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  • > Archives pour le Samedi 10 mai 2014

Pourquoi parle-t-on des cloches de Pâques ?

Posté par francesca7 le 10 mai 2014

 

 

180px-Bourdon-notre-dame-paris-tour-sudPar le père Jacques Fournier

 

Le Jeudi-Saint au terme de la liturgie eucharistique, le célébrant porte au « reposoir » les pains consacré, qui seront reçus par les fidèles lors de la « messe des présanctifiés » (pré-consacrés) le Vendredi-Saint. 

L’autel où vient d’être célébré la Cène du Seigneur est vide et dépouillé. Devant ce reposoir eucharistique, ce sont les heures de Gethsémani que nous devons revivre. Les cloches sont condamnées au silence pendant trois jours en signe de deuil. 

Pour expliquer l’absence de sonnerie pendant cette période, on a dit longtemps aux enfants que les cloches partaient à Rome. Le Pape les bénissait avant leur retour. On pourrait et on devrait leur dire la vraie raison de ce silence. Et pourquoi pas cette allusion à l’Eglise de Rome, coeur de l’Eglise universelle….

Ce n’est que dans la nuit du samedi au dimanche de Pâques qu’elles carillonnent pour annoncer la joie de la résurrection du Christ. On a dit longtemps aux enfants qu’elles revenaient chargées de friandises qu’elles déversaient dans les jardins et les prés, sur les balcons des appartements. On pourrait et on devrait leur dire que la plus grande joie vient du Christ ressuscité. 

Dans l’est de la France, pour remplacer les cloches » parties à Rome » pendant la Semaine Sainte, les enfants faisaient sonner leurs crécelles dans les rues, pour annoncer les offices. La crécelle remplaçait la sonnette de l’autel dans les paroisses et les monastères.

Les enfants de choeur passaient plusieurs fois dans la journée. La première fois ils criaient :  » Réveillez-vous ». La deuxième fois :  » Préparez-vous ». La troisième : « Dépéchez-vous ». 

 

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Le rituel de la cloche

Posté par francesca7 le 10 mai 2014

 

 

 rubon20-9c7a8« C’est un usage qui remonte à l’Antiquité de convoquer le peuple chrétien à l’assemblée liturgique et de l’avertir des principaux événements de la communauté locale par un signal sonore. Ainsi la voix des cloches exprime-t-elle, en quelque sorte, les sentiments du peuple de Dieu, quand il exulte et qu’il pleure, quand il rend grâce ou qu’il supplie, quand il se rassemble et manifeste le mystère de son unité dans le Christ. » 
Livre des bénédictions [1]

Comptant parmi les plus vieux instruments sonores, les cloches ont toujours été associées à la Chrétienté dès les premiers siècles de son essor. Tout en rythmant l’écoulement des heures depuis le Moyen Âge, leur fonction première est liturgique : par leurs volées et leurs tintements, elles appellent les fidèles à se rassembler et à prier, associant leurs chants aux joies et aux peines de la communauté chrétienne et, qui plus est à Notre-Dame de Paris, aux grandes Heures de l’Histoire de France, aux événements marquant la communauté internationale.

Dès la fin du XIIe siècle, l’édification de la cathédrale étant encore loin d’être terminée, il est fait mention de la sonnerie des cloches précédant les offices. Cette sonnerie s’étoffa au cours des siècles au rythme de la vie de l’édifice et de son rayonnement. Huit cloches dans la tour Nord, deux bourdons dans la tour Sud, sept cloches dans la flèche accompagnées de trois pour la sonnerie de l’horloge : cet ensemble spatialisé constitua un véritable paysage sonore dans le ciel de Paris jusqu’à la fin du XVIIIe siècle.

La Révolution et son lot d’excès n’épargnèrent pas les cloches de Notre-Dame et le bourdon Marie qui furent descendus, brisés et fondus en 1791 et 1792. Le bourdon Emmanuel, pièce maîtresse de l’ensemble, fut heureusement épargné et demeure aujourd’hui l’un des plus beaux vases sonores d’Europe, sinon le plus remarquable. Depuis 1686, au sommet de la tour Sud, il ne cesse de sonner les grandes Heures de la cathédrale, des grandes fêtes liturgiques aux événements marquants du diocèse de Paris et de l’Église universelle. Mais il est aussi intimement associé à la Nation française dont il rehaussa depuis sa fonte de nombreux temps forts : Te Deum pour les sacres de rois, fins de conflits (dont les deux Guerres mondiales en 1918 et 1945), obsèques nationales, drames de l’Humanité, quand la prière rassemble à Notre-Dame les croyants et les hommes de bonne volonté…

Associées au bourdon Emmanuel, quatre cloches, placées en 1856 dans la tour Nord en remplacement de la sonnerie disparue, assurèrent les diverses sonneries liturgiques et civiles jusqu’à leur dépose, en 2012, dans le cadre du projet de nouvelle sonnerie mis en œuvre pour les 850 ans de Notre-Dame de Paris. Elles furent suppléées durant une année par les trois cloches du carillon des heures de 1867, installées dans la flèche.

C’est le 23 mars 2013, en la veille du dimanche des Rameaux et de la Passion, que la nouvelle sonnerie se fit entendre pour la première fois depuis « les tours retentissantes qui couvrent la ville de leur ombre et de leur bronze et proclament Dieu à l’horizon » [2].

—————————-

[1] De Benedictionibus promulgué par la Congrégation pour le culte divin le 31 mai 1984, chap. XXX, n°1032.

[2] Paul CLAUDEL, préface in Marcel AUBERT, Vitraux des cathédrales de France XIIe et XIIIe siècles – 19 reproductions en couleurs d’après nature, Paris, Plon, 1937.

 

 

 

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Les fondeurs de cloches du XIV et XV siècles

Posté par francesca7 le 10 mai 2014

Image illustrative de l'article Hérépian

Le plus ancien nom, qui se présente à nous comme celui d’un Lorrain fondeur de cloches, se lisait sur la célèbre ban­cloche de Toul, faite en 1396 ; elle nous apprenait elle-mème , dans son inscription rimée , qu’elle avait été « ici assise par maistre GUILLAUME POITRAS, du bourg Sainte-Marie ». Les chroniques messines fournissent les noms de plusieurs des fondeurs qui travaillèrent pour la sonnerie de la cathédrale dans le XV° siècle; la fameuse Mutte fut refondue en 1428 par « maistre Jehan De Guerle et maistre Jehan De Lucembourg ». La cloche Marie la plus grosse de celles qui appartenaient au chapitre, le fut, en 1438, « par maître ANTOINE, maistre des bombardes de Metz, gui estoit borgne »; cette cloche fut refaite en 1541 et 1665. Son créateur est-il le même que maistre Antoine d’Estain , dont nous verrons bientôt le nom? Nous ne saurions le dire.

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La Mutte fut refondue en 1442, par LOUIS DE HAMELLE (alias Hamaille, Hamalles Ganalle), de Liège, « ancètre sans doute, dit M. Bégin , des Duhamel qui florissaient à Metz dans le siècle dernier…; il était maître des bombardes ou de l’artillerie de Metz ». Dès l’année suivante, 1443, cette cloche dut être refaite par « maistre ANTHOINE D’ESTAIN » (Étain ?) elle le fut encore en 1459, par « maistre ARNOULD DE ‘COBELANCH (Coblentz?) et maistre TILLEMONT DE HOCHEMBERG », tous deux , croit-on, Alsaciens , et le second, tout au moins, originaire de Strasbourg. Nouvelle refonte eut lieu en 1479 ; un chroniqueur appelle l’ouvrier qui la fit : « JEHAN RAMBERT DANNEUVRE », et un autre, « JEHAN LAMBERT D’ANVERS ». Ou peut affirmer qu’il s’agit de JEAN LAMBERT de Deneuvre, qui fondit, en 1502 ou 1503 , la grosse cloche de l’église Saint­ Epvre de Nancy, puis, en 1508, les autres cloches de la même église. Nous retrouverons, en 1683, un Jean Lambert, fondeur à Doncourt, qui pourrait bien être l’un de ses descendants ; mais nous aimons surtout à lui rattacher un Didier Lambert qui, peu après cette époque, travailla pour l’Italie, ainsi que deux autres fondeurs lorrains dont M. E. Müntz nous révèle les noms.

Par M. LÉON GERMAIN, Membre titulaire. Mémoires de la Société des lettres sciences et arts de Bar le Duc 1887. 1. 2e sér. T. 6

 

 

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