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    La France, je l'aime corps et biens, en amoureux transi, en amant comblé. Je la parcours, je l'étreins, elle m'émerveille. C'est physique. Pour l'heure, c'est le plus beau pays du Monde, le plus gracieux, le plus spirituel, le plus agréable à vivre. En dépit de ses défauts, le peuple français a des réserves inépuisables de vigueur, d'astuce et de générosité. j'écris cela en toute connaissance de la déprime qui périodiquement enténèbre nos compatriotes. Ils ont une pente à l'autodénigrement, une autre au nihilisme. Je suis français au naturel et j'en tire autant de fierté que de volupté. J'ai pour ce vieux pays l'amour du preux pour sa gente dame, du soudard pour la servante d'auberge, de l'érudit pour ses grimoires, du paysan pour son enclos, du bourgeois pour ses rentes, du croyant des hautes époques pour les reliques de son saint patron... J'ai la France facile, comme d'autres ont le vin gai ; je l'ai au coeur et sous la semelle de mes godasses. Je suis français, ça n'a pas dépendu de moi et ça n'a jamais été un souci. Ni une obsession. Toujours un bonheur...

    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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Jules Bonnot, Raymond la science, l’homme à la carabine

Posté par francesca7 le 13 août 2015

 Jules Bonnot, Raymond la science, l’homme à la carabine dans FONDATEURS - PATRIMOINE 220px-Fiche_de_Police_de_Raymond_Callemin_%28AKA_Raymond_la_Science%29« La caisse ! » L’employé de la Société Générale de la rue Ordener à Paris hésite. Les bandits, eux, n’hésitent pas : ils ouvrent le feu, blessent grièvement le caissier, et s’enfuient dans une automobile pétaradante !

Nous sommes le 21 décembre 1911. C’est le début de l’épopée sanglante d’une bande commandée par Jules Bonnot, un ouvrier mécanicien, faux-monnayeur et militant syndicaliste. On y trouve Raymond Callemin, dit Raymond la Science tant sa soif de lecture est grande ! On y trouve Soudy qui n’a rien à perdre : tuberculeux, pauvre, l’aventure tragique le rend célèbre, il devient l’homme à la carabine.

On y trouve Carouy, un ancien tourneur sur métaux, une armoire à glace ! On y trouve deux anciens déserteurs : Garnier et Valet. Cette bande va de nouveau attaquer la Société Générale le 25 mars 1912, à Montgeron et Chantilly, tuant deux employés. Le 24 avril, à Ivry, les bandits sont cernés dans une maison. Ils sont presque tous arrêtés. Jules Bonnot, qui a tué le sous-chef de la police, est parvenu à s’enfuir. Il s’est réfugié chez un garagiste à Choisy-le-Roi. Le 29 avril 1912 à l’aube, le garage est encerclé. Le préfet de police, le chef de la sûreté, le procureur de la République et une nuée de reporters sont là !

Tous se sont donné rendez-vous pour l’hallali : la bête féroce va être abattue. Trente mille curieux se pressent sur les lieux. L’assaut est donné. Bonnot se défend comme un diable, mais tombe sous les balles. Le 15 mai, Garnier et Valet sont rattrapés à Nogent-surMarne, et abattus ! Anarchiste, Bonnot ? Plutôt l’homme d’une idée, l’idée du théoricien du groupe, un certain Kilbatchiche, fils d’immigrés russes né à Bruxelles.

L’anarchie théorique qu’il développe est transformée par Bonnot en actes criminels. Les deux hommes rompent leurs relations. Bonnot s’enfonce dans le crime. Kilbatchiche, à l’issue du procès du 28 février 1913 – Raymond la Science et l’Homme à la carabine sont condamnés à mort, l’armoire à glace aux travaux forcés à perpétuité –, écope de cinq années de réclusion. Libre, il deviendra l’écrivain Victor Serge, collaborateur de Trotski. Il mourra en 1940, à Mexico.

Fils d’un cordonnier, Narcisse Callemin, Raymond est un ami d’enfance de Viktor Kibaltchich, le futur Victor Serge, mais également de Jean De Boë et d’Édouard Carouy, deux autres membres de la future bande à Bonnot. Il fait des études jusqu’à l’âge de 16 ans et apprend le métier de photographe.

Raymond Callemin participe en 1911 au groupe qui publie le journal libertaire L’Anarchie, dans un pavillon de la rue du Chevalier-de-la-Barre à Romainville, à l’époque où bon nombre de rédacteurs sont des « individualistes scientifiques » qui pratiquent une forme d’ascèse libertaire (pas de vin, de café, de sel, de viande ou de tabac…). Il y fait fonction de caissier et de typographe. C’est dans ce milieu qu’il rencontre entre autres Octave Garnier,André Soudy ou René Valet et retrouve Édouard Carouy.

Son surnom de « Raymond la Science » lui est donné, d’après Jean Maitron, en raison de son goût immodéré de la lecture. Les journaux de l’époque avancent une autre explication : « Callemin ne cessait, dans les parlottes anarchistes, d’appuyer les moindres affirmations sur l’autorité de la science. Son sobriquet lui fut décerné par dérision par ses camarades. » Callemin lui-même aurait dit : « On m’appelle ainsi parce que je connais pas mal de choses et que pour mes amis j’ai autant de science en mon cerveau que l’on peut en trouver dans les livres. »

Raymond Callemin participe aux actions les plus retentissantes de la bande à Bonnot : l’agression de deux employés de la Société générale, rue Ordener, le 21 décembre 1911 ; le meurtre de l’agent de police Garnier, place du Havre, le 27 février 1912, et l’attaque de l’agence de la Société générale à Chantilly le 25 mars 1912 au cours de laquelle deux employés sont tués.

Il est arrêté le 7 avril 1912, 48 rue de La Tour-d’Auvergne à Paris.

Il comparaît à partir du 3 février 1913 devant les assises de Paris, en compagnie de dix-neuf autres accusés, parmi lesquels se trouvent Victor Serge et Rirette Maîtrejean en tant que gérants du journal L’Anarchie.

Au procès, Bonnot et Garnier étant morts, Callemin fait figure de chef. Il assume d’ailleurs ses responsabilités avec fierté.

Il est l’un des quatre accusés à être condamné à mort. Après le verdict, il tentera de disculper Eugène Dieudonné, également condamné à mort pour sa participation supposée à l’agression de la rue Ordener. Dieudonné sera gracié.

Son exécution a lieu le 21 avril 1913, en même temps que celles d’Étienne Monier et d’André Soudy

 Le_Petit_Parisien_du_lundi_8_avril_1912

Citations Lors de son arrestation  : «  Vous faites une bonne affaire ! Ma tête vaut cent mille francs, chacune des vôtres sept centimes et demi. Oui, c’est le prix exact d’une balle de browning !  »

  • « Qu’est ce que le crime? Un attentat contre la vie humaine perpétré dans certaines conditions. Cela veut dire, que parfois, la suppression des vies humaines est récompensée de façon honorifique. Tandis que, dans d’autre cas on voue l’individu à l’exécration universelle. »
  • En montant sur l’échafaud : « C’est beau hein, l’agonie d’un homme… 

Anecdote

En 1974, Guy Debord compose une chanson sur l’attentat d’Émile Henry contre le siège des mines de Carmaux à Paris, le 8 novembre 1892. L’auteur attribue, par fantaisie, La Java des Bons-Enfants à Raymond Callemin. La chanson figure sur l’album Pour en finir avec le travail, un recueil de « Chansons du prolétariat révolutionnaire » paru sous forme de disque vinyle en 1974 et réédité en CD en 1998.

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La chanson pendant des siècles

Posté par francesca7 le 13 août 2015

 

A travers la chanson française, nous pouvons découvrir le passé de la France, ses coutumes régionales et ses métiers d’autrefois, qui, grâce à la chanson, sont restés vivants.3 La chanson est présente dans toutes les activités humaines et dans toutes les civilisations. Elle s’est bien adaptée aux besoins très divers des hommes. Dès le jour où l’homme a acquis ses qualités humaines, il a commencé à utiliser ses organes de la parole non seulement à parler, mais aussi à chanter. Il a chanté pour exprimer son plaisir et bonheur ou par contre ses chagrins, il a chanté pour pouvoir mieux réfléchir, ou, tout simplement, pour donner du rythme à son travail. Pendant les siècles, ces besoins de s’exprimer ont variés.

cotillon

Les premières traces de la chanson française, nous pouvons les trouver à la fin du IXe siècle , plus précisément en 800 ou 881 , dans la Séquence (ou Cantilène) de sainte Eulalie.  Cet œuvre représente la poésie lyrique. Il s’agit vraisemblablement du premier texte littéraire écrit en langue française. Malgré que cette langue n’est pas tout à fait identique avec celle que nous connaissons aujourd’hui, nous pouvons facilement reconnaître qu’elle avance du latin médiéval vers la langue vulgaire. Dans la poésie lyrique, les mots sont liés en vers ce qui représente une sorte de rythme. Le rythme, présent dans cette poésie en forme de liaison en vers, est nécessaire pour la musique. Conséquemment, malgré qu’il s’agit d’un monument écrit, nous pouvons observer les traits de la chanson, comme le rythme et l’assonance  ou la langue des savants aristocratique. Finalement tous ces traits caractériseront dans le futur la chanson qui gagnera au cours des siècles des formes diverses et aura les destins différents. Pour pouvoir mieux observer la liaison en vers, nous pouvons l’illustrer sur un extrait de la Cantilène de Sainte Eulalie.

Nous pouvons constater que l’histoire documentée de la chanson française se date du Moyen Age. Elle était chantée par les trouvères et sa mélodie et son rythme étaient simples. Les auteurs ont souvent utilisé les paroles amusantes, satiriques et frivoles. Au début, il s’agissait de la chanson à l’unisson, dès XIIIe siècle, la chanson polyphonique est apparue. En ce qui concerne la forme, il est possible de nommer par exemple la ballade, le rondeau ou le virelai.

En ce qui concerne les compositeurs les plus connus de ce genre, nous pouvons mentionner par exemple Bernard de Ventadour, Thibaut de Champagne ou Adam de la Halle. En relation avec le XIIe et le XIIIe siècle, il peut nous venir à l’esprit une question quasi fondamentale : La chanson peut-elle servir comme un métier ?

En cette époque-là, les jongleurs se sont efforcés de trouver leur propre spécialisation et d’acquérir une autonomie plus grande. Ils ont voulu créer leurs propres textes et composer leur propre musique. Bref, ils ont désiré de devenir auteurs de leurs propres chansons. En réalité, nous pouvons diviser les jongleurs de cette époque-là en deux groupes. Les uns ont chanté les mélodies apprises par cœur qui ont fait partie de leurs spectacles de bouffon ou bien acrobatiques. L’autre groupe est formée par des jongleurs plus cultivés. Ceux-ci ont composé les chansons dans les écoles de jongleurs. Ainsi a été crée le groupe des « troubadours » et « trouvères ».

180px-CartouchePrisonBreakNous les appelons de cette manière puisqu’ ils « trouvaient » de nouvelles musiques ou de nouveaux poèmes. Les grands troubadours étaient les gens d’origine noble. C’est grâce à cette condition sociale qu’ils sont les seuls qui ont laissé enregistrer leur œuvre. Quant aux représentants, le premier de ce groupe est Guillaume IX, le comte de Poitiers et le duc d’Aquitaine. Son œuvre date de la première moitié du XIIe siècle. Comme le représentant le plus éminent nous pouvons considérer certainement Bernard de Vantadour qui était cependant le fils d’un domestique. En ce qui concerne les trouvères, le plus connu est Thibaut de Champagne.

La thématique préférée des trouvères était l’amour ce que nous pouvons bien illustrer sur l’ œuvre de Conon de Béthune. Il a crée un roman avec la thématique d’amour et c’est ainsi qu’il est devenu l’auteur d’ un genre littéraire à succès. C’est dans l’époque des trouvères que nous pouvons trouver les origines de la chanson folklorique. Au début du XIIIe siècle, la chanson populaire s’est trouvée bien développée. Les fêtes organisées aux châteaux forts ou les cérémonies ecclésiastiques ont posées les fondamentaux  pour les chanson de forme fixe. Nous pouvons nommer par exemple le rondeau, le virelai ou la ballade. Parmi les trouvères, nous devons encore mentionner le plus célèbre d’entre eux, Adam de la Halle. Il a contribué au développement de la musique « artificielle ». En cette époque-là, c’est la polyphonie qui est née de la monodie. C’est Adam de la Halle qui nous a laissé en forme de son œuvre la chanson polyphonique qui a conservé la forme de rondeau et dans laquelle Adam de la Halle utilise la langue populaire.

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