• BONJOUR A TOUS ET

    bienvenue (2)

     CHEZ FRANCESCA 

  • UN FORUM discussion

    http://devantsoi.forumgratuit.org/

    ............ ICI ............
    http://devantsoi.forumgratuit.org/

  • téléchargement (4)

  • Ma PAGE FACEBOOK

    facebook image-inde

    https://www.
    facebook.com/francoise.salaun.750

  • DECOUVERTES !

    petit 7

  • BELLE VISITE A VOUS

    aniv1

    PETITS COINS DE PATRIMOINE QUI SERONT MIS EN LUMIERE AU DETOUR DE NOTRE REGION DE FRANCE...

  • Cathédrale St-Etienne-Auxerre

    St-Etienne Cathédral, Auxerre

    « La restauration est une opération qui doit garder un caractère exceptionnel. Elle a pour but de conserver et de révéler les valeurs esthétiques et historiques du monument et se fonde sur le respect de la substance ancienne et de documents authentiques. Elle s’arrête là où commence l’hypothèse, sur le plan des reconstitutions conjecturales, tout travail de complément reconnu indispensable pour raisons esthétiques ou techniques relève de la composition architecturale et portera la marque de notre temps. » citation Charte de Venise, art. 9, ICOMOS, 196.

  • M

    JE SUIS ORIGINAIRE MOI-MEME DE LA BOURGOGNE....

  • FRANCE EN IMAGES

    G

    « Un monument restauré traduit les connaissances, les ambitions, les goûts, non seulement du maître d’oeuvre mais aussi du maître d’ouvrage : c’est le vrai révélateur de l’appréhension des édifices par une génération donnée, qui leur permet de reconnaître pour sien un édifice centenaire. » citation de Françoise Bercé.

  • amis

  • Méta

  • amis

  • Architecture Française

    5

  • Artisanat Français

    1

  • A

  • amour-coeur-00040

  • montagne

    Tout devient patrimoine : l'architecture, les villes, le paysage, les bâtiments industriels, les équilibres écologiques, le code génétique.

  • 180px-Hlézard1

  • Patrimoine Français

    3

    Citation sur la France.
    !!!!
    La France, je l'aime corps et biens, en amoureux transi, en amant comblé. Je la parcours, je l'étreins, elle m'émerveille. C'est physique. Pour l'heure, c'est le plus beau pays du Monde, le plus gracieux, le plus spirituel, le plus agréable à vivre. En dépit de ses défauts, le peuple français a des réserves inépuisables de vigueur, d'astuce et de générosité. j'écris cela en toute connaissance de la déprime qui périodiquement enténèbre nos compatriotes. Ils ont une pente à l'autodénigrement, une autre au nihilisme. Je suis français au naturel et j'en tire autant de fierté que de volupté. J'ai pour ce vieux pays l'amour du preux pour sa gente dame, du soudard pour la servante d'auberge, de l'érudit pour ses grimoires, du paysan pour son enclos, du bourgeois pour ses rentes, du croyant des hautes époques pour les reliques de son saint patron... J'ai la France facile, comme d'autres ont le vin gai ; je l'ai au coeur et sous la semelle de mes godasses. Je suis français, ça n'a pas dépendu de moi et ça n'a jamais été un souci. Ni une obsession. Toujours un bonheur...

    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

  • a bientot

A la rencontre de M.De Gaulle

Posté par francesca7 le 11 novembre 2013

A la rencontre de M.De Gaulle dans FONDATEURS - PATRIMOINE de-gaulle-2129164-jpg_1861127

Tous en ont gardé un souvenir inoubliable. Récit. article paru sur http://www.lepoint.fr/societe

La rencontre avec de Gaulle est un moment-clé dans le parcours des Français libres. Chacun garde le souvenir fort du jour où, pour la première fois, il a vu surgir cette silhouette immense, sévère, distante, autoritaire, cette  » cathédrale gothique », résume François Jacob. Aucun de ces jeunes n’a entendu l’appel du 18 juin ni ne connaissait son nom. Mais quand il leur apparaît, quelques minutes, le 6 juillet 1940, à l’Olympia de Londres, où campent les FL, il trouve d’emblée les mots justes. Ni trémolo ni flatterie : « Je ne vous féliciterai pas d’être venus, vous avez fait votre devoir. Quand laFrance agonise, ses enfants se doivent de la sauver. Vous avez de la chance, jeunes Français, car vous voyagerez beaucoup. Ce sera long, ce sera dur, mais à la fin, nous vaincrons. » Présent ce jour-là,Daniel Cordier se souvient de sa silhouette de héron, de son regard de prophète et de « sa voix aux intonations étranges ». L’instant est crucial : la cause de la France libre s’incarne enfin.

Plus tard, chacun ou presque aura droit à son tête-à-tête, passage obligé. Pour Cordier, l’entretien a lieu le 1er août 1940 : « Dans ma tête, tout se bouscule : correction de ma tenue, salut en claquant les talons, formule de présentation cent fois répétée. » Le dialogue est très bref, immuable : que faisiez-vous en France, quand êtes-vous arrivé, pourquoi vous êtes-vous engagé, avez-vous un souhait à formuler ? Quelques-uns ont des souvenirs plus personnels. Hubert Germain, dont de Gaulle connaissait le père, a droit à un aparté. Verdict aujourd’hui : « J’avais quitté papa, je tombais sur un second père. » Cantonné en Syrie jusqu’en mai 1940, Bernard Demolins est reçu plus longuement, interrogé sur la situation là-bas : « J’ai tenté de lui répondre, puis il s’est planté devant une carte du monde et s’est lancé dans une longue explication : les Allemands n’obtiendraient pas de pétrole des Russes, ils voudraient passer par la Libye, la Syrie. Il avait tout prévu, j’étais sidéré. »

« Alors, Gatissou, on n’a besoin de rien aujourd’hui ? »

Pour François Jacob, le premier échange a des accents presque fantastiques : fin août 1940, il est accoudé au bastingage du Westernland, en partance pour Dakar, quand il entend derrière lui une voix d’outre-tombe : « Cette terre, là-bas, qu’est-ce que c’est ? » Un temps stupéfait, Jacob se reprend et suggère l’Irlande : « Oui, dit de Gaulle, ce doit être l’Irlande. Il paraît que c’est très beau. Mais on attendra une autre occasion pour aller visiter. » Cette occasion, ce sera le dernier voyage de 1969, après sa démission.

L’officier mécanicien de l’air René Gatissou n’a vu de Gaulle que quelques minutes, mais il les raconte encore avec délectation. Basé en 1941 à Khartoum, il reçoit l’ordre d’un colonel d’aller voir de Gaulle au Caire pour obtenir des pièces de rechange, qui sont chez les Anglais à Bagdad. Il le trouve assis à une grande table, qui n’est en fait qu’une caisse d’emballage. « Je lui fais part de ma demande. Il sonne Raymond, qui pilotait son avion, et me désigne à lui : Gatissou veut aller à Bagdad. – Mais c’est en Irak, mon général. – Je sais, Raymond, et j’ai besoin de mon avion demain matin à 10 heures. Gatissou fait l’aller-retour avec l’avion de De Gaulle, tombe sur des Anglais qui sirotent leur whisky, obtient ses pièces et ramène l’avion in extremis. Mais l’histoire n’est pas finie. Dans les années 1960, de Gaulle a organisé une réunion à l’Élysée avec les compagnons de la Libération. Il s’est planté devant moi et m’a dit, alors qu’on ne s’était jamais revus : Alors, Gatissou, on n’a besoin de rien aujourd’hui ? »

Si de Gaulle, pour la plupart, reste une figure distante, certains gardent un souvenir plus détendu. Le 14 juillet 1942, un mois après Bir-Hakeim, le général rend visite à ses jeunes officiers vainqueurs. « On sentait qu’il était heureux. Il avait perdu sa raideur, raconte Hubert Germain. On en a profité. On lui a dit : On ne va pas rester comme des ploucs au soleil, on veut encore se battre. Je m’en occupe, nous a-t-il répondu ». Puis les jeunes officiers lui réclament une décoration pour Bir-Hakeim. Même réponse du général : « Je m’en occupe. – Tout est prêt, mon général : on lui a sorti un papier où tout était déjà écrit. Il a prétexté qu’il n’avait pas de stylo, mais on lui en a tendu un. Où voyez-vous une table pour écrire ? Il croyait s’en sortir comme ça. Mais un officier lui a présenté son dos et il a signé dessus en souriant. »

Laisser un commentaire

 

leprintempsdesconsciences |
Lechocdescultures |
Change Ton Monde |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | C'est LE REVE
| Détachement Terre Antilles ...
| ATELIER RELAIS DU TARN ET G...