnement quelques années plus tard : Carrefour Express (Hypermarché en Espagne) et Leclerc Express (Supermarché de proximité).

Avec le Monoprix de Rueil comme principal concurrent, il s’agissait pour Goulet-Turpin de maximiser ses profits et d’attirer le plus grand nombre de clients. C’est pourquoi, lors des travaux, il utilisa un train routier comme magasin provisoire. Il s’agissait d’un véhicule tractant trois remorques pouvant tripler de surface à l’arrêt. Une pour le magasin, une autre pour le stock et une dernière pour loger le gérant. Train routier que l’on retrouvera moins d’un mois plus tard aux pieds des nouvelles barres d’immeubles de Nanterre avant l’ouverture de son deuxième supermarché (13 Novembre 1958).

Même si Goulet-Turpin n’utilisa pas la presse pour annoncer l’ouverture ; la naissance du premier supermarché français intéressa vivement la presse. Celle-ci fut étonnée par la taille du projet Goulet-Turpin. Inquiets de ne pas savoir si le succès allait avoir lieu, les gérants ne voulaient pas faire de publicité pour l’ouverture du supermarché. Cependant, feux d’artifices et films publicitaires diffusés dans les cinémas firent, par la suite, la promotion des supermarchés de l’enseigne auprès de la population. Avec le magasin Paris Prix, l’Express-Marché, le premier supermarché français, fit partie d’un des trois blocs qui formeront le centre commercial de Rueil. Dans les autres blocs, on retrouverait des commerces, une banque, une garderie… Avec ses 2000 références (contre 600 dans une succursale classique), 24 personnes étaient employées pour assurer le fonctionnement du magasin. Ce nombre apparaît important en comparaison des standards actuels : un magasin d’environ 600m² du type Shopi emploie généralement dix à quinze salariés seulement.

Le 15 octobre 1958, le pari était réussi : la nouvelle formule faisait l’unanimité. Presque tous les produits étaient réunis au même endroit. Le chiffre d’affaires était supérieur à 30 millions de francs par mois. Et ce succès se traduisit ensuite par la création de nouvelles enseignes…

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Plan approximatif du 1er supermarché français

Express Marché – 1958 – Créé par Goulet-Turpin

Bibliographie :

 Photographies du premier supermarché français :

http://lespremierssupermarches.over-blog.com/photo-281602-photo6_jpg.html

 Photographies et films publicitaires Goulet-Turpin :

http://www.leroy-goulet-turpin.com/index.php ?p=news

 Frédéric Carluer-Lossouarn -2007- « L’aventure des premiers supermarchés » édition Linéaires

Auteur : Gaylord Becker. Source : projet tutoré – IUT Nancy 

Publié dans ARTISANAT FRANCAIS, FONDATEURS - PATRIMOINE, HISTOIRE DES REGIONS | 1 Commentaire »

 

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