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    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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Méditation sur le Lac de Vincennes : Daumesnil

Posté par francesca7 le 3 novembre 2013


 

Méditation sur le Lac de Vincennes : Daumesnil dans LACS DE FRANCE 250px-lacdaumesnil1-222x300Le lac Daumesnil, qui porte le nom du baron Pierre Daumesnil, comporte deux îles, l’île de Bercy et l’île de Reuilly. Près des berges du lac se trouvent la pagode de Vincennes et le temple bouddhiste tibétain de Kagyu-Dzong.

Vers 1865, la promenade publique du bois de Vincennes s’accrut du parc de Charenton, détaché de la commune voisine de Charenton-le-Pont et qui vint rattacher le bois à la ville de Paris ; c’est dans cette partie que fut creusé ce plan d’eau de 12 hectares.

Le canotage avec des barques a commencé en 1904 et est encore possible.

Le lac Daumesnil fait partie du réseau hydraulique du bois de Vincennes. De 1866 à 1974, c’est l’eau de la Marne qui l’alimente, à travers le réservoir de 28 000 m3 que constitue le lac de Gravelle qui est le lac le plus élevé des quatre présents dans le bois et était alimenté par la station de pompage hydraulique de Saint-Maur-des-Fossés située 40 mètres plus bas. L’émissaire du lac de Gravelle vers le lac Daumesnil est le ruisseau de Gravelle long de 6,7 km. Depuis 1974, suite à l’ouverture de l’autoroute A4 qui condamna la station sur la Marne, l’eau du système hydraulique du bois est pompée dans la Seine par l’usine du pont d’Austerlitz, puis ramenée au lac de Gravelle.

Le lac Daumesnil est un lac artificiel situé dans le bois de Vincennes dans le 12e arrondissement à l’est de Paris, en France. Le lac Daumesnil est situé au sud-ouest du bois de Vincennes. Il présente une superficie d’eau de 12 hectares et possède deux îles distinctes, l’île de Reuilly et l’île de Bercy, reliées par des ponts. L’île de Reuilly arbore une grotte et une cascade artificielles avec une rotonde romantique dues à l’architecte Gabriel Davioud.

Il y a 4 lacs au bois de Vincennes autour desquels se concentrent des activités de loisirs. Jogging, balades à poney, romantiques promenades en barque…

Le lac Daumesnil, à la porte Dorée, est reconnaissable à son îlot central. On peut y faire des promenades en barque. Il est le coin préféré des joggers qui s’y retrouvent le week-end pour entretenir leur forme. Deux ponts suspendus, une grotte et une cascade réalisés dans la tradition pittoresque d’Hubert Robert en sont les principaux emblèmes. Promenades en poney pour les enfants.

Le lac des Minimes (avenue de Nogent, à la porte Jaune) a pris le nom de l’ordre religieux fondé par Saint-François-de-Paule qui a possédé ce terrain du 16e siècle à la Révolution. Il est ponctué par trois îles. Des promenades en barque y sont proposées. Profitez sur place du chalet de restauration, des locations de vélo, des promenades en poney le week-end.

Le lac de Saint-Mandé (métro Saint-Mandé-Tourelle) est situé au fond d’une vallée. Il est entouré de routes sinueuses, de plantations et de ruisseaux. C’est l’une des parties les plus pittoresques du bois. Il est alimenté grâce à un réseau de rivières artificelles qui prennent leur source au lac de Gravelle. On y trouve des oies bernaches, des poules d’eau et diverses espèces de canards. Le mercredi et le week-end, promenades en poney.

Le lac de Gravelle (1860) culmine dans le bois. Il sert de réservoir aux trois autres lacs. Paradis des pêcheurs, il est situé avenue de Gravelle, près de l’hippodrome. Attention, un permis de pêche spécial doit être demandé à l’association de pêcheurs qui le gère. 

320px-Bois_de_Vincennes_20060816_16 dans ParisInformations canotage :
– Lac des Minimes
Location barque ou canoë : 10,80 €/ h (1-2 pers.), 11,80 €/h (3-4 pers.). Caution : 10 €
Ouvert de mars à fin novembre, mercredi et samedi à 13 h 30 et dimanche à 11 h
Tous les jours pendant les vacances scolaires. Fermeture selon saison

- Lac Daumesnil
Location barque : 10,80 € / h (1-2 pers.), 11,80 €/h (3-4 pers.). Caution : 10 €.
Durée 1 heure
Ouvert tous les jours de 9h30 à 20h00 (dernière location à 19h)
Tél.: 01.43.28.19.20

Situer les lacs sur le plan du bois de Vincennes : » Consulter le document au format pdf 

 

Publié dans LACS DE FRANCE, Paris | Pas de Commentaire »

Balade au Lac de Paladru

Posté par francesca7 le 3 novembre 2013

 

Balade au Lac de Paladru dans Isère lac_de_paladru_3

Les légendes du lac n’ont pas manqué d’inspirer les poètes. Voici quelques vers de Mlle A. Gardaz :

« Un jour un choc brûlant fit trembler les collines,

De sanglantes vapeurs noyèrent l’horizon

Les pierres et les eaux bouillaient dans les ravines

Des murs et d’ossements, ce fut un tourbillon !

La terre s’entr’ouvrit… Soudain un lac immense

Étendit son miroir et son morne silence. »

Comment ne pas les rapprocher du Victor Hugo des Orientales

« Une ville n’est plus et miroir du passé

Sur ses débris éteints s’étend un lac glacé. »

 

Le lac de Paladru est situé dans le département de l’Isère et plus précisément dans la région des collines miocènes du Bas-Dauphiné, appelées Terres froides, approximativement entre les villes de Voiron et La Tour-du-Pin. Il s’étend selon une orientation nord est-sud -ouest sur 5 300 m, pour une largeur de 650 m. Il a une profondeur moyenne de 25 m, avec un maxima de 36 m. Le volume d’eau qu’il contient est de 97 millions de m3. Il est situé à 492 m d’altitude. Cinq communes se partagent le littoral. Ce sont, dans le sens des aiguilles d’une montre: Charavines (à la pointe sud), Le Pin, Paladru (qui lui a donné son nom pour en avoir la plus grande part, à la pointe nord), Montferrat et Bilieu. Les plages se situent aux deux extrémités ; les rives latérales ont une forte déclivité. Le bassin du lac est un facteur d’unité et donne une image d’authentique « pays » au sens géographique du terme.

Le lac est le produit du surcreusement par le glacier du Rhône sur un dépôt Miocène à dominance calcaire du Bas-Dauphiné. Lors du retrait au moment du réchauffement würmien, il y a 12 000 ans, le barrage morainique du Guillermet a formé le lac. Cette origine est perceptible par la présence, au sommet des collines environnantes, de blocs erratiques, arrachés aux sommets des Alpes et abandonnés à des altitudes de 800 m lors du retrait du glacier. Un témoin impressionnant appelé pierre Beau Soleil ou pierre de Libre Soleil (6 m de long sur 4,50 m de large et haut de 2 m) est visible au-dessus de Bilieu. Il faut noter la forme d’auge caractéristique des deux vallées contiguës au lac de Paladru, la vallée de la Bourbre et la vallée d’Ainan qui démontre l’origine commune des Trois-Vals. Les langues glaciaires du Rhône y rencontraient celles du glacier de l’Isère au débouché de la cluse de Voreppe et ont conduit à la constitution de bourrelets morainiques et de plusieurs seuils dont celui de Charavines (au lieu-dit Le Guillermet).

Son alimentation se fait par deux ruisseaux : le Courbon du côté de Montferrat et le Chantabot (ou Surand) du côté de Le Pin, émissaire de l’étang du Vivier. Un apport par des sources sous-lacustres est attesté par l’importante différence entre la somme des débits entrants et le débit sortant. Ce dernier donne naissance à la Fure dont le nom évoque la violence du torrent primitif. La Fure se jette après un parcours d’une vingtaine de kilomètres dans l’Isère à Tullins, après avoir traversé Rives, ville renommée au Moyen Âge pour la qualité de ses épées. Le vallon de la Fure a connu du xviiie au début du xxe siècle un destin industriel prospère (aciéries, papeteries). Une prise en surface et un éclusage furent aménagés en 1869 pour réguler le cours de la Fure en saison sèche et permettre l’exploitation de toutes ces usines.

Le site, peu favorisé par son climat et la pauvreté des sols, fut temporairement occupé au néolithique (site des baigneurs – voir infra), puis pendant la période gallo-romaine, mais sans que l’on y ait découvert des restes de villa à proximité immédiate du lac. Il fait partie du comté carolingien de Sermorens créé tardivement au ixe siècle et qui est rattaché à la Francie médiane, puis au royaume de Provence.

C’est au cours du xie siècle qu’un essor démographique et économique entraîna une colonisation durable des rives du lac (site des chevaliers-paysans – voir infra). Au xiie siècle, le lac de Paladru est dans la zone frontière des principautés de Savoie et du Dauphiné que ni l’une ni l’autre ne dominent complètement. Cette situation trouble favorise l’émergence de baronnies telle que la Maison des Clermont. En 1340, ces derniers prêteront hommage au Dauphin pour les châteaux de Virieu, Paladru, Montferrat, Saint-Geoire-en-Valdaine, tous à proximité du lac. Dès lors le site suivra le sort du Dauphiné et sera intégré au royaume de France.

Dans les années 1909-1913, le lac servit de terrain d’expérience pour des prototypes d’hydravion construits par Raymond de Montgolfier, un descendant de la célèbre famille.

La Via Gebennensis, un des chemins du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle, longe la rive du lac.

 dans LACS DE FRANCELes rives du lac ont conservé plusieurs sites préhistoriques qui n’ont pas fait l’objet de recherches archéologiques systématiques. L’un de ces sites sur la rive sud du lac, dit site des Baigneurs près de Charavines, a été identifié en 1904 à l’occasion d’une baisse importante du niveau des eaux et a fait l’objet d’une fouille systématique sur 450 m2 de 1972 à 1986. D’une surface de environ 1500 m2, il a été colonisé au Néolithique deux fois successivement, de 2668 à 2580 avant JC d’après les analyses dendrochronologiques. Contrairement aux premières hypothèses, il ne s’agissait pas d’habitations sur pilotis (palafittes), mais de villages installés sur la terre ferme au bord du lac. Après une première occupation de 20 à 25 ans, les habitants ont pris le temps d’emporter tout ce qui était utilisable avant d’abandonner le village. Un groupe étant revenu environ 40 ans plus tard, il a reconstruit les maisons existantes plutôt que de réparer les anciennes ; ce groupe est resté de nouveau 20 à 25 ans, mais cette fois le départ a été provoqué par une montée rapide des eaux poussant les habitants à abandonner de nombreux objets encore utilisables. Cette montée des eaux a été définitive, et a permis une bonne conservation des vestiges. Entourés d’une palissade, les deux villages successifs étaient organisés autour d’une place centrale fortement empierrée. Des blocs de quartzite étaient utilisés pour le chauffage. Les activités domestiques et l’évacuation des rejets sont similaires pour les deux villages, mais les activités artisanales (fabrication d’outils et autres objets) sont, dans la deuxième phase d’occupation, réalisées plus collectivement que pendant la première phase d’occupation.

Une exposition permanente est présente au musée archéologique du lac de Paladru à Charavines

Il s’agit d’un lac privé, propriété de la Société civile du lac de Paladru fondée le 24 juin 1874. Ce statut est le résultat d’un imbroglio juridique et d’une série de procès s’étendant sur tout le xixe siècle. Outre le fait que la Société civile du lac de Paladru soit propriétaire du terrain, dernièrement, un jugement rendu par la Cour d’Appel de Grenoble en date du 4 février 2008 a statué sur le fait que la Société civile du lac de Paladru était propriétaire de l’eau.

À l’origine, la propriété du lac était partagée par droit féodal entre le marquis de Pons-de Tourzel, héritier des Clermont, le marquis de Barral, qui fut maire de Grenoble, et les chartreux de la Sylve Bénite. Les habitants du hameau de Colletière (commune de Charavines) bénéficiaient d’un droit de pêche consenti par le seigneur de Clermont.

À la Révolution, les chartreux sont chassés et leurs biens immobiliers vendus, les Pons-de-Tourzel émigrent, les Barral renoncent à leurs droits féodaux. Dès lors, les revendications des communes et des riverains se heurtent aux fermages renouvelés par les anciens propriétaires de retour d’émigration (les Tourzel en 1808) ou revenant sur le renoncement de leurs droits (cas des Barral). L’État intervient également dans les 320px-Ballon_006instances. En définitive, les tribunaux reconnaissent la validité des transactions (baux et ventes) passées par les premiers propriétaires et permettent la constitution de la Société civile.

De nombreuses espèces d’oiseaux nichent dans les marais ou les roseaux du lac: hérons cendrés, grèbes, locustelles, rousserolles, bruants des roseaux, cincles plongeurs, becassines des marais, martins-pêcheurs, canards, sarcelles, macreuses, foulques, cygnes. Le marais de la Véronière (sur la commune de Montferrat) au nord du lac est classé zone naturelle protégée. Les roselières sont également protégées (150 ha), un arrêté préfectoral interdit toute pénétration et destruction des roseaux.

Le lac recèle une faune aquatique diversifiée: brochets, carpes, perches, tanches, ombles chevaliers, truites lacustres, corégones, gardons, ablettes, écrevisses.

 

 

Publié dans Isère, LACS DE FRANCE | Pas de Commentaire »

le long du Lac de Saint-Cassien

Posté par francesca7 le 3 novembre 2013

 

 

le long du Lac de Saint-Cassien dans LACS DE FRANCE 220px-saint-cassien_barrage_edfSitué plus au nord que le barrage de Malpasset, et construit après sa rupture tragique le 2 décembre 1959 à 21 h 13, entre 1962 et 1965, il fut mis en service en 1966. À l’origine, la retenue de Saint-Cassien alimentée par un canal de dérivation de la Siagne dans sa partie moyenne, et accessoirement le Riou Blanc (Biançon2), devait suppléer les insuffisances de celle de Malpasset, alimenté par le Reyran, et garantir l’alimentation en eau des cités du sud-est du Var et de l’extrême sud-ouest des Alpes-Maritimes.

Le barrage est de type digue (en terre). Il culmine à la cote 158,50 m NGF. Sa cote nominale de retenue est à 147,35 m et sa cote minimale de réserve utile à 138,50 m. Le 16/09/2006, du fait de la sécheresse, il a atteint sa cote la plus basse : 139,92 m.

Comme la retenue de Malpasset auparavant, il recouvre dans ses flancs sur 7 kilomètres l’aqueduc romain de Mons à Fréjus dans lequel fut installé en 1894 une conduite moderne en ciment.

En 1988, dans sa partie Ouest, fut créée la réserve Ornithologique de Fondurane de 43 hectares gérée depuis par le C.E.E.P (Conservatoire Etudes des Ecosystèmes de Provence).

C’est aujourd’hui un lieu touristique au creux des collines abruptes du Midi. De nombreux aménagements ont été réalisés : criques, accès aux plages, parkings, restaurants, location de pédalos …

Le lac de Saint-Cassien est un lac de barrage français situé en Provence, dans le sud-est du département du Var, dans le canton ou « pays » de Fayence.

Il est bordé au Nord et à l’Est par les communes de Montauroux et de Callian, à l’Est par les communes de Tanneron et des Adrets-de-l’Estérel, et au Sud par Les Estérets-du-Lac (quartier de la commune de Montauroux), situé juste en dessous de la ligne de partage des eaux entre le bassin du Reyran et celui du Vallon des Vaux (affluent du Biançon).

Sa longueur est de 7 km (Nord-Sud) sur 3 km (Est-Ouest). Le barrage retient 60 millions de m3 d’eau. Avec 430 ha de superficie, c’est le plus vaste plan d’eau de l’Esterel.

L’eau du lac de Saint-Cassien, comme celle des autres lacs de la région est très trouble en surface, très froide et sans oxygène ni faune ni flore après 10 mètres de fond.

La faune y est riche en :

  • oiseaux sédentaires ou migrateurs,
  • écrevisses (américaine),
  • coquillages (anodontes),
  • batraciens,
  • insectes (cigales),
  • poissons : le peuplement piscicole du lac de Saint-Cassien est dominé par les espèces de la famille des cyprinidés (carpe 320px-P1000964Panorama_sur_le_lac_Saint-Cassien dans LACS DE FRANCEcommune, carpe miroir, carpe cuir, gardon, rotengle, brème, ablette). Les petits poissons se trouvant au bord des côtes se nomment des gambusies. D’autres espèces fréquentes : le brochet, le sandre, la perche commune, la perche soleil, le silure, le poisson chat. D’autres espèces présentes : la tanche et le black-bass.

Le poisson chat, la perche soleil et l’écrevisse américaine appartiennent à la liste des espèces  » susceptibles de provoquer des déséquilibres biologiques  » en France.

La flore est constituée essentiellement de myriophiles, de spirogia, d’azola, d’élodée et de potamogéton.

Publié dans LACS DE FRANCE | Pas de Commentaire »

 

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