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    La France, je l'aime corps et biens, en amoureux transi, en amant comblé. Je la parcours, je l'étreins, elle m'émerveille. C'est physique. Pour l'heure, c'est le plus beau pays du Monde, le plus gracieux, le plus spirituel, le plus agréable à vivre. En dépit de ses défauts, le peuple français a des réserves inépuisables de vigueur, d'astuce et de générosité. j'écris cela en toute connaissance de la déprime qui périodiquement enténèbre nos compatriotes. Ils ont une pente à l'autodénigrement, une autre au nihilisme. Je suis français au naturel et j'en tire autant de fierté que de volupté. J'ai pour ce vieux pays l'amour du preux pour sa gente dame, du soudard pour la servante d'auberge, de l'érudit pour ses grimoires, du paysan pour son enclos, du bourgeois pour ses rentes, du croyant des hautes époques pour les reliques de son saint patron... J'ai la France facile, comme d'autres ont le vin gai ; je l'ai au coeur et sous la semelle de mes godasses. Je suis français, ça n'a pas dépendu de moi et ça n'a jamais été un souci. Ni une obsession. Toujours un bonheur...

    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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  • > Archives pour le Jeudi 29 août 2013

Sous le soleil de Menton… Au Pays du Citron.

Posté par francesca7 le 29 août 2013


Avec une réputation déjà mondiale grâce à la fête du citron, le citron de Menton va bientôt faire partie du cercle restreint des citrons sous IGP. L’obtention de ce label confirmera l’exceptionnelle qualité gustative du Citron de Menton. Sur ce site vous découvrirez son histoire, ses producteurs et ceux qui le défendent. Comme l’association : http://www.lecitrondementon.fr/

Un peu d’historique……

Sous le soleil de Menton… Au Pays du Citron. dans FLORE FRANCAISE citron_menton-300x200Auparavant la vie Mentonnaise essentiellement agricole est du type médiéval : céréales, vignes et figuiers composent le paysage de Puypin. A la faveur de 2 accords avec les Comtes de Provence les importations en franchise de blé provençal peuvent se faire.

L’économie locale se modifie. Les Mentonnais intensifient la culture des oliviers et les premiers moulins à huile apparaissent en 1341. Un siècle et demi plus tard un accord avec la Provence, devenue Française, permet d’importer, en totalité, le blé du Var. La traditionnelle économie médiévale est abandonnée, Menton voit ses versants se peupler d’oliviers et timidement apparaissent les premiers agrumes. Dans un texte de 1471 il est fait mention d’une « terre complantée de soixante sept arbres sitronariorum ». On retrouve la trace de la première exportation en 1495 sous la forme de deux écus d’or remis à Jérôme GRIMALDI en paiement de deux charges de « pommes d’oranges » envoyées au Duc d’Orléans.

Le véritable essor de l’agrumiculture apparaît réellement deux siècles plus tard avec les textes réglementant la culture du citron.

Les Princes de Monaco promulguent plusieurs textes fondamentaux. En 1671 le Prince Louis 1er institua le « Magistrat des Citrons ». En 1683, une ordonnance règle la culture et la vente des Citrons. En 1693, institution des anneaux de calibrage des fruits. En 1701, ordonnance créant le « magistrat de santé » qui a pour mission de veiller à l’état sanitaire des exportations de fruits ; en 1733, réglementation du traitement des citrons destinés à l’exportation.

L’âge d’or du Citron dura environ un siècle entre 1740 et 1840. Le commerce est très florissant et essentiellement axé sur l’exportation. Pratiquée le plus souvent dans des jardins de petite superficie, les rendements à l’hectare sont de l’ordre de 30.000 citrons avec des pointes à 35.000.

Une fois cueillis, les citrons étaient apportés dans de grandes salles près du littoral où ils reposaient un certain temps avant d’être triés et calibrés. Ensuite ils étaient enveloppés dans du papier de soie fabriqué à Gênes. Le calibrage s’effectuait avec des spetzins (anneaux). Une réglementation très stricte avait été édictée en 1693 par ordonnance souveraine du Prince de Monaco.  Puis les citrons étaient mis en caisses, les contenances variaient en fonction de la destination. Au XIXème siècle il existait trois sortes de caisses : les « lyonnaises » contenant 500 citrons, les « flandrines » contenant 400 citrons et les « messinoises » contenant 360 citrons.

Les premières étaient destinées à la France, les secondes à l’Europe du Nord et les troisièmes aux Amériques. Le commerce florissait sur toute l’Europe, et de nombreuses villes reçoivent des citrons de Menton : Hambourg, Amsterdam, Dantzig, Varsovie, Saint PetersBourg. Trois variétés de citronnier sont cultivées sur Menton. Il s’agit des « Bignettes » qui produisent des fruits à peau lisse et fine, très juteux.

Ensuite les « Sériesqués » à peau épaisse et lisse et qui contiennent moins de jus que les Bignettes.

Enfin les « Bullotins » peu courants à Menton. Les fruits sont plus gros, leur peau est très épaisse et raboteuse » et ont peu de jus. Le citronnier « cet arbre si productif, écrit PAPON en 1804, donne 4 à 5 fois dans l’année et peut être davantage ». En effet lorsqu’il est sain et qu’il n’a pas subi les attaques des intempéries il produit toute l’année. Les fleurs du mois de Mai donneront les fruits qui sont appelés « PRIME FIOU » (première fleur) et qui se ramassent d’octobre à février. La récolte de ces citrons se fait en plusieurs fois. Plus on réitère les cueillettes plus on soulage l’arbre et plus on le facilite à pousser. En mars viennent les fruits de « SEGUNDE FIOU » (seconde fleur). Ceux-ci sont plus fragiles et se gardent moins bien aussi pour les exportations lointaines, les marchands optent pour les 1ères fleurs. « Bien choisis et bien encaissés les citrons se gardent jusqu’à 6 mois ».

Enfin la troisième récolte qui se fait en été est appelée « VERDAME ».

Dans un rapport d’expertise sur l’agriculture Mentonnaise en 1810, l’expert Richard estime que les meilleures terres peuvent contenir 120 citronniers par stérée soit 780 arbres à l’arpent. De même l’expert Richard estime que les meilleures terres de citronniers rendent 22000 fruits par stérée, soit 143000 à l’arpent.

 « Au Pays du Citron », c’est une histoire de famille et de passion pour le Citron de Menton. Dans leur boutique-atelier de la rue piétonne, en plein cœur de Menton, Sonia et Fabrice Puech transforment le Citron de Menton en créations gourmandes à partir de recettes ancestrales tenues secrètes. Créateurs du « Limoncello au Citron de Menton », ils régalent également tous les amateurs de zestes ensoleillés avec leur extraordinaire Confiture au Citron de Menton, leur Huile d’Olive au Citron de Menton, leurs Canardises, Babas,Vodkas et autres liqueurs… Au Citron de Menton, bien évidemment !e Citron de Menton… Un délice unique au monde !

Si le Citron de Menton a trouvé sa terre de prédilection à Menton… C’est grâce à un climat d’une douceur exceptionnelle. En retour, ce fruit d’or offre aux gourmets une expérience gustative unique au monde : une pulpe parfumée, un jus généreux, un parfum délicat et surtout… Une peau épaisse et douce que l’on peut également déguster au couteau ! Sans oublier son zeste généreusement concentré en huiles essentielles… de citrons… 

L’histoire du citron est intimement liée à celle de Menton dès le 15ème siècle… Même si à l’époque la culture des citronniers reste modeste et plutôt familiale. C’est au 16èmesiècle que le commerce du Citron de Menton s’organise et que sa culture se développe sous des cieux d’une grande clémence et particulièrement favorables à la prospérité de cet arbre sensible au gel et aux écarts de température. 

La campagne mentonnaise va peu à peu se couvrir d’une véritable « forêt de citronniers » agréable pour les voyageurs et qui va donner au paysage son empreinte. En 1887, Stephen Liégeard, inventeur de l’appellation « Côte d’Azur », décrit, en parlant de Menton « les petits vallons laissant aux brises le soin de secouer sur le passant les capiteux parfums des citronniers » ! Jusqu’à la fin du 19èmesiècle, Menton s’affirme comme le pays des fruits d’or et ses habitants apprennent à vivre sous le règne du Citron.  t de transformer le citron… 

atelier-limoncello-bd_0-199x300 dans Les spécialitésAu 19èmesiècle, Menton possède 4 distilleries qui lui permettent de produire l’essence de citron, de néroli et l’eau de fleur d’oranger nécessaires aux parfumeries grassoises, l’une d’entre elles fournissant même le célèbre parfumeur Jean-Marie Farina. Outre l’huile essentielle, les confitures de citrons et les fruits de table, les citronniers sont également utilisés en ébénisterie où leur bois dur et joliment veiné permet la fabrication de mobilier de marqueterie de grand luxe.

Pourquoi le Citron de Menton est-il si bon ? 

Au fil des siècles, le « citrus limon » acclimaté à Menton est devenu une variété botanique à part entière. Son fruit, particulièrement apprécié des grands chefs et des gourmets, possède un certain nombre de caractéristiques qui lui sont propres : une couleur jaune d’or très vive, une écorce très fournie en huile essentielle, un « albedo » (partie blanche du fruit) épais qui permet de garder beaucoup de jus dans la pulpe, et un parfum doux et frais. 

Un site à votre disposition : http://www.aupaysducitron.fr/citrons-menton-entreprise

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Moutarde de Dijon

Posté par francesca7 le 29 août 2013

Moutarde de Dijon dans Côte d'Or 200px-dijon_mustard_on_a_spoon_-_20051218

La moutarde de Dijon est une moutarde française historique.

Il s’agit d’une moutarde forte qui existe en plusieurs variétés. Elle est faite à partir de graines de moutarde noire, de vinaigre, de sel et d’acide citrique sans compter de l’eau qui intervient principalement dans le piquant de la moutarde. Elle accompagne toutes les viandes et entre dans la composition de la sauce mayonnaise.

La moutarde noire est une plante herbacée annuelle, velue-hérissée à la base. Elle possède une tige dressée d’environ 1 mètre, à rameaux étalés.

Les feuilles sont toutes pétiolées, les inférieures pennatifides et lyrées (avec un lobe terminal beaucoup plus grand que les autres), glauques, à marge denticulée ou dentée, les supérieures lancéolées, entières ou un peu dentées.

L’inflorescence est une grappe, le fleur est régulière et hermaphrodite.

Le racème porte des fleurs assez grandes, jaunes, de 10-12 mm, à pédicelle court, appliqué contre l’axe, odorante. Les 4 sépales7 sont libres, verts et sur deux verticilles. Les 4 pétales libres font 7-9 mm de longueur sont disposés en croix sur un seul verticille et sont jaunes.

Les étamines sont au nombre de 6 sur deux verticilles, sur l’interne quatre grandes étamines et sur l’externe deux petites étamines, l’ensemble forme ainsi un androcée tétradyname. Les carpelles sont au nombre de deux, secondairement apparaît une fausse cloison que l’on peut appeler réplum.

La floraison s’étale d’avril à octobre.

Le fruit est une silique, appliquée contre l’axe, linéaire, de 1-2,5 cm x 2-3 mm, sessile, glabre, subtétragone, un peu bosselée, à bec grêle de 4 à 5 fois plus court que les valves.

À maturité, les graines sont brun-noirâtre et ont une saveur très piquante. L’origine des qualificatifs noire/blanche dans les termes « moutarde noire/blanche » vient de la couleur de la graine.

Les graines de moutarde utilisées dans la fabrication de la moutarde de Dijon proviennent à 80 pour cent du Canada et des pays de l’Est.

L’appellation « Moutarde de Dijon » n’est pas une appellation d’origine contrôlée, si bien que le terme n’est pas juridiquement protégé.

En 2008, le groupe néerlandais Unilever, qui disposait de plusieurs usines de moutarde en Europe, a décidé de fermer l’usine dijonnaise de fabrication. La « moutarde de Dijon » n’est donc plus, depuis le 15 juillet 2009, fabriquée et conditionnée dans la commune de Dijon, mais sur le site voisin de Chevigny-Saint-Sauveur.

En 1919, Armand Bizouard, descendant d’une longue lignée de fabricants de moutarde depuis François Naigeon, reçu maître-vinaigrier en 1703, dépose la marque Amora au greffe du tribunal de commerce de Dijon. Mais il ne l’utilise pas et cède sa société à Raymond Sachot en 1931.

Entre temps, la marque Amora est déposée aux États-Unis par la société Bloomingdale’s. Lorsque la protection expire en 1934, Raymond Sachot dépose une nouvelle fois la marque et lance la commercialisation des moutardes Amora dans des pots en verre. Il fait ensuite passer la production du stade artisanal au stade industriel. Il reprend en 1939 les sociétés Philbée (pain d’épices), des moutardes Mouillard (Dijon) et Jacquemin (Meursault), pour créer la société SAB (Spécialités Alimentaires Bourguignonnes). À partir des années 50, la société croît, étend sa marque sur les vinaigrettes, ketchups, mayonnaises ou cornichons et devient le leader du secteur des condiments en France. En 1963, SAB, Brochet Frères, Vandamme et Francorusse fusionnent pour créer la Générale Alimentaire.

Amora appartiendra successivement au groupe Rothschild, au milliardaire Jimmy Goldsmith, lorsque celui-ci rachètera la Générale Alimentaire en 1973 pour l’intégrer au sein de la Générale Occidentale, puis au groupe BSN (qui deviendra ensuite Danone).

220px-ImageMoutarde1 dans FLORE FRANCAISEAmora-Maille est une entreprise française spécialisée dans la distribution de condiments appartenant au groupe Unilever. Elle est issue de la fusion des sociétés Maille et Amora.

Entre 2002 et 2008, Unilever a délocalisé la production de vinaigrettes et de ketchup en Turquie et en République tchèque. Puis en 2009, Unilever réorganise ses sites de production : l’usine historique de Dijon et celle d’Appoigny dans l’Yonne sont fermées , et la production de moutarde et de cornichons est transférée sur le site de Chevigny-Saint-Sauveur, unique usine restante du groupe, qui a ainsi vu passer sa production passée de 50 000 tonnes en 2008 à plus de 90 000 tonnes en 2011. Cette réorganisation a entraîné la perte de 144 emplois : 86 des 184 salariés de Dijon et 3 des 77 salariés d’Appoigny ont rejoint l’usine de Chevigny. Cependant, Unilever a rappatrié sa production de vinaigrettes de République tchèque vers le site de Chevigny, avec 32 emplois à la clé.

Le site fabrique aujourd’hui la totalité de la moutarde Amora et Maille vendue en France et dans le monde. Les cornichons vendus sous les marques Amora et Maille, depuis toujours récoltés dans l’Yonne, viennent depuis les années 2000 de Chine ou d’Inde.

 

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