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    La France, je l'aime corps et biens, en amoureux transi, en amant comblé. Je la parcours, je l'étreins, elle m'émerveille. C'est physique. Pour l'heure, c'est le plus beau pays du Monde, le plus gracieux, le plus spirituel, le plus agréable à vivre. En dépit de ses défauts, le peuple français a des réserves inépuisables de vigueur, d'astuce et de générosité. j'écris cela en toute connaissance de la déprime qui périodiquement enténèbre nos compatriotes. Ils ont une pente à l'autodénigrement, une autre au nihilisme. Je suis français au naturel et j'en tire autant de fierté que de volupté. J'ai pour ce vieux pays l'amour du preux pour sa gente dame, du soudard pour la servante d'auberge, de l'érudit pour ses grimoires, du paysan pour son enclos, du bourgeois pour ses rentes, du croyant des hautes époques pour les reliques de son saint patron... J'ai la France facile, comme d'autres ont le vin gai ; je l'ai au coeur et sous la semelle de mes godasses. Je suis français, ça n'a pas dépendu de moi et ça n'a jamais été un souci. Ni une obsession. Toujours un bonheur...

    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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  • > Archives pour le Jeudi 28 août 2014

Cérémonie du Jura d’autrefois

Posté par francesca7 le 28 août 2014

 

 

téléchargement (12)Lorsqu’un garçon a formé le dessein de se marier, un de ses amis se charge des négociations préliminaires. Sous le nom burlesque de Trouille-Bondon, il se rend chez les parents de la fille, où, après avoir fait un éloge pompeux des qualités et de la fortune de son ami, il entend à son tour l’éloge des vertus et des agréments de la jeune personne. Si la démarche a paru présenter quelques chances de succès, les parents se parlent, se visitent, afin de vérifier la vérité des rapports qui ont eu lieu de part et d’autre, et la demande se fait alors solennellement.

Vers la fin du repas du soir, le jeune homme, placé à côté de la jeune fille, lui présente sur une assiette ou dans son verre, un rouleau de pièces d’or ou d’argent, suivant ses ressources pécuniaires. Si elle accepte, elle met les arrhes dans sa poche, telle est sa réponse ; dès cet instant, elle est fiancée, ou du moins elle ne peut plus rompre l’engagement qu’elle a contracté sans rendre le double de la somme reçue.

A la veille de la publications des bans, les futurs distribuent à leurs parents et à leurs amis des dragées ou des beignets. Cette coutume s’appelle donner les fiançailles. Le jour où le contrat est passé, ordinairement la veille de la célébration du mariage, la fiancée réunit chez elle plusieurs amies ; toutes se déguisent et se retirent dans une pièce écartée.

Le futur, ses frères, ses camarades, arrivent, et frappent à la porte de la maison en réclamant une brebis qui leur appartient. On refuse de leur ouvrir, ils insistent, se font introduire, cherchent partout, et renouvellent leur demande à la porte de la chambre où sont retirées les jeunes filles. Un homme enfin se présente aux jeunes gens, et leur affirme qu’aucune brebis étrangère ne s’est introduite dans son troupeau. Afin de prouver ce qu’il avance, il fait défiler, une à une, les jeunes filles devant le prétendu ; celui-ci les fait danser successivement, et s’il ne reconnaît point sa fiancée, il est l’objet des railleries de chacun.

On apporte la robe de noces ; un membre de l’assemblée adresse aux futurs époux une harangue où l’hymen n’est pas ménagé ; on offre à la prétendue un mauvais morceau de pain noir, et ensuite un gâteau et du vin, afin de lui faire comprendre que son nouvel état amène avec lui peines et plaisirs. Enfin l’heure du souper arrive, on se met à table ; les femmes n’y font qu’une courte apparition, mais les hommes y restent bravement la nuit entière à boire et à chanter.

Le lendemain le mariage se célèbre dans la paroisse de la fiancée, qui, la tête ornée d’une couronne de myrte fleuri, se laisse conduire, après quelque résistance, à l’église, au bruit des armes à feu et des instruments de musique. Le père, ou, à son défaut, le plus proche parent de la future, lui donne le bras, et ouvre le cortège ; le prétendu reste en arrière avec les vieillards.

Les amis intimes des deux jeunes gens, sous le nom de garçon franc et de fille franche, s’avancent au premier rang, et sont chargés de faire les honneurs de la noce. Avant d’étendre la chape sur les futurs, le prêtre bénit leur pièce d’or ou d’argent, et leur anneau. Au moment où le marié met le sien au doigt de sa femme, il s’établit une altercation plaisante. Si la jeune fille prétend à la domination dans le ménage, elle s’efforce de repousser au-delà de la seconde phalange la bague que le marié, préoccupé du soin de s’assurer l’empire, cherche à faire glisser le plus loin possible.

La cérémonie terminée, le père de l’époux ramène l’épouse au logis pendant que des cris, des coups de feu, et les sons de la musette, expriment de nouveau la joie du jour.

Lorsque les deux familles ne sont pas du même village, on charge sur des voitures attelées de bœufs couverts de rubans, le mobilier et le trousseau de la mariée. Les femmes s’y placent pêle-mêle avec les meubles, et filent au fuseau pendant la route. Le cortège s’ébranle ; mais si la nouvelle épouse excite des regrets, la jeunesse du pays retarde son départ en embarrassant le chemin qu’elle doit parcourir, et à la sortie du village lui offre un bouquet.

La maison du jeune homme est fermée ; le couple s’y présente, la mère du marié lui jette par les croisées plusieurs poignées de blé, fèves, pois, etc., symbole de la prospérité qu’on lui souhaite. Bientôt la porte s’ouvre, la mère s’avance sur le seuil, et présente à sa brue un verre de vin et un morceau de pain. La jeune femme partage ce présent avec son époux, car tout entre eux va devenir commun ; puis elle est introduite dans la maison. On lui fait subir quelques épreuves ; par exemple, on pose un balai par terre en travers de la porte ; si elle est soigneuse, propre, laborieuse, elle le ramasse, le range, ou, mieux encore, balaie la chambre en présence des spectateurs. On parcourt ensuite toute la maison, ou se remet à table ; le marié n’y prend images (21)point place, mais sert tout le monde ; les honneurs sont réservés pour sa femme.

A la fin du souper, les amis communs se masquent, viennent divertir l’assemblée, et faire leurs compliments au jeune couple. C’est ce qu’on appelle aller à la poule. Il est inutile d’ajouter que la danse est toujours un des divertissements dont on se lasse le moins à pareille fête.

(D’après « Le Magasin pittoresque », paru en 1833)

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Le Jura inattendu

Posté par francesca7 le 28 août 2014

 

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Le Jura est un département français dont le nom vient du massif montagneux du Jura. C’est un des quatre départements de la région de Franche-Comté. La Plaine jurassienne longe la Bourgogne à l’Ouest, et à l’Est les montagnes séparent le Jura de la Suisse. 

Si le Jura est une palette de paysages, c’est aussi un foisonnement d’activités touristiques. Vous apprendrez à mieux le connaître, à travers ses 14 grands sites incontournables, mais aussi, pour les plus curieux, en partant à la recherche de ses nombreux trésors cachés, qu’ils soient naturels, patrimoniaux, ou culturels. Laissez-vous transporter et vous verrez, la magie opère toujours !

VISITER LE JURA

Des traces de dinosaures de Loulle, aux musées d’art moderne de Dole, de la région des lacs, à la reculée de Baume-les-Messieurs, en passant par le Parc naturel régional du Haut-Jura, le Musée du Jouet, la Maison de la Vache qui rit©, la Grande Saline de Salins-les-Bains classée à l’UNESCO, ou encore le Musée de la Lunette… 

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Le Jura transmet son Histoire, ses valeurs et savoir-faire qui lui ont donné ses lettres de noblesse ! Un patrimoine porté aux yeux du monde par les enfants du pays, que ce soit Rouget de Lisle, Pasteur, Paul-Émile Victor, Marcel Aymé, ou encore Louis Vuitton… Leur vie s’inscrit pleinement dans le paysage jurassien, d’hier et d’aujourd’hui.

 

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Les Mystères du Jura

Posté par francesca7 le 28 août 2014

 

 

téléchargement (11)Après les « Mystères de Saône et Loire », c’est maintenant dans les épaisses forêts du Jura que nous conduit Alain Lequien, à la rencontre de la discrète organisation des Charbonniers, d’étonnantes sorcières et même de loups-garous. L’auteur nous révèle d’étranges histoires, dont certaines, plus contemporaines, mettent en scène des ovnis…

Une relation charnelle avec le diable

Sans émettre de jugement définitif sur les protagonistes et sur l’époque, Alain Lequien revient sur les procès en sorcellerie menés contre des femmes ayant eu de prétendues relations charnelles avec le diable. Excuse grotesque pour justifier l’adultère d’une femme tombée enceinte des œuvres d’un autre que son mari ? A l’époque en tous cas, les procès en sorcellerie examinent ces cas avec le plus grand sérieux, comme celui de Guillemette Joubart, exécutée pour avoir « connu charnellement le démon lorsque celui-ci le lui demanda », acceptant « la demande du démon de se débarrasser de son chapelet en le jetant dans une auge de pourceaux ». Quand on lui demanda si elle n’avait pas peur de devenir ainsi enceinte, elle répondit que « Dieu ne voulait pas le permettre », et raconta, comme d’autres, que « la semence était froide comme glace »…

Le Loup-Garou de Commenailles

Parmi les légendes présentées par Alain Lequien, certaines trouvent leur source dans la naïveté populaire. Ainsi Commemailles, au cœur de la forêt, était réputé pour être la terre de prédilection des loups-garous. Vers le milieu du XIXème siècle, un de ces loups-garous avait pris l’habitude de s’attaquer aux femmes qui traversaient la forêt pour se rendre au marché de Bletterans. C’était certainement un sorcier ou un suppôt de Satan, qui sous l’influence du diable, quittait son logis pour commettre ses méfaits. Il les attaquait, les dévalisait, puis s’enfuyait, ne prononçant aucune parole. Quand une femme était accompagnée, rien ne se produisait, comme si cette protection masculine suffisait à l’empêcher de commettre son forfait. Un jour, le maire décida d’organiser une battue avec les hommes du village. Pour surprendre le loup-garou, ils décidèrent de suivre à distance les femmes allant au marché. Tout à coup, ils entendirent des cris de frayeur. Se précipitant, ils le capturèrent. Bien vite, on s’aperçut qu’il s’agissait d’un homme des bois, bûcheron ou charbonnier, qui était masqué et recouvert d’une peau de bique. Il avoua qu’il avait trouvé ce moyen pour se ravitailler à peu de frais…

Les Charbonniers et les « rites forestiers »

L’auteur revient sur l’histoire de cette « fraternité » d’origine jurassienne, qui a traversé le dernier millénaire. Dès le XIIème siècle, la fabrication du charbon conduit à l’installation, dans la vaste forêt de Chaux, de communautés de 15 à 30 hommes vivant en autarcie : les Charbonniers. Le charbon est une marchandise précieuse vendue notamment aux seigneurs, une véritable « monnaie d’échange » à l’époque. Les Charbonniers forment une sorte de « fraternité du bois », de croyance christique, mais ne fréquentent pas les églises. Au début du XVIIème siècle, au moment de la « ruée vers l’or blanc » (le sel), ils vont se rapprocher des centres de transformation du sel et des hauts fourneaux. Alors, des personnes extérieures à leur corporation vont se rapprocher de ces fraternités du bois, attirées par leur démarche rituelle, leur état d’esprit, et un certain goût pour le secret de ces groupes…

Vers un rapprochement avec la Franc-Maçonnerie

Les Charbonniers connaissent leur apogée avant la Révolution française, et s’ils ont quitté leurs clairières pour « s’embourgeoiser » et se réunissent désormais dans des sortes de temples, ils n’ont cependant pas organisé leur fraternité comme une institution établie, à l’image de la Franc-Maçonnerie. Néanmoins les convergences grandissent, et certains, comme Lafayette, sont à la fois Charbonnier et Franc-Maçon. Les Charbonniers vont bientôt dépasser les frontières de la France, et initier en Italie la création des « Carbonari », mouvement politique pour l’indépendance italienne. A la Restauration, les Carbonari de France essaient en vain de renverser la monarchie. Finalement, avant même la naissance du Second Empire, Napoléon III dissoudra à la fois la fraternité des Charbonniers et les Carbonari. Nombre de Charbonniers rejoignent alors la Franc-Maçonnerie : les gens du bois rejoignent ceux de la pierre. Si les « rites forestiers » paraissent alors bien loin, les Charbonniers ont pu apporter à la Franc-Maçonnerie, outre de nouveaux effectifs, une ouverture enrichissante et la spécificité de leur vision christique.

Un OVNI près de Salins les Bains

images (20)Alain Lequien, dans cette enquête sur les mystères du Jura, nous livre également quelques évènements contemporains, dont ceux liés aux ovnis. Il s’appuie notamment sur les recherches du GEPAN (Groupe d’étude des phénomènes aérospatiaux non-identifiés), qui depuis 1977 répertorie nombre d’incidents, comme cette histoire arrivée en 2005 à ce couple, dans sa voiture, à Marnoz (Jura), en provenance de Salins les Bains : loin devant eux, nos témoins observent un objet qu’ils prennent d’abord pour un avion de ligne voulant atterrir (malgré l’absence d’aéroport à proximité). Deux feux clignotants sont visibles, celui de gauche étant rouge, celui de droite blanc. Le conducteur gare son véhicule quand l’objet passe à leur aplomb, légèrement sur la gauche. Ils constatent alors qu’il s’agit d’un simple tube (dont ils estimèrent la taille à environ 30 mètres de long sur 3 mètres de diamètre), sans aucune aile visible, avançant de travers et semblant se diriger vers le Mont Poupet, en ne faisant aucun bruit. Les témoins descendent de voiture pour continuer l’observation, quand ils aperçoivent, aux 2 extrémités, une lumière blanche « flashante »…


Alain Lequien, « Les Mystères du Jura », éditions De Borée.

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