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    La France, je l'aime corps et biens, en amoureux transi, en amant comblé. Je la parcours, je l'étreins, elle m'émerveille. C'est physique. Pour l'heure, c'est le plus beau pays du Monde, le plus gracieux, le plus spirituel, le plus agréable à vivre. En dépit de ses défauts, le peuple français a des réserves inépuisables de vigueur, d'astuce et de générosité. j'écris cela en toute connaissance de la déprime qui périodiquement enténèbre nos compatriotes. Ils ont une pente à l'autodénigrement, une autre au nihilisme. Je suis français au naturel et j'en tire autant de fierté que de volupté. J'ai pour ce vieux pays l'amour du preux pour sa gente dame, du soudard pour la servante d'auberge, de l'érudit pour ses grimoires, du paysan pour son enclos, du bourgeois pour ses rentes, du croyant des hautes époques pour les reliques de son saint patron... J'ai la France facile, comme d'autres ont le vin gai ; je l'ai au coeur et sous la semelle de mes godasses. Je suis français, ça n'a pas dépendu de moi et ça n'a jamais été un souci. Ni une obsession. Toujours un bonheur...

    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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  • > Archives pour le Mercredi 4 septembre 2013

La bourgogne mérovingienne

Posté par francesca7 le 4 septembre 2013


                                                                                            La bourgogne mérovingienne dans Bourgogne telechargement-5
                                                                                                        Sarcophage Mérovingien

 

Le village de Vic sous Thil (21) existait déjà à l’époque mérovingienne comme en témoignent les cercueils en pierre découverts dans les propriétés voisines de l’église. Certains de ces cercueils ont été utilisés pour la construction du clocher du village de Vic.

 Au 6ème siècle, l’Auxois se nommait alors Pagus Alesiensis.

Les chartes et écrits les plus anciens citent parmi les villes et villages de la région : Castrum Tilium (château de Thil), Prisciacum (Précy sous Thil), Arcenaium (Arcenay), Motta (La Motte), Nannum-sub-Tilio (Nans sous Thil), Sidolocum(Saulieu), Sinemurum (Semur), Vitellum (Vitteaux).

De nombreux sarcophages mérovingiens ont été découverts aux alentours de Thil notamment à Clamerey où ceux-ci sont visibles à l’entrée de l’église. La dynastie mérovingienne règne sur le royaume des Francs, de Clovis à Charlemagne (481-800).

Les tombes mérovingiennes étaient des sarcophages de plâtre, des cercueils en bois ou parfois des individus en pleine terre. Celles-ci contiennent usuellement de nombreux bijoux de verre, des armes, des restes de vêtements et diverses offrandes. Ce n’est qu’à l’époque carolingienne, que les offrandes furent interdites par l’Église, en tant que pratique païenne.

De façon générale, les études montrent que les gens étaient durant ces périodes en bonne santé et robustes, et n’avaient que rarement des carences alimentaires.

On trouve très peu de tombes d’enfants. À cette époque, les enfants n’étaient baptisés qu’à l’âge de 3 ou 4 ans, lorsqu’on était certain que l’enfant était en bonne santé et allait vivre, car un baptême coûtait fort cher. Les enfants décédés sans être baptisés étaient donc enterrés en tant que non-chrétiens, hors de l’enclos sacré. Les généalogistes ont longtemps cherché à en trouver des descendants ignorés mais aucune certitude n’a pu être mise à jour. Les prétentions des Carolingiens à descendre des Mérovingiens par une fille de Clotaire Ier sont reconnues comme fictives. Plusieurs pistes ont été néanmoins mises en avant par les historiens.

  dans Bourgogne

Malgré les guerres et les incessantes luttes de pouvoir, le royaume de Bourgogne aspire également à être une terre de Paix comme en témoigne les nombreuses fondations de monastères. Ce royaume inspire également à conserver ses traditions. Etonnamment, la Bourgogne demeure avec l’Aquitaine d’ailleurs, l’une des régions mérovingiennes les plus romanisées. L’aristocratie cherche à garder ses lois et ses coutumes tout comme son indépendance, une indépendance toutefois grandement remise en cause sous les Carolingiens. Le terme de mérovingien n’est probablement pas le plus convenable pour désigner l’art qui se développa en Gaule du Ve au VIIIe s. Les rois francs, en effet, même s’ils ne demeurèrent pas totalement inactifs dans le domaine artistique, n’y exercèrent jamais un rôle de direction. Cependant, la dénomination ayant été établie par l’usage, il convient de la conserver, d’autant plus qu’elle ne prête à aucune ambiguïté ni sur la période, ni pour la région concernée.

   Il est par contre une idée contre laquelle il convient d’emblée de s’inscrire en faux : la prétendue obscurité de l’époque. Très heureusement, nous n’en sommes plus à Augustin Thierry, et, même s’il demeure beaucoup à faire, notamment en ce qui regarde les fouilles, les grands traits de ce moment historique apparaissent déjà avec suffisamment de netteté.

 

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Site Gallo Romain de Bourgogne

Posté par francesca7 le 4 septembre 2013


 

Site Gallo Romain de Bourgogne dans Bourgogne telechargement-4La CROISEE de BRAUX : le site gallo-romain de La Croisée occupe environ 7 hectares du plateau dominant Braux (21) (à 478 mètres d’altitude). La majeure partie de l’agglomération antique est dans les parcelles nommées « Pouës Margatte » et « Chatoueille » sur l’ancien cadastre.

La présence, à cet endroit, d’une  ville détruite est connue depuis fort longtemps. La culture des champs ramenait au jour nombre de débris caractéristiques (tuiles, poteries…). Les photographies aériennes et les sondages ont révélé l’étendue des constructions.

Des années de fouilles ont permis la remise au jour de la partie située immédiatement au nord du réservoir d’eau communal. Les destructions et reconstructions successives (sans doute 8) rendent le plan difficilement lisible pour le profane ; néanmoins, les parties essentielles (comme les thermes) apparaissent nettement. Les objets les plus remarquables que l’on a retrouvés sont des fibules (épinglettes), une pointe de pilum (javelot), des porteries et des monnaies. Indépendamment de leur intérêt comme témoignages d’une vie disparue, ces objets ont le mérite de permettre la datation des différentes parties du site.

Le site gallo-romain de La Croisée se trouve à 500 mètres du croisement de deux routes anciennes ; la voie protohistorique qui allait de Bribracte à Alésia et la voie gallo-romaine qui reliait Sens et Besançon. La première est conservée par quelques tronçons, mais peut être retracée en considérant les limites de communes. La seconde est reprise sur le plateau par le chemin goudronné.

Leur croisement se trouvait sur le versant sud-ouest de la Butte du Corais. Le hameau de la Croisée était appelé en 1348 « La maison es Croisiers ». Or, les recensements de population de l’époque n’y signalent aucune famille de ce nom. Il faut voir dans « Croisiers » la désignation de l’ensemble des habitants du lieu et l’expliquer comme « ceux qui vivent près d’une crois » (d’un carrefour). Il paraît donc probable qu’après la destruction de la cité gallo-romaine, les deux voies ont continué à être utilisées durant le haut Moyen-Age.

Les lieux furent occupés bien avant la conquête romaine ; en témoignent les découvertes de silex taillés préhistoriques et de cabanes gauloises. Le développement de l’agglomération est immédiatement postérieur à la défaite de Vercingétorix. Il a dû se faire autour d’un relais routier destiné aux voyageurs et aux commerçants. Les fouilles ont permis de dater les différentes constructions de l’an 50 avant Jésus-Christ à l’an 268 de notre ère. Il faudrait donc mettre la disparition de La Croisée gallo-romaine sur la liste des dévastations liées aux premières invasions barbares, dans la seconde moitié du troisième siècle.

 Un ensemble de bains chauds  et froids (des thermes) fut construit vers l’an 70 de notre ère. Les bains froids avaient une forme d’arc de cercle. Les bains chauds étaient composés de deux bâtiments ; d’un côté, la superficie totale est inconnue car le château d’au occupe une partie de la construction d’aujourd’hui. De l’autre, les bains couvraient une surface de 39 m². Il s’agit sans doute des plus grands de Bourgogne. Ces bains chauds étaient dotés d’hypocaustes, c’est-à-dire de chauffages par de l’air envoyé dans le sol et les murs.

 Les habitations et les échoppes ont été mises en place entre le premier et le troisième siècle de notre ère. La cave et l’escalier sont  plus anciens. Ils datent de la première moitié du premier siècle de notre ère, c’est à dire qu’ils auront bientôt 2000 ans (réf. 1994).

 

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Nos ancêtres Mandubiens

Posté par francesca7 le 4 septembre 2013

 

 Nos ancêtres  Mandubiens dans AUX SIECLES DERNIERS alise1

Il subsiste nombre d’inconnues sur le statut de ce peuple et ses rapports avec ses voisins, les Éduens et les Lingons, en particulier au premier siècle avant notre ère. On place souvent les Mandubiens dans la dépendance éduenne, et ils sont souvent considérés comme une fraction des Éduens située dans la région de l’Auxois (21). En l’absence de texte, les analyses historiques ne peuvent se baser, pour répondre à la question, que sur la répartition et la typologie du matériel archéologique. À partir de l’analyse des monnaies trouvées sur le site archéologique d’Alésia à Alise-Sainte-Reine, Jean-Baptiste Colbert de Beaulieu supposa que les Mandubiens dépendaient des Lingons, cette analyse fut confortée par la présence de deniers de Kaletedu à Alise car on les attribuait au monnayage Lingon. Cette attribution a toutefois été remise en question et pour Philippe Barral « rien ne permet à l’heure actuelle, dans la numismatique alisienne, d’affirmer que les Mandubiens se trouvaient dans l’orbite de l’un plutôt que de l’autre grand peuple de la zone bourguignonne, avant la conquête ». La région présente aussi un faciès céramique particulier, visible dès le deuxième siècle avant notre ère dans l’oppidum d’Alise. L’originalité de la céramique mandubienne plaide donc pour une « relative indépendance, sinon politique, tout au moins économique et culturelle ».

À partir du règne d’Auguste le statut des Mandubiens semble plus clair, et on considère en général comme acquis le rattachement de leur territoire à la cité des Lingons lors de l’organisation des Trois Gaules au plus tard. La culture matérielle de l’Auxois se rapproche des productions des Lingons à partir de la moitié du Ier siècle avant notre ère. Les Mandubiens ne sont plus une cité autonome mais un pagus. Toutefois Monique Dondin-Payre a attiré l’attention des chercheurs sur la fragilité des témoignages épigraphiques sur lesquels on se base pour affirmer que les Mandubiens constituaient un pagus et considère qu’ils formaient une cité indépendante. Le dossier épigraphique des Mandubiens est en effet « problématique car il rassemble des inscriptions soit fragmentaires […], soit difficiles à localiser ».

Par la suite les Mandubiens sont détachés de la cité des Lingons et rattachés au territoire des Éduens. La date de transfert n’est pas connue avec certitude. Philippe Barral la situe dans les années qui suivent la mort de Néron, et en fait une conséquence de la rébellion des Lingons en 68-69 mais pour Jacky Bénard elle est plus tardive et le transfert a pu avoir lieu au Bas-Empire.

 

 

 

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l’histoire de Bernard Loiseau en Bourgogne

Posté par francesca7 le 4 septembre 2013

l’histoire de Bernard Loiseau en Bourgogne dans Bourgogne 310px-la_cote_dor_01

Il naît le 13 janvier 1951 à Chamalières en Auvergne dans un milieu modeste. Sa mère est une fine cuisinière qui lui transmet l’amour de la cuisine française et ses recettes de prédilection : la tourte aux champignons et l’épaule d’agneau. Il épouse Dominique Brunet en 1989, avec qui il aura 3 enfants Bérangère, Bastien et Blanche.

En 1968, il entre en apprentissage à l’âge de 16 ans chez les frères Troisgros à Roanne, l’année où le restaurant obtient sa troisième étoile au Guide Michelin, et obtient son CAP de cuisine en 1971.

Il est engagé par le chef Claude Verger à La Barrière de Clichy à Paris, qui lui confie dès 1975 la gérance du restaurant qu’il vient d’acheter, La Côte d’Or de Saulieu en Bourgogne, où le chef Alexandre Dumaine a contribué à la gloire de la gastronomie française de 1935 à 1964.

En 1982, après sept ans de gérance, Bernard Loiseau achète La Côte d’Or de Saulieu, en Bourgogne, en s’endettant lourdement et voue alors sa vie à refaire de cet établissement, après Alexandre Dumaine qu’il admire, l’un des hauts lieux de la gastronomie et du prestige culinaire français.

 

En 1991, il obtient la consécration du milieu gastronomique, trois étoiles au Guide Michelin, et publie son premier livre L’Envolée des saveurs.

Il sélectionne les meilleurs produits du terroir bourguignon, limite l’usage du beurre et de la crème, et privilégie les jus de cuisson. Sa cuisine aspire à la simplicité et à l’équilibre, aux goûts du terroir francs et puissants.

Il devient un chef populaire grâce à son sens des médias dont il se sert pour acquérir la renommée et pour faire vivre son établissement.

En 1995, il ouvre la Boutique Bernard Loiseau à côté de son hôtel-restaurant de Saulieu, dans lequel sont proposés des produits gourmands du terroir bourguignon, des vins sélectionnés, des accessoires et du textile de cuisine, des livres de cuisine, ainsi qu’une sélection d’articles issus de l’artisanat régional bourguignon.

Comme ses pairs Paul Bocuse, Joël Robuchon, Georges Blanc, Alain Ducasse ou Marc Veyrat, il souhaite développer des produits dérivés sous son nom, ce qui se révèle indispensable pour équilibrer les frais que génère la gestion d’un établissement comme La Côte d’Or, situé loin d’une grande ville. Deux restaurants ouvrent à Paris : Tante Louise et Tante Marguerite. Il développe aussi une gamme de plats cuisinés pour la grande distribution avec la société AGIS.

220px-bernard_and_dominique_loiseau-copie dans FONDATEURS - PATRIMOINEEn décembre 1998, il fonde la société Bernard Loiseau SA qu’il introduit sur le second marché boursier devenant ainsi le premier chef au monde à être coté en Bourse, ce qui lui vaut la une du New York Times. Il poursuit ensuite son programme de développement dans son établissement bourguignon ; un spa de charme et une piscine extérieure sont créés.

En 2003, tout le programme d’embellissement du Relais & Châteaux est terminé, Bernard Loiseau conserve sa troisième étoile au Guide Michelin. Malgré cela, il fait l’objet d’une rétrogradation de 19/20 à 17/20 dans le guide Gault et Millau et d’une vive critique de François Simon dans Le Figaro début février 2003 qui indique qu’il perdrait légitimement sa troisième étoile. Très affecté par ce jugement, Bernard Loiseau indique à ses proches que les médias veulent sa peau. Il met fin à ses jours sans explication le 24 février 2003, à l’heure de sa sieste habituelle, à l’âge de 52 ans, dans sa maison de Saulieu (Côte d’Or 21).

Suite à sa disparition, son groupe et son épouse Dominique Loiseau, ainsi que le chef Patrick Bertron (son élève et bras droit durant 21 ans), ont repris le restaurant La Côte d’Or, qui, à ce jour, possède toujours ses trois étoiles au Guide Michelin et ce depuis 20 années sans discontinuer.

Ses enfants Bérangère, Bastien et Blanche sont tous les trois impliqués dans l’entreprise et souhaitent perpétuer l’œuvre de leur père.

220px-bernard_and_dominique_loiseauEn juillet 2007, son épouse Dominique Loiseau fait l’acquisition d’un quatrième restaurant, Loiseau des Vignes à côté des hospices de Beaune à Beaune, proposant plus de 70 grands vins au verre au cœur du vignoble bourguignon. Loiseau des Vignes obtient sa première étoile au guide Michelin en mars 2010. Au début, leur histoire commence en 1986, à l’occasion d’une manifestation professionnelle à Vichy, elle rencontre le jeune chef étoilé qui va infléchir définitivement sa destinée et qu’elle va épouser en 1989. Quelques mois après la naissance de leur premier enfant, elle rejoint son mari Bernard Loiseau à Saulieu, pour le seconder dans son hôtel-restaurant « La Côte d’Or ».

 

En À son arrivée au sein de l’établissement « La Côte-d’Or » de Saulieu en 1990, Dominique Loiseau est d’abord à l’écoute pour comprendre tout le fonctionnement de cette maison tenue par un chef charismatique, son mari Bernard Loiseau. Elle est plus particulièrement en charge de l’aspect hôtelier, de la communication et de l’édition. Par la suite, elle participe aux différents travaux de rénovation décidés pour offrir aux clients un lieu privilégié. Les grands travaux commencés dès l’été 1990 s’achèvent en 2000 avec le spa et la piscine. Entre autres réalisations, Dominique Loiseau s’est plus particulièrement investie dans l’aménagement du jardin anglais, de la boutique (1995), de l’hôtel (tranches de 1995 et 1998) et du spa.

Elle devient effectivement Directrice de l’hôtel Relais & Châteaux. En 1998, Dominique Loiseau est nommée Administrateur de Bernard Loiseau SA lors de l’introduction en bourse.

Une fois la rénovation du Relais & Châteaux aboutie, Dominique Loiseau peut enfin développer la commercialisation à l’étranger, surtout aux États-Unis (ce qui a permis au Relais Bernard Loiseau d’être référencé au sein du prestigieux réseau d’agents de voyages très haut de gamme américains et australiens Virtuoso).

Quelques jours après la disparition de Bernard Loiseau, le 24 février 2003, Dominique Loiseau est nommée par le Conseil d’Administration en qualité de Président-Directeur Général de Bernard Loiseau SA. Depuis le 30 juin 2004, elle est présidente de Bernard Loiseau SA. Dominique Loiseau, née Dominique Brunet, est une femme d’affaires française, épouse de Bernard Loiseau.

Elle est PDG du groupe Bernard Loiseau depuis 2003 et vice-présidente du réseau d’hôtels de charme et de restaurants gastronomiques Relais & Châteaux.

  •  2007 le film Ratatouille rend hommage à Bernard Loiseau sous les traits du Chef Gusteau.

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