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    « La restauration est une opération qui doit garder un caractère exceptionnel. Elle a pour but de conserver et de révéler les valeurs esthétiques et historiques du monument et se fonde sur le respect de la substance ancienne et de documents authentiques. Elle s’arrête là où commence l’hypothèse, sur le plan des reconstitutions conjecturales, tout travail de complément reconnu indispensable pour raisons esthétiques ou techniques relève de la composition architecturale et portera la marque de notre temps. » citation Charte de Venise, art. 9, ICOMOS, 196.

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    Citation sur la France.
    !!!!
    La France, je l'aime corps et biens, en amoureux transi, en amant comblé. Je la parcours, je l'étreins, elle m'émerveille. C'est physique. Pour l'heure, c'est le plus beau pays du Monde, le plus gracieux, le plus spirituel, le plus agréable à vivre. En dépit de ses défauts, le peuple français a des réserves inépuisables de vigueur, d'astuce et de générosité. j'écris cela en toute connaissance de la déprime qui périodiquement enténèbre nos compatriotes. Ils ont une pente à l'autodénigrement, une autre au nihilisme. Je suis français au naturel et j'en tire autant de fierté que de volupté. J'ai pour ce vieux pays l'amour du preux pour sa gente dame, du soudard pour la servante d'auberge, de l'érudit pour ses grimoires, du paysan pour son enclos, du bourgeois pour ses rentes, du croyant des hautes époques pour les reliques de son saint patron... J'ai la France facile, comme d'autres ont le vin gai ; je l'ai au coeur et sous la semelle de mes godasses. Je suis français, ça n'a pas dépendu de moi et ça n'a jamais été un souci. Ni une obsession. Toujours un bonheur...

    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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  • > Archives pour le Jeudi 27 février 2014

Musée voitures, motos, avions de Savigny

Posté par francesca7 le 27 février 2014

Le Château de Savigny-lès-Beaune est ouvert tous les jours :
de 9H00 à 18H30, SANS INTERRUPTION, du 15 AVRIL au 31 OCTOBRE
de 9H00 à 12H00 et 14H00 à 17H30 du 1er NOVEMBRE au 14 AVRIL.
Les dernières entrées sont prises 1H30 avant la fermeture.
• Fermeture annuelle 1ère quinzaine de janvier.
Visite libre, durée environ 1h30 à 2 heures
Nous consulter pour les tarifs.

 

Conditions d’Accueil des groupes :
• Confirmer, par lettre, fax ou e-mail, le jour et l’heure de la visite ainsi que le nombre de personnes participantes. 
• Parking assuré pour les autocars. 
• Gratuité chauffeur d’autocar à partir de 25 personnes payantes.

 

MUSEE DE LA MOTO

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Un des plus importants musées de la moto de France. A peu près 250 motos, datant de 1902 à 1960, presque toutes les nationalités représentées. Du type ecclésiastique à courroie à la moto de course. Des marques prestigieuses : Norton, Vincent, Gilera, Velocette, M.V., Rudge, AJS, Terrot, Honda, Blériot, Peugeot,BSA, NSU, Horex, Saroléa. De la moto de Jean Mermoz à celle de G. Monneret, en passant par celle du Chanoine Kir.

                             

MUSEE DE LA VOITURE DE COURSE ABARTH

                                  2741083780_small_1 dans Ma Bourgogne En détails

Certainement une des plus belles et plus rares collections de prototypes « Abarth » du monde. Une trentaine de modèles différents est présentée, dont certains uniques, avec lesquels le propriétaire du Château a participé, personnellement, pendant sept années à des courses internationales en côte et en circuit.

Le Château est également le siège du Club Abarth.
Tous les 5 ans, en mai, il accueille une manifestation commémorant l’anniversaire de Carlo Abarth organisée par le club.

 

MUSEE DE L’AÉRONAUTIQUE

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Environ 80 avions de chasse exposés dans les parcs du Château dont 4 avions de la PATROUILLE DE France – 11 MIG – 17 Dassault

 

MUSEE DE LA MAQUETTE D’AVIONS

 Avec près de 2500 maquettes au 1/72ème au 2ème étage du Château.

 

MUSEE DU TRACTEUR ENJAMBEUR

 Avec une trentaine de prototypes exposés (de 1946 à 1956), outils que nos ancêtres élaboraient dans le Parc du Château, ce musée, unique en Bourgogne, nous montre l’ingénierie de nos grands-pères.

 

MUSEE DU MATÉRIEL VINAIRE ET VITICOLE

 Où, comment et avec quels outils nos ancêtres élaboraient le vin… un musée pour l’histoire !

                                                              Musée voitures, motos, avions de Savigny dans Bourgogne 

MUSEE DES POMPIERS

Composé d’une vingtaine de véhicules

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Tout ceci au Château de Savigny les Beaune

C’est en Bourgogne, au cœur de la Côte de Beaune, que le prestigieux Château de Savigny-lès-Beaune domine une magnifique propriété de 12 hectares, traversée par une rivière qui, à l’origine, alimentait les douves de cette ancienne forteresse.

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Bâti vers 1340 pour le Duc Eude par Jean de Frolois, Maréchal de Bourgogne, il fut démantelé en 1478 en punition de ce que le Seigneur avait pris le parti de Marie de Bourgogne contre Louis XI, conservant cependant les corbeaux des mâchicoulis encore visibles sur deux tours.

Devenu propriété de la famille Bouhier au début du XVIIème siècle, c’est Etienne qui à cette époque restaura et agrémenta le Château. Son fils Jean, nouveau propriétaire au décès de son père en 1635, fera exécuter le grand escalier intérieur du même modèle que celui construit par Mansart au Château de Maisons-Laffitte. Son fils Bénigne lui succède en 1671 et marque son passage en faisant construire le « Petit Château ». Le fils aîné de Bénigne, Jean Bouhier, entrera à l’Académie Française en 1727.

 En 1689, l’ensemble deviendra propriété de la famille De Migieu, puis par alliance au Général Comte de la Loyère et à ses descendants. Son fils, Comte de la Loyère, dont le petit-fils, l’académicien Joseph de Pesquidoux, naquit à Savigny en 1869, fut président du Comité Viticulture de la Côte d’Or de 1854 à 1879.

 Son collaborateur fut le Docteur Guyot dont les ouvrages sur la viticulture font encore autorité. Il décéda et fut inhumé à Savigny en 1872.

 Au cours de l’année 1719, le président De Migieu dut abandonner son Château pendant quelques mois où il servit de résidence imposée à la Duchesse du Maine durant son exil en Bourgogne.

• Visite des différents musées considérés comme exceptionnels
• Dégustation et vente à emporter des grands crus mis en bouteilles dans les caves du château
• Mise à disposition des magnifiques salons du Château réservés à la gastronomie, aux soirées de gala, à la musique, en un mot à la joie de vivre « la vie de Château » ! 

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Publié dans Bourgogne, Côte d'Or, MUSEES de FRANCE, VILLAGES de FRANCE | Pas de Commentaire »

Château-musée de Nemours

Posté par francesca7 le 27 février 2014

 

 

Symbole de la ville de Nemours

Ancré dans l’histoire de la ville, le Château-musée de Nemours a rouvert ses portes après plusieurs années de restauration. A l’occasion, la municipalité a monté une exposition : « Du Château au musée : Histoires à raconter », afin de (re)découvrir les moments forts du monument devenu musée.
  
chateau-musee-de-nemours> Histoire du château

Construit au cœur de la cité médiévale à partir de XIIe siècle, le château de Nemours constitue l’un des rares châteaux de ville d’Île-de-France encore visible à l’heure actuelle.

D’abord propriété seigneuriale, puis ducale, il connaît de nombreux remaniements au fil des siècles. Au XVe siècle la famille d’Armagnac le fait restaurer tandis qu’en 1673, Philippe d’Orléans, devenu propriétaire grâce à son frère Louis XIV, organise les travaux qui donneront au château l’allure qu’il conserve encore actuellement :

Après la Révolution, le château devient propriété de la ville. Et ce n’est qu’en 1903, après restauration qu’il est transformé en musée par un comité présidé par le sculpteur nemourien Justin-Chrysostome Sanson (1833-1910). A l’origine composé d’œuvres de l’atelier de Sanson et du peintre Ernest Marché (1864-1932) et de l’imprimeur en taille-douce Adolphe Ardail (1835-1911). Son fonds s’étoffe grâce à différents dons (archéologie locale, sciences naturelles, tapisseries, faïences révolutionnaires). Depuis, le musée est remarquable pour sa collection d’arts graphiques (estampes, dessins, photographies), de peintures et de sculptures emblématique de l’art de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle.

En 1977, le bâtiment est classé monument historique. L’institution obtient le label « musée de France » suite à la loi-musée du 4 janvier 2002. En 2008, le château reprend ses activités de musée après trois ans de fermeture et plusieurs mois de travaux de rénovation sous la houlette de l’architecte en chef des Monuments Historiques, Jacques Moulin.

> Exposition « Du Château au musée : Histoires à raconter », du 17 février au 30 juin 2009

Organisée par la ville de Nemours, l’exposition « Du château au musée : Histoires à raconter » offre la possibilité de revivre l’histoire du château, de ses origines à sa transformation en musée au début du XIXe siècle ; l’occasion également de revoir les œuvres qui ont constitué la première collection du musée.

Les photos accompagnées de la mention « © RMN » illustrant ce musée sont la propriété de la photothèque de la Réunion des Musées Nationaux.

 

L’histoire de Nemours débute au xiie siècle, avec la création d’une seigneurie. Le premier seigneur de Nemours est Orson en 1120.

Le château ainsi que l’église Saint-Jean-Baptiste en centre-ville, sont construits vers 1170 à la demande de Gauthier de Villebéon, grand chambellandes rois Louis VII et Philippe Auguste. La ville est incendiée en 1358 durant la guerre de Cent Ans. L’église est détruite dans cet incendie, puis reconstruite à partir de 1445 pour s’achever en 1555. Le chœur date de cette reconstruction. En 1850 et 1890, l’intérieur de l’église est aménagé avec la pose de vitraux et d’un maître autel en hommage à Jean-Baptiste.

Château-musée de Nemours dans CHATEAUX DE FRANCE

La ville devint domaine royal quand elle fut acquise par Philippe III le Hardi (1274). Elle fut érigée en duché-pairie par Charles VI lors d’un échange de terres en 1404 avec Charles III le Noble, roi de Navarre. Le duché de Nemours restait toutefois un domaine royal du roi de France, et était grevé d’un droit de réversion. Ainsi devait-il être rendu à la couronne au décès de Charles III en 1425. Blanche Ire de Navarre, fille de Charles III de Navarre, tenta de s’opposer à cette réversion en voulant en rendre hommage au roi. Si le roi avait accepté cette démarche, il aurait implicitement reconnu que le duché était une possession pleine et entière de la maison de Navarre. Mais le roi refusa cet hommage pour cette raison. Blanche en fit alors hommage au roi d’Angleterre, et le duché lui fut subséquemment confisqué par la couronne. Blanche avait cependant promis à sa sœur Beatrice une donation de 60 000 livres et une rente de 4 000 livres prises sur le duché de Nemours, le tout devant servir de dot à la fille de Béatrice, Eléonore de Bourbon, lors du mariage de cette dernière à Bernard d’Armagnac. Bernard d’Armagnac n’ayant pas reçu la dot de sa femme, son père le comte d’Armagnac intenta un recours contre Blanche. Un arrêt de 1446 ordonnant le paiement de ces sommes sur le duché de Nemours, fut opposé par le procureur général sur la base du droit de réversion. En 1461 Louis XI céda par lettres patentes le duché de Nemours en apanage à Jacques d’Armagnac.

Jacques d’Armagnac étant décédé en 1477, le duché revenu de droit une fois de plus à la couronne, ses fils Jean d’Armagnac-Nemours et Louis d’Armagnac demandèrent à Charles VIII la restitution de l’apanage du duché de Nemours. En 1491 Charles VIII leur accorda par lettres patentes le don du droit du roi sur le duché, mais le droit de réversion y fut maintenu. Si bien qu’à leur mort ce fut en vain que leur sœur Marguerite d’Armagnac, dernière descendante de Charles III de Navarre, comtesse de Guise, mariée à Pierre de Rohan-Gié, tenta de perpétuer la possession du duché de Nemours en voulant elle aussi en rendre hommage au roi : le procureur du roi s’opposa à en recevoir l’hommage, et les décès de Marguerite d’Armagnac et de Pierre de Rohan en 1507, sans enfants pour hériter, retourna derechef les terres à la couronne et mit fin à cette dispute. Subséquemment, Louis XII donna l’apanage du duché de Nemours à son neveu Gaston de Foix en échange du comté de Narbonne (1507), puis au décès de ce dernier en 1515 François Ier fit de même pour l’époux de sa tante Philiberte de Savoie, Julien de Médicis fils de Laurent le Magnifique. Philiberte décédée en 1524, François Ier fit don de l’apanage à sa mère Louise de Savoie3.

Etant restée pendant 150 ans dans la maison de Savoie, la ville échut enfin en 1666 à Louis XIV, qui en fit don à Philippe d’Orléans, son frère, dont la postérité l’a gardée jusqu’en 1789. Le titre deduc de Nemours est porté par Louis d’Orléans, deuxième fils du roi Louis-Philippe2.

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Aux Musées de CHALON

Posté par francesca7 le 27 février 2014

 


Musée DENON / sis à  Châlon sur Saône, centre portuaire, industriel et commercial d’une grande activité, Chalon est aussi la capitale économique d’une riche zone de culture et d’élevage, au cœur d’un vignoble dont certains crus sont dignes de leurs grands voisins.

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Le Musée Denon est installé dans une annexe (18ème siècle) de l’ancien couvent des Ursulines dotée pour lui d’une façade néo-classique, il porte le nom d’une des gloires de la ville : Vivant Denon.

 

DOMINIQUE VIVANT – PARON DENON : Né à Givry en 1747, diplomate de l’Ancien Régime, il fréquente Voltaire et Pierre le Grand. Graveur renommé, membre de l’académie des Beaux-Arts en 1787, part en Italie ; de retour à Paris, la Convention le considère comme un émigré ; son ami le peintre David le sauve de justesse de la guillotine. Lors de la campagne d’Egypte, il fait le relevé des monuments (préfiguration de l’égyptologie), avant de devenir le conseiller artistique de Napoléon 1er, surintendant des arts en quelque sorte, grand pourvoyeur et organisateur des musées de France. Ayant quitté ses fonctions officielles, il se consacre comme son compatriote Niepce au procédé nouveau de la lithographie. Artiste complet, il est l’auteur d’un roman ; Point de Lendemain, qui fera l’admiration de son biographe Philippe Sollers ; il fut peintre aussi, ses autoportraits sont visibles au musée. 

Le Musée DENON possède un échantillon de la peinture du 17ème siècle au 19ème : l’école italienne est représentée par trois toiles baroques de Giordano, par son contemporain napolitain Solimène, par Bassano (Plan de Venise, Adoration des bergers) et le Caravage ; le Siècle d’or hollandais (17è siècle) avec un Bouquet de tulipes de Hans Bollongier et des natures mortes de Deheem ; la peinture française du 19ème, par le Portrait d’u Noir de Géricault et les paysages préimpressionnistes du peintre chalonnais Etienne Raffort. 

L’ethnographie retrace la vie chalonnaise et la navigation sur la Saône aidée par un ensemble de meubles régionaux. Une très belle collection de bois gravés d’avant la Révolution présente de façon savoureuse les moeurs de nos ancêtres, constituant une source de documentation régulièrement étudiée. 

Le rez de chaussée est réservé aux pièces archéologiques, la plupart retrouvées lors de dragages de la Spone : silex préhistoriques de Volgu (région de Digoin-Geugnon-les plus grands et les plus beaux que l’on connaisse ; des « feuilles de laurier » datant du solutréen – Roche de Soluté) et nombreux objets métalliques ou lapidaires gallo-romains et médiévaux.

 

UN LIEN : http://www.musees-bourgogne.org/les_musees/musee_bourgogne_resultat.php?id=71&theme=archeologie

 

 Illustration.

Musée Nicéphore-Niepce / situé dans l’hôtel des Messageries (18ème siècle) au bord de la Saône, le musée contient une très riche collection d’images et matériels anciens qui permet de suivre la découverte et les évolutions de la photographie. L’évolution de la photochimie et de l’optique est illustrée par des collections prestigieuses. Remarquer les premiers matériels de Nicéphore Niepce et de Daguerre (son associé en 1829, lequel développe un matériel commercialisable :

Aux Musées de CHALON  dans MUSEES de FRANCEle Daguerréotype), le Grand Photographe de Chevalier (vers 1840), les appareils Dagron ou Nertsch pour la photographie microscopique, les Dubroni (photographie instantanée, 1860), les canons à ferrotypes (support métallique au lieu du verre), les cyclographes (photographie panoramique, 1890) de Damoiseau, la « photosculpture » de Givaudan. La présentation permet également de suivre les progrès spectaculaires de l’image ; projection lumineuse (lanternes magiques) vues stéréoscopiques (relief), premières éditions d’albums par W.H Fox Talbot (« The Pencil of Narure » 1844), premières photographies en couleur, les photochromies de Louis Ducros du Hauron (1868) ? HOLOGRAPHIE (1948-1970). Cette progression s’accélère au 20è siècle qui voit l’apparition du format 24 x 36 (1923) et le succès populaire de la « photo ». Parmi les pièces exposées, on trouve les premiers Kodak, les petits appareils espions, l’appareil lunaire d’Hasselblad (programme Apollo) et le Globuloscope panoramique (1981).

UN LIEN : http://www.museeniepce.com/

 

 

 

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