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Le recyclage ne date pas d’hier

Posté par francesca7 le 30 juillet 2015

 

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Voici plus d’un siècle, et devant les quantités importantes de déchets domestiques abandonnées aux poubelles comme denrées négligeables, ingénieurs et médecins s’interrogent quant à la possibilité de les recycler utilement, les premiers y voyant matière à fournir l’électricité nécessaire tant aux usagers qu’aux tramways, les seconds aspirant à collecter certains débris de viande ou de légumes mal exploités, en vue de confectionner des repas pour les miséreux

On a posé récemment sur les grands boulevards des corbeilles où les passants sont invités à déposer les papiers qu’ils ont l’habitude de jeter sur la chaussée, écrit Jean Frollo, du Petit Parisien, en 1908. Jusqu’à présent, il faut constater que le succès n’a pas répondu à cet effort, mais il n’est point hors de propos d’ajouter que l’initiative de la voirie a été accueillie sans mauvaise humeur. Il en fut tout autrement au moment où les « poubelles » firent leur apparition. Les chiffonniers se crurent ruinés ; il y eut des meetings de protestation, des articles virulents dans les journaux, même une interpellation à la Chambre. Puis le silence se fit et tout rentra dans l’ordre. Aujourd’hui on n’en parle plus.

Cependant, ces jours-ci, on a reparlé des poubelles. Les ingénieurs d’un côté, les médecins de l’autre se sont avisés de réclamer le contenu de ces boîtes. Modestes comme ils le sont, les médecins prétendent seulement pouvoir sustenter tous les miséreux de la capitale avec les déchets de notre vie domestique. Les ingénieurs ont des visées plus hautes. Dans les usines d’électricité, disent-ils, on brûle de la houille pour faire marcher les dynamos qui fabriquent de l’énergie électrique. Livrez-nous vos poubelles et à ce prix, c’est-à-dire en brûlant leur contenu dans nos usines, nous nous faisons forts de vous chauffer, de vous éclairer et de faire marcher vos tramways et votre métro, tout cela à l’électricité.

L’offre est tentante. Mais auriez-vous jamais pensé que nos poubelles renfermaient de telles richesses ? Serait-il donc vrai qu’en abandonnant nos boîtes aux chiffonniers et aux « boueux », nous nous livrons à un véritable gaspillage ? Médecins et ingénieurs sont d’accord sur ce point. Toutefois, ce reproche est-il justifié ? Je ne saurais mieux répondre à cette question, explique notre journaliste, qu’en vous racontant comment les choses se passent ailleurs, à l’étranger, à Munich, par exemple.

A Munich, l’enlèvement des ordures ménagères se fait par les soins d’une société industrielle. Tous les matins, ses voitures parcourent la ville, vident les boîtes placées devant les maisons et s’en vont avec leur chargement à Puchheim, petite localité voisine où se trouve l’usine de cette société. Une fois là, les voitures sont déchargées et leur contenu passe successivement à travers une série de passoires gigantesques à mailles de plus en plus serrées. Automatiquement et à des intervalles réguliers, ces passoires se renversent sur des « tables », espèces de larges lanières en cuir qui courent à côté. Masqués et gantés, des ouvriers et des ouvrières, revêtus d’un costume spécial, font, sur ces lanières, le tri des objets qui passent devant eux.

Tous les jours on rampasse ainsi quatre à cinq cents kilos de croûtes de pain, qu’on vend comme comestible pour les bestiaux. Les boîtes en fer-blanc sont lavées, laminées et expédiées en Hollande au prix de cinq cents francs le wagon. Dans un autre atelier annexé à cette usine, les débris de viande et de poisson, le cuir des vieilles chaussures sont transformés en une sorte de poussière qu’on vend comme engrais. Rincées et désinfectées dans un autre atelier, les bouteilles sont cédées à bon marché aux brasseries. Les chiffons et les vieux journaux sont pris par les fabriques de papier. Ce qui reste, après ce tri, est brûlé dans un four spécial. Et la chaleur qui se forme pendant la combustion de ces déchets est utilisée pour actionner une dynamo. On fabrique ainsi assez d’électricité pour faire marcher les moteurs de l’usine et pour éclairer la petite ville de Puchheim.

Vous avez certainement deviné que c’est précisément cet art d’accommoder les restes, qui séduit aujourd’hui nos ingénieurs. Ils veulent bien abandonner aux chiffonniers le premier tri des poubelles. Mais ils demandent que ce qui s’entasse dans les voitures des boueux, soit brûlé et transformé en électricité, comme à Puchheim. Au reste, ce n’est pas seulement à Puchheim qu’on utilise de cette façon les ordures ménagères. A Kiel, à Wiesbaden, à Manchester, ailleurs encore, la chaleur que donne leur combustion sert d’abord à chauffer l’eau des bains publics, ensuite, quand elle est transformée en électricité, à faire marcher les tramways et à éclairer les rues.

Il semble même que plus la ville est importante, plus grand est le parti qu’on peut tirer des déchets de la vie domestique. C’est ce qui ressort du moins des calculs établis par un ingénieur allemand, M. Dittmar, qui vient d’imaginer un four perfectionné, nous apprend Jean Frollo. En y brûlant les ordures ménagères, il se fait fort de fournir, aux villes de plus de deux cent mille habitants, non seulement la totalité de la lumière électrique, mais encore la moitié de la force motrice.

Voilà ce que disent, voilà ce que nous promettent les ingénieurs. Mais à leur tour les médecins, comme je l’ai dit, poursuit le journaliste, réclament nos poubelles. Eux aussi, ils les ont inventoriée, et l’on devine ce qu’ils y ont trouvé. Cependant, tout comme les ingénieurs, ils crient au gaspillage. Pourquoi, disent-ils, jeter sous là pierre à évier les feuilles de choux qui sont tout aussi nourrissantes que les meilleurs légumes ? Pourquoi aussi dédaigner les fanes de carottes, de salsifis et de navets qui sont aussi riches en fer que les épinards, dont elles ont, du reste, la saveur délicate ?

27892943Avec ces feuilles et ces fanes convenablement cuisinées une ménagère pourrait faire des soupes délicieuses. Qu elle mette encore dans cette soupe une tête de congre, de colin ou de tout autre gros poisson, et elle aura une sorte de bouillabaisse qu’aucun gourmet ne refuserait ! Cela se fait couramment en Bretagne et sur toute la côte : pourquoi ne pas imiter cet exemple à Paris et dans les autres grandes villes ? Après chaque repas on secoue la nappe et sans plus de cérémonie on balaie les miettes de pain : soigneusement ramassées et mises de côté, elles pourraient servir à confectionner, à la fin de la semaine, un pudding savoureux.

Mais ce qui exaspère les médecins c’est la façon dont le gaspillage s’opère aux Halles et dans les marchés publics. C’est par tombereaux, disent-ils, qu’on y enlève, tous les matins, des feuilles et des fanes de légumes, des débris de viande, des têtes de gros poissons. Et que fait-on avec ces montagnes de substances alimentaires ? De l’engrais. Mais aujourd’hui l’agriculteur ne veut plus de cet engrais, qui est mal assimilé par le sol, qui gêne la végétation et abîme les machines agricoles. Or en organisant des cuisines spéciales, une société philanthropique trouverait dans ces déchets de quoi nourrir, avec une dépense minimum, des milliers et des milliers de miséreux.

Philanthropie ou énergie électrique, tel est l’enjeu de la bataille qu’ingénieurs et médecins sont en train de se livrer autour des voitures des boueux. Entre les deux le choix est difficile. Je vous avoue cependant que pour ma part, conclut Frollo, il me plairait assez d’être chauffé et éclairé par ma poubelle.

D’après « Le Petit Parisien », paru en 1908

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Une balade de 90 minutes dans la nature

Posté par francesca7 le 30 juillet 2015

 

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Connaissez-vous la vitamine G ? Non ? Pourtant, chaque jour vous y avez accès gratuitement. C’est le nom trouvé par les scientifiques pour désigner les bienfaits du contact avec la nature : « G pour green ». Depuis quelques années, un nombre croissant de chercheurs s’intéressent en effet à l’impact de la nature sur notre santé, et plusieurs recherches ont déjà montré comment le contact avec la nature améliore notre santé physique. Une des études les plus connues avait révélé que les convalescents d’un hôpital bénéficiant d’une chambre avec vue sur un parc se rétablissaient bien plus vite que les autres. D’autres recherches ont depuis établi bien d’autres impacts positifs de la nature sur notre santé physique : baisse des troubles respiratoires bien sûr, mais aussi de la pression artérielle et du cortisol, l’hormone du stress, ou encore amélioration de l’immunité. Après deux journées de promenade en forêt, les effets seraient visibles durant un mois. De quoi se mettre à l’abri des microbes pour la rentrée !

Des enfants plus concentrés

Au fil des études, l’impact de la nature et des espaces verts sur notre santé mentale et nos émotions se confirme également, validant les intuitions et le bon sens populaire qui préconisent de prendre l’air pour « se changer les idées », ce qui pourrait bien nous rendre plus attentifs et performants en retour. Des scientifiques espagnols ont ainsi tout récemment montré l’impact positif des espaces verts sur la mémoire et l’attention des enfants. Le développement cognitif de plus de 2 500 enfants âgés de 6 à 10 ans a ainsi été observé à Barcelone en prenant en compte leur exposition à des espaces verts (à l’école ou près de leur domicile). Il en ressort une légère augmentation de la mémoire de travail et de l’attention des écoliers régulièrement en contact avec la nature.

De précédentes études avaient également souligné le bénéfice des espaces verts sur les enfants souffrant d’hyperactivité ou de trouble déficit de l’attention (TDAH) : une marche de 20 minutes dans un parc améliore la concentration de ces enfants – avec des effets comparables aux médicaments – contrairement à une marche en ville. De même, jouer régulièrement dans des environnements verts (gazon, arbres…) entraînerait des troubles moins sévères pour ces enfants comparés à ceux qui jouent à l’intérieur ou dans des environnements bétonnés. Et à la clé une meilleure concentration et un contrôle des impulsions.

Plus productifs et créatifs

Des bénéfices qui pourraient intéresser de près les entreprises. L’université de Melbourne en Australie vient en effet de montrer que la simple contemplation de la nature augmente la concentration et donc la productivité au travail ! Après avoir fait visionner à 150 étudiants des images d’environnement naturel (versus des images urbaines), les scientifiques ont remarqué une augmentation significative des performances des étudiants ayant bénéficié de pauses vertes, ne serait-ce que pendant quelques secondes. Simple, gratuit et efficace. De précédentes études avaient également montré que la présence de plantes au bureau était significativement corrélée à la productivité et à la réduction des arrêts de travail ou encore qu’avoir une fenêtre donnant sur la verdure diminuait le stress des employés.

Outre la productivité ou la réduction du stress, le contact avec la nature réveillerait également notre créativité. À tel point qu’une immersion en pleine nature durant quatre jours pourrait augmenter de 50 % celle-ci d’après des psychologues de l’université du Kansas aux États Unis, qui ont mené l’expérience auprès d’une trentaine de volontaires invités pour l’occasion à une randonnée dans les grands parcs américains.

Prévenir la déprime

Une balade de 90 minutes dans la nature dans FAUNE FRANCAISE 250px-Gold_Creek_Alaska_Lake_0299Enfin, tout dernièrement, les effets anti-déprime du contact avec la nature ont été sérieusement étudiés, notamment par l’université Stanford aux États-Unis. Il en ressort que les promenades dans la nature font du bien à notre cerveau, nous rendent plus positifs et moins sujets aux ruminations, un facteur de risque important de la dépression, préservant ainsi notre santé mentale. Le résultat est visible dès la première promenade de 90 minutes. Une vingtaine de volontaires ont effectué une balade dans la campagne tandis qu’un autre groupe se promenait, durant le même laps de temps, dans un environnement urbain.

Des questionnaires d’humeur avant et après la promenade ont été distribués aux participants ainsi que des scanners cérébraux. Résultat : une amélioration légère mais significative des indicateurs de santé mentale après seulement 90 minutes de marche dans la nature, moins de ruminations et une activité cérébrale moindre dans la zone du cerveau liée à ces pensées négatives. Ces premiers résultats observables sur le cerveau valident ce que les sagesses traditionnelles prônent depuis longtemps : être en contact avec la nature et la contempler est le meilleur passeport contre la morosité !

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Publié dans FAUNE FRANCAISE | Pas de Commentaire »

 

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