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    La France, je l'aime corps et biens, en amoureux transi, en amant comblé. Je la parcours, je l'étreins, elle m'émerveille. C'est physique. Pour l'heure, c'est le plus beau pays du Monde, le plus gracieux, le plus spirituel, le plus agréable à vivre. En dépit de ses défauts, le peuple français a des réserves inépuisables de vigueur, d'astuce et de générosité. j'écris cela en toute connaissance de la déprime qui périodiquement enténèbre nos compatriotes. Ils ont une pente à l'autodénigrement, une autre au nihilisme. Je suis français au naturel et j'en tire autant de fierté que de volupté. J'ai pour ce vieux pays l'amour du preux pour sa gente dame, du soudard pour la servante d'auberge, de l'érudit pour ses grimoires, du paysan pour son enclos, du bourgeois pour ses rentes, du croyant des hautes époques pour les reliques de son saint patron... J'ai la France facile, comme d'autres ont le vin gai ; je l'ai au coeur et sous la semelle de mes godasses. Je suis français, ça n'a pas dépendu de moi et ça n'a jamais été un souci. Ni une obsession. Toujours un bonheur...

    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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  • > Archives pour le Samedi 14 septembre 2013

Des champignons sur la plage

Posté par francesca7 le 14 septembre 2013

 

 Des champignons sur la plage dans HUMEUR DES ANCETRES images-4
Le parasol, c’est le champignon de plage, écrit au cœur de l’été 1922 un chroniqueur des Annales politiques et littéraires, qui entame un tour d’horizon cynique des vacanciers du bord de mer que l’on retrouve sous ces pousses éphémères vivant au rythme du soleil…

Contrairement à la plupart des champignons de la botanique, il pousse surtout les jours de sécheresse et de soleil. Plus la température est chaude, plus le soleil est ardent, plus il pousse de champignons-parasols au bord de la mer. Le parasol, c’est le cryptogame giganteus caniculaire.

Contrairement encore à la plupart des champignons, le parasol ne pousse pas spontanément. Il faut l’apporter, le piquer dans le sable et aider son ombelle à s’épanouir. Le parasol, ou champignon de plage, est généralement blanchâtre et rayé de rouge. Cependant, on en rencontre qui sont écarlates et d’autres qui sont rayés de bleu.

Le parasol, ou champignon de plage, a ceci de commun avec le tournesol qu’il s’oriente toujours du côté du soleil. Les parasols, ou champignons de plages, sont semés tous les matins vers dix ou onze heures. Les cultivateurs de parasols les plantent dans le sable des plages au fur et à mesure des besoins de la consommation.

C est à l’heure du bain, vers midi, et aussi le soir, vers cinq heures, que la culture des champignons-parasols devient principalement intensive. Les champignons-parasols sortent alors de terre avec la rapidité de leurs confrères des forêts un lendemain de forte pluie. La récolte des parasols se fait le soir, à l’heure où les baigneurs se précipitent au Casino.

Le champignon-parasol, n’étant point comestible, n’est pas, à proprement parler, vénéneux. Cependant, il abrite sous son chapeau des individus de sexes différents, qui profitent souvent de leur immobilité prolongée pour distiller le poison de la médisance. Une petite promenade à travers la forêt des champignons-parasols est, d’ailleurs, très instructive.

Les gens sont sans défiance sous les parasols. Ils se croient chez eux. Ils ne songent pas, la plupart du temps, que le parasol est une demeure à qui il ne reste que le toit, une maisonnette que le sage seul pourrait habiter sans danger. Chacune des petites coupoles aux rayures rouges est une habitation en plein air où les gens ordinairement les plus dissimulés paraissent se croire à l’abri de tous les regards indiscrets.

Aussi, quel plaisir pour l’observateur qu’une balade parmi les pentes succursales — ouvertes aux quatre vents — des chalets soigneusement clos et des villas mystérieuses ! Les gens s’y montrent ingénument tels qu’ils sont dans leur intérieur, et c’est comme si l’on regardait par de grandes fenêtres ouvertes dans d’innombrables intimités.

images-52 dans HUMEUR DES ANCETRES

Parasol numéro 1. — Des gens chics, bien mis. Ils ont tous les deux les yeux accrochés dans l’azur du ciel. Ils n’ont pas échangé deux paroles depuis qu’ils sont là, — trois quarts d’heure. Chacun d’eux songe à quelque chose qui ne regarde pas l’autre. Et ils se trouvent bien sous ce parasol, parce que l’animation ambiante favorise leurs deux rêveries.

— Elle croit que je m’intéresse à ce qui se passe autour de nous et elle me laisse tranquille…, pense le monsieur.
— Il croit que je suis sur cette plage avec tous ces imbéciles et il me fiche la paix…, pense la dame.

Parasol numéro 2. — Classe moyenne. Un monsieur pas jeune et trois dames mûres. Le monsieur parle et les dames écoutent. Le monsieur est un causeur. Les dames écoutent avec respect l’érudition de dictionnaire du monsieur. Le monsieur tâche d’expliquer pourquoi la mer monte et descend. Malheureusement, parmi les trois dames mûres, il y en a une qui est une curieuse et qui l’embarrasse par ses questions. Bientôt, les trois dames, lasses d’écouter, se plongent dans leurs petites songeries respectives, se contentant de hocher un peu la tête chacune à son tour, pour ne pas décourager le causeur qui continue à égrener toutes les banalités et tous les lieux communs.

Parasol numéro 3. — Un flirt. Ils se regardent dans les yeux et se disent très bas des choses qui doivent être très gentilles, puisque chacun paraît reconnaissant à l’autre de les dire. Des jeunes mariés ? Une aventure ? On a le sentiment qu’on est indiscret et, ne pouvant pousser la porte, on passe.

Parasol numéro 4. — Un monsieur, sa femme, deux grandes filles au physique ingrat, à marier avec des petites dots. Parasol mélancolique et provincial. Silences interminables coupés par de courtes réflexions qui ne valaient pas la peine d’être prononcées. Ennui. Médiocrité. Souci de l’avenir.

Parasol numéro 5. — Un monsieur tout seul avec un journal qu’il lit de la première à la dernière ligne, sans lever les yeux, quelque événement qui se produise. Un journal n’étant pas si long à lire que ça, on suppose, au bout d’une heure, que le monsieur vient de le recommencer.

Parasol numéro 6. — Une volière. Deux vieilles dames bavardes, trois jeunes femmes et quatre jeunes filles caquetantes. Neuf personnes et neuf conversations. Une soirée chez des pies borgnes. Un raout chez des perruches sourdes. L’établissement du record de la vélocité chez les moulins à paroles. Trois sujets de conversations à la minute. Des exclamations. Des rires. Le mouvement perpétuel du langage humain. Du cliquetis. De l’argentin. Du bruit articulé, mais sans signification saisissable. De l’élocution mécanique. Des cascades d’éclats. Des jaillissements de syllabes. Quand il n’y en a plus, il y en a encore…

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Le Petit Palais, musée des Beaux-Arts de la ville de Paris

Posté par francesca7 le 14 septembre 2013


 Le Petit Palais, musée des Beaux-Arts de la ville de Paris dans MUSEES de FRANCE le-petit-palais-musee-des-beaux-arts-de-la-ville-de-paris

Un lieu prestigieux dédié à l’art

Avec ses vastes galeries éclairées par des ouvertures zénithales, ses jeux de transparence autour du jardin intérieur bordé d’un péristyle, et de ravissantes échappées visuelles sur les Champs-Élysées, le Cours de la Reine et la Seine, le Petit Palais est un véritable hymne à la lumière. Celle-ci lui rend son hommage en soulignant la finesse de son architecture. Chaque portion du bâtiment a bénéficié en effet de la plus grande attention et des services des artisans les plus reconnus de l’époque. Leur travail, désormais restauré, révèle au public un incroyable savoir-faire. L’utilisation des ordres classiques et la prédominance du décor sculpté, qui fait usage de l’allégorie, caractérisent le style « Beaux Arts » du musée. Exclusivement exécuté avec des matériaux nobles, tels que la pierre, le marbre, le béton ou la brique alliée à la fonte, le lieu s’orne également d’une ferronnerie d’exception. La grille d’entrée fait figure à ce titre de chef-d’œuvre du genre. Les mosaïques de pavement furent l’ouvrage de Facchina, célèbre mosaïste d’origine italienne, tandis que le décor peint, très présent, ravive l’éclat du musée autour du thème fédérateur de Paris, capitale des arts.

Pour accompagner cette véritable renaissance, l’organisation intérieure du Petit Palais a été repensée. Elle comporte désormais deux parties bien distinctes. La première, située du côté des Champs-Elysées, abrite les collections permanentes. L’autre, côté Cours de la Reine, est dévolue aux expositions temporaires. De nouveaux espaces ont par ailleurs été créés : un auditorium au sous-sol, deux niveaux inférieurs réservés aux locaux techniques et un étage pour les bureaux dans la galerie sud. Le Petit Palais est aussi un lieu de sociabilité qui offre au visiteur un jardin intérieur rénové, un café, et une librairie boutique.

Le musée occupe une place culturelle de choix au sein de la capitale. Ses collections permanentes sont plus nombreuses, avec un espace de présentation qui est passé de 3 000 à 5 000 m². Le parcours propose de remonter dans le temps, de l’art 1900 à l’Antiquité, et s’accompagne d’une orientation pédagogique travaillée. Son accès est gratuit et ouvert à tous les publics. De plus, un espace « d’expositions collections » de 450 m² présente par roulement les oeuvres trop fragiles pour être présentées de façon permanente. Sa vocation est aussi d’organiser des expositions d’envergure internationale dans un circuit de 1 800 à 2 200 m².

Le Petit Palais mis en lumière par son directeur, Gilles Chazal - Voir la vidéo

La visite

La grille d'entréeLa visite qui commence par le premier étage ne suit pas d’ordre chronologique. On part de l’art 1900 pour revenir à l’Antiquité. Pour commencer, l’Art Nouveau est mis en valeur, avec l’exposition de vases, coupes et pièces d’orfèvrerie. L’art décoratif des années 1900 se décline ainsi dans les œuvres de Gallé, de Fouquet et de Lalique. La  femme au singe est une œuvre intrigante pour laquelle Camille Alaphillipe a fait preuve d’une grande ingéniosité. Dans les tableaux de Roll, on note une tendance plus réaliste, tout comme dans les oeuvres de Courbet. Les sculptures de Dalou oscillent entre réalisme et ferveur républicaine. 


La salle voisine est consacrée à l’art du paysage et de la peinture en plein air. A voir, des toiles de Sisley, Monet, Jongkind, Boudin et Pissaro. Quelques sculptures de Rodin, dont l’étreinte intense d’Amour et Psyché, sont également exposées. Les baigneuses aux formes rondes sont les stars des tableaux de Paul Cézanne et de Maurice Denis.

Plusieurs salles en enfilade sont consacrées à l’art sous Louis XVI. On peut y voir des armoires, des fauteuils, de petits objets de la vie courante (sucrier, tabatière…), de la porcelaine de Sèvres et des émaux.

Avant de descendre au rez-de-chaussée, vous pouvez vous rendre dans le jardin intérieur et faire une pause. Un café y a pris place.

Lignes et ferronnerieAu bas du bel escalier on est accueilli par le tyran Ugolin de Carpeaux, tout en muscle. Plusieurs plâtres et statuettes en terre cuite montrent l’étendue du talent du sculpteur. Dans la salle suivante, le style de Carriès ne fera sans doute pas l’unanimité. 

Le XVIIe siècle est survolé au travers des écoles de peintures françaises et hollandaises dont les plus illustres artistes représentés sont Rubens, Rembrandt, Jordaens et Poussin. On remonte à la Renaissance. Pièces d’orfèvrerie, ouvrages reliés et émaux peints traduisent le raffinement de cette période.

Une belle collection de statuettes datant de l’Antiquité et de vases grecques est ensuite présentée.

Plusieurs vitrines sont consacrées à l’art religieux au Moyen Age. Au travers d’une série de délicats ivoires, on voit le développement du monde chrétien oriental, à l’époque où Constantinople (aujourd’hui Istanbul) avait une large influence sur le bassin méditerranéen. L’art chrétien en Occident à la même période est évoqué par des émaux champlevés, une technique maîtrisée par les artisans limousins. La collection d’icônes est tout aussi remarquable, certaines proviennent de Macédoine, de Crète et de Russie.

Avant de partir, vous aurez l’occasion de voir d’autres sculptures de Dalou, notamment le ventripotent triomphe de Silène.

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Musée à BROU

Posté par francesca7 le 14 septembre 2013

 

 Musée à BROU dans MUSEES de FRANCE monestir_de_brou_claustre_2

Le Musée municipal de Bourg-en-Bresse, fondé en 1854, est abrité dans l’une des ailes du deuxième des trois cloîtres du célèbre monastère royal de Brou. Il présente une riche collection de peinture, notamment flamande et française, du XVe siècle jusqu’à l’art moderne. La sculpture est aussi représentée, surtout la sculpture religieuse ancienne. Le fonds principal du musée est composé des 120 tableaux donnés au milieu du XIXe par Thomas Riboud (1765-1835), avocat et député de l’Ain qui sauva l’abbaye de la destruction et la protégea en tant que « Monument national ».

Petit cloître – Cloître originel de Brou, il permettait aux moins de se rendre à couvert du monastère à l’église. Une galerie du 1er étage desservait l’appartement que Marguerite d’Autriche s’était réservé : l’autre devait lui permettre de gagner directement la chapelle haute en passant par le Jubé. Au rez de chaussée se trouvaient la sacristie et la première salle du chapitre maintenant réunie en une seule salle affectée aux expositions temporaires. Des galeries aujourd’hui dépôt lapidaire (fragments de corniches et pinacles), s’offre une vue sur le pignon du transept droit et le clocher.

Grand cloître – C’était celui où les moines déambulaient en méditant. Il donne accès à la deuxième salle du chapitre devenue salle d’accueil du musée.

Premier étage  - Un escalier permet d’accéder au dortoir, où les anciennes cellules des moines abritent des collections de peinture et d’art décoratif. Les cellules du côté Sud sont dédiées à l’art du 16ème au 18ème  siècle : on remarque parmi les tableaux hollandais le beau portrait de marguerite d’Autriche dû à son peintre de cour, B. Van Orlay (vers 1518) et un triptyque de la même année (vie de saint Jérôme) : les pièces suivantes représentent des peintures des 17ème et 18ème siècle de l’école italienne (Magnasco : Moines se flagellant) et de l’école française du 18ème siècle (Largillière, Gresly), ainsi que du mobilier bourguignon et lyonnais (meubles de Nogaret), et des objets d’art religieux français. Sur le côté Nord, les salles de droite sont consacrées à la peinture française du 19ème siècle (Gustave Doré, Gustave Moreau, école lyonnaise) ; celles de gauche, au style troubadour et à la peintre du début du 20ème siècle (L.Jourdan, Migonney, Utrillo). La grande salle des Etats abrite une collection d’art contemporain. Dans l’angle Sud-Est du grand cloître on pénètre au rez de chaussée dans le réfectoire où sont exposées des sculptures religieuses du 13ème et du 17ème siècle, notamment une Vierge romaine polychrome (12ème siècle) un Saint Sépulcre de 1443, Philibert et saint Philibert provenant du tympan de l’église de Brou (début du 16ème siècle) de là on accède au 3ème cloître.

 dans MUSEES de FRANCEOn retrouve, pour la peinture flamande et hollandaise, quatre peintures du peintre officiel de l’empereur Charles Quint, Bernard Van Orley, dont deux sont les portraits de Charles Quint jeune et Marguerite d’Autriche, la fondatrice du monastère de Brou, ainsi que de beaux anonymes des XVe et XVIe siècles et des œuvres de Jan de Beer, Adrien Ysenbrandt, Jan Bruegel l’Ancien, Frans Snyders, Frans Franken, Pieter Codde, Adam Frans van der Meulen, Adriaen van der Kabel, Gerard Seghers, Bartholomeus Breenbergh, Pieter Neefs le Jeune ou encore Melchior d’Hondecoeter. Pour la peinture française jusqu’au XVIIIe siècle, on peut voir des œuvres de Benoît Alhoste, Jean Jouvenet (son morceau de réception à l’académie royale de peinture), Nicolas Pierre Loir, René-Antoine Houasse, François de Troy ou Nicolas de Largillierre. L’Italie est présente avec le peintre de la Renaissance Defendente Ferrari (deux tableaux) et Pietro della Vecchia, ainsi que Francesco Fontebasso. Pour le XIXe siècle, on peut voir un bel ensemble de peintures de style troubadour : des œuvres de Fleury François Richard, Pierre Révoil, Gustave Moreau, Gustave Doré (avec aussi une sculpture de sa main), Jean-François Millet ou le lyonnais Louis Janmot. Le XXe siècle, enfin, se retrouve au musée avec des artistes tels que Jacques-Émile Blanche, Pierre Soulages ou Olivier Debré.

L’autre point fort du musée est la collection de sculpture religieuse ancienne (XIIe au XVIIe siècles) qui est exposée dans le réfectoire. Le musée abrite aussi du mobilier et une collection de faïences.

Le musée organise régulièrement des expositions temporaires, dont, en 2010, L’or du Japon et, en 2012, Gustave Doré, un peintre né.

Cloître des cuisines – Destiné aux communs, à la différence des deux autres, il conserve des traits caractéristiques de la région, tels les toits en pente douce couverts de tuiles creuses et les arcs en plein cintre.

 

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