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Histoire de la ville de Rennes

Posté par francesca7 le 31 août 2013


Condate : ce site celtique implanté sur une promontoire, au confluent de l’Ille et de la Vilaine, fut choisi comme capitale par la tribu gauloise des Riedones qui peuplait cette partie de l’Armorique au 2ème siècle avant J.C, avant de devenir, après la conquête des Gaules par César, une cité romaine prospère.

Histoire de la ville de Rennes dans Bretagne telechargement-71

Parlement de Bretagne – Capitale du duché de Bretagne à partir de la période féodale, la ville de Rennes voit, en 1662, s’installer le Parlement de Bretagne ; elle devient alors ville aristocratique et capitale régionale. L’influence de l’art royal suscite la création d’hôtels particuliers ; l’installation de ce parlement, où se tiennent deux fois par an les Etats de Bretagne, marque les débuts d’une relation frondeuse avec le pouvoir central. Le conflit le plus grave est provoqué, en 1675, par l’instauration d’une taxe sur les actes judiciaires. Cette révolte dite « du papier timbré », s’étend vite aux compagnes, faisant de nombreuses victimes. Le Parlement, suspecté d’intelligence avec l’insurrection, se verra exilé, pour une durée de quinze ans, à Vannes, et la ville sera occupée par 4 000 hommes. Le 22 décembre 1720, le centre de la ville est en feu ; 845 maisons à pans de vois sont ravagées. « Ce malheur […] fut complet pour la ville et ses biens », écrit Saint Simon, tandis que Mignot de Montigny, membre de l’Académie des sciences, affirme que la reconstruction « fera de Rennes l’une des plus jolies capitales que nous ayons dans notre provinces ».

Le choix de la ville de Rennes, en 1561, comme siège du Parlement avait justifié les énormes dépenses nécessaires à l’édification d’un palais digne d’abriter cette institution. Les travaux durèrent de 1618 à 1655. Les premiers plans étaient l’œuvre de Germain Gaultier mais, ne satisfaisant pas les commanditaires, ils furent repris par Salomon de Brosse, architecte du palais du Luxembourg à Paris. Ce dernier proposa alors un ensemble plutôt sobre, qui se rapprochait notablement du modèle italien. En 1726, la façade fut transformée par l’architecte Jacques V.Gabriel (1666-1742)un petit neveu de François Mansart ; il supprima également la terrasse intérieure et le grand escalier extérieur à deux volées symétriques. Ce dispositif scénographique assez solennel permettait de contempler et de dominer la ville. Pour habiller le palais, on fit appel aux plus célèbres peintres, menuisiers et sculpteurs du règne de Louis XIV. Les peintures du plafond de la Grand’Chambre (aujourd’hui Cour d’appel) sont signées du jeune Noël Coypel (1662) qui travailla sous la direction de Charles Errard, peintre du roi et décorateur, dont le style imprègne le palais ; celles de la Deuxième Chambre civile sont signées Ferdinand Elle le Jeune (1716) ; celles de la Première Chambre civile, encastrées dans un plafond sculpté par François Gillet, sont l’œuvre de J.Baptiste Jouvenet. Les peintures, qui représentent, sous des figures allégoriques, les attributs de la Justice (Religion, Eloquance, Connaissance), préfigurent ce qu’allait devenir « l’art royal », quelques années plus tard à Versailles et à Paris, avant de connaître son apogée, vers la fin du 17è siècle.

L’énorme incendie qui éclata le 22 décembre 1720 fit des ravages considérables et frappa très durement les « beaux quartiers ». Pour reconstruire, les autorités avaient le choix entre deux solutions ; rebâtir sur les anciens emplacements en ne modifiant que très peu le tracé des rues, ou au contraire, réorganiser totalement le urbain. C’est cette dernière solution qui fut choisie ; les préoccupations des architectes furent à la fois esthétiques et pratiques ; la ville devait être belle et résister à un nouvel incendie. Les parcelles médiévales, furent regroupées. On construisit une hauteur, de manière à laisser plus de place aux voies de communication. La création d ‘un ensemble cohérent de places permit d’aérer la ville et de lui donner un caractère monumental très net autour de certains édifices, notamment celui du Parlement.

En mai 1788, la Royauté tente de dissoudre le parlement, créant un climat d’émeutes. Sur la place du palais coule, selon Chateaubriand, « le premier sang de la Révolution » (Mémoires d’outre-tombe). Peuple et bourgeoisie accueilleront la Révolution favorablement, mais avec modération. Rennes devient une tête de pont républicaine dans un pays acquis à la chouannerie. En état de siège de 1793 à 1800) elle est protégée par l’armée de Hoche. La paix est enfin rétablie par le Concordat ; elle met fin à huit années de guerre civile.

Condamné par haute trahison, le capitaine Alfred Dreyfus purge, depuis 1894, une peine de travaux forcés dans l’ile du diable, en Guyane française. Mais un faux est découvert dans le dossier. L’affaire est alors réexaminée en août 1899par le tribunal militaire de Rennes. Le procès est houleux, les antisémites manifestent, l’avocat de Dreyfus est blessé. Dreyfus sera réhabilité en 1906.

La PLACE DES LICES : autrefois hors les murs, elle occupe l’espace du champ clos où se tenaient les manifestations médiévales. Au 16ème siècle, elle fut agrandie et les terrains alentours furent vendus à des particuliers en 1658. La place s’entoura d’immenses maisons de bois et d’hôtels particuliers (pour les parlementaires), dont l’architecture s’inspirait directement de l’époque médiévale. Sur cette place, l’Hôtel de la Noue, situé au 26 de la place des Lices, cet hôtel à colombages apparents fut construit en 1658. Il faut observer son vaste escalier central : celui-ci est couvert par  un extraordinaire toit à grandes gerbières et lanternons carénés. Puis l’hôtel Racape de La Feuillée. Cet édifice fut construit en 1658 sur un modèle voisin de celui de l’hôtel de La noue, avec une charpente protégée par un enduit anti-feu. Vient ensuite l’Hôtel de Molant ou Hevin : édifié à partir de 1666. L’escalier est un ouvrage de charpenterie à plan carré de taille exceptionnelle. Madame de Sévigné et son ami le duc de Chaulmes, gouverneur de la province, y furent reçus en 1689. Puis, la Halles de Martenot. Les pavillons des Halles sont dus à J.Baptiste Martenot. Classés monument historique en 1990, ils célèbrent l’architecture métallique du 19ème siècle.

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Les repères de chouans

Posté par francesca7 le 31 août 2013


Les repères de chouans dans Bretagne images-9

Honoré de Balzac

L’action des Chouans, premier roman signé de Balzac, se déroule en 1799. La lutte entre « blancs » et « bleus » déchire alors la Bretagne. Marie de Vermeil chargée par Foucher de séduire le marquis de Montauran, chef chouan, pour le livrer ensuite, s’éprennent contre toute raison l’un de l’autre. Avec l’espoir « insensé de rejoindre le marquis, Maris part dans les alentours de Fougères….

1er extrait :

« Les départements de la Mayenne et d’Ille-et-Vilaine étaient alors commandés par un vieil officier qui, jugeant sur les lieux de l’opportunité des mesures à prendre, voulut essayer d’arracher à la Bretagne ses contingents, et surtout celui de Fougères, l’un des plus redoutables foyers de la chouannerie. Il espérait ainsi affaiblir les forces de ces districts menaçants. Ce militaire dévoué profita des prévisions illusoires de la loi pour affirmer qu’il équiperait et armerait sur-le-champ les réquisitionnaires, et qu’il tenait à leur disposition un mois de la solde promise par le gouvernement à ces troupes d’exception. Quoique la Bretagne se refusât alors à toute espèce de service militaire, l’opération réussit tout d’abord sur la foi de ces promesses, et avec tant de promptitude que cet officier s’en alarma. Mais c’était un de ces vieux chiens de guérite difficiles à surprendre. Aussitôt qu’il vit accourir au district une partie des contingents, il soupçonna quelque motif secret à cette prompte réunion d’hommes, et peut-être devina-t-il bien en croyant qu’ils voulaient se procurer des armes. Sans attendre les retardataires, il prit alors des mesures pour tâcher d’effectuer sa retraite sur Alençon, afin de se rapprocher des pays soumis; quoique l’insurrection croissante de ces contrées rendît le succès de ce projet très problématique. Cet officier, qui, selon ses instructions, gardait le plus profond secret sur les malheurs de nos armées et sur les nouvelles peu rassurantes parvenues de la Vendée, avait donc tenté, dans la matinée où commence cette histoire, d’arriver par une marche forcée à Mayenne, où il se promettait bien d’exécuter la loi suivant son bon vouloir, en remplissant les cadres de sa demi-brigade avec ses conscrits bretons.[…] »

2ème extrait :

« - Voilà un joli coco, dit Hulot en se parlant à lui-même. Il m’a l’air d’être l’ambassadeur de gens qui s’apprêtent à parlementer à coups de fusil.

Après avoir grommelé ces paroles entre ses dents, le commandant promena successivement ses regards de cet homme au paysage, du paysage au détachement, du détachement sur les talus abrupts de la route, dont les crêtes étaient ombragées par les hauts genêts de la Bretagne; puis il les reporta tout à coup sur l’inconnu, auquel il fit subir comme un muet interrogatoire qu’il termina en lui demandant brusquement: – D’où viens-tu?

Son oeil avide et perçant cherchait à deviner les secrets de ce visage impénétrable qui, pendant cet intervalle, avait pris la niaise expression de torpeur dont s’enveloppe un paysan au repos.

- Du pays des Gars, répondit l’homme sans manifester aucun trouble.

- Ton nom?

- Marche-à-terre.

- Pourquoi portes-tu, malgré la loi, ton surnom de Chouan?

Marche-à-terre, puisqu’il se donnait ce nom, regarda le commandant d’un air d’imbécillité si profondément vraie, que le militaire crut n’avoir pas été compris.

- Fais-tu partie de la réquisition de Fougères?

À cette demande, Marche-à-terre répondit par un de ces je ne sais pas, dont l’inflexion désespérante arrête tout entretien. Il s’assit tranquillement sur le bord du chemin, tira de son sarrau quelques morceaux d’une mince et noire galette de sarrasin, repas national dont les tristes délices ne peuvent être comprises que des Bretons, et se mit à manger avec une indifférence stupide. Il faisait croire à une absence si complète de toute intelligence, que les officiers le comparèrent tour à tour, dans cette situation, à un des animaux qui broutaient les gras pâturages de la vallée, aux sauvages de l’Amérique ou à quelque naturel du cap de Bonne-Espérance. Trompé par cette attitude, le commandant lui-même n’écoutait déjà plus ses inquiétudes, lorsque, jetant un dernier regard de prudence à l’homme qu’il soupçonnait d’être le héraut d’un prochain carnage, il en vit les cheveux, le sarreau, les peaux de chèvre couverts d’épines, de débris de feuilles, de brins de bois et de broussailles, comme si ce Chouan eût fait une longue route à travers les halliers. […] »

3ème extrait :

« Mademoiselle de Verneuil s’élança dans les petits sentiers tracés par les chèvres et leurs pâtres sur le versant de la Promenade, gagna l’Escalier de la Reine, arriva au fond du précipice, passa le Nançon, traversa le faubourg, devina, comme l’oiseau dans le désert, sa route au milieu des dangereux escarpements des roches de Saint-Sulpice, atteignit bientôt une route glissante tracée sur des blocs de granit, et, malgré les genêts, les ajoncs piquants, les rocailles qui la hérissaient, elle se mit à la gravir avec ce degré d’énergie inconnu peut-être à l’homme, mais que la femme entraînée par la passion possède momentanément. La nuit surprit Marie à l’instant où, parvenue sur les sommets, elle tâchait de reconnaître, à la faveur des pales rayons de la lune, le chemin qu’avait dû prendre le marquis; une recherche obstinée faite sans aucun succès, et le silence qui régnait dans la campagne, lui apprirent la retraite des Chouans et de leur chef. Cet effort de passion tomba tout à coup avec l’espoir qui l’avait inspiré. En se trouvant seule, pendant la nuit, au milieu d’un pays inconnu, en proie à la guerre, elle se mit à réfléchir, et les recommandations de Hulot, le coup de feu de madame du Gua, la firent frissonner de peur. Le calme de la nuit, si profond sur les montagnes, lui permit d’entendre la moindre feuille errante même à de grandes distances, et ces bruits légers vibraient dans les airs comme pour donner une triste mesure de la solitude ou du silence. Le vent agissait sur la haute région et emportait les nuages avec violence, en produisant des alternatives d’ombre et de lumière dont les effets augmentèrent sa terreur, en donnant des apparences fantastiques et terribles aux objets les plus inoffensifs. Elle tourna les yeux vers les maisons de Fougères dont les lueurs domestiques brillaient comme autant d’étoiles terrestres, et tout à coup elle vit distinctement la tour du Papegaut. Elle n’avait qu’une faible distance à parcourir pour retourner chez elle, mais cette distance était un précipice. Elle se souvenait assez des abîmes qui bordaient l’étroit sentier par où elle était venue, pour savoir qu’elle courait plus de risques en voulant revenir à Fougères qu’en poursuivant son entreprise.

Elle pensa que le gant du marquis écarterait tous les périls de sa promenade nocturne, si les Chouans tenaient la campagne. Madame du Gua seule pouvait être redoutable. À cette idée, Marie pressa son poignard, et tâcha de se diriger vers une maison de campagne dont elle avait entrevu les toits en arrivant sur les rochers de Saint Sulpice; mais elle marcha lentement, car elle avait jusqu’alors ignoré la sombre majesté qui pèse sur un être solitaire pendant la nuit, au milieu d’un site sauvage où de toutes parts de hautes montagnes penchent leurs têtes comme des géants assemblés. »

Honoré de Balzac – LES CHOUANS dans La Comédie Humaine, 1829

 

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Langage breton

Posté par francesca7 le 31 août 2013


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Comment appelle-t-on en breton le drapeau de la Bretagne ?

Vous avez répondu : Gwenn ha du

Le drapeau civil de Bretagne est composé de 9 bandes alternées noires et blanches avec 11 mouchetures d’hermines noires sur fond blanc. Gwenn ha Du signifie en breton « blanc et noir ».

Le breton est une langue originaire de :

Vous avez répondu : Grande-Bretagne

Avant de s’appeler « Grande-Bretagne », le territoire anglais s’appelait « Bretagne » et était peuplé de Bretons. La langue bretonne s’implante au VIe siècle par une vague d’immigrations dans la péninsule armoricaine, aujourd’hui l’actuelle Bretagne.

Que signifie Breizh ?

Vous avez répondu : Le nom de la Bretagne

L’appellation bretonne de la Bretagne est Breizh et couramment abrégé en BZH. En gallo, l’autre langue traditionnelle de Bretagne, son nom est Bertaèyn.

Qu’est-ce que le kouign amann, spécialité bretonne ?

Vous avez répondu : Un gâteau à base de beurre et de sucre

Le kouign amann est un gâteau à pâte feuilletée, spécialité régionale de Douarnenez en Bretagne. En breton « kouign » signifie gâteau ou brioche et « amann », beurre.

A quoi ressemble le triskel, symbole celte par excellence ?

La bonne réponse : Trois spirales entrecroisées

Le triskel existe également en Sicile et en Irlande. Il a plusieurs significations, représentant aussi bien les 3 dieux principaux de la mythologie celtique, le temps qui passe ou les éléments de la terre, de l’eau et du feu. Sans compter les nombreuses autres interprétations, notamment néo-druidiques.

Le breton est une langue :

Vous avez répondu : celtique

La langue bretonne est une langue celtique parlée en France par environ 300 000 locuteurs. Elle fait ainsi partie du groupe des langues indo-européennes.

Complétez ce dicton breton : « Qui trop écoute la météo …

Vous avez répondu : …passe sa vie au bistrot »

Le dicton cité provient des marins bretons.

Comment s’intitule l’hymne de la Bretagne ?

La bonne réponse : Bro gozh ma zadoù

L’hymne breton est inspiré de l’hymne national du Pays de Galles intitulé Hen Wlad Fy Nhadau (Vieille terre de mes pères). Quant à Bro Goth Agan Tasow il est l’hymne équivalent en cornique.

Que signifie son intitulé ?

Vous avez répondu : Vieux pays de mes pères

Le refrain de l’hymne de la Bretagne est le suivant : « O Bretagne, mon pays, que j’aime mon pays, tant que la mer sera comme un mur autour d’elle. Sois libre, mon pays ! »

Comment s’appelle le chanteur ou groupe le plus célèbre de musique contemporaine bretonne ?

La bonne réponse : Alan Stivell

Alan Stivell est un musicien d’origine bretonne célèbre pour son répertoire traditionnel d’expression celtique. Les Baragouineurs est un groupe breton également, mais aux sonorités électro et new wave.

Une personne qui parle breton est appelée :

Vous avez répondu : Bretonnante

Les bretonnants désignent ainsi les locuteurs du breton. Depuis quelques années dans les médias est apparu le terme « brittophone », mais l’ancien terme français « bretonnant » reste le plus employé encore de nos jours.

Quelle est l’autre langue traditionnelle de la Bretagne ?

La bonne réponse : Le gallo

Le gallo est la langue d’oïl traditionnelle de Haute-Bretagne. Des dialectes du gallo sont parlés également dans le Maine, l’Anjou et une partie de la Basse Normandie.

Lequel de ces dialectes bretons n’existe pas ?

La bonne réponse : Le breton plougastois

Il existe 3 grands dialectes en Bretagne : le trégorrois, le vannetais, le léonard. Et, complémentaire aux trois autres, le cornouaillais.

Lequel de ces artistes célèbres n’est pas breton ?

La bonne réponse : Yann Arthus-Bertrand

Yann Tiersen est un musicien breton né à Brest, rendu célèbre par sa bande originale du film « le Fabuleux Destin d’Amélie Poulain ». Né à Vannes, Alain Resnais est un cinéaste de la nouvelle vague qui s’illustra dans les documentaires (« Nuit et Brouillard ») et dans les longs-métrages (« Hiroshima mon amour »). Quant à Yann Arthus-Bertrand, photographe, journaliste-reporter et dernièrement réalisateur du film « Home », il est né à Paris.

Laquelle de ces confiseries est originaire de Bretagne ?

Vous avez répondu : La gavotte

La gavotte est une crêpe sucrée très fine et croustillante repliée en petits parallélépipèdes, mise au point en 1886 par Katell Cornic. Le produit a d’abord connu une diffusion internationale sous le nom de crêpe-dentelle.

Quel vêtement ne fait pas partie du costume traditionnel breton ?

Vous avez répondu : Le kilt

La coiffe bigouden doit son nom à la petite pointe de la coiffe des femmes. Quant aux grandes culottes bouffantes dites bragoù-braz, elles ont été abandonnées dès le début du XXe siècle. Le kilt est un habit traditionnel écossais.

Quel est le jour de la fête nationale bretonne ?

La bonne réponse : Le 19 mai

Le jour de la fête nationale bretonne correspond à la Saint-Yves ou à la Saint-Erwan (en breton), le 19 mai. Cette fête est populaire par toutes les manifestations culturelles qui sont organisées dans le territoire de Bretagne.

Comment appelle-t-on une soirée traditionnelle en Bretagne?

La bonne réponse : Un fest-noz

Autrefois, la finalité des danses durant ces bals ou soirées était de tasser la terre avec des sabots de bois afin de réaliser un sol de terre battue pour une maison, d’où la présence de figures de danse incluant des battements de pied.

Comment s’appellent les écoles associatives et laïques où l’enseignement est dispensé en langue bretonne ?

La bonne réponse : Les écoles Diwan

Les écoles Diwan scolarisent 3 076 élèves (chiffres de la rentrée 2008), de la maternelle jusqu’au baccalauréat. La première école Diwan a été créée en 1977 dans le Finistère, à l’initiative de René L’Hostis.

Et enfin, comment dit-on « aurevoir » en breton ?

Vous avez répondu : Kenavo

Demat signifie « bonjour » et « noz vat », bonne nuit.

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