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    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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Les secrets de beauté de la marquise

Posté par francesca7 le 2 juillet 2015

 

Que buvez-vous le matin ? Thé ? Café ? Chocolat ?

L’un des trois sans doute. Eh bien, pour la marquise de Montespan, rien de tout cela ! Chaque matin, à jeun, la marquise avale… si vous êtes une âme sensible, ou bien si vous êtes prêt à passer à table, il est encore temps de détourner votre regard de ces lignes ; revenez après le déjeuner, finalement, cela ne vaudra guère mieux, donc lisez plutôt : la marquise de Montespan avale chaque matin un grand verre d’urine de mule !

220px-Madame-de-Montespan2Oui, de l’urine de mule, parce qu’un charlatan lui a assuré que cette urine lui garantirait l’oeil brillant et le teint frais ! Ensuite, elle consomme un mélange de lait sucré, de farine de fèves, d’orge, de riz et de lentilles. Pour son maquillage, elle utilise en abondance du blanc de céruse qui est du carbonate de plomb dont l’usage a été interdit en 1905, à cause de sa grande toxicité… Contre les inévitables rides ? Voici la recette de la marquise : un mélange de saindoux, de moelle de boeuf et de bouse de vache ! Si, si, de la bouse de vache ! Elle en fait même distiller afin de s’en servir comme dépuratif au printemps !

Madame de Montespan ou Athénaïs de Montespan , à l’origine Françoise Athénaïs de Rochechouart de Mortemart, aussi appelée Mademoiselle de Tonnay-Charente, est née le 5 octobre 1640 à Lussac-les-Châteaux et morte le 27 mai 1707 à Bourbon-l’Archambault. Elle tient son nom le plus célèbre de son mariage (1663) avec Louis Henri de Pardaillan de Gondrin, qui lui donne le titre de marquise de Montespan.

Présente à la cour de Versailles, elle devient la favorite de Louis XIV, liaison dont sont nés sept enfants.

Favorite du Roi-Soleil

La marquise devint la maîtresse du roi en mai 1667. Vive, coquette, minaudière, elle enchantait par sa compagnie et débordait de saillies malicieuses et mordantes, de reparties cruelles et caustiques. Le fameux « esprit des Mortemart ». Pourtant ce n’était pas une aventurière, prête à se jeter au cou du roi. Elle était droite et pieuse. Et elle était (mal) mariée à un hardi cadet de Gascogne, Louis-Henri de Pardaillan de Gondrin, joueur, dépensier, buveur et grand trousseur de cotillons. Son mari fit un scandale à la cour lorsqu’il apprit la nouvelle. Il surgit du château de Saint-Germain-en-Laye tel un fou, hurlant et déversant un tombereau d’injures à l’épouse infidèle. Il fut promptement enfermé au For-l’Évêque, puis exilé sur ses terres, en Gascogne, d’où il ne sortit presque plus jusqu’à sa mort.

On s’aperçut bientôt de la liaison devenue intime qui existait entre elle et le roi. Elle eut un appartement à peu de distance de celui du monarque et les courtisans clairvoyants n’eurent pas de peine à expliquer pourquoi l’un et l’autre se dérobaient en même temps au cercle de la reine. La sensible La Vallière ne fut pas la dernière à s’apercevoir qu’elle n’occupait plus seule le cœur de Louis. Il n’y eut que la reine qui ne voulut pas s’en douter.

Madame de Montespan avait su la persuader de sa vertu. Ce fut en 1670 que sa faveur éclata officiellement lors d’un voyage aux Pays-Bas où elle fit une partie du voyage dans la voiture du roi et de la reine. Et lorsqu’elle montait dans la sienne, quatre gardes du corps entouraient les portières.

En 1674, Louise de La Vallière quitta la cour. Mme de Montespan devint alors la favorite en titre de Louis XIV. « Beauté à faire admirer à tous les ambassadeurs », écrit Madame de Sévigné, « Junon tonnante et triomphante ». Une faveur traversée de crises, car la marquise était capricieuse, autoritaire, dépensière, brûlante d’ambition et de jalousie. Elle faisait même des scènes au roi. De son côté, Louise de La Vallière ne voulait pas céder la place. Par amour, l’ancienne favorite supporta tout : les rebuffades de son amant, les railleries de sa rivale triomphante, le mépris des courtisans. Mme de Montespan fit supprimer la présence des filles d’honneur de la reine, tant par la crainte qu’elle avait devant le goût de la nouveauté de son amant – elle pouvait trouver plus d’une rivale parmi les jeunes personnes qui se succédaient rapidement – que par le souci de cacher la naissance des enfants nés de leur passion.

La beauté de Madame de Montespan s’émoussa à mesure qu’elle prit de l’embonpoint. En 1680, au moment de l’affaire des Poisons, elle fut accusée par plusieurs prisonniers d’avoir donné au roi à son insu desaphrodisiaques, d’avoir fait dire des messes noires, accompagnées de sacrifices d’enfants, et d’avoir cherché la mort du roi et de la nouvelle favorite, Mademoiselle de Fontanges. Les historiens peinent à démêler le vrai du faux. Toujours est-il qu’elle ne fut pas inquiétée.

Avec l’âge, Louis XIV éprouvait le besoin d’une vie plus régulière, encouragé en ce sens par Madame de Maintenon, devenue entre temps l’amie du roi. Celle-ci, forte d’une réputation sans tache, empruntait la voie de la religion et de la morale pour ramener Louis de ses erreurs. Les sévères exhortations de Mme de Maintenon frappaient le roi par leur justesse ; mais habitué depuis longtemps à l’attrait du plaisir, il s’y laissait entraîner avec Mme de Montespan pour revenir ensuite déplorer sa fragilité auprès de Mme de Maintenon. Telle fut la cause de la jalousie réciproque entre les deux femmes. Louis XIV était lui-même obligé d’intervenir dans leurs querelles pour les raccommoder, pour les voir de nouveau se brouiller le lendemain. Mais c’est une troisième femme qui provoqua la disgrâce de Mme de Montespan. En 1678, Louis XIV tomba éperdument amoureux de la magnifique Marie Angélique de Fontanges, âgée seulement de 17 ans. C’était une protégée de Madame de Montespan qui avait cru pouvoir retenir le roi en lui présentant une jeune oie blanche. Le piège se retourna contre elle. Mademoiselle de Fontanges se retrouva vite enceinte mais accoucha prématurément d’un petit garçon qui ne survécut pas. Elle fut alors prise d’un mal lent qui l’affaiblissait de jour en jour et finit par la tuer. Or cette mort précoce intervint en pleine affaire des poisons. Compromise dans cette sombre histoire (à tort, puisqu’on sait maintenant que Mlle de Fontanges est morte d’une éclampsie), la marquise fut délaissée par le roi : elle dut quitter son appartement du château de Versailles, attribué à son fils, pour vivre dans les soupentes du château.

Les secrets de beauté de la marquise dans FONDATEURS - PATRIMOINE 220px-Francois-Athenais_de_RochechouartDepuis 1683, Mme de Montespan n’avait plus de titre mais elle demeura cependant à la Cour, ne pouvant se résoudre à s’éloigner du roi. Elle suivait le train de vie, donnant de grandes fêtes, vivant toujours sur un grand pied. En 1685, sa fille Mlle de Nantes épousait le duc de Bourbon, Louis III de Bourbon-Condé. En 1692, son fils le duc du Maine se mariait avec une petite-fille du Grand Condé et sa fille Mlle de Blois devenait l’épouse du duc de Chartres, neveu du roi. Elle était fière des brillants mariages de ses enfants. Le roi lui-même a d’ailleurs envisagé que le duc du Maine monte sur le trône en cas d’extinction des Bourbons et, à sa mort, il souhaita que celui-ci et son frère, le comte de Toulouse, assurent la Régence du futur Louis XV. En 1691, Madame de Montespan se retira à Paris où elle vécut dans la dévotion, la générosité et la volonté d’expier ses torts passés. Elle se disait toujours malade, sans l’être véritablement, et elle montrait constamment la crainte la plus vive de mourir. Son appartement restait éclairé pendant la nuit, et on la veillait toute la nuit au cas où son sommeil vînt à s’interrompre. Sa vie s’acheva en une longue pénitence. Elle retrouva l’humilité chrétienne, chercha à racheter ses péchés et le scandale de l’adultère par une vie de jeûne, de prière et de charité. Elle mourut en 1707, lors d’une cure à Bourbon-l’Archambault, après avoir fait une confession publique. Elle fut inhumée dans la chapelle des Cordeliers de Poitiers.

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