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    « La restauration est une opération qui doit garder un caractère exceptionnel. Elle a pour but de conserver et de révéler les valeurs esthétiques et historiques du monument et se fonde sur le respect de la substance ancienne et de documents authentiques. Elle s’arrête là où commence l’hypothèse, sur le plan des reconstitutions conjecturales, tout travail de complément reconnu indispensable pour raisons esthétiques ou techniques relève de la composition architecturale et portera la marque de notre temps. » citation Charte de Venise, art. 9, ICOMOS, 196.

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    La France, je l'aime corps et biens, en amoureux transi, en amant comblé. Je la parcours, je l'étreins, elle m'émerveille. C'est physique. Pour l'heure, c'est le plus beau pays du Monde, le plus gracieux, le plus spirituel, le plus agréable à vivre. En dépit de ses défauts, le peuple français a des réserves inépuisables de vigueur, d'astuce et de générosité. j'écris cela en toute connaissance de la déprime qui périodiquement enténèbre nos compatriotes. Ils ont une pente à l'autodénigrement, une autre au nihilisme. Je suis français au naturel et j'en tire autant de fierté que de volupté. J'ai pour ce vieux pays l'amour du preux pour sa gente dame, du soudard pour la servante d'auberge, de l'érudit pour ses grimoires, du paysan pour son enclos, du bourgeois pour ses rentes, du croyant des hautes époques pour les reliques de son saint patron... J'ai la France facile, comme d'autres ont le vin gai ; je l'ai au coeur et sous la semelle de mes godasses. Je suis français, ça n'a pas dépendu de moi et ça n'a jamais été un souci. Ni une obsession. Toujours un bonheur...

    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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  • > Archives pour le Mardi 19 août 2014

Interlude de l’ORTF entre 1961 et 1974

Posté par francesca7 le 19 août 2014

Petit Train de la Mémoire (Le) :

 Image de prévisualisation YouTube

 

http://youtu.be/_uXWmkliLhA

C’est en 1960 que Maurice Brunot, qui concevait des jeux pour le magazine Pilote, est chargé par la Télévision Française de créer un interlude, transition entre deux programmes.

Faisant son apparition sur les écrans en 1961, le Petit Train Rébus est remplacé en 1963 et jusqu’en 1974 par le Petit Train de la Mémoire pour faire patienter les téléspectateurs lorsque surviennent des problèmes techniques ou lorsque les programmes sont en avance sur l’horaire prévu.

Sur une musique de Clyde Otis et Brook Benton, Endlessly, chaque wagon défile, présentant le fragment d’un rébus dont la solution est donnée en fin de diffusion.

 

images (5)Première diffusion du petit train rébus: 1960
Première diffusion du petit train de la mémoire: 1963
Chaîne de diffusion : ORTF

Le Petit Train Rébus servait d’interlude à l’heure où la publicité télévisuelle n’existait pas encore. Il était destiné à combler l’attente entre 2 programmes ou lors des pannes techniques. Il proposait aux téléspectateurs de reconstituer une phrase à l’aide d’un rébus dessiné sur ses wagons. 
——————-
La solution se trouvait sur un panneau à la gare d’arrivée du train. A partir de 1963, Le Petit Train Rébus est remplacé par le Petit Train de la mémoire, qui, fonctionnant sur le même principe proposait de trouver un objet, à l’aide d’un dessin fragmenté en plusieurs parties sur ses wagons. Les interludes disparaissent en 1974 entraînant par la même occasion la fin du voyage de ce petit train, laissant place à la publicité…

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Vos gueules les mouettes de Robert DHERY

Posté par francesca7 le 19 août 2014

 

Filmer le pays où l’on vit peut être fort tentant, surtout lorsqu’il s’agit d’un concours organisé par la télévision. Motivée, la famille Kenavec décide de réaliser “La Symphonie bretonne” et transmet son envie à tout le village de Saint-On qui se met alors sur le pied de guerre. Mais les nombreux problèmes des villageois créent un véritable imbroglio qui désaccorde quelque peu “La Symphonie bretonne”. Quand la télévision annonce l’ouverture d’un grand concours national de super-8, la famille Kenavec decide de filmer la vie de son village breton.

Vos gueules, les mouettes ! est une comédie française, réalisée par Robert Dhéry en 1974. C’est la dernière réalisation de Robert Dhéry, qui suite à des problèmes financiers survenus sur le tournage du Petit Baigneur, a dû attendre six ans avant de retourner au cinéma. On y retrouve la plupart des membres de la troupe des « Branquignols » : Robert Dhéry, Colette Brosset, Christian Duvaleix, Jacques Legras, Robert Rollis, Micheline Dax et Pierre Tornade

Image de prévisualisation YouTube

extrait : http://youtu.be/_t1RVIBSBDM

La famille Kenavec habite « Saint-On », tout petit port de Bretagne. Passionnés de photographie et des tournages cinéma, il apprennent que la télévision nationale ORTF organise un grand concours primé pour réaliser des films amateurs, dont le lot principal s’élève à 5000 Francs. Le film récompensé doit également être diffusé à l’antenne nationale. Ils décident alors de filmer le quotidien de leur « pays » et mettent toute la population à contribution, sous la houlette de Bibi…

film_vos_gueules_mouettesDistribution

  • Robert Dhéry : Benoît Kenavec
  • Colette Brosset : Annick
  • Pierre Mondy : Bibi Kenavec
  • Jacques Legras : Monsieur le Marlec / Le prêtre / Le trompettiste
  • Micheline Dax : Madame le Marlec
  • Christian Duvaleix : Maman Kenavec / Un marin / Le mendiant
  • Robert Rollis : Le cul-de-jatte
  • Robert Castel : Antoine, le patron de la « Crepe d’Alger »
  • Pierre Tornade : Le capitaine / Le musicien
  • Jacques Marin : Le porte-bannière
  • Jacques Rouland : Le présentateur TV
  • Pierre Olaf : Pierrot
  • François Nadal : Le capitaine du jumping
  • Jacques Duby : Le gardien de phare
  • Jacques Eyser : Le PDG de l’ORTF
  • Isabelle Duby : Anne
  • Fernand Berset : Le chauffeur

 

 

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L’AUBERGE ROUGE extrait

Posté par francesca7 le 19 août 2014

 

L’Auberge rouge est un film français réalisé par Claude Autant-Lara, sorti en 1951.

Image de prévisualisation YouTube

Extrait : http://youtu.be/A4ZxUezl0GQ

 

 Distribution

  • Fernandel : le moine
  • Françoise Rosay : Marie Martin, la femme de l’aubergiste
  • Julien Carette : Pierre Martin, l’aubergiste de Peyrabelle
  • Marie-Claire Olivia : Mathilde Martin, la fille des aubergistes
  • Jacques Charon : Rodolphe, un voyageur
  • Nane Germon : Mademoiselle Élisa
  • Andrée Vialla : la marquise Caroline de La Roche de Glun
  • Didier d’Yd : Jeannou, le moinillon
  • Lud Germain : Fétiche, le serviteur noir des aubergistes
  • Grégoire Aslan : Barbeuf, un voyageur
  • Jean-Roger Caussimon : Darwin, un voyageur
  • René Lefèvre-Bel : un gendarme
  • Manuel Gary : un gendarme
  • Robert Berri : le cocher de la diligence
  • André Cheff : un gendarme
  • André Dalibert : un bûcheron

téléchargement (4) 

 

En 1833, un groupe des voyageurs, venus en diligence, passe la nuit dans une auberge isolée au milieu des montagnes et tenue par un couple d’aubergistes, Pierre et Marie Martin. Arrive un moine jovial auquel la femme du propriétaire avoue que son mari, leur valet et elle-même ont l’habitude de droguer et d’assassiner leurs hôtes pour les détrousser, avant d’enterrer leurs corps dans le jardin. L’histoire se corse du fait que le moine essaie de sauver la vie des autres hôtes sans trahir le secret de la confession. 

téléchargement (5)« L’année suivante, en 1950, changement de cap. Le comte Czarnezci, riche marchand d’armes, qui pense pouvoir tirer profit du centenaire de la mort de Balzac, propose à Autant-Lara d’adapter L’Auberge rouge déjà porté à l’écran, au temps du muet, par Jean Epstein. Alors que le projet s’enlise pour des raisons financières, une nuit, le metteur en scène se réveille en sursaut et déclare à Ghislaine : « Gardons le titre et racontons une autre histoire…« . C’est ainsi qu’avec la complicité d’Aurenche et Bost, Autant-Lara détourne la commande, ne conservant du roman de Balzac que le titre et le décor, une auberge perdue en montagne, théâtre d’évènements sanglants et mystérieux. Le trio imagine un scénario original dont le personnage central, un moine capucin, lié par le secret de la confession, fait tout pour sauver de la mort de malheureux voyageurs, victimes désignés d’aubergistes diaboliques. Ce conte philosophique, joyeusement anticlérical, au cynisme jovial, pratique un humour macabre, plus courant chez les Anglo-saxons que dans l’Hexagone. Mal accueilli par la critique, L’Auberge rouge fut un succès populaire, à mon avis, tout à fait mérité.

Dans le rôle du capucin, Fernandel a traversé le film sans rien comprendre à l’esprit de l’entreprise. Les rapports entre la vedette et son metteur en scène furent exécrables. On dit même que le dernier jour de tournage, le dernier plan mis en boite, Fernandel, en guise de salut, adressât un superbe bras d’honneur à Autant-Lara. « Si ça, c’est du cinéma d’art, tiens…« . »

— Francis Girod, Discours prononcé lors de sa réception sous la Coupole en hommage à Claude Autant-Lara

Fernandel réalisa pendant le tournage que le film avait des aspects anticléricaux, ce qui contrevenait à ses convictions personnelles. Le tournage ne fut pas non plus facilité par la vision qu’avait Fernandel du film. À cette époque, l’acteur était déjà très célèbre et habitué à être le centre d’intérêt quasi exclusif des comédies légères auxquelles il participait en tant que vedette, et les réalisateurs de « l’Auberge rouge » durent ruser pour pouvoir monter leur film comme ils l’entendaient et non pas comme Fernandel se l’imaginait. À la fin du tournage, Fernandel promit de ne plus participer à un « film d’art. » Claude Autant-Lara raconta cette dernière anecdote en ajoutant estimer qu’il avait fait tourner à Fernandel un de ses meilleurs films.

Le décor fut entièrement reconstitué en studio, ainsi que les extérieurs en plans serrés. Les extérieurs en plans larges ont été tournés sur le mont Revard à proximité d’Aix-les-Bains en Savoie.

 

Autour du film

L'AUBERGE ROUGE extrait dans CINEMA FRANCAIS 220px-Les_crimes_de_Peyrebeille_-_Lithographie_de_1885_%28Fonds_Biblioth%C3%A8que_Municipale_de_Lyon%29Le film illustre ce fait divers réel qui se passa en Ardèche autour de 1830 : à quelques kilomètres du petit village de Lanarce dans un lieu-dit appelé Peyrebeille et pendant près de 23 ans, les époux Martin, famille d’aubergistes, auraient assassiné et pillé plus de 50 voyageurs, selon la rumeur publique. Leur cupidité supposée finit par attirer l’attention des gens du lieu et les conduit à leur perte, ils sont arrêtés et exécutés au terme d’un procès peu satisfaisant qui débute le 6 juin 1833. Les aubergistes Pierre Martin, son épouse et Jean Rochette durent répondre du chef d’assassinats, tentatives d’assassinats et vols. Le 25 juin 1833, le jury les déclare coupables de meurtre. Leur pourvoi en appel est rejeté par le roi Louis-Philippe qui leur refuse la grâce. Ils sont exécutés, sous les yeux d’une foule venue nombreuse sur le lieu des crimes, à Peyrebeille, le 2 octobre 1833.

Confusion à éviter : ce fait divers n’a aucun rapport avec le roman du même nom L’Auberge rouge d’Honoré de Balzac. Cependant, le projet original du film devait bien s’inspirer du roman de Balzac. Les fonds pour la production du film avaient été trouvés essentiellement grâce à cette inspiration qui tombait alors que se préparait en France la commémoration des 100 ans de la mort de l’écrivain. C’est seulement après avoir vendu son projet aux producteurs que Claude Autant-Lara réalisa que la reconstitution des décors et des scènes nécessaires au tournage du film ne pouvait pas rentrer dans le budget alloué par les producteurs. Claude-Autant Lara raconta que c’est sa femme qui lui avait inspiré l’idée de reprendre l’histoire de l’auberge de Peyrebeille. Cette histoire permettait de garder le titre du film.

Le nombre de victimes est actuellement contesté, certains historiens disent une seule, voire aucune.

Gérard Krawczyk en réalise un remake en 2007 : L’Auberge rouge

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