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    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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Peintres à ne pas oublier

Posté par francesca7 le 24 février 2014

Cocteau, Matisse, Picasso, l’étonnant triangle artistique

 

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Après-guerre, les trois peintres élurent domicile sur la Côte d’Azur. Jusqu’au 3 novembre, le Musée Jean-Cocteau collection Séverin Wunderman de Menton se penche sur leurs influences réciproques avec l’exposition « Cocteau, Matisse, Picasso, méditerranéens ».

Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, la Côte d’Azur représente plus que jamais une villégiature artistique de choix. Jean Cocteau, Pablo Picasso et Henri Matisse, trois génies à l’apogée de leurs carrières, en font même leur repaire. Le premier s’installe à Saint-Jean-Cap-Ferrat, le deuxième à Vallauris et le troisième à Vence. Durant quelques années, les correspondances se tissent entre les trois artistes qui donnent le jour à un « art méditerranéen ».

C’est ce que dévoile l’exposition « Cocteau, Matisse, Picasso, méditerranéens », à découvrir jusqu’au 3 novembre au Musée Jean-Cocteau collection Séverin Wunderman de Menton. Peintures, dessins, céramiques, tapisseries, lithographies… L’accrochage, qui occupe la totalité de l’espace d’exposition du musée (soit près de 1.000 m²), présente près de 400 pièces.

 Des échos de la Grèce antique 

De 1950 à 1962, Jean Cocteau devient un résident coutumier de la région. Il s’installe chez son amie Francine Weisweiller, à la Villa Santo-Sospir, à Saint-Jean-Cap-Ferrat. À quelques encablures seulement de chez Pablo Picasso, qu’il connaît depuis l’époque des Ballets russes et leur création commune pour « Parade », en 1917. Ensemble, ils développent une fantasmagorie imprégnée par la Grèce antique.

 Les personnages mythologiques revisités par Picasso ouvrent le parcours de l’exposition et font face aux faunes et centaures qui apparaissent également dans l’oeuvre graphique de Jean Cocteau. Le Minotaure figure en bonne place dans leur bestiaire. Pour cause : les deux compères se rendent régulièrement aux corridas, dans les arènes d’Arles et de Nîmes, ainsi qu’à Vallauris. Sous une vitrine, on observe « Picasso 1916 – 1961 », ouvrage composé à quatre mains avec Jean Cocteau, où ce dernier retrace son amitié avec le maître espagnol. Schématisation des formes, simplification de la ligne, configurations épurées : on reconnaît dans « Femme endormie » l’influence du peintre cubiste. Mais également celle d’Henri Matisse, avec qui le poète échange de nombreuses lettres à propos de la tapisserie « Judith et Holopherne » ou les fresques de la Villa Santo-Sospir. 

Une « entreprise de décentralisation »

Des photographies et des extraits de films montrant le travail de création de Matisse et de Picasso permettent de recréer l’univers des ateliers des deux artistes sur la Côte d’Azur. À l’image de Matisse à Vence et de Picasso à Vallauris, Cocteau laisse dans le Midi des traces « monumentales » de sa créativité. Il commence à « tatouer » les murs de la Villa Santo-Sospir, avant d’entreprendre les décors de la chapelle Saint-Pierre de Villefranche-sur-Mer. L’époque est marquée par une rupture stylistique et l’introduction graduelle de la couleur. Jean Cocteau utilise des crayons à la cire, des feutres. Les lignes disparaissent en de larges surfaces colorées. Les « fresques » de la salle des mariages de l’Hôtel de ville de Menton constitueront le point d’orgue de cette foisonnante « entreprise de décentralisation » (selon les mots du poète) qui aura duré plus d’une décennie.

 

Relaxnews

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