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    La France, je l'aime corps et biens, en amoureux transi, en amant comblé. Je la parcours, je l'étreins, elle m'émerveille. C'est physique. Pour l'heure, c'est le plus beau pays du Monde, le plus gracieux, le plus spirituel, le plus agréable à vivre. En dépit de ses défauts, le peuple français a des réserves inépuisables de vigueur, d'astuce et de générosité. j'écris cela en toute connaissance de la déprime qui périodiquement enténèbre nos compatriotes. Ils ont une pente à l'autodénigrement, une autre au nihilisme. Je suis français au naturel et j'en tire autant de fierté que de volupté. J'ai pour ce vieux pays l'amour du preux pour sa gente dame, du soudard pour la servante d'auberge, de l'érudit pour ses grimoires, du paysan pour son enclos, du bourgeois pour ses rentes, du croyant des hautes époques pour les reliques de son saint patron... J'ai la France facile, comme d'autres ont le vin gai ; je l'ai au coeur et sous la semelle de mes godasses. Je suis français, ça n'a pas dépendu de moi et ça n'a jamais été un souci. Ni une obsession. Toujours un bonheur...

    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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La confiscation des biens au moyen âge

Posté par francesca7 le 10 septembre 2014

 

inquisition-confiscationLes 13 et 20 avril 1233, le pape annonce à tous les prélats de France qu’il a choisi pour combattre l’hérésie, les Frères dominicains à qui il a conféré une autorité sans limite en dehors du pouvoir temporel.

Une peine fréquemment appliquée était celle du fouet. Elle l’était surtout aux femmes dans le but de les faire avouer, et elle prenait place alors dans le grand système des contraintes. Elle pouvait être aussi appliquée à titre de pénitence. Le coupable était fouetté publiquement les dimanches et jours de fête entre l’Epître et l’Évangile, après le prône ou le chant de l’Offertoire; il se présentait au célébrant, un cierge à la main, des verges dans l’autre. Il offrait le cierge, s’agenouillait et recevait le fouet.

Le pénitent devait prêter aide et assistance aux inquisiteurs, dans la répression de l’hérésie et la capture des hérétiques. Le loup était devenu un chien et, traité comme un chien, poursuivait les loups.

Les peines pécuniaires — amendes, confiscation — procuraient à l’Inquisition d’abondantes ressources, surtout les confiscations faites au profit du roi ou de l’Église, et dans ce dernier cas, au profit d’oeuvres pieuses, églises, couvents, hospices.

L’hérétique endurci ou le relaps, même s’il avait échappé au bûcher, et qu’il vécût emprisonné et pénitent, le « croyant » par exemple, perdait tout. De même, celui qui ne répondait pas à la citation de l’inquisiteur, contumace par conséquent.
Le condamné — même réconcilié avec l’Églïse — était frappé en vertu des bulles pontificales et notamment des dispositions de Grégoire IX, d’incapacité quant aux charges ecclésiastiques et civiles. Au Moyen Age, l’incapacité frappait même le descendant du condamné jusqu’à la deuxième génération en ligne paternelle et Jusqu’à la première seulement en ligne maternelle. Cependant, on verra des hérétiques devenir inquisiteurs. C’est qu’ils avaient donné des gages et continuaient d’en donner.

L’inquisiteur restait maître de remettre ou de commuer toute peine, même la peine capitale. Les remises absolues et perpétuelles n’avaient jamais lieu. La menace subsistait au-dessus de l’homme lâché à demi et comme tenu à la corde. En prison, il fallait rendre des services, dénoncer des évadés, servir de mouton. Moyennant quoi, il arrivait qu’on fût libéré. Mais l’insigne d’ignominie, le marteau, était toujours là, menaçant. Si l’inquisiteur pouvait n’en pas exiger le port, il pouvait, à tout instant, exiger de l’homme qu’il le prît ou le reprît pour sa honte.

L’erreur serait cependant de croire que tous ces juges ainsi pourvus d’une autorité quasi sans limite étaient impitoyables. Il arrivait que l’inquisiteur fût relativement indulgent, cela dépendant beaucoup du danger couru par l’Église. Selon Henri Charles Leu (Histoire de l’Inquisition au Moyen Agel, dans le registre de ses sentences, de 1246 à 1248, on ne trouve pas un seul cas d’un coupable. Il s’en tenait’ à la prison, perpétuelle ou non. Sans doute, l’époque du grand péril hérétique était passée. Il arrivait d’ailleurs que les fonctionnaires royaux ne tenaient pas compte de la sentence adoucie, et quand l’homme leur était « abandonné », le brûlaient pour aller au plus court. La vie humaine avait alors peu de prix.

En 1234, le jour de la canonisation de saint Dominique, un fait horrible se passe à Toulouse. L’évêque vient de célébrer la messe en l’honneur de cette canonisation; il va passer au réfectoire avec les frères. On lui dit qu’on se prépare à brûler, une vieille femme infirme, qui est au lit, avec la fièvre. L’évêque et le prieur, par scrupule, veulent se rendre compte par eux-mêmes de la chose. Ils vont chez l’infirme, s’approchent d’elle et l’interrogent. 

Celle-ci, prenant l’évêque orthodoxe pour celui des cathares, confesse sa foi. L’évêque se fait reconnaître pour ce qu’il est, orthodoxe et non cathare. La vieille infirme persévère. Ainsi convaincue d’hérésie, elle est livrée au vicaire du comte (bras séculier) qui la fait transporter sur l’heure au Pré-le-Comte où elle est brûlée dans son lit. Après cela, l’évêque, les frères et les inquisiteurs s’en vinrent au réfectoire et mangèrent avec joie ce qui était préparé, rendant grâces à Dieu et au bienheureux Dominique

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