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    « La restauration est une opération qui doit garder un caractère exceptionnel. Elle a pour but de conserver et de révéler les valeurs esthétiques et historiques du monument et se fonde sur le respect de la substance ancienne et de documents authentiques. Elle s’arrête là où commence l’hypothèse, sur le plan des reconstitutions conjecturales, tout travail de complément reconnu indispensable pour raisons esthétiques ou techniques relève de la composition architecturale et portera la marque de notre temps. » citation Charte de Venise, art. 9, ICOMOS, 196.

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    Citation sur la France.
    !!!!
    La France, je l'aime corps et biens, en amoureux transi, en amant comblé. Je la parcours, je l'étreins, elle m'émerveille. C'est physique. Pour l'heure, c'est le plus beau pays du Monde, le plus gracieux, le plus spirituel, le plus agréable à vivre. En dépit de ses défauts, le peuple français a des réserves inépuisables de vigueur, d'astuce et de générosité. j'écris cela en toute connaissance de la déprime qui périodiquement enténèbre nos compatriotes. Ils ont une pente à l'autodénigrement, une autre au nihilisme. Je suis français au naturel et j'en tire autant de fierté que de volupté. J'ai pour ce vieux pays l'amour du preux pour sa gente dame, du soudard pour la servante d'auberge, de l'érudit pour ses grimoires, du paysan pour son enclos, du bourgeois pour ses rentes, du croyant des hautes époques pour les reliques de son saint patron... J'ai la France facile, comme d'autres ont le vin gai ; je l'ai au coeur et sous la semelle de mes godasses. Je suis français, ça n'a pas dépendu de moi et ça n'a jamais été un souci. Ni une obsession. Toujours un bonheur...

    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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le Morvan – un pays pour les ports de pleine nature

Posté par francesca7 le 2 décembre 2013

 

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a la lecture des pages concernant le Morvan, vous avez déjà imaginé tout le charme de la région de Saulieu, Précy sous Thil et Liernais. Quelle que soit votre passion, elle vous attend de pied ferme. Balades en voiture, les départementales tranquilles tissent un réseau tortueux de ville sen hameaux, sans jamais s’éloigner vraiment d’une voie rapide pour votre retour.

Randonneurs à pieds, vos meilleures chaussures seront bien usées avant d’avoir parcouru sentiers et allées forestières en tous sens. Plusieurs topos-guides vous décrivent une large palette de cheminements. Adeptes du vélo tout terrain, vous vous régalerez en mixant à votre guise petites routes, charrières et sommières tout en prenant garde de vous méfier de certains beaux chemins qui fondent parfois bien vite dans les champs et les forêts, ne laissant qu’une maigre trace impraticable. Des itinéraires balisés vous attendent là aussi. Et is la neige est de la partie, sautez sur vos skis de fond, vous jubilerez en réutilisant tout ce réseau.

L’aventure vous fait rêver, essayez le nouveau « parcours Aventure » de Précy sous Thil. Emotions garanties. Mais attention, balises, chemins dégagés et même… les ponts peuvent manquer ! Pour amateurs avertis.

L’escalade vous attire, les superbes falaises granitiques de Vieux Château, entièrement équipées de neuf ces dernières années, s’abrient à l’ombre des grands pins, baignant leurs pieds dans les eaux fraîches du Serein. Toutes les possibilités épuisées, descendez vers Dun les Places. Les rochers du « Montal » et du « chien » vous préparent encore quelques belles heures de grimpe. (Un excellent topoguide décrit en détails toutes ces possibilités).

Enfin, si le temps se gâte, il vous reste la belle structure artificielle d’escalade en salle de Saulieu, référence régionale, qui accueille chaque année les principales compétitions bourguignonnes. Mais peut-être préférez-vous flâner au trop d’un cheval ? Plusieurs centres équestres vous attendent et vous proposent promenades à la journée ou stages, à cheval ou à poney. Planez au-dessus des sites et paysages ? L’aéro-club de Saulieu-Liernais vous emportera vers les nuages. A moins qu’amateurs d’émotions fortes, vous ne préfériez l’action et dégringoler les torrents du Morvan en rafting ou hydrospeed. Parcours de santé, golf, tennis, piscine, chasse et pêche, tout est possible par ici. Et puis, régalez-vous de ces paysages creusés de vallons et agrémentés de villages et hameaux à l’aspect si différent l’un à l’autre. Flanez, prenez le temps de découvrir.

Quelque que soit votre choix, sur terre ou sur l’eau, sur les sentiers ou glissant au rythme des vents sur une planche à voile ou un dériveur basé parmi les lacs du Pays, vous pourrez vivre votre passion ou en découvrir de nouvelles. Certes, il n’y a pas ici de Mont Blanc à gravir, d’amazone à descendre ou de Hoggar à traverse, mais vous découvrirez qu’il existe bien peu de régions capables de vous proposer une telle palette d’activités réalisables dans l’excellentes conditions dans un décor de verdure étonnamment riche en vielles pierres, légendes et curiosités diverses.

Réunir richesse du patrimoine, beauté des paysages et possibilités sportives sur un même territoire, voici la force de ce pays, le Pays de Saulieu, Précy sous Thil et Liernais.

Publié dans Côte d'Or, Morvan | Pas de Commentaire »

L’Ariège au 19ème siècle

Posté par francesca7 le 2 décembre 2013

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510vkvCw4vL._AA278_PIkin4,BottomRight,-43,22_AA300_SH20_OU08_Dans nos pays Ariégeois, la Révolution de 1830 fut marquée par le pillage de plusieurs châteaux, dont celui de Gudanes, symbole de la grande propriété des maîtres de forges, et par une agitation chez les mineurs du Rancié. Mais ce n’était sans doute que conjonction avec la Guerre des Demoiselles alors à son paroxysme. L’opposition républicaine se fortifia autour du général Lafitte, « le Vieux de la montagne », devenu député, puis de son successeur Clément Anglade, qui se rendit célèbre par un discours à la Chambre dans lequel il dénonçait les injustices qui frappaient les montagnards et demandait la suppression de l’impôt sur le sel, produit indispensable aux éleveurs, d’où le surnom qui lui restera d’home de la sal. La misère grandissait et, en 1840, la mise en place d’un nouveau droit de place pour les bestiaux à la foire de Foix provoqua une émeute ; la troupe tira et laissa 13 morts et 50 blessés. On ne s’étonne donc pas de voir les Ariégeois se tourner vers le parti politique qui prônait plus de justice sociale.

Quand la révolution de 1848 éclata, le parti républicain était déjà puissant en milieu urbain. Si on installa la République avec enthousiasme mais dans le calme dans les trois villes du département, la montagne, elle, se souleva dans le Quérigut et autour du Rancié. En avril 1848, ce furent les premières élections au suffrage universel : sept députés ariégeois, sept républicains. Vite déçus sans doute, les Ariégeois votèrent en masse pour le prince Louis Napoléon en décembre. Mais en mai 1849, ils revinrent vers les hommes qu’ils connaissaient et élirent à nouveau sept républicains, dont Victor Pilhes, un des acteurs de la révolution parisienne.

Le Second Empire musela l’opinion ; ce fut le temps des candidatures officielles et des élections sans signification. L’Empereur avait promis la prospérité et, en effet, la prospérité revint ; les terres et le bétail se vendaient mieux que jamais, l’administration reconnaissait les droits d’usage, donnait des secours aux communes ariégeoises qui le demandaient, finançait une école ou un bureau de bienfaisance, le train arrivait… et puis le départ des émigrants rendait la vie plus facile à ceux qui restaient. L’Ariège devint bonapartiste et vota oui à 90 % lors du plébiscite de 1870, avec seulement quelques notes discordantes dans les milieux républicains de Pamiers et de Varilhes. Après la chute de l’Empire, les élections de 1871 furent remportées par les conservateurs qui jouaient sur le désir de paix des campagnes alors que les républicains voulaient poursuivre la guerre contre les Prussiens. Il faudra attendre 1876 et 1877 pour voir un triomphe républicain qui préfigurait le succès désormais permanent de la gauche en Ariège.

La vie quotidienne des Ariégeois du 19ème e siècle ne peut se comprendre, ne peut s’apprécier si on ne prend pas en compte cet environnement géographique, ces héritages, lointains ou récents, ce contexte historique et politique qu’ils ne peuvent ignorer au moment où le suffrage universel appelle chacun d’entre eux à participer à la vie publique.

Extrait du livre La vie en Ariège au XIXe siècle http://www.amazon.fr/vie-Ari%C3%A8ge-XIXe-si%C3%A8cle-ebook/dp/B00BEWB4W6 – ch.1

 

 

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Ardèche : en bref

Posté par francesca7 le 2 décembre 2013

 

histoire

images (12)L’Ardèche est riche de sa préhistoire, comme en témoignent ses nombreuses grottes dont celle de Chauvet-Pont-d’Arc (la plus ancienne caverne ornée connue à ce jour dans le monde) et ses monuments mégalithiques (dolmen de Champvermeil à Bidon). La période gallo-romaine marque le début de son histoire et a laissé des ponts anciens et les vestiges d’une cité (Alba-la-Romaine). De la période moyenâgeuse, on découvre de magnifiques chapelles et églises romanes. Quelques édifices marquants : Saint-Félicien (Ardèche verte), Champagne, Mazan, Lespéron (montagne ardéchoise), Thines, Chambonas (Cévenne ardéchoise), Cruas (vallée du Rhône), Viviers (Ardèche du Sud). Dans les montagnes, l’abbaye Notre-Dame-des-Neiges où séjourna l’écrivain Stevenson est aussi un lieu de pèlerinage et de retraite.

Parmi les châteaux de cette période, celui d’Aubenas avec ses tourelles et son toit en tuiles vernissées mais aussi des forteresses en ruines : Crussol et Boulogne, citée des Montlaur. Datant de la Renaissance, la splendide maison des Chevaliers à Viviers et le collège de Tournon. De la guerre des Religions (1562) qui sépara protestants et catholiques, subsistent des temples qui furent détruits pierre par pierre sur ordre de Louis XIV et reconstruits puis enrichis à partir du XIXe siècle. Les édifices caractéristiques de cette évolution sont : Vernoux, Vallon-Pont d’Arc, Les Vans, Privas, Lamastre.

culture

Tannerie et papeterie (Annonay), bijouterie (Cheylard), sériculture (soie de Les Vans), sculptures en bois et en pierre.

L’Ardèche est bordée à l’est par le Rhône qui la sépare de la Drôme et forme une bande de plaines fertiles ponctuée de villes et appelée «le rivage». Le parc naturel régional des monts d’Ardèche couvre près d’un tiers du département, principalement en bordure du Massif central. Avec ses villes postées à chacune de ses entrées (Saint-Agrève, Lamastre, Vernoux, Privas, Aubenas, Les Vans), ce grand parc offre une mosaïque de paysages très typés.


Au nord, l’Ardèche verte s’étend sur trois vallées (Cance, Ay, Doux).
 Le paysage est fait d’un subtil mélange de plateaux, vallées, gorges, terrasses de châtaigniers, prairies, vergers et vignobles. Les gorges du Doux avec leurs flancs rocheux et boisés sont très pittoresques. Le coeur de l’Ardèche est formé par trois vallées (Ouvèze, Eyrieux, Doux). Le pays des Boutières ressemble aux Cévennes par ses châtaigneraies tandis que le plateau du Coiron offre de vastes étendues désertiques. 

téléchargement (2)Le haut plateau ardéchois, domaine des pâturages et des forêts de sapins, est constitué par le Velay basaltique, le massif du Mézenc (1 754 m) et les monts du Forez. Ces derniers sont ponctués de formations géologiques d’origine volcanique. C’est au pied du mont Gerbier-de-Jonc (1551 m), l’un des plus beaux sucs (ancien cratère) de la région, que la Loire prend sa légendaire source. 

Au sud, la Cévenne ardéchoise, avec ses vallées de Beaume, Drobie et Chassezac, forme un écrin de montagnes composé de serres, vallées et étendues planes. Les faysses (pentes) y sont aménagées en terrasses. Les gorges sont préservées par le parc naturel des monts d’Ardèche et la réserve naturelle des gorges de l’Ardèche. 
Entre Vallon-Pont-d’Arc et Saint-Martin d’Ardèche, la rivière Ardèche a creusé dans le calcaire un profond canyon de 35 kilomètres de long. Le pont d’Arc, une superbe arche rocheuse classée «grand site de France» est un des plus fameux endroits. Ce territoire heurté concentre un remarquable ensemble de grottes (Saint-Marcel, la Madeleine, les Huguenots, les Tunnels) et d’avens (Orgnac, la Forestière, Marzal). Au pied du Serre-de-Barre (900 m) et à proximité du plateau des Gras, la région des Vans est typique de l’Ardèche méridionale où prédominent pins, mûriers, oliviers et vignes.

 

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Réinventer la Renaissance

Posté par francesca7 le 2 décembre 2013

 

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Après l’école de Nancy et les Lumières, la ville célébrera la Renaissance en 2013. Une centaine d’événements sont prévus.

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Une façon de faire rayonner notre patrimoine, la volonté de créer avec la population un moment de convivialité et, surtout, l’occasion de délivrer un message d’espoir et de confiance dans l’avenir. » Ainsi Michel Maigret, qui en assure la coordination, envisage-t-il « l’année de la Renaissance », dans laquelle Nancy entrera en 2013. Après le centenaire de l’école de Nancy, en 1999, et les Lumières, célébrées en 2005 pour les 250 ans de la place Stanislas, la ville et la communauté urbaine, associées pour la première fois à plusieurs communes de Lorraine, ont décidé de se replonger dans cette période aussi foisonnante que passionnante. Du 4 mai au 4 août 2013, notamment, une centaine d’événements (expositions, débats, spectacles vivants…) seront proposés. D’autres manifestations enrichiront ce programme, de Marville à Bar-le-Duc, de Consla-Grandville à Vic-sur-Seille, villes avec lesquelles Nancy a passé convention. « Dans l’histoire de la Lorraine, la Renaissance française correspond à un véritable âge d’or, tant sur le plan politique qu’intellectuel, culturel et scientifique, souligne Michel Maigret. On ouvre le corps humain pour voir comment il fonctionne ; on découvre que la Terre n’est ni plate ni le centre de l’Univers ; Christophe Colomb embarque pour un très long voyage, profitant des progrès des constructions navales. J’ai le sen- timent que nous vivons, nous aussi, une nouvelle Renaissance. »

André Rossinot ne dit pas autre chose : »Le patrimoine d’une ville,ce n’est pas seulement de la pierre, mais une accumulation de découvertes et de talents. Il s’agit toujours de s’inspirer du passé pour se projeter dans l’avenir, de s’arrêter sur une période marquante pour amener des évolutions et, pourquoi pas, des coups de génie, comme ce fut le cas avec le projet Artem imaginé dans la dynamique de l’année de l’école de Nancy. » Comme Michel Maigret, le maire considère que la France mais aussi l’Europe doivent « entrer en renaissance ». « Il faut inventer de nouveaux modèles, une nouvelle économie. Nancy est une grande ville, la Lorraine une région fabuleuse qui peut croire en son avenir pour peu qu’elle accepte de se fédérer. C’est le message que je souhaite faire passer. »

« Génie lorrain ».

Comme en 1999, avec la restauration du musée des Beaux-Arts, et en 2005 avec la rénovation de la place Stanislas, en 2013 ouvrira un grand chantier : celui de la réfection et de l’ex- tension du Musée lorrain, qui prendront une dizaine d’années. Le concours d’architecte a été lancé et le lauréat sera désigné l’an prochain. Impossible de détailler ici le pro- gramme de cette « grande année ». On retiendra seulement l’exposi- tion que le musée des Beaux-Arts consacrera à « L’automne de la Renaissance », sous le patronage de Michel Laclotte, ancien président- directeur du musée du Louvre, avec des chefs-d’oeuvre (Rubens, le Greco, Carrache…) prêtés par les plus grands musées du monde ; les « Moments d’invention » imaginés par le scénographe Bruno Cohen, où des chercheurs, des industriels, des créateurs tenteront d’imaginer le monde en 2050. « Un nouveau monde », tel sera justement l’inti- tulé d’une autre exposition, présentée cette fois au Musée lorrain et qui interrogera, à travers 400 oeuvres et objets, le « génie lorrain » de la Renaissance, celui de l’université de Pont-à-Mousson, des géographes de Saint-Dié et des architectes du duc Charles III.

 

un site www.renaissancenancy2013.com

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