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    La France, je l'aime corps et biens, en amoureux transi, en amant comblé. Je la parcours, je l'étreins, elle m'émerveille. C'est physique. Pour l'heure, c'est le plus beau pays du Monde, le plus gracieux, le plus spirituel, le plus agréable à vivre. En dépit de ses défauts, le peuple français a des réserves inépuisables de vigueur, d'astuce et de générosité. j'écris cela en toute connaissance de la déprime qui périodiquement enténèbre nos compatriotes. Ils ont une pente à l'autodénigrement, une autre au nihilisme. Je suis français au naturel et j'en tire autant de fierté que de volupté. J'ai pour ce vieux pays l'amour du preux pour sa gente dame, du soudard pour la servante d'auberge, de l'érudit pour ses grimoires, du paysan pour son enclos, du bourgeois pour ses rentes, du croyant des hautes époques pour les reliques de son saint patron... J'ai la France facile, comme d'autres ont le vin gai ; je l'ai au coeur et sous la semelle de mes godasses. Je suis français, ça n'a pas dépendu de moi et ça n'a jamais été un souci. Ni une obsession. Toujours un bonheur...

    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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LA VANNERIE EN MORVAN

Posté par francesca7 le 2 février 2016

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Les plus anciens objets de vannerie datés par la technique de datation au carbone 14, remontent à plus de 10 000 ans, c’est-à-dire bien avant les premières poteries. Ces pièces de vannerie ont été découvertes à Fayum en haute Égypte. D’autres, remontant à plus de 7000 ans, ont été trouvées au Moyen-Orient. Cependant, ces objets étant constitués de matériaux biodégradables, il est rare d’en exhumer. Leur conservation dans le temps est liée à des conditions très particulières. Par exemple, la sécheresse en Égypte ; ou au contraire, le milieu anaérobique des tourbières ou des lacs. Parfois, on trouve traces de vanneries imprimées sur de la poterie, le tressage servant alors de support pour agglutiner l’argile et lui donner sa forme. La maîtrise technique est telle qu’elle conduit à s’interroger sur l’existence d’artisans spécialisés dans ce travail des végétaux.

La vannerie fut d’une importance économique très grande, mais de nos jours, elle se raréfie surtout en raison de la lenteur et du manque de mécanisation de la fabrication et ses conséquences.

Généralement, le vannier cultive son propre osier ou le récolte en pleine nature. Cette plante qui pousse sur tous les terrains humides nécessite peu d’entretien. Mais pour être utilisé en vannerie, l’osier doit être lisse, souple et régulier sur toute sa longueur.

La pratique de la vannerie demande très peu d’outils, couteau de vannier à bout légèrement recourbé, différents modèles de fendoirs faits de bois dur (buis, houx) destinés à fendre les brins d’osier dans leur longueur en trois ou quatre parties égales ; le trusquin destiné à ôter la moelle des brins refendus et, en passes successives, à diminuer l’épaisseur pour obtenir des brins plats d’une grande souplesse (éclisse) ; le ciroir ou peleuse (aujourd’hui mécanisé) destiné à écorcer les brins d’osiers qui prendront alors le nom d’osier blanc ; la batte qui est une sorte de marteau plat, a deux fonctions : en premier, égaliser par tassage les motifs de tressages entre les montants au cours des phases successives de fabrication ; en second, le trou calibré dans le bout du manche est une solide clé qui aide au pliage des brins de très forte section.

D’autres outils non spécifiques complètent l’outillage : serpettes, poinçons, maillet en bois et sécateur dont l’usage s’est généralisé tant pour la récolte que pour le travail à l’atelier.

Après avoir coupé les tiges d’osier, le vannier en fait des bottes qu’il plonge dans l’eau. L’osier peut être utilisé soit à l’état brut, soit après écorçage. Pour retrouver toute sa souplesse, l’osier brut – aussi appelé osier noir ou osier vert – doit passer une semaine dans l’eau. Ensuite il reste souple, donc facile à travailler pendant deux semaines environ. En revanche, l’osier blanc, c’est-à-dire l’osier dont le vannier a enlevé l’écorce, ne demande qu’une heure de trempage mais l’artisan doit l’utiliser aussitôt puisqu’il faut à l’osier blanc entre un quart d’heure et trois heures pour sécher et par conséquent perdre sa souplesse.

Vannerie en Morvan

En Morvan, le seigle était la céréale la plus cultivée. Les Morvandiaux ont su développer un savoir-faire pour valoriser au mieux toutes les parties de cette plante. Ainsi, les grains étaient utilisés pour faire le pain et la paille servait pour la couverture des toits de chaume et pour la vannerie.

Le vannier travaille souvent à l’extérieur et son outillage reste assez simple. Il se compose d’une serpe pour couper les tiges, d’un couteau pour tailler les brins, d’un fendoir pour fendre les plus gros brins et de poinçons afin d’écarter les brins pour installer une anse de panier par exemple.

Pour faire un panier, le vannier commence toujours par le fond. Il tresse les brins de façon à former une étoile. Les branches de cette étoile sont toujours en nombre impair. Ensuite, l’artisan entrelace les brins autour des branches de cette étoile. Le tressage se fait soit à plein, quand les brins sont calés les uns contre les autres, soit à jours, lorsqu’il y a un vide régulier entre les brins.

Alors qu’elle était encore très utile il y a quelques décennies, la vannerie a perdu de son importance notamment à cause de l’usage de nouveaux matériaux tels que les matières plastiques.

Un vannier est un artisan qui tresse des fibres végétales, l’osier en général mais aussi beaucoup la paille de seigle en Morvan, pour confectionner divers objets comme les vans (d’où son nom), les paniers de toutes formes, les corbeilles, les hottes mais aussi des chaises, des fauteuils, des berceaux, des ruches, des bonbonnes ou encore des nacelles de montgolfières.

Les articles de vannerie vont des jouets en bois aux cabas pour le marché, des tapis aux range-couverts, des paniers à bois aux glaneuses, des coffres pour enfants aux nattes en rabane, des chaises hautes aux hamacs, des paniers colorés pour la plage aux corbeilles à pain, etc.
Le plus souvent, ces articles sont réalisés avec différentes matières premières: moelle de rotin, canne, herbe de mer, toron, paille dorée, etc.

 

http://www.famille-bretet.net/METIERS%20D%20AUTREFOIS%20-%20Le%20Vannier.htm

 

Publié dans ARTISANAT FRANCAIS, Morvan | Pas de Commentaire »

Les dés sur le comptoir

Posté par francesca7 le 2 février 2016

Le jeu de dés le plus répandu au bistrot est sans conteste le quatre-vingt et un. On y joue avec trois dés, en additionnant des points, pour obtenir le plus beau score : il vous faut faire la combinaison 4-2-1 en trois lancés au maximum. On compte les points avec des jetons. L’ensemble des éléments de jeu (dés, piste de dés, jetons) est très souvent publicitaire.

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Pour éviter la triche, et pour ne pas gaspiller une folle énergie (le client du bistrot évite tout effort inutile) à jeter ces dés sur la piste, l’homme (qui est un animal intelligent, parfois) a inventé une version mécanique de ce jeu. Les trois dés sont emprisonnés dans une demi-sphère transparente et reposent sur un plateau (représentant la piste) qui est actionné par un système de ressort, le mouvement projetant automatiquement et aléatoirement les dés. Même règle. Autre variante : les faces de trois dés sont figurées et on projette trois billes avec un système à ressort, ce modèle fonctionne un peu comme une roulette. Même règle.


Autre jeu de dés, vaguement dérivé du premier est le 7-14-21, un vrai jeu de bistrot, subtil et pervers s’il en est ! On joue avec un dé et on compte les points inscrits. Celui qui arrive à 7 en premier commande une boisson de son choix (mélanges bizarres autorisés, aïe le foie !), celui qui arrive à 14 la boit, et celui qui arrive à 21 la paie. Pas vraiment futé comme jeu, mais marrant (surtout pour celui qui commande, car celui qui boit des mélanges infâmes genre pastis au vin blanc ne trouve pas toujours que c’est poilant. Celui qui règle l’addition non plus d’ailleurs. Des fois, c’est le même, c’est ça qui est drôle …).


On pratique aussi d’autres jeux de dés comme le Yams ou le Poker menteur, mais c’est plus rare. On joue (jouait)au Zanzi aussi. Comme au 421, il s’agit de réaliser la meilleure combinaison en trois lancés maximum. le joueur qui a réalisé la meilleure combinaison marque ses points et entame le lancé suivant. Le gagnant est celui qui atteint le premier le total déterminé.

421


A noter pour enrichir votre vocabulaire, une expression spécifique au 421 et au zanzi: faire « rampo ». Cela signifie effectuer le même score qu’un adversaire. Les joueurs ayant « fait rampo » rejouent un lancé unique et le vainqueur encaisse le nombre de points. le dernier joueur qui a égalisé a la « main chaude » et rejoue en premier.

Ne soyons pas exhaustifs : il existe encore bien des jeux pratiqués (ou qui l’ont été) dans les bistrots comme les jeux de boules, de pétanque, de dominos, ou bien les échecs et le “jeu de tonneau” plus connu sous le nom du “jeu de la grenouille” que je vous présente ci-dessous, et d’autres certainement plus exotiques. Tout cela suivant les arrondissements de Paris ou la ville de province, le nord, le sud, suivant le patron, suivant la clientèle, suivant l’histoire du bistrot. Et n’oublions pas les paris sur les courses de canassons, le tiercé, le quarté, le PMU. Ni les nouveaux venus : Loto, tickets à gratter, paris avec résultat en direct à la télé du bistrot. Ni les jeux d’arcade, dont certains dissimulent parfois des appareils illicites (c’est pas bien, bande de chiens !) à but très lucratif. Moins conviviaux, plus individualistes que les jeux classiques, ils ont néanmoins l’avantage d’amener pour l’instant encore quelques clients dans les cafés.

Pour la plus grande joie du tiroir-caisse des patrons de bistrots !

Article du courrier http://bistrophile.perso.sfr.fr 

Publié dans HUMEUR DES ANCETRES | Pas de Commentaire »

 

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