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    La France, je l'aime corps et biens, en amoureux transi, en amant comblé. Je la parcours, je l'étreins, elle m'émerveille. C'est physique. Pour l'heure, c'est le plus beau pays du Monde, le plus gracieux, le plus spirituel, le plus agréable à vivre. En dépit de ses défauts, le peuple français a des réserves inépuisables de vigueur, d'astuce et de générosité. j'écris cela en toute connaissance de la déprime qui périodiquement enténèbre nos compatriotes. Ils ont une pente à l'autodénigrement, une autre au nihilisme. Je suis français au naturel et j'en tire autant de fierté que de volupté. J'ai pour ce vieux pays l'amour du preux pour sa gente dame, du soudard pour la servante d'auberge, de l'érudit pour ses grimoires, du paysan pour son enclos, du bourgeois pour ses rentes, du croyant des hautes époques pour les reliques de son saint patron... J'ai la France facile, comme d'autres ont le vin gai ; je l'ai au coeur et sous la semelle de mes godasses. Je suis français, ça n'a pas dépendu de moi et ça n'a jamais été un souci. Ni une obsession. Toujours un bonheur...

    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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  • > Archives pour le Mardi 20 mai 2014

Jeter son froc aux orties

Posté par francesca7 le 20 mai 2014

 

 

 
 
images (8)Ces mots s’emploient, par extension, pour désigner l’acte de toute personne qui, par inconstance ou par découragement, renonce à exercer une profession ou à terminer ce qui était commencé

Dans le sens propre, c’est se dépouiller de la robe ecclésiastique pour prendre le costume civil, c’est-à-dire quitter l’église pour reprendre un rang dans le commerce du monde. Avant d’employer le mot froc, on appelait floc une houppe placée au capuchon du manteau des gens d’église. En dernier lieu, froc a servi à désigner la partie de l’habit monacal qui couvre la tête et tombe sur l’estomac et sur les épaules ; ce n’est que, par extension, que l’on a appliqué ce mot au vêtement tout entier.

Ainsi donc, prendre le froc, c’est se faire religieux ; porter le froc, c’est être moine et quitter le froc ou jeter le froc, c’est sortir du ministère de sa propre volonté ou malgré ses supérieurs. Quant au mot orties qui complète cette phrase, il a dû y être ajouté pour donner à entendre que le moine qui quittait le froc le faisait avec un tel empressement qu’il laissait accrocher et déchirer son vêtement aux orties qui bordaient les haies des champs et les murs des maisons et qu’il semblait ainsi se débarrasser de son froc en s’enfuyant.

Les exemples de l’emploi du mot froc ne manquent pas. On le rencontre d’abord chez un auteur du XVIe siècle, Régnier (1573-1613) qui l’a mis dans ce vers de sa satire 2 : « Il n’est moine si saint qui n’en quitta le froc », et dans un autre de la satire 9 : « L’on se couvre d’un froc pour tromper un jaloux. »

Notre grand Boileau (1636-1711) l’a intercalé dans ces vers :

L’ambition partout chassa l’humilité
Dans la crasse du froc logea la vanité.

et dans la satire 8, nous retrouvons ces autres vers à l’adresse d’un homme versatile et changeant volontiers d’état ou de parti :

Il tourne au moindre vent, il tombe au moindre choc,
Aujourd’hui dans un casque et demain dans un froc.

On peut encore citer les deux vers de Gresset, poète du XVIIIe siècle (1709-1777) qui, après avoir débuté dans l’état ecclésiastique, le quitta en 1735, et nous laissa ses réflexions à ce sujet sous la forme poétique :

Je laisse au froc la vertu trop fardée,
Qu’un plaisir fin n’a jamais déridée.

Si, quittant les poètes, nous voulons rechercher l’emploi de ce mot froc parmi les prosateurs, nous trouvons chez Madame de Sévigné (XVIIe siècle) cette phrase : « J’espère bien jeter un peu cet hiver le froc aux orties dans notre jolie auberge. » Puis, nous voyons dans Lesage (1668-1747) les lignes suivantes : « Je vous dirai que j’ai le dessein d’en faire un moine ; je le crois né pour le froc. » Ailleurs, il se sert encore de cette expression : « Il ne me croyait pas homme à pousser la dévotion jusqu’à vouloir prendre le froc. »

Citons encore pour terminer ces deux exemples ; le premier, emprunté à Grimm, l’un des plus célèbres critiques du XVIIIe siècle et auteur de contes très appréciés, voici la phrase : « M. de Mirabeau ne voit dans un moine qu’un homme qui vit de cinq sous par jour et voilà ce qui concilie son estime pour le froc. » Sainte-Beuve, un auteur contemporain, écrivait ceci sur Rabelais qui avait, comme Gresset, tâté de l’état ecclésiastique : « Rabelais quitta l’habit régulier, c’est-à-dire monacal, pour prendre l’habit de prêtre séculier ; il jeta, comme on dit, le froc aux orties et alla à Montpellier pour étudier la médecine. »

De toutes ces citations, prises un peu partout, il faut remarquer que le mot froc était du XVeau XVIIIe siècle d’un usage très fréquent, mais que, s’il n’est plus employé de nos jours, il a servi au moins à former deux mots dont l’un, aujourd’hui démodé, frocaille, désignant les gens de froc, a été employé par Piron, poète du XVIIIe siècle dans les vers suivants :

Tremblez, méchants ! la frocaille en tumulte
Passait déjà de l’espoir à l’insulte !

L’autre mot formé du mot froc est le mot défroque d’un emploi un peu vulgaire, il est vrai, mais que l’usage a consacré définitivement pour désigner de vieux habits, tout râpés et rapiécés. On emploie toujours cette expression avec une idée de mépris.

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Bonjour lunettes, adieu fillettes

Posté par francesca7 le 20 mai 2014

 

 
 
images (7)Il faut cesser de prétendre aux faveurs des jeunes filles, quand on commence à prendre les lunettes

On dit aussi : Les lunettes sont des quittances d’amour. Le conseil que donnent ces deux proverbes était juste et convenable autrefois où la chose n’arrivait guère qu’à un âge avancé ; il l’est beaucoup moins aujourd’hui qu’elle a lieu à une époque de la vie où l’on a le cœur en meilleur état que les yeux.

Ils font allusion aux vieux barbons qui, possédés de la manie de se poser en verts galants, reluquent sans cesse avec des lorgnons ou des binocles toutes les jouvencelles à qui ils savent si bien faire tourner la tête… de l’autre côté. On sent que l’application en serait déplacée à l’égard des jeunes gens pour qui les lunettes sont des objets de nécessité ou des objets de mode.

Ajoutons que la mode des lunettes fut très répandue en Espagne, au commencement du XVIIe siècle, sous le règne de Philippe III. Elles faisaient partie du costume des gens comme il faut qui croyaient, par cette nouvelle espèce d’insignes, se donner plus de gravité et obtenir plus de considération. Elles étaient proportionnées au rang des personnes. Les grands du pays en mettaient de magnifiques dont les verres présentaient une circonférence double de celle des piastres fortes, et ils y tenaient tant, dit-on, qu’ils ne les quittaient pas même pour se coucher.

Les dames, à leur tour, les avaient adoptées, parce que ce complément de leur parure signalait aussi la noblesse de leur condition, et surtout parce qu’il leur procurait une foule d’avantages qu’il serait trop long de spécifier ; bornons-nous à dire que quelques-unes les portaient afin de passer pour lettrées ou savantes (c’étaient les précieuses du temps), et presque toutes afin d’empêcher les curieux indiscrets de chercher à lire dans leurs yeux les sentiments dont elles étaient affectées. Il n’y en avait point de jeunes et jolies qui ne fussent dans cette catégorie.

On peut supposer que les diverses espèces de lunettes avaient des noms correspondant à leurs divers emplois. Un poète gongoriste — le gongorisme, qui tient son nom de l’Espagnol Góngora, est un style littéraire qui se caractérise par une certaine préciosité et l’abus de métaphores — appelait celles qui cachaient de beaux yeux, les couvre-feu de l’amour.

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Les incontournables visites Auxois et Morvan

Posté par francesca7 le 20 mai 2014

C’est la Bourgogne telle qu’on l’imagine avec de vertes vallées, de solides fermes, des châteaux, des églises et de jolis bourgs. Naviguez de bief en bief sur le canal de Bourgogne, visitez le musée François Pompon à Saulieu et admirez l’abbaye de Fontenay, une des plus belles abbayes cisterciennes, inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO, et bien sûr le MuséoParc Alésia qui vient d’ouvrir ses portes à Alise-Sainte-Reine.

 Abbaye de Fontenay

images (5)Commune de Marmagne Fondée en 1118 par saint Bernard, l’Abbaye de Fontenay est l’un des plus anciens monastères cisterciens d’Europe. L’architecture romane confère une homogénéité remarquable à l’ensemble des bâtiments du XIIe siècle, restés intacts après avoir traversé plus de huit siècles d’histoire. Le visiteur découvre successivement l’église, le cloître, le dortoir des moines, la salle du chapitre, le scriptorium et la grande forge. Après la visite du monastère, les amateurs de jardins peuvent déambuler librement dans le parc de deux hectares et admirer le nouveau jardin paysager aux nombreuses variétés de plantes et d’arbustes. De nos jours propriété privée, l’Abbaye de Fontenay a été l’un des premiers sites français à être inscrit sur la liste du Patrimoine Mondial de l’UNESCO, en 1981.

 Ouvert tlj : du 01/01 au 30/03 de 10h à 12h et de 14h à 17h,du 31/03 au 11/11 de 10h à 18h et du 12/11 au 31/12 de 10h à 12h et de 14h à 17h. A : 9,50 e (visite libre), 11,50 e ( visite guidée). Jeunes : 5.50 e (visite libre), 6.50 e (visite guidée) Tél. 03 80 92 15 00

 

Montbard

La cité qui vit naître le naturaliste Georges-Louis Leclerc, Comte de Buffon, s’étage sur une colline dominée par un vaste parc entourant les vestiges du château des ducs de Bourgogne. Le site-musée- Buffon comprend également le musée des beaux-arts ainsi que l’ancienne orangerie (musée Buffon).Montbard a obtenu sa 3ème fleur grâce à des massifs gais et colorés. Le TGV qui s’arrête dans cette ville a fortement influencé les aménagements paysagers de la commune : une gare qui est un exemple d’aménagement et un surprenant massif arbustif avec le célèbre train en « trompe-l’oeil ».

 Saulieu

Ancien relais sur la voie romaine d’Autun à Auxerre, la ville médiévale où prospéraient auberges et tavernes a gardé cette vocation d’étape astronomique appréciée déjà par madame de Sévigné et Napoléon. Outre quelques tables de renommée internationale, on y découvre une Tour vestige des fortifications du XIVe siècle. En flânant dans les rues, on passe devant la maison natale de François Pompon à qui l’on doit le célèbre Taureau de bronze installé en bordure de la départementale 906 et un moulage du fameux ours qui se trouve dans le square Alexandre Dumaine. Sur la place pavée où trône une fontaine du XVIIIe siècle vous visiterez la plus renommée des églises romanes de Côte-d’Or, la basilique Saint-Andoche. Porte du Parc naturel régional du Morvan, Saulieu est la capitale du sapin de Noël et le lieu dans lequel chaque année au mois d’août le roi  »charolais » est à l’honneur. On découvre à Saulieu, en flânant dans les rues, des aménagements fleuris gais et colorés.

 Parcours Pompon : circuit piétonnier pour découvrir le patrimoine culturel et touristique de la ville. Suivez les ours blancs !

 Semur-en-Auxois

Au détour d’un méandre de l’Armançon, la ville médiévale aux toits roux se dresse sur un promontoire de granit rose. Les portes Sauvigny et Guillier une fois franchies, on découvre le charme  des ruelles pavées bordées de maisons à colombages, l’élégance de la collégiale gothique, la puissance du donjon et des remparts qui escaladent la roche et la pittoresque rue Chaude. Le lavoir du quai Baudon vient de faire l’objet d’une restauration et est illuminé la nuit. A noter également un bateau-lavoir, dernier témoignage de ce petit patrimoine en Bourgogne, le chemin des Foulons. En juillet et août, l’office de images (6)tourisme propose des balades à pied et des balades nocturnes. Cette jolie cité médiévale a su marier les fleurs avec un patrimoine architectural d’exception.

 

Alise-Sainte-Reine

Site des vestiges de la ville gallo-romaine d’Alésia 

Vestiges de la ville gallo-romaine,  avec des colonnades, un théâtre, des temples et un forum. Les maisons côtoient les ateliers de forgerons et de bronziers, témoignant  de l’activité des Mandubiens qui occupèrent le site du Ier s. av. J.-C. au IVe s. après J.-C. Nombreuses animations toute l’année : visites guidées thématiques, ateliers enfants, visites des sept erreurs, week-ends événements, journées et parcours découvertes, lecture d’extraits de carnets de fouilles, visites-lectures et dégustations… 

Ouvert du 01/02 au 31/03 de 10h à 17h, du 01/04 au 30/06 de 9h à 18h, du 01/07 au 31/08 de 9h à 19h, du 01/09 au 30/09 de 9h à 18h et du  01/10 au 30/11 de 10h à 17h. Gratuit. (Pour les enfants de moins de 7 ans)A : 3.20 e. E (de 7 à 16 ans) : 2 e. Tél. 03 80 96 96 23

 

Patrimoine historique de l’Hôpital Sainte Reyne

26, rue de l’Hôpital -  Fondé en 1659 pour héberger les pèlerins malades venus solliciter une guérison auprès de la source miraculeuse jaillie à l’endroit du martyre de sainte Reyne, l’hôpital Sainte Reyne révèle une grande richesse patrimoniale : La Chapelle du XVIIe s., avec ses 13 tableaux datés de 1621 retraçant  la vie et le martyre de Reine. L’Apothicairerie du XVIIIe s., avec ses boiseries à galeries superbement

conservées, abrite une collection de faïences classées des XVIIe et XVIIIe s. et des flacons contenant encore les produits de l’ancienne pharmacopée. 

Ouvert du 16/07 au 26/08 tlj  sauf le samedi, du 27/08 au 16/09 tous les dim., accueil à 15h et à 16h30. Le reste de l’année sur rendez-vous. A : 5 e. E (moins de 12 ans) : Gratuit. Etudiants : 3 e et moins de 18 ans : 3 e. Tél. 06 86 93 50 73

 

Arnay-le-Duc

Cette ville fleurie a gardé de belles  maisons anciennes dont la maison Bourgogne du XVIe s. L’église Saint-Laurent comporte dix chapelles.

 

Maison Régionale des Arts de la Table

téléchargement (4)15, rue Saint-Jacques Installée dans l’ancien hospice Saint-Pierre du XVIIe s., elle se consacre à des expositions liées à la gourmandise, à  l’alimentation et à la table en général. L’ancienne cuisine qui a conservé un buffet dressoir Louis XV présente une collection d’étains et de faïences, parmi lesquelles deux plats Bernard Palissy. Autour des oeuvres et de la collection de Christine Viennet, artiste du Sud-Ouest  internationalement reconnue pour ses créations palissystes l’histoire de Bernard Palissy vous sera contée. A cette collection lançant un superbe hymne à la nature viendront s’ajouter des barbotines, des majoliques des siècles les plus reculés à nos jours. 

Ouvert du 07/04 au 11/11 tlj de 10h à 12h et de 14h à 18h. A : 5.50 e. E (jusqu’à 8 ans) : Gratuit. Jeunes (de 8 à 14 ans) : 4.50 e. Tél. 03 80 90 11 59

 

Tour de la Motte Forte

Rue de la Motte Forte  – XVIe s. Cette grosse tour ronde et crénelée est le seul vestige de l’ancien château fort de la Motte Forte. Possibilité de monter au 4ème étage duquel on embrasse une magnifique vue des toits d’Arnay- le-Duc et des environs. Sont organisées de juin à septembre des expositions artistiques. Accès libre. Ouvert de juin à mi-sept. Du mer. au dim. de 14h30 à 18h30. Gratuit. Tél. 03 80 90 07 55

 

Château des Princes de Condé

Rue du Château – Tourelles d’angle, fenêtres à croisillons, et la tour de la Lanterne dite Tour Marguerite. Tél. 03 80 90 07 55

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