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  • > Archives pour le Jeudi 16 avril 2015

LA NAISSANCE DE LA BRETAGNE

Posté par francesca7 le 16 avril 2015

 

Région qui occupe la péninsule armoricaine, dans l’ouest de la France. Son territoire historique, tel que défini en 851 (traité d’Angers entre Charles le Chauve et Érispoë), correspond aux départements actuels de Loire-Atlantique, d’Ille-et-Vilaine, des Côtes-d’Armor, du Morbihan et du Finistère.

Un bref moment royaume, puis duché, ce territoire devient en 1532 (édit d’Union) une province du royaume de France. Lors du découpage régional intervenu en 1941, la Bretagne est amputée de la Loire-Atlantique. La capitale de Région est Rennes.

• La première désignation de l’Armorique, sous le nom de Britannia, date de la fin du VIe siècle. Elle consacre une migration déjà ancienne de Bretons venus du pays de Galles et du sud-ouest de l’Angleterre, soldats de l’armée romaine, paysans aussi. Leur intégration est facilitée par la lenteur de la migration - qui, toutefois, s’accélère au début duVe siècle - et par la proximité de langue : une synthèse s’opère entre le dialecte des insulaires et le gaulois que parlent encore la majorité des Armoricains.

 bretagne

Cette immigration laisse des traces dans la toponymie : les tré (Trébeurden) et, surtout les plou(Plougastel), lan (Landévennec) et gui (Guimiliau), qui renvoient à une structure religieuse. En effet, déjà évangélisés, les Bretons s’organisent directement en paroisses, à la différence de la pratique continentale habituelle où l’évêque citadin est à la tête d’une structure très hiérarchisée : le très fort sentiment d’appartenance à la paroisse trouve là son origine. Cette implantation, jamais exclusive, est cependant très marquée à l’ouest d’une ligne qui court du Mont-Saint-Michel à Savenay, entre Saint-Nazaire et Nantes.

 

Les contacts avec les Francs, puis les Carolingiens, fluctuent au gré des rapports de force. Malgré les succès de Pépin le Bref, qui peut imposer une Marche de Bretagne, qui est confiée à Roland (la victime de Roncevaux, en 778…), malgré des concessions comme la reconnaissance de Nominoë en tant que représentant de l’empereur, les Carolingiens ne parviennent pas à s’imposer durablement. En 851, ils doivent reconnaître Érispoë, fils de Nominoë, comme roi de Bretagne. L’apogée territorial est atteint sous le roi Salomon, quand les Carolingiens lui cèdent une partie du Maine (868), puis le Cotentin. C’est aussi l’époque où les abbayes bretonnes connaissent leur plus grand rayonnement culturel, dont nous sont parvenus de magnifiques manuscrits, évangéliaires et vies de saints réalisés à Landévennec, ou bien encore le cartulaire de l’abbaye de Redon, l’un des plus remarquables documents sur la société et l’économie de l’Europe carolingienne. Les dissensions internes à la Bretagne et, surtout, la très forte pression des Normands mettent un terme à cet essor : les frontières orientales sont établies définitivement au début du Xe siècle à leur emplacement actuel, et c’est seulement en 939 qu’Alain Barbetorte parvient à chasser les Normands.

Le duché de Bretagne.

• Contestés par l’aristocratie, soumis aux pressions de leurs puissants voisins anglo-normands et français, les nouveaux ducs peinent à faire reconnaître leur autorité : en 1234, Pierre Mauclerc se soumet au roi de France, mais c’est seulement en 1297 que Philippe le Bel reconnaît le titre ducal. Les abus des féodaux et l’ambition des clercs - qui explique la popularité du « bon » prêtre trégorois Yves Hélori (saint Yves) - ne doivent pas masquer un essentiel affermissement de l’autorité du duc. Les neuf évêchés installés au Xe siècle constituent désormais un découpage territorial stable jusqu’à la Révolution, et identifient des « pays » comme le Trégor ou le Léon. La pratique du breton, à l’ouest d’une ligne menant de Saint-Brieuc à Saint-Nazaire, se stabilise presque définitivement et identifie la basse Bretagne. L’essor démographique se traduit par de nouvelles implantations humaines, que désignent par exemple les noms en ker, ou leur équivalent en haute Bretagne (la Ville-). Parallèlement, commence à se développer le commerce du vin, importé, ou l’exportation du sel des marais salants de Guérande et de Bourgneuf. Au début du XIVe siècle est mise en forme la Très Ancienne Coutume de Bretagne, recueil des règles fixées par le droit coutumier.

 

L’absence d’héritier direct à la mort de Jean III, en 1341, dans le contexte du grand affrontement franco-anglais naissant, entraîne cependant la Bretagne dans une guerre de succession entre, d’une part, Charles de Blois - soutenu par son oncle, le roi de France, et le clan de sa femme, les Penthièvre - et, d’autre part, Jean de Montfort, soutenu par l’Angleterre. La captivité de Charles de Blois en Angleterre pendant neuf ans, le célèbre combat des Trente entre Anglais et Bretons partisans de Blois, les premiers exploits de du Guesclin, marquent très durablement les mémoires, chansons et exploits légendaires à l’appui. Mais le duché sort très affaibli de vingt-trois ans de luttes. Avec la mort de Charles de Blois à la bataille d’Auray, en 1364, s’achève une guerre dont les soubresauts se font sentir jusqu’à la fin du siècle.

Le règne de Jean V (1399/1442) apporte un retour à la paix, d’autant plus apprécié que sévit alors la guerre de Cent Ans, qui s’étend parfois, il est vrai, jusqu’à Nantes ou Rennes. La Bretagne continue à se dépeupler, mais elle souffre infiniment moins que le reste du royaume. En outre, Jean V mène une politique d’indépendance, grâce à la création d’institutions étatiques solides, à un mécénat munificent (Notre-Dame du Folgoët, par exemple) et à une neutralité diplomatique qui permet de nouer des relations avec la plupart des souverains d’Europe occidentale. La création de l’université de Nantes, en 1460, renforce encore ce qui n’est pourtant que rêve d’indépendance.

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La disparition du duc de Bourgogne, Charles le Téméraire, en 1477, fait en effet basculer définitivement le rapport de forces en faveur du roi de France. Le coût de la politique d’indépendance, la résistance d’aristocrates qui ont déjà des intérêts auprès du puissant souverain, la faiblesse du duc François II, font le reste. En 1485, le trésorier du duché, Pierre Landais, symbole de la volonté d’indépendance, est abandonné à son sort par le duc : les injures dont le couvrent les Nantais, et sa pendaison au terme d’un procès inique, marquent tout autant la fin du duché que les défaites militaires subies devant les troupes royales en 1488 (Saint-Aubin-du-Cormier) et en 1491. Anne, héritière du duché, doit épouser le roi Charles VIII, puis Louis XII, et sa fille Claude se marie avec François Ier. En 1532, la Bretagne est définitivement réunie à la France. Le titre ducal disparaît en 1547, lorsque le dauphin Henri, duc de Bretagne, accède au trône de France.

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CONNIVENCE AU COMTE DE BLOIS

Posté par francesca7 le 16 avril 2015

 

Comté d’origine carolingienne, cœur de l’une des plus grandes principautés féodales de la France du Nord aux XIe et XIIe siècles, finalement intégré au domaine royal en 1498, à la suite de l’accession au trône de France du dernier comte, Louis d’Orléans, sous le nom de Louis XII.

 Chateau_de_blois

Le comté, qui appartenait depuis le IXe siècle aux ducs des Francs, est confié au Xe siècle à l’un de leurs vassaux, Thibaud le Tricheur (mort en 978), vicomte de Tours. Ce dernier est l’artisan de sa transformation en principauté féodale : il s’émancipe de la tutelle des ducs, s’allie aux familles de Vermandois et de Bretagne, et ajoute à ses possessions Châteaudun, Provins et le comté de Chartres. Son œuvre est poursuivie par son petit-fils, le comte Eudes II de Blois (mort en 1037). En acquérant les comtés de Troyes et de Meaux en 1022, il unit le comté de Blois à la Champagne, et fait ainsi de sa maison l’une des plus puissantes du royaume : il bat monnaie à son nom, tient sa propre cour, érige l’abbaye de Marmoutier en nécropole comtale, et n’hésite pas à attaquer à plusieurs reprises le roi capétien Robert le Pieux. À la fin du XIe siècle, le mariage du comte Étienne Henri (mort en 1102) avec Adèle, fille de Guillaume le Conquérant, duc de Normandie et roi d’Angleterre, renforce la puissance des comtes de Blois ; et la mort de l’héritier direct de Guillaume le Conquérant, en 1135, permet à un cadet de la famille de Blois, Étienne, de monter sur le trône d’Angleterre et d’y régner jusqu’en 1154. La première moitié du XIIe siècle marque ainsi l’apogée du comté et de la maison de Blois.

 

Mais, au cours de ce même XIIe siècle, la famille comtale fait progressivement de la Champagne, où apparaissent les premières foires, le cœur de sa principauté. Le mouvement est accentué en 1152 par le partage du patrimoine familial : l’aîné conserve la Champagne, tandis que les cadets héritent des comtés de Blois et de Chartres. La mort du comte Thibaud VI, en 1218, met un terme à la domination de la maison de Blois sur le comté de Blois, lequel entre alors dans une plus grande dépendance à l’égard du pouvoir royal. Aux XIIIe et XIVe siècles, le comté est une possession de la maison de Châtillon, famille plusieurs fois alliée par le sang aux Capétiens. Enfin, en 1397, il est acquis par Louis d’Orléans, frère du roi Charles VI et régent du royaume, dont le fils Charles tient une cour brillante au château de Blois, après sa longue captivité en Angleterre. Dès son accession au trône de France, Louis XII, fils de Charles d’Orléans, entreprend la rénovation complète du château, qui devient, durant un siècle, l’une des principales résidences royales.

Résidence de comtes d’abord nommés par l’empereur puis héréditaires, le château de Blois est le siège du pouvoir des puissants comtes de la maison de Blois-Champagne du Xe au XIIIe siècle, avant de passer par succession aux seigneurs de Châtillon-sur-Seine.

Le château royal de Blois, situé dans le département de Loir-et-Cher, fait partie des châteaux de la Loire. Il fut la résidence favorite des rois de France à la Renaissance.

Situé au cœur de la ville de Blois, sur la rive droite de la Loire, le château royal de Blois réunit autour d’une même cour un panorama de l’architecture française du Moyen Âge à l’époque classique qui en fait un édifice clef pour la compréhension de l’évolution de l’architecture au fil des siècles. Les appartements royaux restaurés sont meublés et ornés de décors polychromes du xixe siècle, créés par Félix Duban dans la lignée des restaurateurs contemporains de Viollet-le-Duc.

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Et la forêt de Blois : En 1291, Philippe Le bel crée l’administration des Eaux et Forêts, première structure de gestion du patrimoine forestier et ancêtre de l’Office Nationale des Forêts qui lui succède en 1966.

L’ONF gère aujourd’hui plus de 12 millions d’hectares de forêts et d’espaces naturels dont 4,4 millions d’hectares de forêts tempérées en métropole parmi lesquels on compte 1,75 millions d’hectares de forêts domaniales et 2,7 millions d’hectares de forêts de collectivités locales

La forêt domaniale représente un peu plus de 10% du total de la forêt française constituée pour l’essentiel de forêts et de bois privés (75%) . 

Avec une superficie de 35000 hectares, la forêt d’Orléans constitue la plus vaste forêt domaniale de France.

Actuellement, la gestion de la forêt de Blois par l’ONF s’appuie du le plan d’aménagement forestier 1978-2008 ayant pour objectif la production de bois d’oeuvre de chêne de haute qualité. Dans ce but, des coupes de regénération permettront la création de 360ha de jeunes semis en remplacement des arbres âgés de plus de 2 siècles qui sont progressivement abattus et commercialisés auprès des exploitants forestiers.

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