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    La France, je l'aime corps et biens, en amoureux transi, en amant comblé. Je la parcours, je l'étreins, elle m'émerveille. C'est physique. Pour l'heure, c'est le plus beau pays du Monde, le plus gracieux, le plus spirituel, le plus agréable à vivre. En dépit de ses défauts, le peuple français a des réserves inépuisables de vigueur, d'astuce et de générosité. j'écris cela en toute connaissance de la déprime qui périodiquement enténèbre nos compatriotes. Ils ont une pente à l'autodénigrement, une autre au nihilisme. Je suis français au naturel et j'en tire autant de fierté que de volupté. J'ai pour ce vieux pays l'amour du preux pour sa gente dame, du soudard pour la servante d'auberge, de l'érudit pour ses grimoires, du paysan pour son enclos, du bourgeois pour ses rentes, du croyant des hautes époques pour les reliques de son saint patron... J'ai la France facile, comme d'autres ont le vin gai ; je l'ai au coeur et sous la semelle de mes godasses. Je suis français, ça n'a pas dépendu de moi et ça n'a jamais été un souci. Ni une obsession. Toujours un bonheur...

    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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  • > Archives pour le Mercredi 25 février 2015

L’érosion du Journal le Monde

Posté par francesca7 le 25 février 2015

Une_Le_Mondequotidien du soir fondé en décembre 1944.

À la Libération, le général de Gaulle, en accord avec les projets de la Résistance, juge nécessaire de renouveler en profondeur les structures de la presse française. Dans ce cadre, un grand quotidien du soir doit constituer, par son sérieux et son indépendance, tant politique que financière, un organe de référence de stature internationale. Opposé à la reparution du Temps - trop lié aux milieux industriels et financiers dans l’entre-deux-guerres, puis au régime de Vichy jusqu’à son sabordage en novembre 1942 -, le général de Gaulle assigne cette mission à un nouveau titre : telle est l’origine du Monde, dont le premier numéro paraît le 18 (daté du 19) décembre 1944. Choisi pour diriger le journal, Hubert Beuve-Méry, démissionnaire du Temps au lendemain des accords de Munich (1938), imprime vite sa marque au quotidien de la rue des Italiens, qui manifeste de plus en plus sa liberté vis-à-vis du pouvoir en place. Signés « Sirius », ses éditoriaux défendent le lien entre la morale et la politique, et prennent volontiers l’opinion à contre-courant. Par ses prises de position, Beuve-Méry s’attire l’inimitié de ses concurrents, mais aussi de ses deux principaux associés, René Courtin et Christian Alfred Funck-Brentano, qui quittent le journal en 1949.

 

Entreprise de presse originale, le Monde ouvre son capital à ses rédacteurs, qui se constituent en société anonyme en 1951 (en 1985, les lecteurs entreront à leur tour dans le capital du journal). Dès le début des années 1960, le Monde devient une véritable institution dont les ventes ne cessent de progresser, pour atteindre 800 000 exemplaires au mois de mai 1968. Favorable à un règlement rapide de la question algérienne, le journal soutient le retour au pouvoir du général de Gaulle en 1958, avant de s’opposer à celui-ci dès le référendum d’octobre 1962 portant sur l’élection du président de la République au suffrage universel. L’évolution du journal vers la gauche est confirmée par l’accession de Jacques Fauvet à sa tête (il en est directeur de 1969 à 1982) : lors des scrutins présidentiels de 1965, 1974 et 1981, le Monde se prononce ainsi en faveur de François Mitterrand. Mais, pendant les deux septennats de ce dernier (1981-1995), le quotidien préserve son indépendance et joue un rôle important dans la révélation des « affaires » qui entourent le pouvoir socialiste. 

En matière de politique étrangère, le Monde reste fidèle à ses orientations premières : il salue l’effondrement du système soviétique au tournant des années 1980-1990, et milite en faveur de la construction européenne (il se prononce ainsi nettement en faveur du « oui » lors du référendum de Maastricht). Après avoir connu de sérieuses difficultés financières et une érosion de son lectorat, le Monde voit sa situation se redresser à partir de 1994, date de l’arrivée de Jean-Marie Colombani à la direction du journal. Depuis 2003, le Monde fait partie d’un groupe de presse comprenant les publications de la vie catholique (Télérama, La Vie…) et les journaux du Midi (dont le Midi Libre). Mais secoué par de violentes polémiques survenues en 2003, concernant notamment la ligne éditoriale du journal et par la crise générale de la presse écrite, le Monde connaît une érosion de ses ventes. 

En 2003, une série d’ouvrages et de travaux ont critiqué la neutralité du journal. Dans la revue Actes de la recherche en sciences sociales, le sociologue de l’école bourdieusienne Patrick Champagne analysait l’évolution du quotidien et l’influence de Jean-Marie Colombani dans l’article « Le médiateur entre deux mondes ».

Ces critiques devinrent accusations dans l’essai La Face cachée du « Monde », où Pierre Péan et Philippe Cohen affirment, entre autres choses, que l’équipe dirigeante, constituée alors de Jean-Marie Colombani, Edwy Plenel et Alain Minc, avait pris le parti de s’orienter vers une logique de rentabilité et de vente faisant fi, selon eux, des règles déontologiques. Le non-respect de la raison d’État fut également au cœur de la critique de La Face cachée du « Monde ». Enfin, les critiques pointaient également du doigt certains parti-pris éditoriaux.

Daniel Schneidermann, à l’époque employé du Monde, chroniqueur au supplément radio-TV du quotidien et lui-même animateur d’une émission de télévision sur France 5, a critiqué dans son ouvrage Le Cauchemar médiatique la réaction de la direction du quotidien, en estimant que celui-ci ne répondait pas aux arguments du livre La Face cachée du « Monde ». Les dirigeants du Monde l’ont licencié en octobre 2003 pour « cause réelle et sérieuse » : selon eux, un passage du livre de Daniel Schneidermann était « attentatoire à l’entreprise pour laquelle il travaille ». Le journaliste a poursuivi le quotidien aux prud’hommes de Paris, qui lui ont donné gain de cause en mai 2005. Le jugement a été confirmé en appel en mars 2007.

Alain Rollat, journaliste au Monde de 1977 à 2001, s’est livré, quant à lui, à une sévère auto-critique des errements survenus dans la gestion de l’entreprise sous la direction de Jean-Marie Colombani, principal responsable, à ses yeux, de l’emprise croissante des « puissances d’argent » sur le « quotidien de référence ». La publication de son témoignage a été délibérément occultée par ses anciens compagnons.

L’érosion du Journal le Monde dans FONDATEURS - PATRIMOINE 220px-Lemonde_fr_2005_logo.svgLa thèse de Pierre Péan et Philippe Cohen se fondait essentiellement sur le fait que la ligne éditoriale originelle avait été altérée afin de répondre aux objectifs de pouvoir des rédacteurs et d’un petit groupe affilié, avec des collusions dans des cercles économiques. Pierre Péan et Philippe Cohen reprochaient par exemple le salaire mensuel du directeur de la rédaction du Monde (26 000 euros par mois) en dépit d’une perte estimée à 25 millions d’euros pour l’exercice 2003 au niveau du groupe (périmètre de CA de 460 M d’€, année d’acquisition du groupe La Vie catholique par Le Monde). Les avocats du Monde et ceux de Péan-Cohen ont préféré éviter le procès et ont accepté la médiation de Guy Canivet, premier président de la Cour de cassation.

Le Monde ne communique pas son chiffre d’affaires mais la Société des lecteurs du Monde, cotée sur le marché libre d’Euronext Paris, annonçait un chiffre d’affaires de 462 millions d’euros en 2002. En 2007, il est de 628,65 millions d’euros. Le Monde a accusé en 2006 une perte nette de 14,3 millions d’euros, à comparer avec une perte nette de 27,9 millions d’euros en 2005 et de 54,2 millions en 2004. En juin 2010, le journal recherche 10 millions d’euros pour éviter la cessation de paiement en juillet et ses dettes s’élèvent à 94 millions d’euros.

Comme la plupart des titres de presse français, le journal Le Monde touche des subventions de l’État. Ainsi, il a perçu 2,95 millions d’euros d’aide du fonds d’aide à la modernisation de la presse de 2003 à 2010. En 2010, il est le second quotidien français qui reçoit le plus de subventions de l’État avec 17 millions d’euros d’aides directes. En 2011 et 2012, il est le premier avec 16,9 et 18,6 millions d’euros

 

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La longue vie de Michelin

Posté par francesca7 le 25 février 2015

220px-Michelin_Poster_1898famille d’industriels. L’histoire de Michelin est à la fois celle d’une entreprise, société en commandite par actions spécialisée dans la fabrication de pneumatiques depuis la fin du XIXe siècle, celle d’une famille d’industriels catholiques durant quatre générations, et celle d’un milieu, centré autour de Clermont-Ferrand et régi par un système social paternaliste.

 

À l’origine, au début des années 1830, Édouard Daubrée et Aristide Barbier fondent une usine qui produit, sans que cela en soit sa principale activité, des balles fabriquées à partir de pains de caoutchouc naturel importés du Brésil. L’invention de la vulcanisation, qui permet d’améliorer la qualité du caoutchouc en le traitant par le soufre, et la cogérance des frères André et Édouard Michelin à partir de 1889 modifient la nature de l’entreprise : reconvertie dans la fabrication de freins garnis de caoutchouc, puis de pneumatiques démontables pour les bicyclettes et les automobiles, l’entreprise Michelin, qui employait quelques dizaines d’ouvriers en 1890, compte déjà cinq mille salariés en 1914 et dix-huit mille en 1927. Elle bénéficie également de la popularisation des pneumatiques par le biais des événements sportifs - par exemple, la victoire du cycliste Charles Terront dans la course Paris-Brest-Paris en 1891 - et de la publicité grâce à l’invention, pour l’Exposition internationale de Lyon en 1898, d’un personnage symbolique, Bibendum, fait d’un empilage de pneus. À quoi s’ajoute le lancement, à l’usage des voyageurs, du Guide Michelin en 1900 et de cartes routières au 200 000e en 1908. C’est aussi sous la direction d’Édouard Michelin qu’est forgé un système social de type paternaliste, dont les derniers vestiges n’ont disparu que dans les années 1970 : en échange de rémunérations élevées et d’avantages sociaux - logements, dispensaires, écoles… -, une discipline de travail rigoureuse est exigée, ce qui explique l’absence de syndicalisation jusqu’en 1914. Dans ces quartiers sillonnées de rues aux noms évoquant des vertus domestiques, dans ces vies ouvrières prises en charge de la naissance à la tombe, il n’y a pas de place pour autre chose que pour cette culture d’entreprise qui associe austérité, acharnement au travail et un culte du secret quasi obsessionnel.

 

Après une longue période de domination américaine, entamée en 1907, Michelin retrouve une avance technologique sur ses concurrents avec l’invention, en 1946, du pneu à carcasse radiale. Mais l’importance traditionnelle accordée à l’innovation au sein de l’entreprise ne suffit pas à assurer le succès : l’amélioration de la qualité des pneus, dont la durée de vie a doublé depuis 1970, tend au contraire à réduire la croissance du marché mondial. Au prix d’une internationalisation de la production (notamment aux États-Unis, au Brésil et en Asie du Sud-Est), de gains de productivité et du rachat de Kléber (début des années 1980) et de Uniroyal-Goodrich (1989), Michelin devient premier producteur mondial.

 

Le premier numéro de la revue mensuelle Bibendum est publié en 1910. Cette même année, Michelin entre dans le marché de la signalisation routière, avec la fabrication des plaques « Merci » à deux faces sur lesquelles étaient indiqués le nom des localités, la désignation et le numéro des routes, et des inscriptions de sécurité telles que « Veuillez ralentir » placées à l’entrée de l’agglomération et un « Merci » à la sortie. En 1918, le premier prototype de borne d’angle (borne Michelin), élément de signalisation routière à quatre faces, est créé ; celle-ci prend sa forme définitive en 1928. En 1931, l’emploi des appareils de signalisation routière Michelin est officiellement approuvé. Il s’agit des bornes Michelin, mais aussi des « murs », « plaques » et « poteaux », réalisés en lave émaillée sur béton armé.

En 1911, le club de rugby ASM Clermont Auvergne est créé par Marcel Michelin, le fils d’André, d’abord sous le nom de l’AS Michelin, puis de l’AS Monferrandaise, avant de prendre son nom actuel.

En 1916, la première piste cimentée pour l’aviation est construite à Clermont-Ferrand ; elle permet le décollage par tous les temps des avions Breguet-Michelin produits pour la guerre dans les usines Michelin. La production sera de 57 avions en 1915, 141 en 1916, 264 en 1917 et 1422 en 1918. Les 100 premiers exemplaires produits furent offerts et les suivants vendus à prix coûtant.

En 1919, l’usine de Cataroux est construite.

1926 voit la publication du guide régional touristique (futur « guide vert ») sur la Bretagne. C’est une période de très forte croissance pour tout le secteur automobile, qui bénéficie del’engouement pour la voiture des « années folles »: Michelin emploie 10 000 personnes à Clermont-Ferrand dès 1927.

1929 voit la mise au point de la micheline, autorail léger dont les roues sont équipées de pneus spéciaux inventés par André Michelin. Cet autorail restera en service en France dans plusieurs villes jusqu’à 1952 et sera également présent dans les anciennes colonies françaises en Afrique, en Indochine, et au Madagascar.

En 1933, Pierre Michelin (1903-1937) est nommé cogérant et en 1935, Michelin devient l’actionnaire principal de Citroën et Pierre Michelin en est nommé PDG. En 1937, Pierre Michelin décède à la suite d’un accident. L’année suivante, Édouard Michelin appelle à ses côtés son gendre Robert Puiseux (1892-1991) et Pierre Boulanger (1885-1950) comme cogérants. En 1940, au décès de Édouard Michelin, Robert Puiseux devient gérant.

La longue vie de Michelin dans FONDATEURS - PATRIMOINE 220px-Michelin_map_backside_of_1940Pendant la Seconde Guerre mondiale, des cartes et guides Michelin ont été distribués aux troupes alliés. En 1944, l’état-major allié craint que la progression des troupes après ledébarquement en Normandie ne soit ralentie sur les routes et surtout dans les villes françaises, car toute signalisation y a été détruite ou démontée par l’occupant allemand. Avec l’accord secret de la direction de Michelin à Paris, il choisit de faire imprimer à Washington et distribuer à chaque officier une reproduction de la dernière édition du Guide, celle de 1939, comportant des centaines de plans de villes, détaillés et actualisés.

En 1946, Michelin dépose le brevet du pneu radial, commercialisé en 1949 sous l’appellation Michelin X. Le succès commercial du pneu radial entraînera une forte expansion du groupe et placera l’entreprise au premier plan.

1951 voit la fondation de la Compagnie Générale des Établissements Michelin (CGEM) et de la Manufacture Française des Pneumatiques Michelin dont Émile Durin (1896-1981) devient cogérant avec Robert Puiseux. Cette année aussi, la première usine française en dehors de Clermont-Ferrand est établie à Orléans

L’entrée de Michelin en Formule 1 coïncide avec la première participation de Renault au Grand Prix de Grande-Bretagne 1977. Lors de cette première période qui s’achèvera en 1984, le manufacturier va participer à la conquête de deux titres constructeurs (1979, 1984) et quatre titres pilotes (1979, 1980, 1983, 1984).

En 2001, Michelin annonce son retour en F1 qui durera six saisons avec en apogée les deux titres mondiaux conquis avec Renault et Fernando Alonso en 2005 et 2006. Fin 2006, le fabricant français quitte la catégorie, à la suite du vote du choix du manufacturier unique par la FIA.

Au total, Michelin a disputé 215 grands prix, incluant 111 pole positions et 102 victoires.

Il a remporté 5 titres pilotes (1979 avec Jody Scheckter, 1983 avec Nelson Piquet, 1984 avec Niki Lauda, 2005 et 2006 avec Fernando Alonso.

Il a remporté 4 titres constructeurs (1979 avec Ferrari, 1984 avec McLaren, 2005 et 2006 avec Renault

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