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Histoire de l’Horloge comtoise

Posté par francesca7 le 18 décembre 2013

 

Histoire de l’Horloge comtoise dans Jura 120px-Gaine_ComtoiseÀ l’origine, les Comtoises ont conquis les foyers des diverses provinces françaises, souvent offertes comme cadeau de mariage… En effet, elles constituaient un cadeau de grande qualité : Utiles, très solides dans le temps, d’un prix relativement accessible, elles se sont vite avérées être précises et fiables. La sonnerie des heures s’entendait dans toute la maison et rythmait ainsi le quotidien d’une famille du lever au coucher de soleil.

Les chapitres suivants présentent l’évolution générale de l’horloge comtoise avec le temps. De nombreuses variations existent. On peut même considérer qu’au xviie siècle et au xviiie siècle, chaque horloge est pratiquement unique. En effet, à cette époque chaque artisan horloger est indépendant, sa production annuelle est de quelques dizaines d’horloges. Il réalise lui-même la quasi-totalité des pièces nécessaires.

L’horloge comtoise est une horloge à pendule fabriquée en Franche-Comté, et plus particulièrement à Morez et Morbier dans le Haut Jura, à partir de la fin du xviie siècle et dont la fabrication industrielle s’est arrêtée au début du xxe siècle.

Les horloges comtoises sont parfois connues sous d’autres appellations (« la Morez », « la Morbier » et « la Comtoise »). Ces appellations sont également utilisées en anglais ou en allemand.

Les Comtoises sont des horloges très populaires, pendant des générations, elles ont rythmé le temps dans presque toutes les fermes de France. De nombreuses Comtoises ont également été exportées vers d’autres pays d’Europe et même plus loin, jusque dans l’Empire ottoman ou en Thaïlande.

La présence chaleureuse des Comtoises dans les foyers est due à leur tic-tac régulier et à la forme du meuble imposant qui l’abrite.

En effet, le mécanisme en métal est souvent protégé par une gaine en bois. La Comtoise peut aussi être posée sur une console murale.

Objet de collection

Aujourd’hui, les horloges comtoises sont devenues de véritables objets de collection, car elles présentent savoir-faire de haute précision et grande diversité. En effet, les Comtoises ont été fabriquées sur une période exceptionnellement longue : près de 230 ans1. Evidement, les Comtoises les plus anciennes sont plus rares et plus recherchées.

Les variations concernent essentiellement le cadran, le fronton, l’encadrement et le balancier. De nombreuses Comtoises comportent des complications, avec entre autres des horloges munies de plusieurs timbres, d’indication de la date ou des phases de la lune ou plus exceptionnellement avec des mécanismes d’animation, des carillons …

L’horloge comtoise est réputée pour la très grande variété de sa décoration. En effet, cette décoration varie suivant la période et aussi suivant le régime politique (les Bourbon, la Révolution française, l’Empire …).

La gaine en bois a également beaucoup évolué au fil du temps. La décoration de ces gaines présente aussi une grande variété (souvent avec des motifs de fleurs).

Caractéristiques de la comtoise

Les Comtoises se caractérisent par la présence de deux mécanismes, le premier pour le mouvement et le second pour la sonnerie. Ces mécanismes sont situés côte à côte dans une cage en fer démontable. L’entraînement est effectué par 2 poids en fonte, la régulation est assurée par un long balancier (ou pendule).

Le cadran des Comtoises comporte très souvent une signature avec, en dessous, le nom d’une ville ou d’une localité. Cette signature correspond rarement au fabricant, mais plus souvent au nom du revendeur. La localité indiquée ne correspond, le plus souvent, qu’à la ville du revendeur, les mécanismes étant uniquement produits dans le Jura français.

au xviie siècle

360px-Musée_Horlogerie_Morteau_095Les toutes premières horloges comtoises apparaissent vers 1680, très probablement dans la région de Morez. Ces premières horloges sont primitives, bien peu d’entre elles sont parvenues jusqu’à nous :

Le cadran est en métal (laiton et plus rarement en étain), l’utilisation de l’émail viendra plus tard ;

Une seule aiguille (pour les heures) ;

Le pendule est un simple fil métallique muni d’un poids en plomb à son extrémité ;

Le pendule est situé derrière les poids.

au xviiie siècle

Au début du xviiie siècle une nouvelle génération d’horloge comtoise apparaît :

  • Le cadran est en bronze et présente une décoration ciselée ;
  • Le cadran comporte plusieurs cartouches en émail (douze pour les heures et parfois 12 de plus pour les minutes) ;
  • L’horloge est signée par le Maître horloger.

Le fronton en laiton coulé s’impose progressivement. Il représente souvent un coq gaulois ou le soleil (Phoebus).

Dans la deuxième partie du xviiie siècle les progrès de la technique de l’émail permettent de réaliser des cadrans entiers.

Pour des raisons de coût de transport, les poids nécessaires au fonctionnement de l’horloge (5 kg environ) ne sont pas produits dans le Jura mais en général fabriqués par le forgeron situé proche du revendeur.

Pendant la Révolution le fronton change, le bonnet phrygien ou l’inscription « Liberté » remplace la fleur de lys.

au xixe siècle

Pendant l’Empire, le fronton change à nouveau pour représenter un aigle ou le portrait de Napoléon. Puis pendant la Restauration on retrouve sur le fronton des sujets comme le coq, le soleil …

Le pendule prend une forme de lentille.

Les gaines en bois qui permettent de protéger les horloges et de les mettre en valeur sont fabriquées dans toute la France et s’adaptent au style régional. La Comtoise qui était jusqu’alors surtout une horloge murale devient une horloge de parquet. Le village de Bois-d’Amont produit également un grand nombre de gaines en épicéa.

Dans la deuxième partie du xixe siècle, la gaine en bois prend une forme arrondie qui permet d’admirer le pendule en forme de Lyre. Certains pendules sont aussi munis d’automates, représentant par exemple une scène de la vie courante avec des personnages animés.

Le fronton et le tour du cadran forment une seule pièce (voir image de droite). Cette pièce est estampée, en laiton le plus souvent. Une grande variété de décors existe (scènes de moisson ou de vendanges, corbeille de fleur, couples de personnages, mais aussi des sujets plus rares).

À partir de 1870 une variante, beaucoup plus sobre, dont le cadran est entouré d’un simple anneau de laiton est produite : la « lunette ». Elle est destinée aux écoles, gares et bureaux.

aux xxe et xxie siècles

1915 correspond à la fin de la production industrielle des horloges comtoises.

Plusieurs artisans subsistent aujourd’hui. Ils assurent la rénovation des horloges anciennes mais produisent aussi des mécanismes neufs.

 

 

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Estivales des Orgues du Jura

Posté par francesca7 le 18 décembre 2013

Estivales des Orgues du Jura dans Jura 270px-Orgue_polignyEstivales des Orgues du Jura - « Festival de musique d’orgues » – est un festival de musique classique contemporaine organisé chaque été depuis 1997 en Franche-Comté dans le département du Jura.

Cette manifestation propose chaque été une quinzaine de concerts baroques, romantiques, contemporains, etc., avec de grandes personnalités artistiques.

 

Association des amis des orgues du Haut-Jura, 19 rue Pasteur, 39400 Morez

En 2012 par exemple,  au 16èmes Estivales des orgues 

Thème : « Réforme – Contre-Réforme »

_L’Europe du XVIème siècle est marquée par plusieurs mouvements de réformes qui touchent le monde religieux, notamment la Réforme luthérienne et la Réforme catholique. Dès 1517, Martin Luther (1483 – 1546) affiche sur la porte de l’église de Wittenberg quatre-vingt-quinze propositions pour une Réforme de l’Église en réponse aux ’dépravations’ de l’Église romaine. Pour ce moine érudit et musicien « Dieu annonce l’Évangile aussi par la musique ». Il entreprend la réforme des offices désormais dits et chantés en langue vernaculaire. _Luther propose également un nouveau type de chant composé de brèves périodes et de valeurs rythmiques simples : le choral. La montée de la Réforme conduit l’empereur Charles Quint à demander la réunion d’un concile. Le pape Paul III lance une première convocation en 1536 mais le concile ne se réunit qu’en 1545 à Trente, en terre d’Empire. _Le concile de Trente, sous le règne de quatre papes, se déroule sur 18 ans en 25 sessions, ponctuées de longues interruptions. Au cours de la seconde session vers 1550, une délégation protestante luthérienne se rend au concile à la demande de Charles Quint, mais il n’y a aucun dialogue. _D’un point de vue musical, les œuvres composées durant cette période deviendront de puissants vecteurs idéologiques des différents courants de réforme. La 16ème édition du festival mettra en lumière cette période et permettra de comprendre, à travers les œuvres de compositeurs célèbres tels : Jan Pieterszoon Sweelinck, Girolamo Frescobaldi, Marc-Antoine Charpentier, Johann-Sebastian Bach…, les enjeux sociétaux, religieux et musicaux de ces réformes.


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l’histoire du Fromage Morbier en Jura

Posté par francesca7 le 18 décembre 2013

 

 

280px-Morbier_(fromage)_002Morbier est une appellation d’origine désignant un fromage de lait cru de vache, fabriqué dans le massif du Jura en France, et qui tient son nom du bourg jurassien de Morbier. Cette appellationest protégée grâce à une AOC depuis 2000. Au xixe siècle, lorsqu’il restait du lait après la préparation du « noble » comté, mais pas suffisamment pour en confectionner un autre, les fermiers du pays de Morbier réservaient le restant decaillé dans une cuve en le recouvrant d’une fine couche de suie récupérée en passant les mains sur la paroi du chaudron et ayant pour fonction de le protéger des insectes.

Le morbier était alors exclusivement un fromage fermier, seules deux productions familiales fermières perdurent en 2012.

Le lendemain, après la préparation des comtés, le reste de la traite venait recouvrir la première épaisseur. Les fermiers réservaient le fromage ainsi obtenu pour leur propre consommation.

Aujourd’hui, la fine couche de cendre à la saveur douce et fruitée qui le caractérise n’a plus qu’un rôle décoratif en souvenir de cette vieille pratique.

C’est un fromage à base de lait de vache, à pâte pressée non cuite, une meule a un poids moyen de 7 kg.

Consulter les documents : http://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:C:2001:270:0004:0005:FR:PDF

On ne sait pas exactement à quelle époque on commença à fabriquer le fromage Morbier, que les producteurs de Comté réservaient autrefois à leur consommation personnelle. Il s’agissait en effet d’un « recherchon », élaboré avec le reste d’une cuve qui n’avait pu être pris dans la toile où l’on mettait en attente jusqu’à la traite du lendemain.  Pour éviter que le fromage Morbier ne soit contaminé par les insectes, les fromagers en enduisaient la surface de suie qu’ils grattaient sur les parois du chaudron (le bois qui servait à le chauffer émettait en effet des résines brûlées au propriétés insecticides). Le lendemain, on « rechargeait » ce demi-fromage du reste de la « coulée » suivante.

Le fromage Morbier a plus de deux siècles. Les plus anciens documents retrouvés l’évoquent ainsi :
• 1795 : Le Maire de Morbier, dans une lettre, parle de la fabrication de « fromages gras » de 8 à 10 kg appelés « Petit Morbier ». 

• 1799 : « …À la Chapelle-des-Bois, sur le Mont Risoux, des fromages sont faits à la façon des gruyères, mais le résultat est une pâte plus grasse, moins percée de trous que le gruyère et un peu persillée par raies … »

Mais il y a vraisemblablement plus de 250 ans que, dans les fermes et les fruitières * du Doubs et du Jura, se fabrique, selon les règles de l’Art, ce produit du terroir caractérisé par sa ligne cendrée. Aujourd’hui, la ligne de suie n’est plus qu’un décor destiné à différencier le produit. 

Son nom vient de la localité du Jura, Morbier,  où le fromage était commercialisé au départ. La commune est à une altitude de 800 m avec un point culminant à 1 200 m. 
Le fromage Morbier prend la forme d’un disque à talon en équerre, de 35 à 40 cm de diamètre, 7 à 9 cm d’épaisseur pour un poids compris entre 6 et 8 kg. L’affinage de ce fromage du Jura dure entre deux et trois mois en cave fraîche et humide. 

Morbier (cheese).JPGSeuls peuvent bénéficier de l’appellation d’origine contrôlée « Morbier » les fromages répondant aux usages locaux, loyaux et constants et aux dispositions du présent décret. Le morbier est un fromage au lait de vache, à pâte pressée non cuite, de la forme d’un cyclindre plat de 30 à 40 centimètres de diamètre, d’une hauteur de 5 à 8 centimètres, d’un poids de 5 à 8 kilogrammes, qui présente des faces planes et un talon légèrement convexe. Son croûtage naturel, lisse et homogène, est de couleur gris clair à beige orangé. Sa pâte est de couleur ivoire à jaune pâle avec éventuellement une ouverture discrète. Elle est souple, onctueuse et fondante, de texture fine, à léger goût de crème. Son parfum est franc, fruité et persistant. Ce fromage présente une raie noire centrale horizontale, bien soudée et continue sur toute la tranche. Ce fromage contient au minimum 45 grammes de matière grasse pour 100 grammes de fromage après complète dessication. L’humidité dans le fromage dégraissé (HFD) ne doit pas excéder 67 %.

La production du lait, la fabrication et l’affinage des fromages sont effectués dans l’aire géographique telle qu’approuvée par le comité national des produits laitiers de l’Institut national des appellations d’origine en séance du 2 octobre 1998 et comprenant les communes suivantes : Département de l’Ain : communes d’Apremont, Bellegarde-sur-Valserine pour la partie correspondant à l’ancienne commune de Coupy, Belleydoux, Champfromier, Charix, Chézery-Forens, Confort, Echallon, Giron, Lancrans, Leaz, Lelex, Mijoux, Plagne, Montanges et Saint-Germain-de-Joux ; Département du Doubs : toutes les communes du département ;Département du Jura : toutes les communes, à l’exception de celles du canton de Chemin ;Département de Saône-et-Loire : communes de Beaurepaire-en-Bresse, Beauvernois, Bellevesvre, Champagnat, Cuiseaux, Flacey-en-Bresse, Fretterans, Joudes, Mouthier-en-Bresse, Sagy, Saillenard, Savigny-en-Revermont et Torpes.

Le lait pour l’obtention du morbier provient uniquement de vaches de race montbéliarde ou de race simmental française. Le troupeau est conduit selon les usages locaux, loyaux et constants. Sur l’exploitation, la superficie herbagère effectivement exploitée doit être au minimum égale à un hectare par vache laitière. La ration de base de l’alimentation des vaches laitières est constituée de fourrages issus de prairies situées dans l’aire géographique définie à l’article 2. L’alimentation des vaches laitières est exempte toute l’année de tout produit d’ensilage ou d’autres aliments fermentés, dont les fourrages conservés sous forme de balles enrubannées.

Le morbier est fabriqué exclusivement avec du lait de vache mis en oeuvre à l’état cru. A l’exception d’un écrémage partiel, d’un emprésurage, d’un ajout de ferments lactiques ou d’auxiliaires de fabrication définis par le règlement prévu à l’article 9, tout retrait ou ajout à ce lait sont interdits. Seuls les laits conformes aux articles 2 et 3 du présent décret peuvent entrer dans les locaux de fabrication du morbier. Ces laits sont collectés séparément de tout autre lait ne respectant pas les conditions du présent décret. Ils parviennent à l’atelier de transformation dans le plus bref délai après chaque traite. Toutefois, ils peuvent n’être apportés qu’une fois par jour lorsqu’ils sont refroidis dans les conditions précisées par le règlement d’application. Sous réserve de dérogations prévues par arrêté du ministre chargé de l’agriculture, la mise en fabrication intervient dans un délai maximum de quatorze heures après la traite la plus ancienne en cas de conservation du lait entre 14°C et 18°C ou de vingt-quatre heures après la traite la plus ancienne en cas de refroidissement du lait à 8°C maximum. Ce délai peut être étendu exceptionnellement à trente-six heures en cas de difficultés routières exceptionnelles, dues à des aléas climatiques.

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