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A Ouessant, c’est trop fort

Posté par francesca7 le 8 janvier 2014

220px-OUESSANT.-.RUINE-PHARESauvage et mystérieuse, Ouessant est l’île la plus occidentale de la France métropolitaine. Ce territoire un peu hors du temps offre des paysages extraordinaires, sculptés par le vent, le sel et les embruns. 

Ouessant est une commune insulaire du département du Finistère, dans la région Bretagne, située dans l’Océan atlantique. Le bourg d’Ouessant s’appelle Lampaul. Ses habitants sont appelés Ouessantins. Ouessant fait partie du parc naturel régional d’Armorique et du parc naturel marin d’Iroise.

Ouessant est la quatrième île de la France métropolitaine par la taille (après la Corse, l’île d’Yeu et Belle-Île-en-Mer), si l’on omet l’île d’Oléron, l’île de Ré et l’île de Noirmoutier, qui sont désormais reliées au continent par un pont.

Distante de vingt kilomètres de la côte ouest du Finistère, longue de huit kilomètres et large de quatre, elle est la terre la plus occidentale de la France métropolitaine si l’on excepte le rocher de An Ividic à quelques encablures de l’île, sur lequel est ancré le phare de Nividic.

Ouessant a une forme rappelant celle d’une pince de crabe, l’ouest de l’île se divisant en deux « branches » : la « branche » de Locqueltas au nord, se terminant par la pointe de Pern, et celle de Feunten Velen au sud, se terminant par la pointe de Porz Doun. Ces deux branches encadrent la baie deLampaul. L’altitude maximale est de 61 mètres, l’altitude la plus basse étant évidemment celle du niveau de la mer.

À l’est, la baie du Stiff est la seule facilement accessible par la mer avec la baie de Lampaul et le petit port d’Arland. C’est d’ailleurs au fond de cette baie que se situe le port du Stiff, où accostent les navires à passagers ou à marchandises en provenance du continent.

L’île est séparée de l’archipel de Molène par le passage du Fromveur, un froid et puissant courant marin (8 à 10 nœuds) résultant d’une faille locale de60 m de profondeur. L’île se trouve en Mer d’Iroise.

Ouessant est entourée de plusieurs îlots, dont le plus gros, au nord, est considéré comme une île : l’île de Keller, parfois dénommée à tort sur certains documents Kereller (0,28 km2). L’ilôt deYouc’h Korz est situé dans la Baie de Lampaul.

Ouessant marque traditionnellement l’entrée sud de la Manche (l’entrée nord étant balisée par les Sorlingues appelées plus couramment îles Scilly, de leur nom anglais).

Vingt kilomètres séparent la pointe de la Bretagne et Ouessant. Tout marin connaît cette île du Ponant, ultime escale avant les Amériques. « L’île haute », « l’île de l’épouvante », « l’île des naufragés », tous les marins connaissent ces effroyables surnoms, les perfides écueils qui la ceinturent, les brumes qui l’engloutissent un jour sur quatre, et les redoutables courants qui l’enserrent, tel le Fromveur, l’un des plus forts d’Europe. « Qui voit Ouessant voit son sang ». Le dicton dit tout.

A Ouessant, c'est trop fort dans Bretagne 220px-Alfred_de_Courcy_Fille_d%27Ouessant_-dessin_de_Geniole-Il faut attendre la marée basse pour découvrir les quatre plages de sable fin de l’île. La plus grande, celle du Corz, est lovée sous Lampaul, le seul bourg digne de ce nom. Car la centaine de hameaux répertoriés à Ouessant ne sont composés, le plus souvent, que de deux maisons ! Des fermettes en pierre, la plupart transformées en résidences secondaires pour les « gens du continent ». Seules 850 personnes habitent encore l’île à l’année, contre 2 500 en été.

La levée de gros galets basaltiques située à Porz Nenv près de l’ancien hameau de Pern seraient venus d’Islande, transportés par des icebergs lors des glaciations quaternaires et forment une plage suspendue, témoignant d’un niveau de la mer plus élevé lors des périodes de réchauffement interglaciaires.

Géologiquement,Ouessant est formée principalement de granulite grenue à gros grains dans sa moitié nord et de gneiss granulitique micacé, alternant avec des micaschistes, avec des filons de granulite grenue blanche dans sa moitié sud. L’île possède aussi un gisement de graphite dans sa partie sud-ouest et des grenats dans sa partie sud.

L’archipel d’Ouessant-Molène est un morceau détaché de l’anticlinal du Léon, formé de granites d’époque archéenne et carbonifère, que l’on peut subdiviser en deux parties : la première, composée de la seule île d’Ouessant, est séparée du continent depuis très longtemps ; la seconde, qui comprend Molène et les îles de son archipel, dont la séparation d’avec le continent est récente. Une ancienne barrière granitique unissait les îles de l’archipel de Molène au continent au niveau de l’actuel chenal du Four ; cette barrière s’abaissa lentement, provoquant un ennoiement progressif dont des forêts submergées comme on en retrouve des traces dans l’Anse de Goulven ou à Tréompan, des monuments mégalithiques engloutis et des légendes de villes englouties (Ys, Tolente).

« L’archipel d’Ouessant est constitué d’un ensemble d’îles dont les plus importantes sont, à partir de la pointe Saint-Mathieu, les îles de l’archipel de Molène : Béniguet,Quéménès, Trielen, Molène, Balanec, Bannec, et enfin Ouessant. À ces îles, il faut ajouter une infinité d’îlots, hauts fonds, récifs, parties émergentes d’un vaste plateau sous-marin, limité à l’Ouest par Ouessant et au sud par la chaussée des Pierres Noires. Cette ligne de rochers, matérialisée par un phare du même nom, constitue la limite Nord de la mer d’Iroise où s’ouvre la rade de Brest et la baie de Douarnenez. Cet archipel ne ménage, entre les îlots et récifs, que d’étroits passages peu profonds hérissés d’écueils et réservés à la navigation locale. Par contre au Nord, le chenal du Four permet de communiquer avec l’Iroise en longeant le continent : malgré son étroitesse, il peut être emprunté par tous les navires car les courants suivent la direction du chenal ; les récifs des Plâtresses le séparent du chenal de la Helle, autre passage permettant d’accéder à l’Iroise en évitant les dangers de l’archipel4. »

Ouessant est une île depuis les temps préhistoriques. À la fin de la dernière ère glaciaire, elle était déjà séparée du continent. Les éléments d’occupation les plus anciens remontent à 1 500 av. J.-C. On a découvert un village préchrétien ayant existé pendant de nombreux siècles à Ouessant, signe d’une civilisation déjà ancienne. On peut en retrouver les traces sur le site archéologique de Mez Notariou dans le centre de l’île, près de la côte Saint-Michel, étudié par l’archéologue Jean-Paul Le Bihan.

« Les fouilles menées depuis 1988 livrent les vestiges remarquables et spectaculaires d’un village de transition Bronze final - 1er âge du ferconstruit en bois et argile crue (…), des activités sporadiques de la Tène III et d’époque gallo-romaine. (…) Les 3 600 m2 actuellement étudiés livrent 2 500 trous de poteaux, 120 bâtiments, 120 000 tessons de céramique. »

220px-La_poste_%C3%A0_Lampaul dans BretagneLes restes de deux villages, habités par plusieurs centaines de personnes (une véritable agglomération pour l’époque) ont été retrouvés, attestant de l’occupation du site sur une période allant de 4 000 ans av. J.-C. jusqu’au début du vie siècle de notre ère. Le premier village (âge du bronze, entre 1 500 et 1 300 avant notre ère) est caractérisé par des fondations incluant des dalles de pierre trouées destinées à supporter des poteaux de charpente. Le second village est daté de l’âge du fer, vers 700 av. J.-C. ; les ancêtres des Ouessantins vivaient de la culture des céréales, de pêche, d’élevage ; ils pratiquaient la métallurgie, la poterie. La découverte de dizaines de milliers de patelles, des patella vulgata dénommées « berniques » en Bretagne, suggère l’existence d’un culte voué à ce coquillage. « Là, il y avait (…) une zone d’activités sacrées, un sanctuaire utilisé par tous les Ouessantins et les marins de tous horizons. Le voyage s’accompagne toujours de superstitions et de croyances. (…) Ce qui est unique, c’est que ce lieu soit resté un sanctuaire pendant 2 000 ans. (…) On a trouvé une bernique moulée en bronze. (…) Un peu comme le scarabée est un animal sacré en Égypte, il se peut que la bernique ait joué un rôle religieux » dit Jean-Paul Le Bihan. Le culte important voué à ce coquillage; qui pourrait par sa forme symboliser la féminité et la fertilité, pourrait être un culte voué à la déesse-mère. Artémidore, géographe du ie siècle av. J.-C., évoque un culte à Cérès, déesse de la fertilité, dans une île proche de la Bretagne, qui est peut-être Ouessant. Par ailleurs, des milliers d’ossements d’animaux, et dans 70 % des cas, des os d’épaules droites, ont aussi été découverts près de ce sanctuaire, sans que cette particularité ne soit pour l’instant expliquée. « Cela renforce l’idée qu’Ouessant était, à cette époque, un passage obligé sur les routes de l’étain. L’île devait être une escale où on réparait les navires, où l’on faisait le plein de provisions et d’eau et où l’on embauchait des pilotes pour franchir la Mer d’Iroise » pense Jean-Paul Le Bihan.

L’île était un repère pour les marins de l’Antiquité (Carthaginois, puis Grecs et Romains) qui faisaient le commerce de l’étain avec les Îles Cassitérides (Cornouaille ou Sorlingues) : le géographe grec Strabon la désigne sous le nom d’Oυξισαμη, Pline l’Ancien comme Axanta, mais le nom latin usuel est Uxantis.

150px-Homme_d%27OuessantLe cromlech de la presqu’île de Pen-ar-Lan, qui a une forme ovoïde (un « œuf mégalithique » formé de 18 blocs de 0,60 m à 1 mètre de haut, réunis par un talus, en fait un petit muret de pierres, dessinant une ellipse de 13 m dans son axe est-ouest sur 10 m dans son axe nord-sud), était peut-être un monument astronomique préhistorique ; une autre hypothèse en fait un coffre sépulcral mégalithique. Au centre se trouvaient deux menhirs qui ont disparu. Le site a été fouillé en 1988 par les archéologues Jacques Briard et Michel Le Goffic.

Paul Gruyer, dans son livre Ouessant, Enez Heussa, l’île de l’Epouvante, publié en 1899, rapporte l’ancienne tradition orale qui faisait d’Ouessant la mythique Thulé, tradition déjà rapportée un siècle plus tôt par Jacques Cambry dans son Voyage dans le Finistère... Cette hypothèse est rejetée par les historiens désormais.

Au ive siècle avant J.-C., le navigateur marseillais Pythéas, qui s’est rendu jusque dans les Îles Britanniques et la Scandinavie, suivant la route de l’étain et la route de l’ambre, découvre aussi au passage le cap Kabaïon ( = la Pointe de Penmarc’h) et Uxisama, le pays des Œstrymni ( = Ouessant).

 

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Aux monts et lacs, le lac de Pareloup

Posté par francesca7 le 8 janvier 2014

 

 

Pareloupiles

Le lac de Pareloup est la 9e plus grande retenue d’eau artificielle de France et la deuxième du sud de la France. Il appartient à la région des monts et lacs du Lévézou, lieux à vocation agricoles notamment d’élevage bovins comme tout l’Aveyron et dans une certaine mesure touristique.

Les rives de la retenue sont très découpées (130 km) et dégagent de nombreuses péninsules et deux îles (au large de la presqu’île de Routaboul et Le Coutal).

Étant dans une cuvette, des côtes généralement peu escarpées dégagent de vastes plages sableuses ou vaseuses qui font parfois (lorsque le marnage est à son minima) plusieurs dizaines de mètres de large.

Le Lac de Pareloup se trouve dans un couloir aérien desservant l’Aéroport de Rodez-Aveyron. Ainsi, nombreux sont les appareils effectuant leurs rotations afin de s’incliner face à une des pistes de l’aéroport au niveau de ce secteur.

Construit dans les années 1950, le barrage a créé une retenue qui a noyé la cuvette appelée « la cuvette du Vioulou ». Des fermes(Caussanel) et des moulins y furent engloutis.

Depuis le début des années 1980, le tourisme s’intensifie et l’été les estivants font tripler la population: nombreux campings, résidences secondaires, hôtels, activités nautiques motorisées ou pas, patrimoine bâti et naturel diversifiés …

En 1993, la vidange de la retenue (la première depuis 1961) a permis de remettre à jour de nombreux vestiges. Le plus connu est le « pont des 15 arches » sur lequel passe une route ancienne de Pont-de-Salars à Salles-Curan pour traverser le Vioulou. Ce pont bien que noyé pendant quarante ans était encore intact. La présence de vestiges archéologiques, comme la voie romaine (Caussanel) et des outils préhistoriques, donne au lieu un intérêt particulier.

La vidange a permis grâce à une retenue de déterminer la composition piscicole du lac: 15 espèces de poissons ont été identifiés, en majorité du gardon (45 %), de la brème (36 %), du brochet (5,5 %), du sandre (5,16 %) et de la perche commune (5,16 %).

Le lac est prisé des touristes, et les politiques locales d’aménagement du territoire ont développé l’activité touristique en y créant de nombreuses infrastructures. Les routes qui longent plus ou moins les rives desservent deux plages publiques (Notre-Dame-d’Aures-Pareloup, commune d’Arvieu et Vernhes, commune de Salles-Curan), trois ports (Notre-Dame-d’Aures-Pareloup, Vernhes et Salles-Curan), des campings innombrables et centres nautiques. Bien que les plages publiques soit surveillées par des sauveteurs, nombreux sont les estivants qui préfèrent les plages comme celle du Caussanel ou de Saint-Martin des Faux.

Image illustrative de l'article Lac de PareloupLe lac de Pareloup ou retenue de Pareloup se trouve dans l’Aveyron, entre Rodez et Millau sur le plateau du Lévézou à 805 m d’altitude.

D’une superficie d’environ 1 290 hectares, c’est une retenue artificielle résultant de la construction du barrage de Pareloup par EDF dans les années 1950.

Elle est prisée des pêcheurs et des estivants pour les nombreuses activités (baignade, bateau et pêche) qui s’y pratiquent, qui ne sont pas sans poser quelques problèmes environnementaux.

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