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Les cloches et clochers du XVIII° siècle

Posté par francesca7 le 6 avril 2014

 

burel_francoisVers le commencement du XVIII° siècle, pensons-nous (papiers allant de 1687 à 1740), marché fut passé, par les Carmélites de Pont-à-Mousson, « avec CHARLES CUNY, fondeur d’artillerie à Nancy, pour la façon de deux cloches ». Celle de Tollaincourt porte : « LES PERRIN m’ont fait en 1 708″. « IGNACE-JOSEPH THOUVENEL, Les PÉKIN et FRANÇOIS BROIT, fondeurs à Outremécourt, proche la Mothe en Lorraine, ont fait en 1708 la cloche de la Neuville-en-Hez (Oise). »Une clochette, à l’évêché de Saint-Dié, porte, avec la date 1720, le nom de son fondeur : « NICOLAS FERRY à Saint­Diey « . Vers cette époque, une famille BUREL parait avoir joui d’une grande réputation FRANÇOIS et JEAN-BAPTISTE LES BUREL ont leur marque sur les deux grosses cloches de l’église Saint-Étienne de Saint-Mihiel ; elles furent faites, ainsi qu’une troisième, détruite à la Révolution, en 1722 ; M. Dumont atteste que ces fondeurs étaient de Neufchâteau. Ces trois cloches eurent pour parrain et marraine le prince héritier de Lorraine et l’une de ses soeurs. « FRANÇOIS BUREL fondit en 1723 l’ancienne grosse cloche de Mattaincourt (Vosges) ».

http://www.francois-burel.com/biographie.htm

Suivant une communication , une cloche de Mattaincourt laissait lire : « E et B LES BURNEL (sic) nous ont faite (sic), 1725″. Les noms BUREL et BARBIER reviendront encore un peu plus loin (17!3). »CLAUDE BROCARD, JEAN-BAPTISTE LES BROCARD, F. POISSON et A. DE LA PAIX ont fondu une cloche à Bayeux en 1727″. Un fondeur nommé QUEYRAT, habitant probablement Nancy, fit, en 1733, une cloche pour l’église Saint-Nicolas de cette ville , puis, en 1742 , la plus forte de celles de la cathédrale ; il en avait fait une aussi (papiers de 1723-1742) pour la collégiale Saint-Georges . »J.-B. BARBIER fit, en 1743, l’ancienne cloche d’Auzainvilliers (Vosges) ». Il est , sans doute, le même que JEAN BARBIER »qui , avec »LES BUREL », fondit, en 1747 , la cloche Stanislas de l’église Saint-Epvre, à Nancy. Une cloche à Fermont porte la date de 1746 et le nom de Les cloches et clochers du XVIII° siècle dans CLOCHES de FRANCEBARBIER. Le gros timbre de l’église Saint-Epvre à Nancy offrait cette inscription : « Entrepris par nous JOSEPH et CLAUDE LES DERANTON. Fait à Nancy par FRANÇOIS DESPOIS, fondeur, 1751″.CLAUDE ALLIOT fondit en 1752 une petite cloche, encore existante, pour l’église paroissiale de Saint-Mihiel , la marque porte le nom de SIMON ALLIOT, qui était peut-être le père de Claude. 

 Ces fondeurs étaient de Ligny-en-Barrois. En 1754 et 1766, un fondeur lorrain, de Chaumont-la-Ville, nommé JEAN-BAPTISTE CHRESTIENNOT, fit à Toulouse plusieurs cloches, qui furent très appréciées. Les premières étaient destinées à l’abbaye bénédictine de la Daurade; les religieux, dit un manuscrit contemporain, ayant vu un fondeur de la ville manquer, deux fois de suite, les deux grosses cloches, « furent obligés … de faire venir un fondeur étranger, Lorrain d’origine, comme il a paru, appelé Chretiennot ». il fondit d’abord cinq cloches, le 2 mai 1754 : malgré « une plage épouvantable », les religieux « virent avec admiration le fondeur intrépide fondre cinq cloches d’un seul jet, réussir à merveille; les détourner le lendemain à l’aspect d’une multitude infinie, qui prêta volontiers la main pour les exposer à la vue de tous … Ces cloches, aussi belles qu’on puisse le désirer, ont fait l’admiration de tous ceux qui les ont vues ». Le 22 juin suivant, dix autres cloches furent coulées avec autant de succès. Douze ans plus tard , en 1766 , le môme fondeur fit quatre cloches pour le Palais de justice : le Parlement, dit un contemporain, voulut « profiter de l’habileté d’un homme nommé Chrestiennot, fondeur de cloches de Chaumont la ville en Lorraine, le même qui fondit ci-devant toutes les cloches de la Daurade. … »

 

Sur la grosse cloche, refondue le 29 novembre, ou lisait ainsi le nom du fondeur : « JOANNE BAP­TISTA CHRESTIENNOT Lotharingio ». Les trois autres, pour la sonnerie des heures, furent coulées le dernier jour du même mois. Vers 1760 (pièces de 1758 à 1762), l’abbaye de Haute-Seille fit « marché … avec CLAUDE ROZIER, fondeur de cloches à Breuvannes, bailliage de Bourmont, pour refondre la grosse cloche de l’abbaye ». Quelques années plus tard (pièces de 1767 à 1770), le même monastère passe « marché avec J.-B. FOURNEAU, fondeur à Lunéville, pour la refonte de deux cloches ». Un fondeur nommé GUILLEMIN, d’Aubrévannes, fit, en 1756, deux ban-cloches pour la cathédrale de Verdun, « dans la proportion et les tons de celle de Saint-Germain-des-Prés de Paris ». Il fondit, en 1759, celle de Régneville. Plusieurs cloches de l’abbaye de Saint-Vanne, à Verdun, avaient été faites par « PIERRE GUILLEMIN, fondeur d’Aubrévannes sous Choiseul en Lorraine ». Un fondeur de Pont-à-Mousson, FRANÇOIS LACHAUSSÉE, travaillait vers la même époque. En 1760, par ordre du chapitre de la Primatiale de Nancy, une somme fut payée « à FRANÇOIS LACHAUSSÉE, fondeur, pour la refonte du gros timbre de l’horloge, et au sieur DERANTON pour la répétition faite à l’horloge ». Une cloche portait . »LACHAUSSÉE m’a faite en 1760″. On connait aussi un marché passé (pièces de 1702 à 1790) par les Bénédictins anglais de Dieulouard « avec FRANÇOIS LACHAUSSÉE, fondeur à Pont-à-Mousson, pour fondre trois cloches avec les deux qui étaient dans le clocher ».

La cloche de Thiaucourt date de 1762 ; on y lit : « Simon et FRANÇOIS LES ALLIOT de Ligay nous ont faits ». Un sieur PERNELLE, de Pompierre, fournit, en 1768 et 1774, le métal nécessaire pour la fonte de plusieurs cloches à l’église de Lamarche (Vosges). La cloche de Sainte-Hélène, près de Rambervillers, fut faite, en 1771, par JOSEPH THOUVENOT. Il était peut-être le père de CLAUDE-JOSEPH THOUVENOT qui exerça la même profession de 1783 à 1850.De 1772 date la grosse cloche de Dainville-aux-Forges, qui porte : « CARTENEY et MAIRE, fondeurs de Pompierre, nous ont faites ». « IGNACE HANRIOT, maître-fondeur de cloches à Guillécourt [Huillécourt, Haute-Marne], diocèse de Toul, en Lorraine, fit en 1712 une cloche pour Grumesnil (Seine-Inférieure) [Seine Maritime]. »"IGNACE et ANTOINE HANRIOT, oncle et neveu, fondeurs de cloches, demeurant à Huillecourt en Lorraine, diocèse de Toul, ont fondu en 1773 les cloches de Bure (Seine-Inférieure). » La quatrième cloche de l’église de Lamarche fut faite en 1774 par « JOSEPH BRETON, fondeur de cloches, demeurant à Lamarche ». Le sieur FLORENTIN PERNELLE, de Pompierre, en fournit le métal. « FRANCOIS FARNIER, fondeur à Sauvigny (Meuse), et MARTIN MICHEL de Romain-sur-Meuse (Haute-Marne) , ont fondu en 1775 la grosse cloche de Montigny-les-Vaucouleurs (Meuse) ». « Louis BAUDOUIN, fondeur à Champigneulle en Lorraine, est appelé en 1775 à Germigny (Cher) pour y refondre les cloches. » L’un de ses descendants exerce de nos jours la même profession à Marseille .La arton1627-d261bcloche de Morgemoulins, de 1777, porte : « les FARNIER m’ont faite ». En 1784, celle de Nonville fut fondue par « CLAUDE et JOSEPH LES THOUVENOT, demeurant à Parey-Saint-Ouen et Saulxures-les-Bulgnéville », villages voisins. Les frères MESSIN fondirent, en 1785, pour l’église Saint ­Gengoulf de Toul, une grosse cloche qui était « très estimée des paroissiens »; on l’a refondue eu 1841.

 

Dates non déterminées

La liste des fondeurs lorrains auxquels nous pouvons attribuer des cloches déterminées, avec des dates précises, est achevée. Mais il nous reste à citer quelques noms qui nous sont signalés sans qu’on nous ait exactement fixé les épo­ques et les rouvres auxquelles ils se rapportent. M. G, Vallier veut bien nous dire qu’il a relevé sur les cloches du département de l’Isère les noms suivants des fondeurs lorrains : ANCELLE, DUBOIS, JACLARD, JOLLY, NAVOIZET, PICAUDEZ, « et plusieurs autres encore ». Les noms Dubois et Jolly ne nous sont pas inconnus. M. Jeantin parle d’ »ALEXIS BARBIER de Metz, dit l’ancien », comme ayant fondu notamment les cloches de l’abbaye de Châtillon (Meuse). « Ses arrière-arrière-petits-fils », ajoute­-t-il, vivent de nos jours à Merles; il mentionne aussi comme fondeurs de cloches « les WERINGS de Houëcourt, les LEPAUTRE de Thoune [Thone] la ]on ».M. Bégin parle des DUHAMEL, qui florissaient à Metz dans le siècle dernier. « Les FARNIER de Mont-devant-Sassey » nous écrit M. l’abbé Robinet, auteur du Pouillé de Verdun, « parents de ceux des Vosges, sont fondeurs de trois ou quatre générations. »GÉRARDIN, de Verdun, exerça la même profession avant et après la Révolution. Un autre de nos correspondants, M. l’abbé Pierfitte , curé de Portieux, nous signale les GILOT, à Morizécourt et Robécourt, où ils étaient très connus après la Révolution, puis l’existence d’anciens fondeurs à Urville et Blevaincourt. Il croit que les GILOT ont fondu les cloches de Bleurville et de Monthureux, qui passent pour être les meilleures du pays.Telle est la liste des anciens fondeurs de cloches lorrains que nos recherches ou d’obligeantes communications nous ont révélés. Nous espérons qu’elle excitera de nouveaux travailleurs à s’occuper de cet intéressant sujet, pour augmenter la somme des renseignements déjà acquis sur une industrie qui a porté et porte encore au loin le renom artistique de notre province.

 

Par M. LÉON GERMAIN, Membre titulaire. Mémoires de la Société des lettres sciences et arts de Bar le Duc 1887. 1. 2e sér. T. 6 son site : http://www.auburtin.fr/blog/

 

 

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