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Le Sanglier dans les bois

Posté par francesca7 le 27 septembre 2015

Sanglier dans les boisDes défenses masculines

Mais au fait, mâle ou femelle ? Chez le mâle, les canines inférieures sont transformées en défenses très coupantes, d’autant plus visibles que l’individu est âgé. Quant à la hure – la tête – de la femelle, elle peut être un peu allongée que chez le mâle.

En fait, malgré son allure massive, le sanglier a un corps assez allongé et étroit : 0,90 m de haut et 1,50 m de long. Sa tête pointue et ce corps étroit lui permettent de sa faufiler dans les buissons. Son apparente rondeur cache en fait un animal très nerveux.

Mauvaise vue contre ouïe fine

Mais, que se passe-t-il ? Tous les sangliers ont détalé ! Nous n’avons pourtant pas fait de bruit !

Oui, mais voilà, les sangliers ont non seulement l’ouïe fine mais aussi un odorat excellent. Cette dernière qualité est bien utile pour flairer les odeurs de nourriture. A l’aide de son butoir, le bout du museau, le sanglier fouille la terre, brisant les mottes à la recherche de la truffe enfouie. Un vrai laboureur !

Des mâles solitaires

Habitant des forêts de feuillus et des forêts résineux-feuillus en Europe et en Asie, les sangliers, de leur nom latin Sus scrofa, sont plutôt sédentaires. S’ils sont trop dérangés, par la chasse notamment, ils peuvent cependant parcourir 20 à 30 km par jour.

Tandis que les mâles se la jouent en solo, excepté pendant les périodes de rut, les femelles aiment à se regrouper et vivent « en compagnie » de 10 à 20 individus, menée par une laie dominante. Dans une même compagnie, les chaleurs des femelles se synchronisent ! Les jeunes restent avec elle, mais passés 6 mois, les mâles forment un groupe distinct.

Marcassins ou bêtes rousses

La période de rut dure de mi-novembre à mi-janvier, mais les copulations peuvent avoir lieu de septembre à mars. Trois mois, trois semaines et trois jours plus tard, les femelles mettent bas de trois à dix petits, les marcassins.

Ils arborent un pyjama beige à rayures brunes. Après 3 ou 4 mois d’allaitement, ils sont sevrés. Quand ils perdent leurs rayures, on les appelle « bêtes rousses ». La longévité maximale des sangliers est de 15 ans.

 

Sa femelle se nomme la « laie », les petits sont des « marcassins », les jeunes sont parfois appelés « bêtes rousses » et les mâles adultes des « ragots » à 2 ans, « tiers ans » à 3 ans, « quartaniers » à 4 ans, « solitaires » à partir de 5 ans.

Cette espèce abondamment chassée est aussi considérée comme une espèce-ingénieur, capable de développer des stratégies d’adaptation à la pression de chasse, ce qui lui confère parfois un caractère envahissant.

Le sanglier est essentiellement nocturne (une évolution peut-être due à la présence de l’homme). Il est plutôt sédentaire et apparemment attaché à son territoire quand il est entouré d’obstacles, mais dans un milieu qui lui convient, il peut parcourir plusieurs dizaines de kilomètres dans la nuit et son aire vitale peut atteindre de 100 hectares à plus de 1 000 ha. Il sélectionne ses habitats selon la saison, l’heure du jour ou de la nuit et ses besoins alimentaires.

Régulièrement, le sanglier se vautre dans la boue dans des lieux appelés « souilles », et se frotte avec insistance contre les troncs d’arbres avoisinants pour se débarrasser d’un certain nombre de parasites, réguler sa température corporelle et marquer son territoire. Il dort dans de petites dépressions du sol, sèches, bien dissimulées, nommées « bauges ».

Les compagnies de sangliers sont constituées d’une ou plusieurs laies suivies de leur progéniture. Les ragots (sangliers de 2 à 4 ans) ferment la marche lors des déplacements, mais sont remplacés par des mâles plus âgés en période de rut. Les cortèges sont souvent bruyants, non seulement par le bruit lourd des pas, mais aussi par les grognements, cris, soufflements et autres reniflements. Cependant, les sangliers savent se montrer discrets et silencieux s’ils se sentent menacés.

À l’approche de l’homme, le sanglier prend généralement la fuite avant qu’on ne l’ait détecté et peut se montrer étonnamment agile et rapide. Une laie pressentant un danger pour ses marcassins, peut se montrer dangereuse et charger, ou attaquer un chien, de même qu’un adulte blessé. Irrité, un sanglier claque violemment des dents ; on dit alors qu’il « casse la noisette ».

Les déplacements importants d’individus ou de groupes sont habituellement induits par le manque de nourriture ou d’eau mais un autre facteur croissant de déplacement de groupes de sangliers est le dérangement : sur-fréquentation des couverts forestiers par les promeneurs et les cueilleurs de champignons (qui dans certains cas écument certaines parcelles forestières), poursuite par les chiens non tenus en laisse, traque lors des journées de chasse en battue, chantiers forestiers, etc.

Le Sanglier dans les bois dans FAUNE FRANCAISE 220px-Wildsau_mit_FrischlingLe rut s’étale d’octobre à janvier avec une activité importante dans les mois de novembre et décembre. Lors d’affrontements violents entre mâles, des blessures parfois importantes peuvent être occasionnées. La gestation dure 3 mois, 3 semaines, 3 jours (soit 114 à 116 jours), la laiemet bas dans le chaudron, (une excavation plus ou moins aménagée dans la végétation basse) de 2 à 10 marcassins aux yeux ouverts. Le nombre de petits est corrélé au poids initial de la femelle (40 kg : deux petits, 60 kg : quatre petits), mais dans le sud de la France les populations de sangliers ont été recréées ou renforcées par des hybrides de cochon domestique dans le but d’augmenter la prolificité. L’allaitement dure 3 à 4 mois, mais les jeunes sont aptes à suivre la mère dans ses déplacements dès la fin de leur première semaine. Bien que capables de subvenir à leurs propres besoins vers l’âge de six mois, ils demeureront dans le groupe familial encore une ou deux années.

 

quand le sanglier creuse sa souille et s’y roule, et quand il se frotte sur les gros troncs, il se débarrasse de ses parasites, mais il contribue aussi à disperser des spores et diaspores parfois enfouies il y a des décennies voire des siècles, et qui pour certaines ont conservé leurs propriétés germinatives dans la « banque de graines du sol ». Il facilite notamment la dispersion « épizoochorique » de diaspores de plantes vasculaires ; Une étude allemande récente (2006) a en effet montré que le nombre moyen de graines viables ainsi que le nombre d’espèces de plantes sont plus élevées dans les échantillons de sol étudiés près des arbres où il se frotte que près des autres arbres. Et certaines espèces ne sont pratiquement trouvée qu’au pied des arbres où il se frotte. Sans surprise, les diaspores crochues et hérissées, adaptés à l’épizoochorie sont plus fréquentes, mais de nombreuses espèces à diaspores non spécialisées sont aussi exclusivement trouvées près des arbres de 220px-Wild_Boar_Habbitat_2 dans FAUNE FRANCAISEfrottement. Ces diaspores sont celles d’espèces forestières, mais aussi non-forestières de milieux ouverts. Les scientifiques ont aussi observé une accumulation de graines d’espèces bioindicatrices de milieux humides plus importante près des arbres de frottement, laissant supposer que les sangliers jouent un rôle important de dispersion directe d’espèces végétales des zones humides. Ces résultats confirment des études antérieures sur les charges en diaspores du pelage et des sabots de sangliers abattus. Ils démontrent l’efficacité de la dispersion. Les sangliers jouent donc un rôle dans la résilience écologique de la forêt après les chablis et incendies ou d’autres perturbations. Un sanglier peut lors de ses déplacements, en quelques heures, transporter et littéralement « semer » des graines jusqu’à des dizaines de kilomètres à la ronde (un sanglier peut parcourir 20 à 30 km en une seule nuit). Ces graines et spores étant entourées de boue et réchauffées au contact de son corps ont plus de chances de germer. De même pour les graines non digérées rejetées avec ses excréments (endozoochorie). Ceci pourrait expliquer certains « patterns » locaux de végétation que la phytosociologie n’explique qu’incomplètement.

  • Cependant, là où il est anormalement abondant, suite de la disparition de ses prédateurs sauvages et/ou à cause du nourrissage (alimentation artificielle) ou de plans de chasse qui l’ont trop favorisé, il semble – avec le chevreuil et parfois le cerf – jouer un rôle plutôt négatif (surpiétinement, surprédation et augmentation du nombre de tiques. Il occasionne en outre alors des dégâts dans les champs, prairies et parfois dans les jardins en y mangeant et parfois en retournant profondément les sols (boutis).

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Les animaux de la forêt française

Posté par francesca7 le 27 septembre 2015

 

 

9x7d8957Le sanglier appartient à la liste des espèces dont la chasse est autorisée et à la liste nationale des animaux susceptibles d’être classés nuisibles dans chacun des départements français.

Il est chassé à tir, souvent en battue, et à courre et dans ces deux cas, toujours avec des chiens. Lorsque l’animal est classé nuisible, la période de destruction prolonge celle de la chasse.

Soufflement, grognement… d’étranges bruits résonnent dans la forêt. Mammifères courts sur pattes, au noir pelage épais et hirsute, une tête triangulaire dotée d’un long museau puissant à large groin, une queue nommée vrille : pas de doute, une compagnie de sangliers est en train de déjeuner.

Au menu ? De tout !

Hé oui, les sangliers sont omnivores, chez eux tout est bon. Ils ont cependant une nette préférence pour les végétaux : glands, faines, châtaignes, champignons, céréales…

Ils ne dédaignent pas à l’occasion des souris, un oiseau blessé, voire même des vers de terre ou des charognes. Mais à 90%, leur alimentation est d’origine végétale. Sa qualité et son abondance jouent d’ailleurs un rôle important dans le poids d’un individu : situé entre 80 et 200 kg pour les mâles et entre 60 et 110 kg pour les femelles.

Repas nocturne

C’est à partir du crépuscule que le sanglier se nourrit généralement. Même si on peut aussi l’observer en journée.

Quand il n’est pas à la recherche de nourriture, il se repose dans sa bauge, un creux dans le sol dans un endroit très abrité.

Pour se rafraîchir et éliminer les parasites, le sanglier aime à se vautrer dans des bains de boue, appelés souilles. Ensuite, couvert de boue, il se frotte contre un arbre pour se nettoyer.

 

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Le chevreuil pratique l’abroutissement, il mange les pousses et les feuilles des jeunes arbres, car tendres, empêchant la croissance des rameaux principaux.

L’abroutissement provoque la poussée de rameaux secondaires qui transforment le jeune arbre en buisson.

L’abroutissement de jeunes plants est facile à observer : le chevreuil laisse généralement le pétiole des feuilles fixé sur la tige.

le plus petit des cervidés européens, c’est le chevreuil.

1,20 m de long, pour une hauteur au garrot de 65 cm et seulement 24 kg en moyenne pour le mâle.

Celui-ci est appelé brocard ; on parle de chevrette pour la femelle.

Il est présent dans toute l’Europe à l’exception de l’Irlande, la Corse, la Sardaigne, la Sicile et les îles Baléares.

Son pelage s’adapte aux saisons

De petite taille, ce cervidé artiodactyle (ongulé herbivore ayant un nombre pair de doigts à chaque patte) arbore un pelage d’été brun-roux à miroir jaunâtre. A quoi ? A miroir, c’est-à-dire les fesses.

En hiver, il est plutôt brun gris à miroir banc.

Chez la femelle, le miroir prend la forme d’un cœur et chez le mâle, celle de deux haricots. La queue est à peine visible. La femelle en exhibe une très courte, constituée d’une touffe de poils blancs.

Des bois annuels en os

Seuls les mâles portent des bois, rugueux à la base et composés d’au maximum trois andouillers chacun.

C’est en hiver que ces deux protubérances osseuses poussent. Le calcium de l’os est apporté par des vaisseaux sanguins protégés par une peau de velours. La perte du velours est au printemps quand les bois sont entièrement solidifiés. Il peuvent atteindre 25 cm de long !

Leur chute se fait en octobre et novembre.

Un ongulé qui aboie !

Discret, il peut être difficile à observer.

Par contre, au moment du rut, ses aboiements retentissent dans la forêt. Oui, oui, le chevreuil aboie.

Comment s’assurer de la présence de ce charmant cervidé ? En repérant ces crottes, appelées moquettes : noires, luisantes, pointues à un bout et souvent agglomérées en masse en été.

Mais aussi en observant des ronds de sorcières… : des espaces circulaires empruntés par le mâle qui suit la femelle plusieurs fois autour d’un arbre ou d’une souche.

Des marques de territoire

Les brocards laissent ainsi des traces de frottis avec leurs bois pourvus de glandes à musc sur les tiges de jeunes arbustes pour y déposer leur odeur.

On peut aussi repérer les grattis qu’ils provoquent en mettant à nu le sol avec leurs pattes avant.

Jeunes pousses feuillues et graminées : un menu varié

Quel est son menu de prédilection ? Les bourgeons , jeunes pousses tendres et feuilles de chêne, charme, érables, cornouiller mais aussi de résineux , beaucoup de Graminées, et quelques dicotylédones.

En hiver, lierres, ronces et callune auront sa préférence. A l’occasion aussi, il peut se nourrir de glands, de faines et de plantes cultivées.

Le changement de régime de l’été à l’hiver s’accompagne ainsi d’une augmentation de la durée de rumination : une heure en été contre deux heures en hiver.

Il préfère vivre en forêt, mais si l’espace vient en manquer pour cause de surpopulation, il peut tout aussi bien investir les plaines céréalières, les bocages, les maquis, la garrigue, ou la montagne : on peut assez facilement l’y observer en été, même à plus de 2.000 m.

Son domaine vital varie selon le milieu et la densité de population. Celui de la chevrette est plus vaste que celui du brocard mais moins stable.

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Pas de grande tribu : le chevreuil est solitaire

Généralement, l’unité sociale de l’espèce se compose d’une chevrette et des jeunes de l’année.

En automne, un brocard peut venir compléter le tableau familial. Lorsque l’hiver arrive, plusieurs de ces groupes peuvent s’associer.

Le brocard vit en solitaire, sauf pendant le rut de mi-juillet à mi-août où il se confronte aux autres mâles et courtise les chevrettes.

SOURCE : ONF.com

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