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Production d’Avoine en France

Posté par francesca7 le 26 mars 2015

 

Céréale à paille cultivée dans les régions tempérées, utilisée en alimentation animale pour ses grains ou, mélangée le plus souvent à une légumineuse, comme fourrage (Avena, famille des graminées).

Les variétés d’avoine cultivées en France appartiennent pour la plupart à la sous-espèce qui dérive elle-même de l’espèce A. fatua. Mais on rencontre également, dans les régions méridionales, A. byzentina, dérivée de A. sterilis.

 220px-Avena_sativa_L

Le cycle de développement de l’avoine s’apparente à celui du blé et de l’orge. L’inflorescence est une panicule très ramifiée dont les épillets portent deux ou trois fleurs fertiles qui, par autofécondation, donnent autant de grains de poids irréguliers. Le grain est un caryopse velu, appelé amande, entouré de deux glumelles (ou écales). Les glumelles n’adhèrent pas à l’amande, mais restent très fermées et ne s’ouvrent qu’au battage. La glumelle inférieure constitue un critère de reconnaissance des avoines par sa couleur (du blanc au noir en passant par le jaune, le rougeâtre et le gris), par sa forme et par sa pilosité. Le poids des grains sur un même épillet étant irrégulier, le poids de 1 000 grains est nettement plus faible que celui du blé ou de l’orge (de l’ordre de 35 g).

Le critère de qualité d’un grain d’avoine est sa proportion d’amande, les glumelles contenant surtout de la cellulose ou des lignines. Le pourcentage d’amande, souvent appelé finesse, influe sur la valeur énergétique et sur le poids spécifique du grain, qui doit normalement se situer entre 50 et 55 kg pour 100 l.

Exigences physiologiques.

Il existe des variétés d’hiver et de printemps. Les avoines d’hiver, dont le zéro germinatif est voisin de 0oC, sont moins exigeantes en vernalisation que le blé, mais leur résistance au froid est moindre (le seuil de mortalité est de – 14oC pour les variétés les plus résistantes). C’est aussi une plante à jours longs, de sorte qu’une variété d’hiver semée tard éprouve des difficultés à lever. Avena sativa a des besoins en eau supérieurs de 50 % à ceux du blé. Elle est sensible à l’échaudage physiologique qui survient lorsque la température est supérieure à 28oC au cours de la période du palier hydrique. Pour cette raison, on la cultive dans les zones tempérées humides. Par contre, A. byzantina, moins exigeante, est mieux adaptée aux zones à climat plus chaud et plus sec.

 

La culture de l’avoine grain est très semblable à celle de l’orge. Le semis est précoce : de fin septembre à mi-octobre pour les variétés d’hiver et fin février à début mars pour les variétés de printemps. La densité de peuplement est respectivement de 250 plants/m2 et de 300 à 350 plants/m2. La fertilisation azotée répond aux mêmes principes que ceux de la culture du blé et de l’orge, avec un apport au tallage et un autre au tout début de la montaison pour les variétés de printemps, et un seul apport pour les variétés de printemps. Les doses sont toutefois plus faibles (entre 50 et 70 kg pour un objectif de rendement de 50 quintaux).

Culture de l’avoine à fourrage.

imagesIl s’agit d’une culture associant l’avoine à une autre plante, le plus souvent une légumineuse. L’avoine sert de plante abri et de tuteur à la légumineuse. Le semis intervient fin mars-début avril, de façon à éviter une période de sécheresse en fin de cycle. La densité de semis est inférieure de moitié environ par rapport au semis destiné à la production de grain, et celle de la légumineuse varie de 75 à 150 plantes/m2. S’agissant d’une association avec une légumineuse, la fertilisation azotée n’est pas nécessaire (les légumineuses fixant l’azote atmosphérique). La durée du cycle est d’une centaine de jours et la récolte a lieu lorsque les premières gousses de la légumineuse sont formées.

 

Utilisations humaines.

L’avoine est utilisée dans l’alimentation humaine sous forme de flocons et pour la fabrication de boissons. En alimentation animale, elle offre moins d’intérêt que le blé, l’orge ou le maïs, en raison de sa valeur énergétique moindre. La valeur énergétique de l’avoine grain est de 0,8 UF (unité fourragère) ; sa teneur en protéines est de 10 à 11%. Pour l’avoine fourrage, la valeur énergétique d’un mélange avoine-vesce est d’environ 0,7 UF ; la teneur en protéines, qui dépend de la proportion de vesces, varie entre 13 et 15 %. Son principal avantage réside dans son pouvoir excitant qui stimule le système nerveux, mis à profit pour les animaux qui ont des efforts à fournir. C’est pourquoi elle avait autrefois une grande importance dans l’alimentation des chevaux.

Surfaces cultivées et production.

La culture de l’avoine est en régression, en raison de la mécanisation des cultures et de la diminution corrélative du cheptel chevalin. D’après la FAO, la superficie mondiale d’avoine était de 15 millions d’ha en 1998 (en baisse de 5 millions d’ha par rapport à 1990), pour une production de 25 millions de t. L’avoine est une céréale des zones tempérées fraîches et sa principale aire de production est l’Europe centrale et du Nord, où se trouvent les deux tiers des surfaces cultivées. En Amérique du Nord, la superficie, en déclin également, est de 2,8 millions d’ha.

Dans l’Union européenne, la superficie d’avoine est de l’ordre de 1,7 million d’ha pour une production d’environ 5,5 millions images (1)de t, les deux principaux producteurs étant la Finlande et l’Allemagne (qui assurent la moitié de cette production).

En France, l’avoine ne couvre plus que 140 000 ha, contre 6 millions au début du xxe siècle et 450 000 ha au début des années 1980. Cette superficie se répartit à égalité entre l’avoine d’hiver et celle de printemps ; la production s’élève à 660 000 t, soit un rendement légèrement inférieur à 50 q/ha. Les trois principales régions de production sont, dans l’ordre : le Centre, la Bourgogne et la Bretagne, qui assurent 30 % de la production totale.

 

Ressources Encyclopédiques Roger-Estrade  

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Les métiers de l’arrachage

Posté par francesca7 le 26 mars 2015

 

DSC_0227Opération consistant à extraire du sol les parties souterraines d’un végétal.

L’arrachage s’effectue sur des végétaux que l’on veut récolter (racines, tubercules, fruits) ou éliminer (mauvaises herbes, souches et racines d’arbres). L’arrachage des carottes, poireaux, oignons, betteraves, navets se fait à la main, à la houe, à la bêche ou à l’arracheuse ; celui des pommes de terre se fait à la houe, à l’araire, à la charrue ou à l’arracheuse ; celui du manioc, de la patate douce, de l’igname, de l’arachide se fait généralement à la houe. L’arrachage des souches et racines d’arbres se fait avec des outils à main ou à la dessoucheuse.

L’arracheuse : Machine de récolte des plantes à tubercules, à bulbes ou à fortes racines.

Arracheuses de betteraves à sucre.

L’arrachage est réalisé par des socs ou des pointes, inclinés et obliques, qui passent de part et d’autre de la racine et la soulèvent quand la machine progresse, ou par un disque oblique combiné avec un patin s’appuyant sur le côté de la racine. L’arrachage est toujours lié à d’autres opérations : (l’effeuillage, le décolletage, le soulevage, le nettoyage et le chargement des racines), effectuées à l’aide de plusieurs machines ou à l’aide d’une très grosse machine automotrice combinée.

Un chantier de récolte à plusieurs machines comprend : une décolleteuse ou une effeuilleuse-scalpeuse, une arracheuse-souleveuse presque toujours nettoyeuse et aligneuse, et une chargeuse. Ces machines travaillent sur 6 rangs, que l’aligneuse regroupe en un seul, repris par la chargeuse. Le chantier nécessite quatre tracteurs auxquels s’ajoute un tracteur tirant la benne de débardage.

Une récolteuse automotrice combinée comporte des organes d’effeuillage (rotors à fléaux), des couteaux à décolleter, des socs ou des disques d’arrachage parfois guidés par des capteurs électroniques, 2 ou 3 grandes « turbines de nettoyage » tournant au ras du sol, et des convoyeurs conduisant les racines vers une remorque suiveuse ou vers la benne débardeuse portée. Des moteurs de plusieurs centaines de chevaux animent ces récolteuses automotrices, travaillant sur 2, 3 ou 6 rangs.

Arracheuses de pommes de terre.

Le tubercule étant situé dans le sol, le nettoyage est plus difficile. Feuilles et fanes sont éliminées préalablement par des moyens chimiques ou mécaniques ; le billon de terre contenant les tubercules est soulevé, la terre et les débris divers passent au travers de grilles ; les tubercules sont nettoyés, triés éventuellement, et chargés dans une benne portée ou non par la machine.

Les arracheuses simples, à 1 ou 2 rangs, sont munies de socs en forme de U, souvent oscillants, soulevant la terre et les tubercules, qui passent ensuite sur une grille oscillante, éliminant les mottes de terre et les petits cailloux. Les tubercules sont rejetés à l’arrière, sur un lit de terre fine, et forment un andain repris ensuite par une chargeuse. Une table de triage permet à des ouvriers d’éliminer manuellement les cailloux, les mottes et les tubercules blessés ou malades avant le remplissage de la benne ou des sacs.

Des récolteuses combinées intégrales, travaillant sur 2 ou 4 rangs, tractées ou automotrices, sont désormais plus fréquentes. Elles comportent des organes d’écartement des fanes, des organes d’arrachage, des organes d’élimination de la terre par des grilles oscillantes ou par des tambours rotatifs, des tapis d’extraction des fanes (tabliers d’effanage), des rouleaux cannelés tournant deux à deux en sens inverse pour éliminer les mottes par écrasement, et des organes de chargement vers la benne débardeuse.

téléchargement (2)Arracheuses spécialisées.

Dans chaque cas particulier (ail, betterave fourragère, carotte, céleri, navet, oignon…), les organes d’arrachage, de nettoyage, de triage sont adaptés à la morphologie et à l’implantation de la culture. Ces machines sont moins courantes que les deux précédentes et leur diffusion dépend de la disponibilité et du coût de la main-d’œuvre.

Source Encyclopédique Aubineau

 

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Les abeilles en France

Posté par francesca7 le 26 mars 2015

 

Abeille_CoolInsecte hyménoptère social vivant dans une ruche, produisant du miel et de la cire, et dont une espèce a été domestiquée par l’homme (genre Apis, famille des apidés). L’élevage des abeilles s’appelle l’apiculture.

L’abeille domestique  vit au sein de sociétés comprenant de 20 000 à 100 000 individus, répartis en trois castes : les ouvrières, femelles stériles de 15 mm de long, qui assurent tous les travaux de la ruche et butinent inlassablement de fleur en fleur ; la reine, unique femelle fertile ; elle se distingue extérieurement des ouvrières par sa grande taille (20 mm) et son abdomen plus allongé ; les mâles, ou faux-bourdons, qui ont essentiellement un rôle reproducteur ; ils se reconnaissent à leur forme trapue, leur aspect velu et leurs gros yeux ; ils ne possèdent pas de dard ; au nombre de quelques centaines, ils naissent à la fin du printemps et meurent à la fin de l’été.

Rôles des ouvrières.

Les ouvrières participent successivement, selon leur âge, à toutes les activités de la colonie. Elles nettoient la ruche, nourrissent les larves de miel, de pollen et de gelée royale (secrétée par des glandes de la tête), produisent de la cire grâce à des glandes situées dans leur abdomen et construisent les rayons et les alvéoles (les ouvrières cirières se réunissent au sein d’une grappe d’abeilles, qui créent la température nécessaire à la plasticité de la cire). Les ouvrières stockent et transforment le nectar en miel, ventilent la ruche pour y maintenir une atmosphère et une température constantes, gardent et défendent la colonie (leurs antennes leurs permettent de reconnaître les habitants de la cité, leur dard venimeux de tuer les éventuelles pilleuses). Enfin, elles butinent les fleurs pour approvisionner la colonie en nectar et en pollen. En pleine miellée, leur durée de vie est de cinq à six semaines.

Les butineuses.

Les ouvrières butineuses aspirent le nectar à l’aide de leur trompe et le stockent dans leur jabot (estomac à miel), où il subit des transformations chimiques sous l’action des sucs digestifs ; de retour à la ruche, les butineuses le régurgitent à d’autres ouvrières, qui le déposent dans des alvéoles de cire, où elles achèvent de le transformer en miel (réserve de glucides, donc d’énergie).

Les butineuses récolent aussi le pollen, s’ébrouant entre les étamines des fleurs, puis, en vol, rassemblent ce pollen dont elles sont couvertes sur leurs pattes postérieures (équipées de poils raides formant une brosse) ; chaque abeille peut ainsi rapporter 20 mg de pollen à la ruche. Le pollen, source de protéines, est stocké dans des alvéoles autour de la nurserie de la ruche ; additionné de miel, il sert à la nourriture des larves.

Les abeilles recueillent aussi la propolis, substance résineuse de certains bourgeons, pour en enduire les rayons de la ruche et colmater les fissures. Ce « mastic des abeilles » protège la ruche contre le développement des bactéries et des moisissures grâce à sa puissante action antibiotique et antifongique.

Rôle dans la pollinisation.

Pour 70 % des espèces végétales, ce sont les abeilles et espèces voisines qui assurent en butinant le transport du pollen de fleur en fleur, assurant la fécondation de celles-ci. Cette pollinisation est indispensable pour la fructification de beaucoup d’arbres fruitiers. Les fruits à pépins se développent et se conservent mieux s’ils proviennent de fleurs bien pollinisées. Aussi l’implantation de ruches dans les vergers et dans certaines cultures augmente-t-elle les rendements en fruits et en graines.

Reproduction.

La reine pond durant toute sa vie jusqu’à 2 000 œufs par jour. Les œufs non fécondés donnent naissance à des mâles. Les œufs fécondés donnent des femelles : si les larves sont nourries de miel, de pollen et de gelée royale, ce seront des ouvrières ; si elles ne reçoivent que de la gelée royale, ce seront des reines.

L’ouvrière se développe par métamorphoses complètes. Le troisième jour, l’œuf éclôt, libérant une larve aveugle et sans membres, qui consomme de la gelée royale pendant trois jours, puis du miel et du pollen jusqu’au neuvième jour. L’alvéole téléchargementest alors fermée par un opercule, et la larve devient une nymphe, dont les organes se transforment totalement ; le vingt et unième jour, l’abeille adulte sort de son alvéole. L’ensemble des œufs, des larves et des nymphes constitue le couvain.

Comportement social.

Toutes les activités des abeilles sont coordonnées : régulation thermique, constructions, recherche de nourriture.

Les exploratrices informent les autres ouvrières sur les sources de nectar et de pollen en effectuant des « danses » circulaires sur les rayons de la ruche : le parcours indique la direction, le rythme précise la distance, et l’odeur de la danseuse donne le type de fleurs.

Une abeille ne peut survivre seule ; la coordination des activités de la colonie se fait grâce aux échanges de nourriture au « bouche-à-bouche » (trophallaxie), qui permettent à chaque abeille de connaître l’état de la ruche. La reine sécrète de véritables drogues, que les abeilles lèchent avec frénésie ; ces substances maintiennent stériles les ouvrières et les empêchent de construire des cellules de reines et de mâles.

Essaimage.

Si les sécrétions royales se tarissent ou si la densité de population devient trop forte pour que toutes les abeilles en soient imprégnées, l’inhibition est levée : il naîtra une nouvelle reine. Les ouvrières construisent de grandes alvéoles autour d’œufs ou de larves de moins de trois jours, qu’elles gorgent de gelée royale pendant toute leur vie larvaire. Quinze jours plus tard naît une nouvelle reine, qui commence par tuer ses futures rivales, puis effectue son vol nuptial. L’ancienne reine a auparavant quitté la ruche avec la moitié de ses sujettes (essaimage). La grappe d’abeilles (l’essaim) s’accroche à un arbre avant de trouver un refuge définitif.

téléchargement (1)Maladies.

De nombreux agents pathogènes parasitent tant le couvain que les adultes : champignons, bactéries, virus, protozoaires, acariens. Le principal ennemi est un acarien, Varroa jacobsoni, agent de la varroase, qui entraîne une mortalité importante. L’acarien Acaropsis woodi s’installe dans les trachées des abeilles adultes et les asphyxie.

L’utilisation des produits phytosanitaires est réglementée en France (arrêté du 5 juillet 1985) pour éviter des risques sur les populations d’abeilles et des pollinisateurs. Les insecticides et acaricides nocifs pour les abeilles sont interdits pendant la période de floraison et de production du miellat. Seuls sont autorisés pendant cette période les produits reconnus non dangereux.

Source Encyclopédie Stebler/Raynal

 

 

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