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    La France, je l'aime corps et biens, en amoureux transi, en amant comblé. Je la parcours, je l'étreins, elle m'émerveille. C'est physique. Pour l'heure, c'est le plus beau pays du Monde, le plus gracieux, le plus spirituel, le plus agréable à vivre. En dépit de ses défauts, le peuple français a des réserves inépuisables de vigueur, d'astuce et de générosité. j'écris cela en toute connaissance de la déprime qui périodiquement enténèbre nos compatriotes. Ils ont une pente à l'autodénigrement, une autre au nihilisme. Je suis français au naturel et j'en tire autant de fierté que de volupté. J'ai pour ce vieux pays l'amour du preux pour sa gente dame, du soudard pour la servante d'auberge, de l'érudit pour ses grimoires, du paysan pour son enclos, du bourgeois pour ses rentes, du croyant des hautes époques pour les reliques de son saint patron... J'ai la France facile, comme d'autres ont le vin gai ; je l'ai au coeur et sous la semelle de mes godasses. Je suis français, ça n'a pas dépendu de moi et ça n'a jamais été un souci. Ni une obsession. Toujours un bonheur...

    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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  • > Archives pour le Jeudi 5 juin 2014

J’en mettrais la main au feu

Posté par francesca7 le 5 juin 2014

 

 
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C’est une façon énergique d’affirmer qu’une chose est vraie ou sûre !

Cette manière d’affirmer qu’une chose dont on est sûr est exacte, provient de la protestation que font des innocents quand on les accuse.

Autrefois, dans les causes criminelles, les prévenus étaient soumis à certaines épreuves : le duel, l’eau ou l’huile bouillante, le feu auquel il fallait livrer la main. Les blessures, causées par une de ces épreuves, constataient la culpabilité. Cet usage a complètement disparu, mais l’affirmation en est restée.

On trouve dans une tragédie de Sophocle (l’Antigone vers 264) l’indication d’un pareil usage qui resta longtemps en vigueur dans le Moyen Age. Voici en quoi consistaient ces cruelles épreuves du feu :

« On obligeait les uns à porter, pendant l’espace de 9 à 12 pas, une barre de fer rouge pesant environ trois livres ou à marcher sur des charbons ardents. D’autres devaient revêtir leur main d’un gantelet sortant de la fournaise ou plonger la main dans un vase rempli d’eau ou d’huile bouillante pour en retirer un anneau qui se trouvait dans le fond. Ensuite, probablement pour faire montre d’humanité après avoir déployé la plus insigne cruauté, on enveloppait la main du supplicié avec un linge sur lequel les juges imposaient leurs sceaux. Trois jours après, on levait l’appareil et, si l’on ne voyait aucune marque de brûlure, (ce qui n’arrivait jamais après d’aussi terribles épreuves), on renvoyait l’accusé absous. »

De là, condamnation inévitable du malheureux sur lequel étaient conservées les traces des tortures.

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De mauvais corbeau mauvais œuf

Posté par francesca7 le 5 juin 2014

 

 
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Pour signifier des vices héréditaires

On donne pour fondement à ce proverbe une aventure plaisante de Corax le Syracusain. Cet homme, qui a été regardé comme l’inventeur de la rhétorique, parce qu’il fut le premier qui en traça par écrit certaines règles, avait mis à prix l’enseignement de son art qu’il faisait consister principalement dans l’emploi d’une argumentation captieuse et sophistique.

Un jeune Sicilien, nommé Tisias, se fit recevoir dans son école, jaloux d’étudier ces subtilités oratoires au développement desquelles il consacra, dans la suite, un ouvrage didactique plus étendu que celui de Corax. Il compta, en y entrant, une certaine somme, et promit d’en remettre une autre après avoir gagné la première affaire qu’il aurait à plaider. Cependant, lorsque ses études furent terminées, au lieu d’aviser aux moyens d’accomplir sa promesse, il affecta de ne se charger d’aucun procès.

Le maître, alors, pensant que la conduite de l’élève était un parti pris d’éluder le paiement, le cita en justice, et l’attaqua par ce dilemme où il avait ramassé toute la cause : « Jeune homme, tu n’es pas moins insensé qu’ingrat de vouloir retenir mon salaire, car tu ne saurais y réussir, soit que tu gagnes, soit que tu perdes : vainqueur, tu paieras en vertu de notre convention, et vaincu, tu paieras encore par arrêt du tribunal. »

Un pareil argument semblait sans réplique ; mais le rusé Tisias avait réponse à tout ; il le rétorqua de cette manière : « Sage maître, vous vous trompez. Il est évident que je ne serai obligé de payer dans aucun cas, puisque, si je perds, la dette n’existera point d’après notre accord, et, si je gagne, elle sera annulée par le jugement. » A ces mots, la foule des curieux, que la renommée des deux plaideurs avait attirés à l’audience, se récrièrent d’admiration, et les juges, n’osant pas résoudre une question qui leur présentait un véritable apore — l’apore, tiré d’un mot grec signifiant sans issue, est un problème regardé comme insoluble —, prononcèrent pour toute sentence, de mauvais corbeau, mauvais œuf, par allusion au nom de Corax qui, en grec, veut dire corbeau, peut-être aussi à celui de Tisias signifiant qui paieou qui punit.

Ces paroles passèrent, dit-on, en proverbe. Le proverbe était connu avant cette circonstance, et les juges n’en firent que l’application. Il doit son origine à une antique erreur populaire qu’Élien a prise pour une vérité. « Le corbeau, dit cet auteur, dans son Histoire des animaux, est dévoré par ses petits lorsque la vieillesse l’empêche de pourvoir à leur subsistance, et c’est à cause de cet acte de voracité qu’on a dit : De mauvais corbeau mauvais œuf, pour signifier des vices héréditaires. »

                                                                                                                                                                     

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Expression historiques de saint Louis

Posté par francesca7 le 5 juin 2014

 

 (D’après « Mots historiques du pays de France »)

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Le roi Louis IX, le saint, est demeuré, dans l’histoire, comme la personnification de la justice et de la bonté élevées à la perfection par la pratique des vertus religieuses. Il avait le don de sauvegarder la dignité de la majesté royale, même quand il se montrait le plus empressé pour les petits, ce qu’on appelait, à cette époque, « la menue gent ».

Quand il résidait au château de Vincennes, il avait l’habitude, après avoir entendu la messe, de sortir dans le bois, pour laisser venir à lui ceux qui avaient à lui parler. Il s’appuyait à un chêne, faisait asseoir sa suite autour de lui, et demandait lui-même à haute voix : Y a-t-il quelqu’un qui est ici partie ? (c’est-à-dire : procès, discussion.) Et il encourageait les plus humbles à lui conter leurs doléances, auxquelles il faisait droit, selon la justice. C’est ainsi qu’il habitua ses sujets, lorsqu’ils avaient à formuler des plaintes, à en « appeler au roi ». Cette habitude constitua l’une des prérogatives les plus populaires de ses successeurs.

Saint Louis était redevable à sa mère de la chrétienne et virile éducation qui guida sa vie entière. Blanche de Castille avait si grande conscience de sa responsabilité, qu’elle disait un soir à saint Louis : Mon fils, je préférerais vous voir mort qu’en état de péché mortel . Elle avait aussi développé chez lui la valeur guerrière, et jamais il ne voulut se mettre à l’abri du danger qu’il faisait courir aux autres : Jamais on ne combattra mes hommes , disait -il à quatorze ans, que mon corps ne soit avec eux .

Et, soit à Taillebourg, soit à Damiette, soit à la Mansourah, le roi fut toujours au poste le plus périlleux. Il organisa deux croisades dont la première se termina pour lui par une captivité de deux ans en Egypte. Sa grandeur d’âme força l’admiration des Sarrasins, qui dans leur prisonnier trouvaient toujours le courage et la majesté d’un roi. Ils le menacèrent souvent de la mort et furent surpris de son impassibilité. Un jour l’un des chefs entra dans sa prison et lui dit, la menace à la bouche : « Fais-moi chevalier, ou meurs ! — Fais-toi chrétien, je te ferai chevalier !  » repartit saint Louis.

C’est aussi pendant cette campagne que la reine Marguerite, suppliant un vieux chevalier, son garde du corps, de la tuer si elle venait à tomber aux mains des Sarrasins, reçut cette simple réponse : J’y songeais, Madame !

La seconde croisade de saint Louis finit encore plus tristement, au milieu des horreurs de la peste, sur les côtes de Tunis. Le roi succomba à la contagion, après avoir fait à son fils ses dernières recommandations et lui avoir répété : Soutiens la plainte du pauvre jusqu’à ce que la vérité soit déclarée .

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