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    La France, je l'aime corps et biens, en amoureux transi, en amant comblé. Je la parcours, je l'étreins, elle m'émerveille. C'est physique. Pour l'heure, c'est le plus beau pays du Monde, le plus gracieux, le plus spirituel, le plus agréable à vivre. En dépit de ses défauts, le peuple français a des réserves inépuisables de vigueur, d'astuce et de générosité. j'écris cela en toute connaissance de la déprime qui périodiquement enténèbre nos compatriotes. Ils ont une pente à l'autodénigrement, une autre au nihilisme. Je suis français au naturel et j'en tire autant de fierté que de volupté. J'ai pour ce vieux pays l'amour du preux pour sa gente dame, du soudard pour la servante d'auberge, de l'érudit pour ses grimoires, du paysan pour son enclos, du bourgeois pour ses rentes, du croyant des hautes époques pour les reliques de son saint patron... J'ai la France facile, comme d'autres ont le vin gai ; je l'ai au coeur et sous la semelle de mes godasses. Je suis français, ça n'a pas dépendu de moi et ça n'a jamais été un souci. Ni une obsession. Toujours un bonheur...

    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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  • > Archives pour le Mercredi 10 septembre 2014

Monde d’intrigues à Versailles

Posté par francesca7 le 10 septembre 2014

rites

Le fastueux François 1er avait succédé à l’économe Louis XII. Il lui fallait de l’or monnayé pour entretenir sa cour, construire Chambord et Fontainebleau, et mener sa coûteuse politique étrangère : aussi imagina-t-il de vendre les « offices », les fonctions, au plus offrant. Sous Henri II, son fils, le mouvement s’accentua. On vit bientôt la création des offices de « jurés-goûteurs de beurre salé » et de « contrôleurs du grenier à sel ». Peu à peu à la Cour, les rois conçurent ce procédé ingénieux et lucratif : leurs officiers serviraient par quartier, c’est-à-dire par trimestre, ce qui multiplierait les ventes de charges par quatre, opération fructueuse pour le Trésor, mais à la longue pesante pour le royaume.

Les menus officiers étaient donc innombrables ; jaloux de leurs charges et de leurs privilèges — ils avaient payé très cher l’honneur d’être là — ils ne levaient pas le petit doigt pour accomplir une tâche qui n’aurait pas été dans leurs attributions. Ce qui était vrai sous Louis XIV, s’avérait encore sous le règne de Louis XV, son arrière-petit-fils. Lorsque ce dernier reçut en 1757 le « coup de canif » de Damien, il y eut dispute entre la cuisine-bouche et l’apothicairerie pour savoir qui préparerait le bouillon pour le roi blessé ; chacun rejetait sur l’autre la responsabilité de le servir… et le « Bien-Aimé » se passa de bouillon !

La « mécanique royale » — le mot est de Saint-Simon — commençait à s’enclencher à huit heures et demie du matin, lorsque le valet de chambre en quartier éveillait le monarque. Les huissiers introduisaient alors les « petites entrées » pour le petit lever, les « grandes entrées » pour le grand lever. Le roi se lavait et s’habillait en public (les ablutions de Louis XIV étaient rapides).

Après la grand-messe chantée, le roi recevait un à un ses ministres, à moins qu’il ne tînt grand conseil. Le Roi-Soleil dînait (déjeunait) seul dans son antichambre ou dans sa chambre. Le cortège de la « viande du roi », salué par les roulements des tambours des cent-suisses, venait de ses cuisines personnelles situées au bout de l’aile du midi ; le puissant souverain, esclave de l’Etiquette qu’il avait instituée, mangeait le plus souvent froid. Louis XIV fit installer des « chauffoirs » sur sa table, puis il ordonna d’aménager des cuisines plus fonctionnelles près de sa salle à manger.

Il fallait l’intervention de quatre officiers pour servir à boire au souverain. Un échanson faisait l’« essay » avant qu’il ne but (l’officier absorbait quelques gouttes de vin pour s’assurer qu’il n’était pas empoisonné ; vieille précaution médiévale).

Après la chasse quotidienne et de nouvelles audiences, le roi, ayant soupé, ouvrait trois fois par semaine ses grands salons aux courtisans ; il donnait l’« appartement » (une réception). Puis il se couchait suivant des rites aussi compliqués que ceux qui avaient marqué le début de la matinée. Un vieux duc goutteux s’appuyait sur la balustrade qui, dans la chambre du monarque, séparait ce dernier du commun des mortels.

« Monsieur, lui dit l’huissier indigné, vous profanisez la chambre du roi ! – Monsieur, lui répondit plaisamment le grand seigneur, je préconerai votre exactitude ! » Certains très humbles serviteurs, côtoyant le roi chaque jour, étaient plus favorisés que d’autres. Louis XIV, qui ne passait jamais devant une femme de chambre sans toucher son chapeau, aimait à faire causer l’un de ses porteurs de chaise, dont il appréciait le langage imagé. Mais il se fâcha, lorsque le maladroit, soudoyé par un abbé, voulut solliciter une faveur pour l’ecclésiastique. Il ne lui pardonna qu’en lui faisant promettre de ne plus recommencer.

Que de fonctions pittoresques ne rencontrait-on pas à Versailles ! Le prince e Condé avait son « gouverneur des canaris », les rois de France avaient leur capitaine des levrettes, qui avait soin des bichons et des carlins pour lesquels le grand Roi avait une prédilection particulière.

fonctionsCes animaux familiers logeaient dans des niches tendues de velours dans le « cabinet aux chiens » proche de la chambre du roi. Louis XIV leur donnait lui-même du biscuit deux fois par jour. Le porte-arquebuse – c’était sous Louis XIV le sieur Antoine, un vieux serviteur — assistait le capitaine des levrettes et prodiguait lui aussi ses soins aux petits « chiens damerets ». Mais sa principale charge était d’entretenir les fusils du monarque ; Louis XIV excellait dans la chasse à tir.

Autres officiers indispensables, les porte-chaises d’affaires ; ils étaient chargés d’entretenir le petit endroit où le roi satisfaisait les besoins de la nature. Louis XVI en avait deux ; l’un exerçait, quand il n’était pas en charge, le métier d’apothicaire à Versailles, nous apprend le comte d’Hézecques. Beaucoup d’officiers, hors quartier, avaient une seconde profession.

Les Heiduques, valets costumés à la hongroise, appartenaient aussi au service de la chambre. Ils couraient devant le carrosse du roi pour l’annoncer. La chapelle, placée sous les ordres du grand aumônier était un service privilégié, c’était un grand honneur que d’y être choriste ou violon.’ Les sommeliers s’occupaient du vin de messe et de l’entretien des vases sacrés. Les ciergiers fournissaient les cierges comme leur nom l’indique. La « Bouche », divisé en panetteriebouche, gobelet-échansonnerie, cuisine, etc… comptait sous Louis XIV et Louis XV 400 officiers, tels les hâteurs de rôts, les coureurs de vin et les tournebrochiers. Mirabeau cite la plaisante anecdote du « commensal-crieur-juré-à-boire-au-roi ». A la veille de la Révolution, ce service, pourtant simplifié, engloutissait 2 900 000 livres annuels.

 

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crieurs de rues et mendiants

Posté par francesca7 le 10 septembre 2014

gastronomie-mendiants

Dès que les portes de la ville s’ouvrent, on entend dans les rues : Qui veut du bon lait ? », le cri de la laitière, portant son pot à lait sur la tête. 

Dès l’aube également, les bains publics fonctionnent, et des valets parcourent les rues pour en faire la réclame :
 » Allez tous, les bains sont chauds ! » Ces étuves médiévales ont d’ailleurs une double fonction, servant à ,la fois A l’hygiène publique ; (contrairement A une idée répandue, on se lave au Moyen Age) , et à la prostitution. 

On rencontre enfin le crieur de vin, métier spécifique à Paris. Régulièrement inscrit à la Municipalité, un crieur de vin a le droit de se présenter à un tavernier de son choix, qui lui donne un pichet de vin. Le pichet dans une main, un gobeà-let dans l’autre, il s’en va faire goûter ce vin, en précisant le prix et le nom de la taverne.

C’est dans l’après-midi que commence le colportage du poisson, des fruits et des légumes, car ces denrées doivent d’abord transiter par les halles, où les autorités en contrôlent la qualité et prélèvent les taxes. On reconnaît alors les cris des maraîchers venus de banlieue vanter les raves de La Courneuve ou les pêches de Corbeil.

La nuit met fin, bien sûr, aux cris de la rue, à l’exception d’un seul, étonnant et typiquement parisien : celui du marchand d’oublies. Cette pâtisserie légère se mange après le souper et, chaque soir, des oublieurs parcourent la ville, avec un panier d’osier et une lanterne en s’écriant :  » Oublie ! Oublie !  » Les Parisiens l’appellent depuis les fenêtres, et l’oublieur monte dans les maisons, où il joue ses gâteaux aux dés. S’il gagne, il les vend très cher ; s’il perd, il les offre. Dans tous les cas, il doit souhaiter la bonne nuit à ses clients, en leur chantant une chanson grivoise.

Paris abrite enfin une foule de mendiants et de quêteurs religieux tout aussi bruyants. Les antonins se re-connaissent au :  » N’y a-t-il rien pour les pourceaux de Saint-Antoine ? «  

Ce cri extraordinaire a une longue histoire. En 1131, dans une rue de Paris, le fils aîné de Louis VI le Gros tombe de cheval et se tue à cause d’un cochon. Une ordonnance royale interdit désormais de laisser divaguer les porcs dans la ville, mais le prieuré du Petit-Saint-Antoine obtient le privilège de continuer à y faire paître ses pourceaux. C’est en leur nom que les moines quêtent.

Les textes qui transcrivent les cris intègrent le boniment des marchands et nous donnent ainsi une idée du parler de la rue, de la gouaille parisienne. Cet humour prend mille visages, commencer par le plus simple calembour. Le marchand d’oublies crie qu’« il ne doit pas être oublié ». Le marchand d’amandes, parodiant les prédicateurs populaires, crie : « Amendez-vous ! Amendez-vous ! » et d’ajouter: « Amande douce, amande ! »

Et comme on aime la gauloiserie, on prête des vertus étonnantes A des produits de base : . Artichaut, artichaut/ C’est pour monsieur et pour madame/ Pour réchauffer le corps et l’âme/ Et pour avoir le cul plus chaud ! Ou encore : . Du doux, du doux pour les filles/ Pour les faire pisser roide /il guérit des hémorroïdes… 

Même la camomille, utilisée pour des huiles de bain, permet des astuces : . Camomille est fort honneste/ A mettre au bain de ses pucelles Pour leur laver le cul et teste/ C’est une herbe, la nonpareille ! 

Quant au ramoneur, son cri, en apparence innocent ( A ramo-ner vos cheminées !), a pris une connotation obscène, et il l’adresse surtout aux femmes…

 

 

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La confiscation des biens au moyen âge

Posté par francesca7 le 10 septembre 2014

 

inquisition-confiscationLes 13 et 20 avril 1233, le pape annonce à tous les prélats de France qu’il a choisi pour combattre l’hérésie, les Frères dominicains à qui il a conféré une autorité sans limite en dehors du pouvoir temporel.

Une peine fréquemment appliquée était celle du fouet. Elle l’était surtout aux femmes dans le but de les faire avouer, et elle prenait place alors dans le grand système des contraintes. Elle pouvait être aussi appliquée à titre de pénitence. Le coupable était fouetté publiquement les dimanches et jours de fête entre l’Epître et l’Évangile, après le prône ou le chant de l’Offertoire; il se présentait au célébrant, un cierge à la main, des verges dans l’autre. Il offrait le cierge, s’agenouillait et recevait le fouet.

Le pénitent devait prêter aide et assistance aux inquisiteurs, dans la répression de l’hérésie et la capture des hérétiques. Le loup était devenu un chien et, traité comme un chien, poursuivait les loups.

Les peines pécuniaires — amendes, confiscation — procuraient à l’Inquisition d’abondantes ressources, surtout les confiscations faites au profit du roi ou de l’Église, et dans ce dernier cas, au profit d’oeuvres pieuses, églises, couvents, hospices.

L’hérétique endurci ou le relaps, même s’il avait échappé au bûcher, et qu’il vécût emprisonné et pénitent, le « croyant » par exemple, perdait tout. De même, celui qui ne répondait pas à la citation de l’inquisiteur, contumace par conséquent.
Le condamné — même réconcilié avec l’Églïse — était frappé en vertu des bulles pontificales et notamment des dispositions de Grégoire IX, d’incapacité quant aux charges ecclésiastiques et civiles. Au Moyen Age, l’incapacité frappait même le descendant du condamné jusqu’à la deuxième génération en ligne paternelle et Jusqu’à la première seulement en ligne maternelle. Cependant, on verra des hérétiques devenir inquisiteurs. C’est qu’ils avaient donné des gages et continuaient d’en donner.

L’inquisiteur restait maître de remettre ou de commuer toute peine, même la peine capitale. Les remises absolues et perpétuelles n’avaient jamais lieu. La menace subsistait au-dessus de l’homme lâché à demi et comme tenu à la corde. En prison, il fallait rendre des services, dénoncer des évadés, servir de mouton. Moyennant quoi, il arrivait qu’on fût libéré. Mais l’insigne d’ignominie, le marteau, était toujours là, menaçant. Si l’inquisiteur pouvait n’en pas exiger le port, il pouvait, à tout instant, exiger de l’homme qu’il le prît ou le reprît pour sa honte.

L’erreur serait cependant de croire que tous ces juges ainsi pourvus d’une autorité quasi sans limite étaient impitoyables. Il arrivait que l’inquisiteur fût relativement indulgent, cela dépendant beaucoup du danger couru par l’Église. Selon Henri Charles Leu (Histoire de l’Inquisition au Moyen Agel, dans le registre de ses sentences, de 1246 à 1248, on ne trouve pas un seul cas d’un coupable. Il s’en tenait’ à la prison, perpétuelle ou non. Sans doute, l’époque du grand péril hérétique était passée. Il arrivait d’ailleurs que les fonctionnaires royaux ne tenaient pas compte de la sentence adoucie, et quand l’homme leur était « abandonné », le brûlaient pour aller au plus court. La vie humaine avait alors peu de prix.

En 1234, le jour de la canonisation de saint Dominique, un fait horrible se passe à Toulouse. L’évêque vient de célébrer la messe en l’honneur de cette canonisation; il va passer au réfectoire avec les frères. On lui dit qu’on se prépare à brûler, une vieille femme infirme, qui est au lit, avec la fièvre. L’évêque et le prieur, par scrupule, veulent se rendre compte par eux-mêmes de la chose. Ils vont chez l’infirme, s’approchent d’elle et l’interrogent. 

Celle-ci, prenant l’évêque orthodoxe pour celui des cathares, confesse sa foi. L’évêque se fait reconnaître pour ce qu’il est, orthodoxe et non cathare. La vieille infirme persévère. Ainsi convaincue d’hérésie, elle est livrée au vicaire du comte (bras séculier) qui la fait transporter sur l’heure au Pré-le-Comte où elle est brûlée dans son lit. Après cela, l’évêque, les frères et les inquisiteurs s’en vinrent au réfectoire et mangèrent avec joie ce qui était préparé, rendant grâces à Dieu et au bienheureux Dominique

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les Parisiens découvrent les bacs à sable

Posté par francesca7 le 10 septembre 2014

Il y a cent ans : les Parisiens découvrent les bacs à sable

Tous les week-ends, Le Figaro explore ses archives de l’année 1914. Le 4 juillet, le journal explique à ses lecteurs le principe et les vertus de cette nouvelle attraction pour les enfants.

Enclos de sable pour enfants

Article paru dans le Figaro du 4 juillet 1914.

Enfants

Nos édiles songent aux petits enfants qui jouent dans les squares et les promenades. Ils savent que de dix-huit mois à quatre ans, l’enfance ne recherche guère d’autres jeux que ceux dont le sable fait tous les frais. Ils ont lu cela dans une communication émanant d’un groupement, à la tête duquel est placé le docteur Lesage, médecin des hôpitaux.

M. Ambroise Rendu qui a promis son appui à ceux qui s’intéressent aux enfants, propose maintenant à ses collègues de doter les jardins, les promenades et les terrains libres de tas de sable propre et d’établir, à proximité de ce sable, des bancs assez bas pour que les bébés puissent s’asseoir ailleurs que sur le sol humide, ainsi que d’autres bancs plus grossiers et moins bas, destinés à recevoir les petits pâtés.

Les enfants et les sables seraient protégés au moyen d’un léger treillage, formant une sorte d’enclos.

Le sable aurait une teinte spéciale, de telle sorte qu’on ne pourrait le confondre avec le sable |de la voie publique.

Les enclos de sable projetés sans profondeur ne ressembleront donc pas aux sablières profondes qui existent déjà dans plusieurs promenades, notamment au Palais-Royal et au Jardin des Plantes.

Ces sablières ont servi d’expérience. On améliorera le système. Il est également question de construire de nombreux abris contre la pluie dans les principaux squares et jardins de Paris.

 

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