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    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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Parler du bien-être animal

Posté par francesca7 le 7 avril 2015

 

330px-Animal_Abuse_Battery_Cage_01Harmonie physique et morale entre un animal et son environnement.

La prise en compte actuelle du bien-être animal provient d’une demande croissante de la société pour une meilleure connaissance des produits de l’élevage et de leurs modes de production. L’intérêt grandissant pour le bien-être des animaux d’élevage entraîne ainsi une remise en cause des conditions de vie de ces animaux. Aujourd’hui, 3 productions animales (poules pondeuses, veaux de boucherie et porcs) font l’objet de directives de l’Union européenne, établissant des normes relatives à la protection des animaux dans les élevages ; par ailleurs, de nombreuses productions font (ou feront prochainement) l’objet d’une recommandation du Conseil de l’Europe (ovins, bovins, canards, lapins, poissons…). La législation s’appuie en partie sur des résultats scientifiques pour répondre aux demandes de la société, tout en s’efforçant de maintenir les exigences économiques de rentabilité.

On considère que le bien-être animal est satisfait si l’animal peut s’adapter aux conditions d’élevage sans éprouver de difficultés. La notion dite « des 5 libertés », provenant d’une organisation anglaise (Farm Animal Welfare Council), explique que le bien-être animal est satisfait lorsque les points (« libertés ») suivants sont atteints : absence de faim, de soif et de malnutrition ; environnements climatique et physique non agressifs ; absence de maladies et de blessures ; possibilité d’exprimer les comportements normaux de l’espèce ; absence de peur et d’anxiété.

L’étude du bien-être des animaux d’élevage réside dans l’appréciation de différents critères (zootechniques, physiologiques, sanitaires, comportementaux, etc.), en vue de définir des conditions de vie acceptables..

La réglementation sur le bien-être animal concerne également le transport et l’abattage, ainsi que l’utilisation de l’animal à des fins expérimentales. (Duvaux-Ponter)

Malgré toute la théorie de Luc Ferry, le fait est que ni la chasse, ni la pêche, ni les abattoirs, ni la vivisection, ni la consommation de viande n’ont été abolies ou combattues en Allemagne nazie.

La publicité nazie concernant la protection de la nature et du gibier correspond d’ailleurs à l’image du « cochon heureux » sur les boucheries ou du chasseur « défenseur de la nature » que pourfendent les antispécistes comme de la propagande et de la manipulation (ces derniers considérant que les animaux ne font pas plus partie de la nature que les humains ne le sont, puisque le terme « Animal » est lui-même sans fondement philosophique, comme l’a démontré le philosophe Jacques Derrida dans L’Animal que donc je suis).

Les chasseurs, bouchers, vivisectionnistes n’ont jamais connu la moindre persécution nazie, ni étaient empêchés d’adhérer au parti nazi, ni dépréciés pour le service du Reich. Le kapo Heiden, qui décida de 1940 à 1942 de la vie et de la mort des détenus àDachau, était boucher de profession. D’abord éleveur de poules, Heinrich Himmler, ami de Hitler, était passionné pour l’eugénisme pratiqué sur les poules et leur abattage (qu’il gazait). L’extermination industrielle des Juifs et des Roms et des indésirables pour le Reich (homo-sexuels, Témoins de Jéhovah, apatrides, etc) est calquée sur les abattoirs de Chicago. Les associations végétariennes furent toutes interdites en Allemagne nazie et les Juifs qui pratiquaient le végétarisme furent exterminés comme les autres.

Parler du bien-être animal dans FAUNE FRANCAISE 220px-Hen_houseIsaac Bashevis Singer rappelle d’ailleurs que la chasse est strictement interdite pour un Juif ; la chasse est combattue par le judaïsme et le Talmud interdit à un Juif de s’associer avec un chasseur . Le végétarisme est une caractéristique de l’ère messianique pour les Juifs orthodoxes, où même les animaux carnivores sont végétariens (prophétie d’Isaïe). Hermann Stieve, par exemple, professeur en 1921 d’un poste d’anatomie, qui s’intéressa toute sa vie aux ovaires, pratiqua la vivisection sur les animaux, de même pendant le 3e Reich, mais avec la possibilité de compléter ses recherches sur des corps humains, comme ceux des patients de service de psychiatrie, dans la cadre de la « destruction de la vie indigne de vivre », affamés jusqu’à la mort et dont il avait fait enlever les corps, ou celles d’Allemandes condamnées à mort pour un crime de droit commun (au cours de la période nazie, même l’écoute de stations de radio étrangères étaie punie de mort et considérée comme un crime de droit commun)


Le 28 janvier 2015, l’Assemblée nationale a voté un projet de loi qui change le statut des animaux dans le Code civil et considère dorénavant que les animaux sont des «êtres vivants doués de sensibilité» dans l’article 515-14 du nouveau Code civil, contrairement à leur ancien statut, qui les considéraient comme un bien meuble à l’article 528, dans l’ancien Code civil. Ce changement fait suite à une pétition de l’association 30 millions d’amis, qui avait réunie 800 000 signatures, et fit naître les débats à l’Assemblée nationale et au Sénat. Le Sénat avait supprimé le 22 janvier 2015 la qualité «d’êtres vivants doués de sensibilité» accordée par l’Assemblée nationale aux animaux en octobre 2014, mais l’Assemblée nationale a fini par rétablir le 28 janvier 2015 cette définition.

« Le Code civil, (…) rien, dans aucun article de ce Code, ne distingue l’animal de l’objet. (…) Au regard de la loi, (…), l’animal n’est rien d’autre qu’une marchandise (…). Le Code pénal reconnaît bien que l’animal est un « être sensible » ; mais la loi apporte immédiatement une restriction, en précisant que son propriétaire doit lui assurer de bonnes conditions, comme si tous les animaux devaient avoir un propriétaire. Le même code ne légifère, en matière de protection contre les mauvais traitements et les actes de cruauté, qu’en faveur des animaux domestiques, ou apprivoisés, ou tenus en captivité, écartant donc tous les animaux sauvages à titre individuel, et autorisant sur eux toutes les cruautés imaginables. Et la loi continue de classer l’animal sauvage comme res nullius, la chose n’appartenant à personne, ce qui permet à quiconque de se l’approprier, mort ou vif ! »

— Jean-Claude Nouët, Protection ou respect de l’animal ?Si les lions pouvaient parler, essais sur la condition animale, sous la direction de Boris Cyrulnik.

Au xixe siècle, le débat sur le bien-être animal est bien présent en France, porté par des groupes tels que la « Ligue antivivisectionniste française » dont Victor Hugo fut président. Celui-ci fut d’ailleurs un des principaux promoteurs de la première loi de protection des animaux domestiques prévoyant des sanctions pénales :

220px-Chick dans FONDATEURS - PATRIMOINE« Seront punis d’une amende de 5 à 15 F et pourront l’être d’un à 5 jours de prison ceux qui auront exercé publiquement et abusivement de mauvais traitements envers les animaux domestiques. La peine de la prison sera toujours applicable en cas de récidive. L’article 483 du Code pénal sera toujours applicable. »

— Loi Grammont, 2 juillet 1850

Cependant cette législation est désormais obsolète les animaux « domestiques » pour le droit français, apprivoisés ou tenus en captivité disposent d’une protection juridique fournie par l’article 521-1 du Code Pénal (1) qui énonce :

« Le fait, publiquement ou non, d’exercer des sévices graves, ou de nature sexuelle, ou de commettre un acte de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 eurosd’amende. En cas de condamnation du propriétaire de l’animal ou si le propriétaire est inconnu, le tribunal statue sur le sort de l’animal, qu’il ait été ou non placé au cours de la procédure judiciaire. Le tribunal peut prononcer la confiscation de l’animal et prévoir qu’il sera remis à une fondation ou à une association de protection animale reconnue d’utilité publique ou déclarée, qui pourra librement en disposer. Les personnes physiques coupables des infractions prévues au présent article encourent également les peines complémentaires d’interdiction, à titre définitif ou non, de détenir un animal et d’exercer, pour une durée de cinq ans au plus, une activité professionnelle ou sociale dès lors que les facilités que procure cette activité ont été sciemment utilisées pour préparer ou commettre l’infraction. Cette interdiction n’est toutefois pas applicable à l’exercice d’un mandat électif ou de responsabilités syndicales. Est également puni des mêmes peines l’abandon d’un animal domestique, apprivoisé ou tenu en captivité, à l’exception des animaux destinés au repeuplement. »

— Modifié par Ordonnance no 2006-1224 du 5 octobre 2006 – art. 6 JORF 6 octobre 2006

.

De plus, l’article R214-17 du Code rural et de la pêche maritime « interdit à toute personne qui, à quelque fin que ce soit, élève, garde ou détient des animaux domestiques ou des animaux sauvages apprivoisés ou tenus en captivité » une liste de maltraitances qui inclut les privations de nourriture, d’eau ou de soins, les blessures, et des dispositifs de contention inadaptés à l’espèce considérée ou de nature à provoquer des blessures ou des souffrances.

 

Publié dans FAUNE FRANCAISE, FONDATEURS - PATRIMOINE, GASTRONOMIE FRANCAISE | Pas de Commentaire »

A l’EPOQUE OU ON FAISAIT LE BEURRE

Posté par francesca7 le 7 avril 2015

 

 

220px-04.23-AntVollon-MndOfButterMatière grasse solide fabriquée à partir de la crème extraite du lait de vache.

Depuis le décret du 25 mars 1924, « la dénomination «beurre», avec ou sans qualificatif, est réservée au produit exclusivement obtenu par barattage, soit de la crème, soit du lait ou de ses sous-produits, et contenant au moins 82 % de matière grasse butyrique, au plus 16 % d’eau et 2 % de matière sèche non grasse ». Le décret du 30 décembre 1988 a précisé les dénominations de vente, le traitement des crèmes et la composition des beurres et de certaines spécialités laitières. En matière de technologie, seuls les traitements physiques sont autorisés.

La couleur plus ou moins jaune du beurre est déterminée par la présence de pigments caroténoïdes provenant de l’herbe et des fourrages verts ; elle varie donc selon les régions et la période de l’année. Les industriels peuvent cependant utiliser certains colorants naturels, notamment le rocou extrait de la pulpe d’un arbuste originaire d’Amérique du Sud, afin de régulariser la couleur du beurre.

La consistance du beurre est liée à la composition de la matière grasse, plus précisément aux proportions relatives des différents acides gras constitutifs, les triglycérides. Depuis quelques années, la technologie de cristallisation fractionnée permet de modifier les caractéristiques rhéologiques du beurre par incorporation de fractions grasses présentant des points de fusion variables. On peut obtenir ainsi des beurres dits « frigo-tartinables », c’est-à-dire utilisables dès la sortie du réfrigérateur.

Le goût du beurre est lié à toute une série de composés, parmi lesquels le diacétyle est reconnu comme l’un des plus importants : cette substance donne en effet au beurre son « goût de noisette » si apprécié. La lipolyse (rancissement) et l’oxydation peuvent être favorisées par des problèmes de fabrication ou de conservation.

D’un point de vue nutritionnel, le beurre est un aliment très calorique, moins cependant que l’huile. C’est une source importante de vitamine A.

Fabrication.

Le beurre est fabriqué à partir de la crème, séparée du lait écrémé par centrifugation et pasteurisée à 90oC pendant quelques secondes. Dans le procédé traditionnel, la crème subit ensuite une maturation qui assure une transformation biologique (acidification et aromatisation) et physique (cristallisation). Cependant, cette méthode de fabrication ne représente plus que 10 % de la production nationale. Elle a été remplacée par le procédé continu, dit du « Nizo », qui permet l’utilisation de crèmes douces, non maturées, l’ensemencement en levains lactiques intervenant en fin de fabrication. On procède ensuite à l’opération essentielle, le barattage. Un brassage intensif de la crème provoque une agglomération des globules gras et une inversion de phase, c’est-à-dire que l’on passe d’une émulsion « huile dans eau » (crème) à une émulsion « eau dans huile » A l’EPOQUE OU ON FAISAIT LE BEURRE dans ARTISANAT FRANCAIS 220px-MakingButter1499(beurre). Les grains de beurre formés sont séparés du babeurre, puis lavés et malaxés afin d’obtenir une masse homogène. Aujourd’hui, toutes ces opérations sont réalisées très rapidement dans un butyrateur en continu, à la sortie duquel le ruban de beurre est découpé immédiatement et empaqueté.

Économie.

La France est le premier producteur européen de beurre avec 450 000 t fabriquées en 1999, soit 25 % de la production européenne et 7 % de la production mondiale. Elle en est aussi le premier consommateur au monde avec 8,3 kg par habitant et par an, suivie d’autres pays comme la Nouvelle-Zélande (8,1 kg), le Danemark, l’Allemagne, la Grande-Bretagne. En revanche, les États-Unis, l’Espagne ou le Brésil en consomment moins de 2 kg par an et par habitant.

Le beurre est également une matière première industrielle, en particulier sous la forme de matière grasse laitière anhydre (MGLA ou huile de beurre) qui est du beurre concentré contenant plus de 99,8 % de matière grasse.

Source REMEUF

 

 

Publié dans ARTISANAT FRANCAIS, GASTRONOMIE FRANCAISE | Pas de Commentaire »

 

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