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    « La restauration est une opération qui doit garder un caractère exceptionnel. Elle a pour but de conserver et de révéler les valeurs esthétiques et historiques du monument et se fonde sur le respect de la substance ancienne et de documents authentiques. Elle s’arrête là où commence l’hypothèse, sur le plan des reconstitutions conjecturales, tout travail de complément reconnu indispensable pour raisons esthétiques ou techniques relève de la composition architecturale et portera la marque de notre temps. » citation Charte de Venise, art. 9, ICOMOS, 196.

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    « Un monument restauré traduit les connaissances, les ambitions, les goûts, non seulement du maître d’oeuvre mais aussi du maître d’ouvrage : c’est le vrai révélateur de l’appréhension des édifices par une génération donnée, qui leur permet de reconnaître pour sien un édifice centenaire. » citation de Françoise Bercé.

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    Citation sur la France.
    !!!!
    La France, je l'aime corps et biens, en amoureux transi, en amant comblé. Je la parcours, je l'étreins, elle m'émerveille. C'est physique. Pour l'heure, c'est le plus beau pays du Monde, le plus gracieux, le plus spirituel, le plus agréable à vivre. En dépit de ses défauts, le peuple français a des réserves inépuisables de vigueur, d'astuce et de générosité. j'écris cela en toute connaissance de la déprime qui périodiquement enténèbre nos compatriotes. Ils ont une pente à l'autodénigrement, une autre au nihilisme. Je suis français au naturel et j'en tire autant de fierté que de volupté. J'ai pour ce vieux pays l'amour du preux pour sa gente dame, du soudard pour la servante d'auberge, de l'érudit pour ses grimoires, du paysan pour son enclos, du bourgeois pour ses rentes, du croyant des hautes époques pour les reliques de son saint patron... J'ai la France facile, comme d'autres ont le vin gai ; je l'ai au coeur et sous la semelle de mes godasses. Je suis français, ça n'a pas dépendu de moi et ça n'a jamais été un souci. Ni une obsession. Toujours un bonheur...

    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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  • > Archives pour le Vendredi 30 mai 2014

L’enfance de Gérard de Nerval

Posté par francesca7 le 30 mai 2014

 

Qu’ils étaient doux ces jours de mon enfance 
Où toujours gai, sans soucis, sans chagrin, 
je coulai ma douce existence, 
Sans songer au lendemain. 
Que me servait que tant de connaissances 
A mon esprit vinssent donner l’essor,
On n’a pas besoin des sciences,
Lorsque l’on vit dans l’âge d’or !
Mon coeur encore tendre et novice, 
Ne connaissait pas la noirceur,
De la vie en cueillant les fleurs,
Je n’en sentais pas les épines,
Et mes caresses enfantines 
Étaient pures et sans aigreurs.
Croyais-je, exempt de toute peine 
Que, dans notre vaste univers, 
Tous les maux sortis des enfers, 
Avaient établi leur domaine ? 

Nous sommes loin de l’heureux temps
Règne de Saturne et de Rhée,
Où les vertus, les fléaux des méchants,
Sur la terre étaient adorées, 
Car dans ces heureuses contrées 
Les hommes étaient des enfants.

 

220px-Félix_Nadar_1820-1910_portraits_Gérard_de_NervalGérard de NERVAL   (1808-1855)

Gérard de Nerval, pseudonyme de Gérard Labrunie, est un écrivain et un poète français, né le 22 mai 1808 à Paris, ville où il est mort le 26 janvier 1855. Il est essentiellement connu pour ses poèmes et ses nouvelles, notamment son ouvrage Les Filles du feu, recueil de nouvelles (la plus célèbre étant Sylvie) et de sonnets (Les Chimères) publié en 1854.

Le 26 janvier 1855, on le retrouva pendu aux barreaux d’une grille qui fermait un égout de la rue de la Vieille-Lanterne (voie aujourd’hui disparue, qui était parallèle au quai de Gesvres et aboutissait place du Châtelet, le lieu de son suicide se trouverait probablement à l’emplacement du théâtre de la Ville), pour « délier son âme dans la rue la plus noire qu’il pût trouver », selon la formule de Baudelaire. Ses amis émirent l’hypothèse d’un assassinat perpétré par des rôdeurs, au cours d’une de ses promenades habituelles dans des lieux mal famés, mais il s’est certainement suicidé. Toutefois le doute subsiste car il fut retrouvé avec son chapeau sur la tête alors qu’il aurait normalement dû tomber du fait de l’agitation provoquée par la strangulation.

On retrouva une lettre dans laquelle il demandait 300 francs, somme qui, selon lui, aurait suffi pour survivre durant l’hiver. La cérémonie funéraire eut lieu à la cathédrale Notre-Dame de Paris, cérémonie religieuse qui lui fut accordée malgré son suicide présumé du fait de son état mental. Théophile Gautier et Arsène Houssaye payèrent pour lui une concession au cimetière du Père-Lachaise.

 

 

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Mimi Pinson chanson d’Alfred

Posté par francesca7 le 30 mai 2014

 

Chanson                    téléchargement (1)

Mimi Pinson est une blonde,
Une blonde que l’on connaît.
Elle n’a qu’une robe au monde,
Landerirette !
Et qu’un bonnet.
Le Grand Turc en a davantage.
Dieu voulut de cette façon
La rendre sage.
On ne peut pas la mettre en gage,
La robe de Mimi Pinson.

Mimi Pinson porte une rose,
Une rose blanche au côté.
Cette fleur dans son coeur éclose,
Landerirette !
C’est la gaieté.
Quand un bon souper la réveille,
Elle fait sortir la chanson
De la bouteille.
Parfois il penche sur l’oreille,
Le bonnet de Mimi Pinson.

Elle a les yeux et la main prestes.
Les carabins, matin et soir,
Usent les manches de leurs vestes,
Landerirette !
A son comptoir.
Quoique sans maltraiter personne,
Mimi leur fait mieux la leçon
Qu’à la Sorbonne.
Il ne faut pas qu’on la chiffonne,
La robe de Mimi Pinson.

Mimi Pinson peut rester fille,
Si Dieu le veut, c’est dans son droit.
Elle aura toujours son aiguille,
Landerirette !
Au bout du doigt.
Pour entreprendre sa conquête,
Ce n’est pas tout qu’un beau garçon :
Faut être honnête ;
Car il n’est pas loin de sa tête,
Le bonnet de Mimi Pinson.

D’un gros bouquet de fleurs d’orange
Si l’amour veut la couronner,
Elle a quelque chose en échange,
Landerirette !
A lui donner.
Ce n’est pas, on se l’imagine,
Un manteau sur un écusson
Fourré d’hermine ;
C’est l’étui d’une perle fine,
La robe de Mimi Pinson.

Mimi n’a pas l’âme vulgaire,
Mais son coeur est républicain :
Aux trois jours elle a fait la guerre,
Landerirette !
En casaquin.
A défaut d’une hallebarde,
On l’a vue avec son poinçon
Monter la garde.
Heureux qui mettra sa cocarde
Au bonnet de Mimi Pinson !

 

220px-Alfred_de_mussetAlfred de MUSSET   (1810-1857)

Alfred de Musset est un poète et un dramaturge français de la période romantique, né le 11 décembre 1810 à Paris, ville où il est décédé le 2 mai 1857.

Lycéen brillant, Alfred de Musset abandonne vite ses études supérieures pour se consacrer à la littérature à partir de 1828-1829. Dès l’âge de 17 ans, il fréquente les poètes du Cénacle de Charles Nodier et publie en 1829, à 19 ans, Contes d’Espagne et d’Italie, son premier recueil poétique qui révèle son talent brillant. Il commence alors à mener une vie de « dandy débauché ». En décembre 1830, sa première comédie La Nuit Vénitienne est un échec accablant qui le fait renoncer à la scène pour longtemps. Il choisit dès lors de publier des pièces dans La Revue des Deux Mondes, avant de les regrouper en volume sous le titre explicite Un Spectacle dans un fauteuil. Il publie ainsi À quoi rêvent les jeunes filles ? en 1832, puis Les Caprices de Marianne en 1833. Il écrit ensuite en 1833 son chef-d’œuvre, le drame romantique, Lorenzaccio, publié en 1834 (la pièce ne sera représentée qu’en 1896) après sa liaison houleuse avec George Sand et donne la même année Fantasio et On ne badine pas avec l’amour. Il publie parallèlement des poèmes tourmentés comme la Nuit de mai et la Nuit de décembre en 1835, puis La Nuit d’août (1836) La Nuit d’octobre (1837), et un roman autobiographique La Confession d’un enfant du siècle en 1836.

Dépressif et alcoolique, au-delà de 30 ans, il écrit de moins en moins : on peut cependant relever les poèmes TristesseUne soirée perdue (1840), Souvenir en 1845 et diverses nouvelles (Histoire d’un merle blanc, 1842). Il reçoit la Légion d’honneur en 1845 et est élu à l’Académie française en 1852. Il écrit des pièces de commande pour Napoléon III. Sa santé se dégrade gravement avec son alcoolisme et Alfred de Musset meurt à 46 ans, le 2 mai 1857 : il est enterré dans la discrétion au Cimetière du Père-Lachaise, après des obsèques en l’église Saint-Roch. Ludovic Vitet, au nom de l’Académie française prononce l’éloge funèbre.

Redécouvert au xxe siècle, Alfred de Musset est désormais considéré comme un des grands écrivains romantiques français, dont le théâtre et la poésie lyrique montrent une sensibilité extrême, une interrogation sur la pureté et la débauche, une exaltation de l’amour et une expression sincère de la douleur. Sincérité qui renvoie à sa vie tumultueuse qu’illustre emblématiquement sa relation avec George Sand.

En 1999, la liaison entre Alfred de Musset et George Sand a fait l’objet d’une adaptation cinématographique de Diane Kurys, Les Enfants du Siècle.

Les œuvres de Musset ont fait l’objet de plusieurs adaptations cinématographiques :

  • Il ne faut jurer de rien !, réalisé par Éric Civanyan, sorti en 2005
  • Confession d’un enfant du siècle, réalisé par Sylvie Verheyde, sorti en 2012

 

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Mouton-Rothschild grand nom

Posté par francesca7 le 30 mai 2014

 

téléchargementPropriétaire : Philippine de Rothschild. Un nom et peut-être plus encore un prénom. Philippine, c’est du tempérament, un caractère bien trempé comme l’était celui de son père Philippe, qui, le premier, imposa la mise en bouteille au château en 1926. Jusque-là, c’était au négociant qu’échoyait ce rôle et les dégustateurs de l’époque comparaient telle mise à une autre, élevage soigné ou pas, avec ajout parfois d’autres vins en provenance de la vallée du Rhône nord ou d’ailleurs quand le millésime était déficient. Ce Brane-Mouton, comme il s’appelait autrefois, relève davantage d’un tumultueux bélier que d’un gentil ovidé juste bon à la tonte. Bien géré mais de loin par quelques générations de Rothschild, il prend sa véritable identité en 1922 avec l’arrivée de ce jeune homme fougueux âgé de 20 ans, Philippe de Rothschild. En 1945, il crée la fameuse étiquette avec le V de la victoire illustré par Philippe Jullian. Depuis, chaque année, un nouveau peintre réalise la nouvelle étiquette du millésime. En 1973, il obtient l’impensable : la révision du classement de 1855 et l’accession au rang de premier cru classé de Mouton.

Ambassadrice infatigable de son domaine, Philippine a poursuivi l’oeuvre du baron. Avec le recrutement de Philippe Dhalluin comme directeur technique, Mouton a franchi un nouveau pas qualitatif. Davantage de pureté et de définition, plus de réussite dans les millésimes moyens. Surtout, une sélection beaucoup plus sévère qu’autrefois. Mouton a réduit sa production de moitié ou presque. La création de Petit-Mouton, le second vin, a contribué à cette hypersélection. Puis chaque cuve abrite désormais des parcelles bien précises qui sont écoulées « quand chacune semble à son optimum », dit Philippe Dhalluin. 

Le nouveau chai, prévu, discuté, minutieusement étudié car sa réalisation nécessitait la démolition d’une bonne part des bâtiments actuels, a été inauguré en juin dernier lors de Vinexpo. Il apporte encore plus de précision sans gommer toutefois ce qui a donné sa célébrité à Mouton : son nez. Ah, le nez de Mouton, comme celui de Cléopâtre, a beaucoup occupé les esprits ! Certaines années, les plus réussies en général, il développe des arômes de café, de moka, qui ne sont pas sans rappeler les odeurs que peuvent apporter les élevages en barriques fortement chauffées. Le nez de Mouton, disaient certains, c’est de la triche, de l’artifice, quelque chose que l’on rajoute et qui n’est pas inhérent au vin. La vérité est à mi-chemin : « Ce sont des parcelles dans le coeur historique du vignoble qui développent ça. On le trouve aussi sur une parcelle d’Armailhac, sans que l’on puisse trouver une explication technique. Cela se sent dès la vinification ! » commente Dhalluin. Mais, autrefois, les anciens maîtres de chai avaient repéré que cette nuance était présente sur les bons millésimes. Alors, pour forcer le destin, ils n’hésitaient pas à utiliser des barriques bien chauffées, toastées, qui, au moins sur les vins jeunes, donnaient l’illusion du moka en conférant au vin la petite touche café… Mouton, particulièrement réussi en 2012, a également à son palmarès un monument : le 2006, composé à 87 % de cabernet-sauvignon et à 13 % de merlot. « Nous n’avons pas utilisé les cabernets francs. Ils avaient beaucoup de fruit, mais ils conféraient au grand vin comme un petit creux en bouche », commente Philippe Dhalluin. L’équipe technique a choisi de procéder à des extractions et à des macérations assez courtes. « Nous savions que les tanins étaient présents et se libéraient facilement dans le vin. Simplement, il fallait les gainer, leur donner de la chair, sinon ça pouvait ressembler aux vins de 1994 ou de 1996, un peu sévères », complète le responsable technique, Éric Tourbier. Autre belle réussite récente, le 2008, d’une parfaite élégance, et le solaire 2009, qui, en vieillissant, perd un peu de son exubérance au profit d’une assise solide et raffinée. 

 

article LePoint.fr 

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