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    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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  • > Archives pour le Samedi 3 octobre 2015

Les Idiomes de la langue Française

Posté par francesca7 le 3 octobre 2015

 

 

francaisDans notre vie quotidienne, nous utilisons tous les jours de façon naturelle et inconsciente des expressions pour désigner certaines circonstances. Nous ressentons un réel besoin de les utiliser pour exprimer de manière claire et profonde nos émotions, car les mots à eux seuls ne suffisent pas à les décrire. L’expression fort comme un Turc dans l’exemple cité plus haut signifie « devenir habile, imbattable physiquement » et non pas « devenir Turc » au sens propre. De même, l’expression avoir un poil dans la main est-elle une image qui signifie « être paresseux ». Dans ces expressions, nous remarquons clairement que les mots perdent leur autonomie, et que le sens est celui de l’expression prise dans son ensemble. 

La langue française comporte plusieurs dizaines de milliers d’expression de ce genre, qu’on appelle idiomes dans la terminologie linguistique.

Qu’est-ce donc, qu’un idiome ?

Un idiome (du grec idios, « propre ») est l’ensemble des moyens d’expression (langage, modes de pensée) d’une communauté donnée relatif à un de ses domaines d’activité spécifiques. 

Un idiome est toujours composé d’un certain nombre de mots que l’on regroupe pour exprimer quelque chose de différent par rapport à l’acception originelle de chacun des mots lorsqu’ils sont utilisés seuls. La façon dont les mots sont regroupés est souvent bizarre, illogique, voire même grammaticalement incorrecte. Mais il existe aussi des idiomes qui sont tout à fait réguliers et logiques dans leur construction.

En tout cas, une des particularités importantes des idiomes est que nous devons apprendre la forme entière comme un tout. Et surtout, nous ne pouvons pas la plupart du temps en modifier ne serait-ce qu’une partie (à l’exception peut-être du temps du verbe).

Il est important de souligner ici que les idiomes ne sont pas nécessairement des expressions familières, contrairement à ce que pensent beaucoup de gens. On les rencontre aussi bien dans le registre formel que dans le registre informel (dans le jargon argotique, par exemple). L’arrangement inhabituel ou le choix des mots dans la composition des idiomes reste toujours inexplicable. 

Un des points importants à relever ici, c’est bien entendu la dimension culturelle des idiomes.

Par exemple, les Anglais emploient souvent l’idiome when the Ethiopian changes his skin, qui signifie littéralement « Quand les Éthiopiens changeront de couleur de peau ». Synonyme de jamais, on l’emploie pour signifier qu’une chose est impossible. On sait que les Britanniques avaient par le passé colonisé la plupart des pays d’Afrique noire. C’est ce qui explique que nombre de leurs idiomes soient liés à la perception qu’ils avaient des peuples autochtones. Dans cet exemple, la focalisation sur la couleur de peau des Éthiopiens sert à dire « jamais ».

En français l’idiome quand les grenouilles auront des queues signifie la même chose. Alors pourquoi la grenouille ? Connaissant la place de cet animal dans la tradition culinaire française, le choix de cette forme s’explique aisément. Les batraciens, on le sait, sont des animaux sans queue. Mais, qui, mieux que les Français, sait que les grenouilles sont dépourvues de cet attribut, eux qui les élèvent dans des étangs spécifiques pour le seul plaisir de la table ? 

Ces quelques exemples montrent assez clairement qu’il existe des traits caractéristiques liés à la culture des peuples. Les idiomes peuvent apparaître dans la poésie, dans la langue d’un Shakespeare ou d’un Molière, aussi bien que dans les Livres sacrés. Ils sont l’expression du génie national d’un peuple. C’est à travers les idiomes que nous observons la richesse historique, spirituelle et humaine d’un peuple. Ils renvoient aux croyances associées aux activités de la vie et de la culture. On songe immanquablement ici au célèbre mystique musulman Roumi qui, dans ses œuvres, faisait un usage merveilleux des idiomes.

Notes
1- J. Rey-Debove & M.-H. Drivaud, Le Robert quotidien. Dictionnaire pratique de la langue française, Dictionnaires Le Robert, Paris, 1996.
2- Djalal-ad-Din Roumi, Mathnawi : La Quête de l’Absolu, Editions du Rocher, Paris, 1990.

Publié dans EXPRESSION FRANCAISE, HISTOIRE DES REGIONS, LITTERATURE FRANCAISE | Pas de Commentaire »

Nos ancêtres avaient le sens de la communauté

Posté par francesca7 le 3 octobre 2015

 

 

Communauté ancestraleVivre dans la même ville, le même quartier et le même immeuble suffisent-ils à éradiquer la solitude de l’individu et à répondre à ses besoins matériels et spirituels ? Malheureusement, beaucoup vivent seuls au milieu de la foule et ne trouvent personne avec qui discuter, à qui confier leurs soucis et leurs peines. Malgré des moyens tels que le téléphone portable, l’ordinateur et internet, qui assurément facilitent la vie, l’homme moderne est seul. C’est dans la solitude en effet qu’il affronte les mille et un problèmes de la vie. L’affaiblissement des liens familiaux en est la cause. Une situation tout à fait désolante qui nous donne envie de nous exclamer « Comme ils en avaient de la chance, les anciens ! »

N’étaient-elles pas heureuses, ces grands-mères qui tenaient leurs petits-enfants par la main, les conduisant à la mosquée pour y prier ensemble ? N’étaient-ils pas heureux ces grands-pères qui visitaient les cimetières avec leurs petits-enfants à la veille des fêtes afin de leur présenter leurs ancêtres ? N’étaient-ils pas heureux ces enfants qui grandissaient en écoutant les histoires racontées par leurs grands-mères ? Qui sait ? Ils ne connaissaient ni troubles psychologiques, ni stress, ni dépression… Les anciens avaient des enfants dont le plus éloigné vivait de l’autre côté de la cour. Ils avaient des petits-enfants qui leur disaient : « Ce soir, je dormirai avec mon grand-père chéri ! Ma grand-mère adorée dormira chez nous ce soir. Youpi ! » Les anciens avaient des pères puissants, solides comme des rocs, sur qui ils pouvaient compter. Nul ne se retrouvait dans la rue. On considérait les personnes âgées comme la parure, la richesse et la bénédiction d’un foyer. Personne en leur présence ne se permettait de lâcher un « pfff ! » d’exaspération…

Il fut un temps où les gens ne souffraient pas de solitude. Les relations étaient solides et résistaient à l’épreuve du temps. Les gens étaient tolérants. Ils n’étaient pas égoïstes. Ils parvenaient à maîtriser leur colère. Chacun comprenait l’autre : sa posture, ses regards, son sourire. En règle générale, les individus étaient sages. Ils ne perdaient pas leur temps en vaines disputes du type « Pourquoi est-ce que vous ne m’avez pas laissé passer ? Pourquoi vous klaxonnez ? Pourquoi vous criez ? » Les individus vivaient des moments heureux avec leurs parents, enfants, amis et voisins. À partir du moment où les gens se sont mis à éviter d’entrer en contact avec ceux qui leur étaient les plus proches, les disputes et les problèmes sont apparus, charriant leur lot de tristesse et de souffrance.

Peut-on raisonnablement attendre de quelqu’un qui ne supporte pas la mère qui l’a mis au monde, qui installe son propre père à une autre table uniquement parce qu’il mange bruyamment, qui se fâche contre ce même père qui a travaillé durement sa vie durant, simplement parce qu’il est devenu sourd, peut-on raisonnablement attendre d’un tel individu qu’il parvienne à entretenir une relation de qualité avec ceux qui ne lui sont pas même proches ? De même, qu’attendre de parents qui se comportent avec leurs enfants comme s’ils étaient des bêtes de course, leur rendant la vie impossible, exigeant d’eux constamment les meilleures notes, les accablant de reproches parce qu’ils ont été devancés par leurs camarades lors d’épreuves pourtant mineures ?… Les blessures morales que nous infligeons aux autres et les regrets que nous exprimons à travers des exclamations comme « Ah, si je pouvais remonter le temps !… » ne sont-ils pas le résultat de notre intolérance, de ces actions et paroles irréfléchies devenues communes dans notre vie d’aujourd’hui ?

Ne pensez-vous pas dès lors que les vertus de nos ancêtres – la convivialité, le dialogue, les contacts fréquents, l’échange de présents comme de politesses, la gentillesse, le fait de savoir contenir sa colère, la patience, et l’action réfléchie, servie par une parole belle et juste – pourraient servir de remèdes à notre solitude actuelle ? Les abeilles, fourmis, et jusqu’aux animaux sauvages vivent en communauté. Est-il possible que l’être humain, créature sociale par excellence, puisse vivre une vie saine dans la solitude ?

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Publié dans ARTISANAT FRANCAIS, HUMEUR DES ANCETRES | Pas de Commentaire »

 

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