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    La France, je l'aime corps et biens, en amoureux transi, en amant comblé. Je la parcours, je l'étreins, elle m'émerveille. C'est physique. Pour l'heure, c'est le plus beau pays du Monde, le plus gracieux, le plus spirituel, le plus agréable à vivre. En dépit de ses défauts, le peuple français a des réserves inépuisables de vigueur, d'astuce et de générosité. j'écris cela en toute connaissance de la déprime qui périodiquement enténèbre nos compatriotes. Ils ont une pente à l'autodénigrement, une autre au nihilisme. Je suis français au naturel et j'en tire autant de fierté que de volupté. J'ai pour ce vieux pays l'amour du preux pour sa gente dame, du soudard pour la servante d'auberge, de l'érudit pour ses grimoires, du paysan pour son enclos, du bourgeois pour ses rentes, du croyant des hautes époques pour les reliques de son saint patron... J'ai la France facile, comme d'autres ont le vin gai ; je l'ai au coeur et sous la semelle de mes godasses. Je suis français, ça n'a pas dépendu de moi et ça n'a jamais été un souci. Ni une obsession. Toujours un bonheur...

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  • > Archives pour le Lundi 17 novembre 2014

Le Barbe-bleue breton

Posté par francesca7 le 17 novembre 2014

 

 

morgane-foret-nroceliande-default-bigC’est peut-être bien en Bretagne qu’a pris naissance la fameuse histoire de Barbe-bleue au VIe siècle.

Comorre était un redoutable seigneur dont le château pourrait se situer dans la forêt de Carnoët près de Quimperlé (Finistère). On lui comptait déjà six épouses assassinées de ses propres mains lorsqu’il demanda en mariage la fille de Varoch, comte de Vannes, la douce Triphine.

Une prophétie prétendant qu’il mourrait tué par son fils; il prenait les devants en faisant passer de vie à trépas ses épouses dès qu’elles étaient enceintes. N’ayant pas osé s’opposer à ce puissant seigneur, le comte de Vannes organisa la cérémonie du mariage avec la bénédiction de saint Gildas.

La tête tranchée

  • Les premiers mois se déroulèrent sans nuages jusqu’au jour où Comorre surprit, au retour d’un long périple, sa jeune femme brodant de la layette. Au cours de sa fuite, elle mit au monde le petit Trémeur. Mais le terrible seigneur réussit à la rattraper et lui trancha la tête. Trémeur fut alors recueilli par saint Gildas qui, volant au secours de Triphine, la ressuscita également. On raconte que saint Gildas lança alors une pluie de pierres sur la forteresse de Comorre qui, tel un château de cartes, s’effondra sur son monstrueux seigneur.
  • Selon la version en cours à la chapelle Saint-Trémeur, de Bubry(Morbihan), c’est seulement une fois décapitée par Comorre et ressuscitée par saint Gildas, que Triphine donna naissance à Trémeur.

Elevé au monastère de Saint-Gildas-de-Rhuys, l’enfant se retrouva un jour face à son père qui s’empressa de le décapiter. Ce serait, par la suite, des chevaliers alliés au comte de Vannes qui auraient eu raison des jours du Tyran.

Variante au Guilvinec

  • On raconte ici que Comorre vécut dans le manoir de Kergoz avec son fils Trémeur et son épouse Triphine. Celle-ci, malheureuse, souffrait du comportement brutal de son mari. Une sorte de malédiction voulait qu’elle pâtit de la sorte tant que son époux n’aurait pas trouvé son maître. Trémeur décida donc de battre son père à la  » soule « , un jeu de ballon. Il y parvient si bien au cours d’une partie que le terrible seigneur s’effondra de fatigue.

 

  • Néanmoins, après avoir repris suffisamment de forces, il rattrapa Trémeur et, de rage, lui trancha la tête. Pas  » démonté  » pour autant, ce dernier ramassa sa tête et la glissa sous son bras. C’est alors que Comorre rendit son âme au diable. On dit que Trémeur continua à jouer à la soule et que, ces jours-là, il laissait sa tête au manoir pour être plus libre de ses mouvements.Une chapelle lui fut dédiée. On peut l’y voir représenté, tenant sa tête décapitée (d’après un extrait de la Revue Dialogue n° 16 et n° 17).

 

  • On peut contempler également une belle statue de Trémeur portant sa tête décapitée sous le bras, dans une niche du grand portail flamboyant de l’église de Carhaix-Plouguer (Finistère), dédiée également à Saint Trémeur.

 

  • La chapelle Sainte-Triphine, à Pontivy (Morbihan) rappelle aussi le martyre de cette sainte, au fil de neuf tableaux peints sur les lambris.

SOURCE / http://www.bretagne.com/

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Les mégalithes du Morbihan

Posté par francesca7 le 17 novembre 2014

candidats au Patrimoine de l’UNESCO

(Source : France 3 Bretagne)

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Ce lundi, se tenait la première réunion du comité scientifique chargé de l’élaboration du dossier de candidature des mégalithes morbihannais au Patrimoine Mondial de l’UNESCO. Le sud Morbihan concentre autour de Carnac une multitude d’architectures du néolithique unique au monde.

Début 2012, 27 communes du Morbihan possédant des sites mégalithiques et l’Etat ont créent l’association « Paysages de Mégalithes ». Son objectif : présenter d’ici trois ans un dossier de classement au Patrimoine Mondial de l’UNESCO de la concentration d’architectures du néolithique réparties autour du golfe du Morbihan.

Depuis 18 mois, l’association travaille au recensement précis des 556 sites et à la valorisation des lieux par la mise en place de circuits de découverte. En parallèle, elle crée des supports pour le public : site internet, applications mobiles, contenu pédagogique, géolocalisation, etc…

Le célèbre paléontologue vannetais Yves Coppens préside le comité scientifique chargé de l’élaboration du dossier. Il souligne la richesse du sud Morbihan en architecture néolithique : « un site remarquable, homogène et unique, qui s’étend de la rivière d’Étel jusqu’à la presqu’île de Rhuys, en passant par Carnac, Locmariaquer et le golfe ».

Le rôle du comité scientifique est d’évaluer la valeur patrimoniale des sites et d’élaborer un plan de gestion. En effet l’UNESCO va étudier dans le dossier de candidature, l’intérêt patrimonial des sites mais également la manière avec laquelle il sont mis en valeur et protégés. Le comité décidera aussi s’il faut présenter tous les sites mégalithiques ou seulement une partie auprès de l’UNESCO. L’enjeu est de taille. Pas question d’être approximatif. La concurrence est rude. La France ne peut par exemple présenter qu’un seul dossier par an auprès de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO).

Plus ancien que les pyramides d’Egypte
Cet ensemble de monuments mégalithiques est composé des vestiges architecturaux parmi les plus anciens au monde. Ces structures monumentales ont été érigées plus de 5000 ans avant Jésus-Christ, soit 2 000 ans avant les pyramides d’Egypte.

Point d’orgue de cette richesse mégalithique, les sites de Carnac, avec ses 4000 menhirs s’étirant sur près de 4 Kilomètres et 40 hectares. Ces alignements ont été inscrits en 1996 sur la liste indicative française du Patrimoine Mondial de l’Unesco, au titre des biens culturels ; une « pré-inscription » en quelque sorte pour être candidat au Patrimoine de l’Unesco.

Enjeu touristique
L’enjeu est énorme pour Carnac, car les mégalithes sont le premier site visité du Morbihan avec 600.000 visiteurs par an pour les alignements et 34.000 visiteurs au musée. En cas de classement, leur nombre pourrait passer à 1 million, soit 40 % de visiteurs en plus.

Thierry Peigné
France 3 Bretagne

Accédez à l’article source

 

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Le palais de Compiègne

Posté par francesca7 le 17 novembre 2014

 

 

Compiègne_(60),_palais,_façade_sud-est_sur_le_parc_6Royal puis impérial, le Palais de Compiègne se distingue par la sobriété de son architecture néo-classique.

L’origine de la résidence de Compiègne remonte à la dynastie mérovingienne. L’édifice que l’on peut admirer aujourd’hui fut construit au XVIIIème siècle par l’architecte Ange-Jacques Gabriel, sur ordre du roi Louis XV.

Au XIXème siècle, Napoléon Ier décide de redonner au château sa splendeur passée. Après sa remise en état, l’empereur entreprend la restauration des appartements. L’architecte en charge des travaux, L-M Berthault, modifie une grande partie des décors et remeuble les appartements dans le style de l’époque. Il aménage également le parc paysager, traversé par la célèbre allé des Beaux-Monts qui s’étend sur près de 5 kms. Elle prolonge la magnifique terrasse rythmée de statues à l’Antique.

Le château de Compiègne appelé aussi Palais de Compiègne, occupe une place de choix dans l’histoire du Second Empire. Sous l’impulsion de Napoléon III, les travaux se poursuivent avec la construction de la Galerie Neuved Gabriel-Auguste Ancelet, et du grand Théâtre Impérial.

Le château de Compiègne devient un lieu de villégiature privilégié pour Napoléon III et l’impératrice Eugénie. Ils laissent l’empreinte indélébile de leurs fréquents séjours avec les fameuses « Séries de Compiègne », périodes d’une semaine pendant laquelle une centaine de convives prestigieux sont logés au château.

 

Une visite au Palais de Compiègne permet de rencontrer les têtes couronnées qui y ont résidé et de partager les divertissements de la cour.

                                                                                                                                                                    

Bâti par Louis XV et Louis XVI, réaménagé sous Napoléon Ier puis Napoléon III, le palais de Compiègne fut un haut-lieu de la vie de cour et de l’exercice du pouvoir. L’originalité et la beauté du plus grand palais néo-classique français, la qualité de ses décors intérieurs et de son mobilier, constituent un ensemble unique, un lieu historique qui, aux côtés de Versailles et de Fontainebleau, est l’une des trois plus importantes résidences royales et impériales françaises.

De Charles V à Louis XVI, un lieu de séjour pour la  cour de France

Sur la route des Flandres, à quatre-vingts kilomètres de Paris, le palais de Compiègne fut une résidence royale et impériale dont les appartements, par delà les remparts de la ville, donnent sur une forêt de plus de quatorze mille hectares. Une position qui reflète la décision du roi Charles V d’acquérir ces terrains à l’intérieur de la ville pour y construire un palais, presque achevé à sa mort en 1380.

Si le bâtiment de Charles V fut modifié au fil du temps, il garda un aspect médiéval jusqu’au XVIIe siècle. C’est à Louis XV, qui se passionna pour Compiègne, que l’on doit le palais actuel. La maison de ses ancêtres étant exigüe et démodée, il voulut une résidence à laquelle attacher son nom. Il demanda un « grand projet » à son premier architecte Ange-Jacques Gabriel qui en dessina les plans validés par le roi en 1751.

Devenu roi en 1774, Louis XVI commanda à son tour des travaux au successeur de Gabriel, Le Dreux de la Châtre, qui suivit les grands traits du projet de Gabriel, réalisant l’aile neuve donnant sur le parc, que Marie-Antoinette allait s’approprier, le péristyle, la salle des colonnes, la salle des gardes et d’importants aménagements intérieurs comme l’appartement du roi et celui de la reine. C’est sous son règne qu’une partie des décors intérieurs que nous connaissons furent réalisés.

Le palais des deux empereurs

De Napoléon Ier…

La Révolution amena la dispersion du mobilier en 1795 et seules quelques pièces ont pu revenir de nos jours. En 1799 un prytanée militaire fut installé au palais ; il est à l’origine de l’Ecole des Arts et Métiers (1803) qui s’installa à Châlon-sur-Marne en 1806. Il était nécessaire de rendre à cette résidence sa fonction originale. Aussi Napoléon Ier donna-t-il l’ordre, le 12 avril 1807 de remettre Compiègne en état. Immédiatement, de grands travaux intérieurs furent lancés, sous la conduite de l’architecte Louis-Martin Berthaut, qui venait de travailler pour Joséphine à la Malmaison. Ils se déroulèrent de 1808 à 1810 et entrainèrent une nouvelle distribution des espaces et surtout de nouveaux décors avec un mobilier qui nous est en partie parvenu. L’Empereur occupa l’ancien appartement du roi tandis que l’Impératrice fut logée à l’extrémité de la terrasse ; l’ancien appartement de la Reine devint un appartement destiné à un souverain étranger. L’essentiel des décors muraux est l’oeuvre des ateliers de Dubois et Redouté tandis que les meubles furent réalisés par Jacob-Desmalter et par Marcion. Il s’agit des appartements les plus complets du Premier Empire en France.

350px-Picardie_Compiègne3_tango7174… à Napoléon III

Le Second Empire est indissociable de Compiègne. Napoléon III apprécia particulièrement le palais, y organisant avec l’impératrice à l’automne les fameuses « séries » qui rassemblaient chaque semaine une centaine d’invités durant quatre à six semaines consécutives. Personnalités proches du pouvoir, souverains ou princes étrangers, diplomates, écrivains, artistes, scientifiques se retrouvaient dans la quasi intimité de la famille impériale. Chasses, excursions, jeux, concerts et pièces de théâtre occupaient les journées où l’on oubliait les contraintes de l’étiquette. Des aménagements furent alors effectués pour recevoir les invités et un important mobilier contemporain fut introduit. L’Empereur fit également construire la Galerie Neuve, dite Galerie Natoire, afin de pouvoir accéder directement au théâtre impérial, qu’il édifiait de l’autre côté de la rue d’Ulm, et qui resta inachevé en 1870.

A découvrir : http://www.oisetourisme.com/Decouvrez-l-Oise

 

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