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    La France, je l'aime corps et biens, en amoureux transi, en amant comblé. Je la parcours, je l'étreins, elle m'émerveille. C'est physique. Pour l'heure, c'est le plus beau pays du Monde, le plus gracieux, le plus spirituel, le plus agréable à vivre. En dépit de ses défauts, le peuple français a des réserves inépuisables de vigueur, d'astuce et de générosité. j'écris cela en toute connaissance de la déprime qui périodiquement enténèbre nos compatriotes. Ils ont une pente à l'autodénigrement, une autre au nihilisme. Je suis français au naturel et j'en tire autant de fierté que de volupté. J'ai pour ce vieux pays l'amour du preux pour sa gente dame, du soudard pour la servante d'auberge, de l'érudit pour ses grimoires, du paysan pour son enclos, du bourgeois pour ses rentes, du croyant des hautes époques pour les reliques de son saint patron... J'ai la France facile, comme d'autres ont le vin gai ; je l'ai au coeur et sous la semelle de mes godasses. Je suis français, ça n'a pas dépendu de moi et ça n'a jamais été un souci. Ni une obsession. Toujours un bonheur...

    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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LA MISE AU TRAVAIL DES ENFANTS

Posté par francesca7 le 7 novembre 2014

 

MidnightL’emploi des enfants a été conditionné par le mouvement lent, discontinu, inégal de l’industrie au cours du XIXe siècle

Deux caractères essentiels ont marqué ce processus d’industrialisation:

- d’une part, le maintien, jusqu’après 1850, des petites industries rurales, des métiers dispersés dans les campagnes, qui s’étaient multipliés en fonction des ressources naturelles de chaque région, pour répondre à une demande intensifiée des villes et à un besoin croissant de numéraire de la part des paysans. Ces industries concernaient des secteurs très variés, aussi bien le textile que le bâtiment ou l’industrie de l’habillement. L’outillage industriel était donc dispersé dans toutes les campagnes, cette dispersion contribuant à perpétuer un matériel et des méthodes de travail archaïques;

- d’autre part, la concentration des ouvriers dans certains domaines qui ont bénéficié d’une technicité plus complexe et des capitaux plus abondants: le textile, l’extraction du charbon, la sidérurgie, la chimie. Ce mouvement n’a pas transformé fondamentalement la carte industrielle de la France, et l’afflux des populations vers les centres urbains avait commencé antérieurement à la «Révolution industrielle».

Avec la dépression économique des années 1873-1896, l’abandon des campagnes s’est généralisé 3 et les villes s’accrurent d’une nouvelle population ouvrière en quête de travail.

Ainsi rencontrait-on, dans les villes, jusqu’ici souvent peu industrialisées, une population instable de femmes et d’enfants, sous-employés, ainsi que de saisonniers, formant, selon l’expression de Karl Marx, une «armée de réserve industrielle», qui rejoignait, dans les régions de grande concentration industrielle, l’armée des ouvriers arrivés au début du siècle.

Car, dans certains secteurs et dans quelques régions, l’industrie avait, dès le Premier Empire, attiré une population nouvelle, en offrant des emplois. La «Révolution industrielle» avait contribué à la création de manufactures importantes, qui utilisèrent la force mécanique des cours d’eau, puis la machine à vapeur pour mettre en action de nombreuses mécaniques. Il a fallu, très tôt, à ces entreprises, une main-d’oeuvre abondante et bon marché, pour un travail simple et répétitif.

Il importe de garder à l’esprit la complexité du développement industriel de la France au XIXe siècle, son caractère dualiste – coexistence d’un secteur traditionnel avec des industries modernes – afin de situer, dans ce cadre, l’emploi des enfants. Quoique les objets produits aient été presque identiques dans les fabriques et les ateliers, les conditions de l’emploi et les conditions de vie des ouvriers d’usine et des travailleurs à domicile ou dans de petits ateliers, furent très différentes: des ateliers vosgiens, picards ou bas-normands aux grandes manufactures de Mulhouse, Lille ou Rouen, on passait d’un monde à un autre. On allait du monde des ouvriers-paysans, travaillant sur des métiers manuels, conservant les méthodes de travail et de vie traditionnelles, au monde des usines modernes, anonymes, aux grandes cités populeuses, envahies par le prolétariat misérable des ouvriers «spécialisés» et des manoeuvres.

Les rapports de Villermé sont des pièces essentielles dans l’étude du travail des enfants au milieu du XIXe s.

document Isère à lire ici : http://www.icem-pedagogie-freinet.org/sites/default/files/172_Travail_Enfants.pdf

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