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    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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  • > Archives pour le Samedi 14 décembre 2013

Au Musée de la Soierie à Charlieu

Posté par francesca7 le 14 décembre 2013

 

PAYS DE LOIRE…..

DOC42-052-9608-018-f41d0En 1992, un Musée de la Soierie s’est installé dans l’ancien hôtel-Dieu de Charlieu, beau bâtiment du XVIIIè siècle.

La visite débute par un ensemble de machines textiles en état de marche, dont la plupart datent du XIXè. De luxueuses robes de soies anciennes ainsi que des échantillons de créations conçues pour la Haute Couture sont également présentés.

Une partie du musée est consacrée à la dernière Corporation des Tisserands en activité en France : celle de Charlieu qui organise tous les ans une fête unique et spectaculaire avec vente aux enchères de charges royales. Pour compléter la visite, une projection audiovisuelle relate les différentes étapes de la création d’un tissu.

Par ailleurs, la boutique du musée propose des étoffes tissées à Charlieu, ainsi que de très nombreux articles en soie, vêtements et objets de décoration réalisés par son atelier.

A noter que le musée présente chaque année des expositions temporaires.

Coup de cœur…
Les démonstrations
Le musée présente un ensemble de métiers à tisser qui fonctionnent davant le visiteur: métier à bras en bois, métiers mécaniques, dont un « jacquard », métier contemporain sans navette, ainsi que la production actuelle des entreprises locales.


Ouverture du 1° mars au 31 décembre

de 14h à 18h du 1°mars au 17 juin et du 10 sept au 31 déc sauf le lundi

de 10h à 13h et de 14h à 19h du 18 juin au 9 sept sauf le lundi

fermé en janvier et février et le 25 décembre  tel :04.77.60.28.84.

 

A Charlieu, la Corporation des Tisserands, dont l’origine remonte au Moyen Age (la dernière à perdurer en France) organise une fête traditionnelle. Supprimée, comme toutes les corporations, à la Révolution, elle fut rétablie en 1805. Elle n’a jamais cessé d’exister depuis. Si son rôle de réglementation de la profession a disparu, elle regroupe toujours un nombre important de syndics et organise tous les ans, au mois de septembre, une fête originale. A cette occasion, la statue de Notre-Dame de Septembre, patronne de la Corporation et de la cité, est portée en procession dans les rues, ainsi que sa bannière et un modèle réduit de métier à tisser. Après la messe, a lieu une vente aux enchères de titres de Royauté, destinés aux enfants. Chaque année sont ainsi vendues les charges de Roi, Reine, Dauphine et Dauphin, tandis que les « Majestés » de l’année précédente assistent solennellement, dans leur beaux costumes de soie, à la cérémonie.

 

à savoir:

Des stages sont organisés: 

84 renseignements complémentaires à Office de Tourisme du Pays de Charlieu 
Tél. 04 77 60 12 42 – E-Mail : office.tourisme.charlieu@wanadoo.fr

ou écrire à  musee.charlieu.accueil@orange.fr

 

Depuis un siècle et demi, la petite ville de Charlieu est réputée pour ses exceptionnelles étoffes de soie. En 1992, un musée de la Soierie s’est installé dans l’ancien hôtel-Dieu de Charlieu, beau bâtiment du XVIIIe siècle. Il bénéficie du label « musée contrôlé », décerné par le Ministère de la Culture. Du métier à tisser en bois au métier à jet d’air, le musée présente l’évolution technologique et l’activité des tisseurs du Charluais depuis le début du XIXe siècle, au moyen de matériel en fonctionnement, ainsi que de nombreux vêtements et accessoires de soie. Le fleuron de la production des entreprises locales pour la haute couture et l’ameublement haut de gamme, est exposé au Musée qui organise aussi, régulièrement des stages « Découverte des étoffes anciennes ». Un atelier intégré à l’établissement produit des objets originaux destinés à la Boutique.

 photo_marche_charlieu-dd953

Dès le XIII° siècle, Charlieu – qui est alors une ville importante – groupe de nombreux marchands de toile et, certainement, de nombreux tisserands. Au XVII° siècle, le tissage des toiles de chanvre est l’une des principales activités des habitants de Charlieu et des paysans des communes environnantes. Ils tissent surtout de la toile d’étoupe pour fabriquer des sacs. Un changement important se produit avec l’arrivée du coton dans la région à la fin du XVII° ou au début du XVIII°. Les toiles tissées à Charlieu et dans les environs, dites  » beaujolaises « , se vendent alors dans toute la France et même à l’étranger. A partir de 1764, Charlieu, comme Thizy et Belleville, dans le Rhône, a son  » bureau de la marque des toiles « . Son rôle consiste à vérifier les coupes de tissu. Sur les pièces reconnues conformes aux règlements, une empreinte indélébile est apposée, sans laquelle elles ne peuvent circules sous peine de confiscation.

En 1827, un fabricant lyonnais, Barthélemy Roux, a l’idée d’installer à Charlieu et à St Bonnet – de – Cray des métiers de soierie. Peu à peu, le tissage de la soie va supplanter celui du coton. En 1880, on compte quelques 10.000 métiers à bras à Charlieu même et dans les environ.

A partir de 1880, les métiers mécaniques, actionnés par la vapeur, font concurrence aux métiers à bras : les canuts partent travailler à  » la fabrique « .

De nombreuses usines se construisent et, vers 1900, on compte 8.000 ouvriers et ouvrières en soierie et 6.000 métiers.

L’électrification de la ville de Charlieu en 1909 stoppe l’évolution vers la concentration industrielle et voit la renaissance des ateliers domestiques. Le tissage de la soie à Charlieu suscite ou encourage de nombreuses autres activités artisanales ou industrielles, comme la teinture, la fabrication de navettes, de bobines, etc.

images (13)Aujourd’hui, le tissage continue à Charlieu et dans ses environs, malgré l’importante réduction du tissu industriel dans les années 50 à nos jours. La spécialité demeure le tissu pour robe et ameublement . L’industrie soyeuse de Charlieu travaille aujourd’hui pour la Haute Couture : Kenzo, Yves-Saint-Laurent, Givenchy, Christian Lacroix, sont parmi ses clients. Elle fournit aussi des tissus pour le prêt-à-porter haut de gamme et du tissu d’ameublement pour les demeures luxueuses du monde entier. L’évolution des marchés a amené les entreprises à diversifier leurs productions dans les domaines des tissus techniques (anti – feu, anti – bruit, pour revêtements de sièges de l’automobile et des transports en commun, etc…)

Le Musée de la Soierie, qui a ouvert ses portes en mai 1992, a pour objet de valoriser et mettre en scène le patrimoine textile de la région de Charlieu qui a été ou est concernée par le tissage de la soie , avec le travail à domicile ou avec l’implantation d’entreprises importantes.

Les collections du Musée comprennent du matériel textile, dont de rares machines en bois du XIX° siècle, mais aussi des métiers à tisser de la première moitié du XX° siècle et un métier contemporain permettant ainsi d’appréhender l’évolution technologique de ce secteur d’activité sur deux cents ans. Plusieurs métiers à tisser fonctionnent devant le public, montrant concrètement la façon dont se réalise le tissu.

Un autre pôle important des collections concerne la Corporation des Tisserands, la dernière en activité en France. D’un grand intérêt historique, ethnologique et artistique, ce fonds est intégré dans la présentation muséographique et constitue sans doute un des points forts du Musée par son originalité.

Un très bel ensemble de robes de soie, de la fin du XIX° à la période contemporaine, des étoffes somptueuses, des documents d’archives, des photographies d’ateliers ou d’usines textiles complètent cette exposition permanente.

Un autre îlot permet de découvrir la production actuelle de la région de Charlieu à travers une présentation des entreprises et des échantillons de leurs dernières collections.

Enfin, des projections vidéo illustrent d’autres aspects spécifiques de la production soyeuse : élevage du ver à soie, teintures et apprêts , impression…

Le Musée de la Soierie est un musée contrôlé par la Direction des Musées de France. Il a reçu en 1991 le prix de la Fondation de Crédit Agricole  » Pays de France « .

 

Un lieu, un site : http://www.amisdesartscharlieu.com/spip.php?article13

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LES ATELIERS PÉDAGOGIQUES à Montbard

Posté par francesca7 le 14 décembre 2013

VERNISSAGE-LUMIERE-MUSEE-BUFFON-NET

Un Musée à vivre

Apprendre à lire et à interpréter une image ou un objet pour en saisir la signification, acquérir les bases culturelles pour s’interroger et poser les bonnes questions, mais aussi prendre du plaisir à visiter un lieu différent et complémentaire de l’école…
Telles sont les vocations d’un musée comme le Musée-Site-Buffon.

La mission d’un musée n’est-elle pas de donner aux enfants et aux jeunes, la possibilité de construire un rapport personnel avec les arts et la culture ? De favoriser le développement d’une approche sensible et créative mais aussi rationnelle du savoir et du monde ? En cela, le Musée-Site Buffon contribue à former de nouvelles générations de jeunes cultivés, ouverts aux arts, à la culture et à la nature.
Comprendre un musée pour mieux penser l’avenir demande naturellement aux élèves d’être guidés. Pour cela, le service d’action culturelle du musée est aujourd’hui un véritable outil de travail pédagogique.

Des ateliers pédagogiques pour le jeune public

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Depuis 2008, le Musée-Site-Buffon propose aux écoles de Montbard et de l’ensemble de la circonscription de Châtillon-sur-Seine, une série d’ateliers pédagogiques (Programme 2013-2014 à télécharger).

Associer les sciences et les arts, la théorie et la pratique, l’observation, l’expérimentation et la réflexion, dans l’esprit de Buffon, tels sont les objectifs de ces ateliers à travers lesquels les enfants deviennent acteurs des savoirs et des savoir-faire que nous leur proposons.
Réaliser un croquis naturaliste, apprendre à lire un tableau, observer l’infiniment petit au microscope, fabriquer un herbier… sont autant d’expériences à vivre au musée pour développer sa capacité d’émerveillement et de questionnement.  
Une approche ludique et interdisciplinaire permettant d’aborder les collections sous un angle à la fois artistique et naturaliste.
L’espace de médiation se veut aussi bien un atelier d’artistes (en herbe) qu’un laboratoire de savants (fous) ! En un mot, un vrai Cabinet de curiosités !

Pour plus de renseignement, adressez-vous par mail à musee-site-buffon@montbard.com ou par téléphone au 03 80 92 50 42

 

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au Musée de Châtillon sur Seine en Côte d’Or

Posté par francesca7 le 14 décembre 2013

 

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L’habitat fortifié celte de Vix

Il s’agit du site archéologique le plus emblématique et le plus connu du Pays Châtillonnais sur lequel des fouilles sont menées chaque été par des équipes universitaires françaises, autrichiennes et allemandes.

L'hôtel Philandrier qui hébergea le musée archéologique jusqu'en 2009C’est au pied du Mont Lassois, dans une boucle de la Seine, que fut découvert le célèbre Vase de Vix, dans la tombe d’une princesse celte. A son sommet, domine un vaste plateau urbanisé et fortifié. Ont été reconnus à ce jour deux maisons à absides dont l’une aux proportions peu communes, quelques maisons, des bâtiments à usage agricole et plusieurs tronçons du rempart, l’ensemble étant attribué au premier âge du Fer.

Vaste plateau s’élevant à 306 mètres d’altitude, le Mont Lassois est aussi un des plus beaux points de vue du Châtillonnais. Une église romane y est installée, l’église St Marcel.

Vertault

La Cité antique de Vertillum

Classé au titre des Monuments Historiques depuis 1875, ce site gallo-romain positionné sur un plateau à 355 mètres d’altitude est aménagé en visite libre à travers un parcours avec panneaux explicatifs. Sont visibles de nombreuses structures enterrées, les vestiges des remparts, des thermes et du temple.

Une visite accompagnée peut être organisée par l’Association Revivre en Haute Bourgogne sur demande au 03 80 81 47 46.

Le Tremblois

Le Fanum du Tremblois
entre St Germain-le-Rocheux et Villiers-le-Duc

Au coeur de la forêt châtillonnaise, ce site fait référence à l’organisation religieuse en présence sur le territoire. C’est un ensemble cultuel complet de la fin de l’Age du fer et de la période gallo-romaine. Le fanum est entouré de son enclos et comporte un ensemble de bâtiments à usage de boutiques.

En outre, ce site est une réserve faunistique et floristique de premier ordre.

 

Le trésor de Vix

La découverte

au Musée de Châtillon sur Seine en Côte d'Or dans Côte d'Or 220px-Crat%C3%A8re_de_Vix_0023Janvier 1953, Maurice Moisson et René Joffroy découvrent, au pied du Mont Lassois, une tombe princière inviolée. L’opulence extraordinaire de son mobilier qui date la tombe du début du Vème siècle (vers 480 av. J.C.) marque l’apogée de la résidence princière appelée à disparaître quelques temps plus tard. La tombe de Vix reste, parmi les sépultures princières de la fin du premier âge du fer, celle qui a livré le plus grand nombre d’importations méditerranéennes (grecques et étrusques). 
De forme cubique, la chambre funéraire édifiée en bois au centre d’un tumulus mesurant environ 40 mètres de diamètre, abritait – cas rarissime à l’époque – une riche sépulture féminine. Le corps de la défunte, âgée d’une trentaine d’années et parée de ses plus beaux bijoux, avait été déposé sur la caisse d’un char dont les quatre roues démontées étaient alignées le long de la paroi. Un énorme cratère à volutes en bronze d’origine laconienne, deux coupes en céramique attique, un torque en or, une phiale en argent à ombilic d’or, une cruche à vin (oenochoé), ainsi que trois bassins en bronze se trouvaient également dans la tombe.

Cette découverte est aujourd’hui considérée comme une référence internationale dans l’étude de cette période et a été qualifiée comme la découverte la plus importante réalisée en France au XXème siècle.

Le contenu de la tombe

La tombe renfermait la dépouille d’une femme d’une trentaine d’années gisant autrefois sur un char. La dame était parée de ses plus beaux atours. Elle était couverte de pas moins de 25 objets de parure : fibules (broches pour retenir les extrémités d’un vêtement) en bronze, avec incrustations de corail ou d’ambre, ou de fer avec de l’or ; anneaux de bronze (pour les chevilles), bracelets de schiste, de bronze (avec des perles d’ambre, de diorite et de serpentine). Et surtout un extraordinaire collier d’or (torque), pesant 480 g.

Outre ces bijoux, ont été retrouvés : une cruche (oenochoé en jargon archéologique) et trois bassins (récipients portatifs creux) étrusques en bronze, ainsi que deux coupes en céramique attique (originaires de la région d’Athènes). Ces objets apportent de très précieuses informations sur les courants d’échanges entre la région de Vix et la Méditerranée.

Le cratère de la tombe de Vix

Le cratère (vase antique à deux anses, en forme de coupe, dans lequel on mêlait l’eau et le vin) de Vix est le plus grand vase connu à ce jour et peut contenir presque quatre fois plus de liquide (quelque 1100 litres). D’une épaisseur de 1,2 mm, il mesure 1,64 m, pèse 208 kg. Son diamètre est de 1,27 m.

La cuve et le col sont martelés en une seule pièce. Sur le col, on observe un défilé de guerriers grecs (hoplites), tantôt à pied, tantôt conduisant des chars. Le cratère était recouvert d’un couvercle sur lequel était fixée une statuette de femme haute de 19 cm, dont la tête est significative de la fin de l’art grec archaïque.

La dame de Vix

Il s’agissait, selon toute vraisemblance, d’une personnalité très importante. Dans la société celte d’alors, les femmes pouvaient apparemment jouer un rôle de premier plan. Celui de la dame de Vix était sans doute plus religieux que politique. La statuette du couvercle montre une femme debout, la tête couverte d’un long voile, tenant apparemment dans ses mains des objets qui ont disparu. Une autre statuette, découverte près de la tombe, permet de les identifier: elle représente, elle aussi, une femme debout qui tient une phiale dans sa main droite et une cruche dans sa main gauche.

Quelques ouvrages 

« La tombe princière de Vix  » 
Ouvrage publié sous la direction de Claude Rolley, photos de Jacques Renoux, éditions Picard, Dijon, 2003

« Les fabuleuses découvertes du XXe siècle   » 
« Dossiers de l’archéologie », n°259, décembre 2000-janvier 2001

« Vix, le cinquantenaire d’une découverte » 
« Dossiers de l’archéologie », n°284, juin 2003

« Autour de la dame de Vix, Celtes, Grecs et Etrusques » 
Catalogue de l’exposition organisée au musée du Châtillonnais à Châtillon-sur-Seine (Côte-d’Or), du 27 juin au 14 octobre 2003

un site officiel à visiter : http://www.musee-vix.fr/fr/index.php?page=11

 

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