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    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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  • > Archives pour le Vendredi 30 octobre 2015

L’histoire des fêtes françaises

Posté par francesca7 le 30 octobre 2015

 

Durant l’Ancien Régime, il existe dans l’année des dizaines de fêtes religieuses qui sont obligatoirement chômées, elles servaient alors souvent d’éléments chronologiques pour dater du jour.

La notion de fête légale se développe en France au cours du xixe siècle (la loi du 48 germinal an X – 2 avril 1802 – statue qu’aucune fête, à l’exception du dimanche, ne peut être fixée sans la permission du gouvernement) pour déterminer si elle inclut les fêtes civiles aux fêtes religieuses et pour savoir si elle doit être instaurée par un texte réglementaire ou par une loi. Dans le sillage du Concordat, le nombre de fêtes religieuses est ramené à quatre (fêtes conservées : Noël, Toussaint, Assomption, Ascension) suivant l’indult ducardinal Battista Caprara du 9 avril 1802. Parallèlement les jours de fêtes légales augmentent par l’adjonction de fêtes civiles, le pouvoir cherchant à en limiter le nombre et à les fixer sur un: jour férié déjà existant ou le dimanche pour des raisons économiques.

La fête légale devient dès lors un jour non obligatoirement chômé (sauf en Alsace-Moselle et sauf le 1er mai dans toute la France), donnant lieu, lorsque le jour férié est travaillé, à compensation financière si les conventions de branche ou d’entreprise le prévoient et à laquelle s’attachent un certain nombre d’obligations listées dans le code du commerce (exemple : dépôt de protêt impossible si la date d’échéance tombe sur un jour férié), le code de procédure pénale, le code électoral (exemple : délai de contestation prenant en compte le jour férié).

Le_petit_Parisien 

Fêtes civiles

  • 1er janvier, Jour de l’an, nommé également « Nouvel an » : ce jour devient férié sous le 1er Empire par avis du Conseil d’État du 23 mars 1810.
  • 1er mai, fête du Travail : ce jour est, en premier, déclaré jour chômé le 23 avril 1919 en même temps qu’est ratifiée la journée de 8 heures. Pétain la travestit en « fête du Travail et de la Concorde sociale » en en faisant un jour férié, chômé et payé. L’instauration de ce jour commémorant les luttes de travailleurs n’aboutit qu’avec la loi du 30 avril 1947 (jour chômé et payé), modifiée par celle du 29 avril 1948 (« Fête du Travail »).
  • 8 mai, fête de la Victoire, commémoration de la « capitulation sans condition » (à ne pas confondre avec un armistice) de l’Allemagne nazie mettant fin à la Seconde Guerre mondiale en Europe. Déclaré jour férié de commémoration, en France, le 20 mars 1953, le caractère férié est supprimé par le président Charles de Gaulle en 1959. Par la suite, le président Giscard d’Estaing supprime également la commémoration en 1975. Ce n’est qu’en 1981 que la loi rétablit le jour férié commémoratif sous la présidence deFrançois Mitterrand.
  • 14 juillet, fête nationale française, commémoration de la fête de la Fédération, le 14 juillet 1790 qui célébrait la prise de la Bastille l’année précédente. C’est sous la 3erépublique que ce jour devient la fête nationale par la loi du 6 juillet 1880.
  • 11 novembre : armistice, jour anniversaire de l’armistice mettant fin à la Première Guerre mondiale et de commémoration annuelle de la victoire et de la paix, journée d’hommage à tous les morts pour la France.

L’histoire des fêtes françaises dans AUX SIECLES DERNIERS Proclamation_esclavage

  • 14 février : fête des amoureux, le jour de la Saint-Valentin
  • Premier dimanche de mars : fête des grands-mères
  • 8 mars : journée internationale des droits des femmes
  • Dernier dimanche d’avril : Jour du Souvenir des Déportés
  • 9 mai : Journée de l’Europe ; anniversaire de la Déclaration Schuman (9 mai 1950)
  • 10 mai : Journée annuelle de la mémoire de l’esclavage, commémoration de la reconnaissance par le Parlement français de l’esclavage comme crime contre l’humanité ; elle s’ajoute à celles de l’abolition de l’esclavage dans les régions ultramarines
  • Deuxième dimanche de mai : seconde fête nationale française ; la loi du 24 juin 1920 promulguée par le président Paul Deschanel dispose que La République française célèbre annuellement la fête de Jeanne d’Arc, fête du patriotisme, le jour anniversaire de la délivrance d’Orléans. Il sera élevé en l’honneur de Jeanne d’Arc, sur la place deRouen où elle a été brûlée vive, un monument avec cette inscription : « le peuple français reconnaissant ».
  • 5 jours en mai du mercredi au dimanche : fête de la Nature (date variable en mai, initialement le week-end le plus proche du 22 mai, Journée internationale de la biodiversité)Ibn_Badis_2 dans FONDATEURS - PATRIMOINE
  • Dernier vendredi du mois de mai : fête des voisins également nommée « Immeubles en fête » (Initialement le dernier mardi du mois de mai)
  • Dernier dimanche de mai : fête des mères. Si cette date coïncide avec celle de la Pentecôte, la fête des mères a lieu le premier dimanche de juin
  • 8 juin : journée nationale d’hommage aux morts pour la France en Indochine
  • Troisième dimanche de juin : fête des pères
  • 21 juin : fête de la musique
  • 24 juin : fête de la Saint Jean
  • 23 septembre : fête de la Gastronomie
  • 25 septembre : journée nationale d’hommage aux Harkis et autres membres des formations supplétives (texte officiel)
  • Dernier week-end de septembre : Rendez-vous « Sport, Santé Bien-être »
  • Premier dimanche d’octobre : fête des familles, créée par l’ancien député UDF Yves-Claude Heno.
  • 31 octobre : Halloween, fête d’origine irlandaise, fêtée depuis peu en France. Cette fête était le réveillon du jour de l’an qui était le 1er novembre, ce soir-là les gens se déguisaient en monstres, fantômes. Halloween était devenue la 3e fête commerciale en France à partir de 2000, mais ce fut passager. Malgré tout Halloween reste assez fêtée, notamment par les enfants. Cette fête n’est pas fériée en France.
  • 20 novembre : journée internationale des droits de l’enfant (depuis 1995). Le 20 novembre 1989, l’Assemblée Générale des Nations Unies a adopté la Convention Internationale des Droits de l’enfant.
  • 5 décembre : Journée nationale d’hommage aux « morts pour la France » pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie

 

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Fêtes religieuses

Le jeudi de l’Ascension, la fête de l’Assomption, la Toussaint et Noël sont fériés à la suite de l’arrêté du 29 germinal, an X (19 avril 1802) découlant du Concordat et loi du 9 décembre 1905 (séparation de l’église et de l’état), article 42.

La loi du 8 mars 1886 ajoute le lundi de Pâques et le lundi de Pentecôte (ces lundis ne sont pas des fêtes liturgiques mais des jours de repos qui datent du gouvernement républicain de Freycinet; la fête religieuse a quant à elle lieu le dimanche correspondant).

  • Lundi de Pâques (1 jour après Pâques) : date variable (le 6 avril en 2015 et le 28 mars en 2016)
  • Jeudi de l’Ascension (39 jours après Pâques) : date variable (le 14 mai en 2015 et le 5 mai en 2016)
  • Lundi de Pentecôte (50 jours après Pâques) : date variable (le 25 mai en 2015 et le 16 mai en 2016).
  • 15 août : Assomption (fête religieuse célébrant Marie, sainte patronne de la France dès l’Ancien Régime mais institué jour chômé par Napoléon pour fêter son anniversaire)
  • 1er novembre : la Toussaint.
  • 25 décembre : Noël.

Fêtes catholiques

Certaines fêtes sont indiquées ici comme non fériées du fait qu’elles tombent toujours un dimanche, et sont donc en pratique comme fériées.Présentation de Jésus au temple, Andrea Mantegna, 1465

  • 1er janvier : Sainte Marie, Mère de Dieu
  • 6 janvier : l’Épiphanie. Célébrée en France le premier dimanche après le 1er janvier du fait d’un indult papal.
  • Date variable : Le Baptême du Christ (ou Baptême du Seigneur), célébré en principe en France le deuxième dimanche après le 1er janvier si l’Épiphanie du Seigneur n’est pas le dimanche 7 ou 8 janvier ; dans ce cas, le Baptême du Seigneur est célébré le lendemain de l’Épiphanie le lundi 8 ou 9 janvier.
  • 2 février : Présentation du Christ au Temple (fête de tous les consacrés), ou encore Chandeleur.
  • Mardi gras (soit 47 jours avant Pâques) : veille du Carême (le 17 février en 2015, le 9 février en 2016)
  • Mercredi des Cendres (46 jours avant Pâques) : début du Carême
  • Jeudi de la Mi-Carême (à mi-chemin entre les Cendres et Pâques)
  • 19 mars : Saint Joseph patron de l’Église (mémoire décalée au samedi 18 mars quand le 19 tombe un dimanche)
  • 25 mars : Annonciation. Si le 25 mars est un dimanche, la fête est décalée au lundi 26. Et si le 25 mars tombe pendant la Semaine Sainte ou la semaine de Pâques, elle est décalée au deuxième lundi après Pâques.
  • 7 jours avant Pâques : Le Dimanche des Rameaux, le 5 avril 2009 et le 28 mars 2010
  • 2 jours avant Pâques : Le Vendredi saint, le 10 avril 2009 et le 2 avril 2010 (férié en Alsace et en Moselle)
  • Date variable : Le dimanche de Pâques (calcul expliqué dans l’article Calcul de la date de Pâques), le 12 avril 2009 et le 4 avril 2010
  • 50 jours après Pâques : Le dimanche de PentecôteKorean ancestor veneration-Jesa-01.jpg
  • Date variable : La Sainte Trinité, le 7 juin 2009 et le 30 mai 2010
  • 1er mai : Saint Joseph Artisan, patron des travailleurs
  • 24 juin: Saint Jean Baptiste
  • 29 juin: Saints Pierre et Paul
  • 2 novembre : Fête des morts
  • 10 ou 11 novembre : Saint-Martin. Fête célébrée dans le nord de la France.
  • 22 novembre : Sainte Cécile, patronne des musiciens
  • 6 décembre : Saint Nicolas
  • 8 décembre : Immaculée Conception de la Sainte Vierge
  • 26 décembre : Saint Étienne premier martyr, (férié en Alsace et en Moselle)
  • Date variable : La Sainte Famille, le dernier dimanche de décembre (ou le vendredi 30 décembre si Noël est un dimanche), le 27 décembre 2009

 

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L’arrachement et l’attachement à la terre première qui s’en va

Posté par francesca7 le 30 octobre 2015

 

 Arrachement à la terre

Ne rien oublier du pays premier qui disparaît, de l’univers du Cantal et de la rivière Santoire, est sa démarche. Et par des courts romans, des descriptions de la réalité paysanne en évoquant les gens, les arbres, les bêtes, les objets, les odeurs, les brumes, les enfances et les choses, Marie-Hélène Lafon dans une écriture dense et superbe, dresse un portrait sans nostalgie, mais irrigué de tendresse, de la pesanteur du monde qui aura effacé le monde rural.

«Nous vivons des temps de terrible hâte, de hâte obscène et vulgaire» constate Marie-Hélène Lafon, et elle oppose la lenteur de son écriture, l’intime de ses sentiments. Son écriture précise et poétique à la fois, douce et tranchante, se revendique de l’influence de Pierre Michon, Pierre Bergougnoux, Richard Millet, « son triangle des Bermudes ». Leurs ombres tutélaires planent sur ses mots, aussi celle de Flaubert, celui d’« Un Cœur simple », et de Faulkner, mais l’ombre du Cantal est la plus prégnante.

Elle apporte en plus de cet univers commun de sensations et de la description du jadis, d’un monde qui fut et qui s’en va, « à bas bruit »,une approche vibrante où les odeurs, les bruits, les choses et les non-dits, forment la trame des émotions les plus intimes.
Il s’agit dans son écriture, comme d’un effleurement du monde, et les failles du silence y demeurent intactes, envahissantes.
La rudesse du pays perdu scintille d’éclats soudains, et Marie-Hélène Lafon n’est pas dans une nostalgie élégiaque. Elle restitue ses traversées intérieures, sa géographie intime entre les vallées, la rivière, la maison et la mémoire et ses greniers et le dur apprentissage des villes. Pour parler de ces gens, les siens, reclus dans le silence, elle a pris la parole et le pouvoir des mots.

Son court récit Traversées nous fait revenir au pays d’origine, à ses sources archaïques.
« Quand je commence d’être, je suis plantée au milieu de la vallée, au bord du mouillé de la fente, plantée debout comme un arbre, et je sais, je sens, ça s’impose, que tout ce vaste corps du pays souple et couturé, avec la rivière, les prés, les bois, et par-dessus le ciel tiré tendu comme un drap changeant, je sens que tout ça était là avant moi, avant nous, et continuera après moi, après nous. La vallée, quand on l’envisage depuis le sommet du puy Mary, est inéluctable et vaste, comme si elle avait toujours déjà été là… ».
Marie-Hélène Lafon est « debout comme un arbre » qui se souvient, obstinée, forte, sensuelle, elle est là. Elle est vivante depuis ce pays, sa maison d’enfance, sa traversée des villes, et elle a su se créer une langue originale et forte, dense, éclatante de simplicité, elle qui a su dépasser sa condition sociale originelle.
Si elle a appris à faire la bourgeoise et à ne pas faire de bruit en mangeant sa soupe, elle a aussi appris à faire du bruit en malaxant les mots et en « restituant le monde », comme le titrait une émission d’Alain Finkielkraut avec André Dussolier de février 2013, et qui fit découvrir à beaucoup la langue et l’existence de Marie-Hélène Lafon.

Mon rapport au monde passe par le corps et mon écriture aussi.

 

La biographie de Marie-Hélène Lafon se doit d’être discrète et attentive, comme elle. Aussi on mentionnera juste ceci : 
Marie-Hélène Lafon est née en 1962 à Aurillac dans le Cantal. Agrégée de grammaire, professeur de Lettres, et écrivain, elle vit à Paris où elle enseigne les lettres classiques.
Elle écrit depuis 1996 et publie depuis 2001 chez Buchet-Chastel des romans et des nouvelles.

Elle a obtenu en 2001 le prix Renaudot des Lycéens pour Le soir du chien.
Et il a été glané quelques autres parcelles de son existence dans ses quelques interviews, où elle parle de son arrachement à la terre-mère et au dur apprentissage des villes, là où elle se sent irrémédiablement gauche et étrangère.
Marie-Hélène Lafon raconte de livre en livre ces années de passage, de cette fille de paysans du Cantal, née dans un monde qui disparaît. Son père le dit et le répète depuis son enfance : ils sont les derniers. Très tôt, elle comprend que le salut viendra des études et des livres et s’engage dans ce travail avec énergie et acharnement. Elle doit être la meilleure. Grâce à la bourse obtenue, elle monte à Paris, étudie en Sorbonne et découvre un univers inconnu. Elle n’oubliera rien du pays premier, et apprendra la ville où elle fera sa vie, qu’elle devra apprivoiser avec ses autres odeurs, ses autres paysages et codes.

Marie-Hélène Lafon

Elle nous parle de son pays, lire l’article sur http://www.espritsnomades.com/sitelitterature/lafon/lafon.html

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