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    La France, je l'aime corps et biens, en amoureux transi, en amant comblé. Je la parcours, je l'étreins, elle m'émerveille. C'est physique. Pour l'heure, c'est le plus beau pays du Monde, le plus gracieux, le plus spirituel, le plus agréable à vivre. En dépit de ses défauts, le peuple français a des réserves inépuisables de vigueur, d'astuce et de générosité. j'écris cela en toute connaissance de la déprime qui périodiquement enténèbre nos compatriotes. Ils ont une pente à l'autodénigrement, une autre au nihilisme. Je suis français au naturel et j'en tire autant de fierté que de volupté. J'ai pour ce vieux pays l'amour du preux pour sa gente dame, du soudard pour la servante d'auberge, de l'érudit pour ses grimoires, du paysan pour son enclos, du bourgeois pour ses rentes, du croyant des hautes époques pour les reliques de son saint patron... J'ai la France facile, comme d'autres ont le vin gai ; je l'ai au coeur et sous la semelle de mes godasses. Je suis français, ça n'a pas dépendu de moi et ça n'a jamais été un souci. Ni une obsession. Toujours un bonheur...

    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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Superstitions et usages dans les Vosges

Posté par francesca7 le 24 novembre 2014

 

(D’après un article paru en 1866)

SabotierQuelqu’un vient-il à mourir à Saulxures, à Rochesson, à Raon-aux-Bois et dans quelques autres communes voisines, on s ’empresse de changer le lit du mort, et l’on emporte la paille sur un grand chemin pour y être brûlée. On remarque avec la plus vive anxiété de quel côté va la fumée de ce feu ; celui vers lequel elle se dirige doit mourir le premier. Dans quelques villages de l’arrondissement de Remiremont, lorsqu’un enfant meurt, on invite ses petits camarades à le veiller et, à minuit, on leur sert un riz au lait. Un malade n’y meurt qu’avec un cierge allumé qu’on lui a mis dans la main ; on lui ferme ensuite la bouche et les yeux ; sans cette précaution, quelqu’un des assistants ou de ses parents ne tarderait pas à le suivre.

Une femme enceinte qui servirait de marraine, en certains endroits, mourrait dans l’année et son filleul également. Un chien perdu qui aboie près d’une maison présage la mort d’une des personnes qui l’habitent. Il en est de même des cris d’une chouette sur une maison. On interprète différemment, selon les lieux, le bruit que font les meubles en se disjoignant. Ici ce bruit annonce qu’une âme en souffrance dans le purgatoire demande une prière ; là, il présage la mort prochaine d’une personne de la maison. Il est du plus fâcheux augure, dans une foule de localités, que la cloche de l’horloge vienne à sonner pendant l’élévation. On croit qu’il y aura bientôt un mort dans le village. Dans un grand nombre on dit encore, lorsque la Noël tombe le vendredi, que le cimetière en aura sa part ; ce qui signifie que l’autorisation de faire gras un tel jour doit amener une grande mortalité pendant l’année.

Quand un chef de famille décède, on est dans l’usage, dans presque toute la contrée, de suspendre aux ruches une étoffe noire ; les abeilles, sans cela, partiraient dans les neuf jours. Dans quelques endroits, on leur met aussi un morceau d’étoffe de couleur, un jour de mariage, pour leur faire partager la joie.

Une jeune fille désire-t-elle connaître l’époux qui lui est destiné ? Il faut qu’une de ses amies glisse, tout à fait à son insu, dans son sac à ouvrage et le jour de la Saint André, une pomme de l’année. La jeune fille la doit manger en se couchant et en ayant soin de dire avant de dormir : « Saint André, faites-moi voir celui qui m’est réservé ! » et le jeune homme lui apparaît dans un songe. La jeune fille qui se marie avant ses soeurs aînées, leur doit donner à chacune une chèvre et un mouton le jour de son mariage ; déroger à cette coutume serait s’attirer de grands malheurs. Celle qui envoie un chat à son amant, lui donne congé.

Quand un mariage a lieu, celui des deux époux qui, après avoir reçu la bénédiction nuptiale, se lèvera le premier, sera le maître dans la maison. Il est rare que la mariée se laisse prévenir. La jeune fille qui a mis la première épingle à la fiancée doit elle-même se marier dans l’année ; il n’en est pas ainsi de celle qui marche sur la queue d’un chat. L’épingle que les jeunes filles jettent dans une fontaine, située près de Sainte-Sabine, lieu de pèlerinage, dans les forêts de Saint-Étienne, arrondissement de Remiremont, leur annonce, si elle surnage, un mariage prochain.

Bien des personnes pensent que si elles ont de l’argent sur elles la première fois qu’elles entendent, au printemps, le chant du coucou, elles ne manqueront pas d’en avoir toute l’année. Une étoile qui file annonce qu’une âme entre dans le purgatoire ou qu’elle vient d’en être délivrée : dans ce doute, on lui doit une prière. Rencontrer, au départ, deux brins de paille ou deux morceaux de bois placés par hasard en croix, est d’un très mauvais augure. Cela suffit quelquefois pour faire suspendre un voyage à bien des gens. Deux couteaux mis de la sorte sur la table, par la maladresse d’une domestique, ne sont pas vus d’un meilleur oeil.

Une poule qui imite le chant du coq, annonce la mort du maître ou de la maîtresse : aussi l’on ne fait faute de la tuer et de la manger, comme unique moyen de prévenir le malheur qu’elle présage. Homme ou femme qui veut avoir sept jours de suite de beauté, doit manger du lièvre. La bûche que l’on a mise à l’âtre la veille de la Noël est retirée soigneusement du feu avant qu’elle soit entièrement consumée. On l’éteint avec de l’eau bénite, et on la conserve toute l’année comme préservatif contre le tonnerre. Ceux qui se lèvent de bonne heure le jour de la Trinité, peuvent, s’ils sont en état de grâce, voir lever trois soleils. Des malheurs inévitables sont attachés aux voyages entrepris ce jour-là.

L’hirondelle est regardée comme portant bonheur à la maison où elle a construit son nid. Aussi l’on a soin de laisser ouvertes nuit et jour les fenêtres des chambres où elle a établi sa demeure. On croit aussi que la bénédiction du ciel descend sur les foyers où le grillon fait entendre son chant. Il est accrédité, dans quelques endroits, que le soir, dans l’été, on entend parfois, dans les airs, une troupe de musiciens qu’il est fort dangereux de rencontrer. On l’appelle Mouhiheuken ; il faut, pour ne pas en être mis en morceaux, se coucher le ventre contre terre.

mjk44x4hsRFOyhVmt_ufjJwIl y avait, dit-on, autrefois dans l’église de Remiremont les statues de trois saints, nommés saint Vivra, saint Languit, saint Mort. Lorsque quelqu’un était malade, on faisait brûler un cierge devant chacune d’elles. Le dernier qui s’éteignait annonçait si le malade guérirait, languirait longtemps ou mourrait. Ces statues n’existent plus aujourd’hui. La croyance aux follets, aux esprits se reproduisant la nuit sous la forme humaine, aux loups-garous, est encore généralement répandue dans la campagne. Quant aux sorciers, on en admet de deux espèces, de bons et de mauvais, qui donnent des maléfices ou qui en délivrent. Une lutte s’établit entre eux pour cela ; le plus savant est celui qui triomphe de l’autre. Il est encore plusieurs villages où l’on parle d’un chasseur mystérieux qui, depuis des milliers d’années, parcourt avec une nombreuse meute les vastes forêts de la contrée. Cette chasse se renouvelle à diverses époques de l’année et dure plusieurs nuits de suite. Malheur à l’homme qu’il rencontre sur son passage ! Bien des voyageurs égarés ont été, dit-on, la proie de ses chiens affamés.

On croit encore, en certains endroits, au pouvoir des fées, et plusieurs localités ont conservé des noms qui attestent combien elles y étaient en vénération. Dans la commune de Bresse est une ferme dite des Fées. Sur la montagne d’Ormont se trouve le porche des Fées. Un hameau de la commune d’Uriménil est nommé Puits des Fées. Le pont des Fées, situé près de Remiremont, est une vaste construction en pierres sèches, que le peuple attribue à ces divinités du Moyen Age.

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LA GASTRONOMIE LORRAINE

Posté par francesca7 le 24 novembre 2014

 

images (2)La cuisine lorraine ne se résume pas à la seule quiche qui porte son nom.

Derrière ce grand classique se cache aussi le baba au rhum, inventé par Stanislas ou les bouchées à la reine, qui ravissaient ce dernier. La Lorraine culinaire est riche de dons naturels et de talents humains. Le terroir s’y prête il est vrai, offrant aux chefs artistes ses trésors. Trésors que l’on retrouve sur les tables des restaurants de haute gastronomie, des fermes-auberges ou des tables d’hôtes. Dans la montagne vosgienne on retiendra aussi le repas marcaire, toujours servi dans les fermes d’altitude. Au menu : viandes fumées, tourtes, Munsters, tarte à la myrtille…

La région, qui compte pas moins de 250.000 mirabelliers, assure à elle seule 90 % de la production mondiale. Un climat idéal, un sol argilo-calcaire : voilà le secret qui explique pourquoi la petite prune jaune s’épanouit aussi bien sur notre terroir…

A visiter
La Maison de la Mirabelle  à Rozelieures

Autre spécialité incontournable, la Potée Lorraine 

C’est un plat convivial où la saveur naturelle des produits du terroir, carottes et poireaux, se mèle à celle des charcuteries fumées. 

Autrefois, les femmes la mettaient sur le feu dès le matin. Taillant un bon morceau de lard maigre au jambon salé, elles le plaçaient celui-ci dans la cocotte en fonte. De l’eau froide, des haricots blancs, plusieurs poignées, qu’il faut laisser cuire un moment avant d’ajouter une saucisse fumée. 

Ensuite, elles laissaient libre cours à leur imagination, et mettaient tous les légumes en leur possession. Un oignon, quelques navets, un poireau, une botte de carottes beaucoup de choux, de pommes de terre pour remplir la cocotte… 

Vaillantes, elles allaient travailler aux champs, et la potée cuisait lentement pendant ce temps. C’était tout un art de bien régler le feu pour longtemps, et de trouver ce mets juste à point en rentrant. 

 

Le Fumé Lorrain 

Dès le XVIIème siècle, la Lorraine avait maîtrisée l’art de conserver la viande de porc ; l’utilisation de l’échalote, de l’oignon et du sel garantissant les produits, après fumage. 

Les historiens racontent que, bien avant l’ère industrielle, les « chaircutiers » lorrains avaient acquis une solide réputation de savoir « mayencer » le jambon et la saucisse, mayencer signifiant saler et fumer. 

Cette renommée ne tarde pas à franchir les frontières de la province, et les chalands sont nombreux qui viennent se ravitailler en FuseauxMagots,Chaudins et autres rondelles. 

téléchargementLe pâté lorrain 

Le pâté lorrain est une spécialité culinaire originaire de Baccarat (ville du cristal).
C’est la plus ancienne recette réputée être une spécialité lorraine, sous le nom de petits pâtés lorrains. 

Il est composé principalement d’échine de porc et de noix de veau entourés par une pâte feuilletée. Son arôme provient de la marinade de la viande, préalable à la cuisson et faite de vin (rouge ou blanc selon les recettes), échalote, persil, thym etlaurier. 

Il est généralement consommé en hors-d’œuvre accompagné d’une légère salade verte. 

La recette : 
Ingrédients :
– 280g de pâte feuilletée,
– 220g de pâte brisée,
– garniture : 1dl de vin blanc (côtes de toul), 250g de noix de veau, 250g d’échine de porc, 2 échalotes, 2 gousses d’ail, 1 bouquet de persil, 1 oeuf pour la dorure.

Faire mariner la veille la viande qui aura été taillée en lanière (taille d’une frite) avec le vin blanc, l’ail et les échalotes ainsi que le persil, le sel, le poivre. Filmer au réfrigérateur 12 heures. Etaler la pâte feuilletée et brisée et brisée à 5 milimètres d’épaisseur. Tailler 2 rectangles: l’un de 35cm de longueur sur 20cm de largeur (avec la pâte feuilletée). L’autre de 30 cm de longueur sur 15cm de largeur (pâte brisée). Egoutter la farce et la disposer sur la pâte brisée. Laisser 3cm sur les bords pour pouvoir fermer la pâte de la façon suivante: passer la dorure avec le pinceau sur les bords. Recouvrir de la pâte feuilletée puis souder les deux parties. Ensuite, avec le dos d’un couteau, marquer la pâte tous les 2 milimètres, dorer celle-ci. Reposer au frais 1 heure. Cuisson 45 minutes à 180°c puis 15 minutes à 170°c.

Autour du 6 décembre en Lorraine on célèbre la Saint-Nicolas. 
Le patron des enfants et des écoliers, Saint-Nicolas gratifie les enfants sages de chocolats et de pain d’épices alors que le Père Fouettard distribue des « triques » aux enfants désobéissants. De nombreux défilés sont organisés dans les rues des villes et villages meusiens. 
A cette occasion le pain d’épice prend la forme du Saint-Patron. 

La recette : 
Ingrédients : 
250g de farine, levure, 250g de miel, 50g de cassonade, 2 œufs, 1 orange, poudre de cannelle, gingembre,anis en poudre, noix de muscade (1/2 cuillère à café), 1 pincée de sel. 

Préchauffez votre four à 150°, beurrez un moule à cake. 
Versez le miel dans une casserole, posez-la sur le feu doux et laissez le miel se liquéfier. Ajoutez-y le beurre. Retirez du feu. 
Lorsque le beurre est bien fondu, ajoutez-y la cassonade et mélangez le tout. Cassez vos œufs et battez-les en omelette dans un bol. Mélangez le tout dans la casserole en continuant à tourner. 
Tamisez la farine et la levure dans une terrine, ajoutez toutes les épices et le sel. Râpez finement la moitié du zeste de l’orange et mélangez. 
Versez le contenu de la casserole dans la terrine en mélangeant sans cesse, jusqu’à ce que tout se mèle intimement. Versez le mélange dans votre moule. Glissez au four et laissez cuire 1h10 environ. 
Vérifiez que le pain d’épices est bien gonflé et qu’il a une belle couleur dorée. 
Attendre avant de démouler et déguster le lendemain si vous pouvez attendre jusque là. 

CONSULTEZ le site : http://www.tourisme-meuse.com

Publié dans GASTRONOMIE FRANCAISE, Lorraine | Pas de Commentaire »

 

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