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    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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la dure vie des marins

Posté par francesca7 le 28 août 2013

 

source : Le Point.fr - 

Jour et nuit, toutes les trois heures, les matelots sont sur le pont. Suite de notre reportage sur le chalutier cherbourgeois les Hanois.

Les matelots attendent la remontée du chalut sur le pont.
Les matelots attendent la remontée du chalut sur le pont. © Marc Leplongeon / Le Point.fr
la dure vie des marins dans ARTISANAT FRANCAIS b-favori
L’île de Guernesey se dessine. Il est sept heures du matin. Le pont est désert, ne reste qu’un marin dans la passerelle qui prend son tour de garde. Les autres sont partis se coucher. J’ai dormi tout habillé, la lumière ouverte, les rideaux de ma « cabane » fermés pour ne pas déranger les voisins. Je suis barbouillé comme jamais, un café à la main, dans mes vêtements de la veille : une véritable gueule de bois sans avoir bu. Je n’ai que très peu dormi, le temps de m’habituer au vacarme du moteur et au tangage du bateau. Et je crois bien avoir été réveillé par une sorte de beuglement, un drôle de raffut dans le dortoir.

L’équipage a en réalité « filé » (mis à l’eau le chalut) pour la première fois à 3 h 30 et a « viré » (relevé le chalut) à 6 h 30. Le beuglement que j’ai entendu n’était rien d’autre que le signal pour sortir du lit. Un « À virer, à virer, à virer ! » que crie le patron dans un micro pour réveiller ses hommes. Depuis la passerelle, la voix de Régis est parfaitement audible. Dans la salle où dorment les matelots, en dessous du niveau de la mer, ce n’est plus qu’un cri rauque et caverneux. Mais les matelots ont bien besoin de ce réveil abrupt. Quand certains compareraient volontiers le bruit des machines à celui d’un marteau piqueur, les marins ont appris à faire du boucan du moteur une berceuse. Et ici, aucun double vitrage, seulement des cloisons en bois.

« À virer, à virer, à virer ! »

« On vire toutes les trois heures », explique Régis, le patron. Les marins ne font donc jamais une nuit complète et se contentent de dormir une heure par-ci, une heure par-là. L’un d’entre eux doit toujours être éveillé pour maintenir le cap. On appelle ça « faire le quart ». Il doit vérifier que la vitesse est bonne, qu’aucun voilier, cargo ou porte-conteneurs n’est sur sa trajectoire. Et, surtout, s’assurer de la qualité des fonds. La mer est jonchée de câbles téléphoniques, de carcasses de bateaux et de récifs. Les sinistres sont souvent indiqués sur la carte, mais les chalutiers qui pêchent au fond de la mer ne sont jamais à l’abri d’une avarie.

9 h 20, le signal est entonné. « À virer, à virer, à virer ! » Les matelots s’habillent et sortent sur le pont. Le premier treuil est enclenché. Des dizaines de mètres de chaînes rouillées cliquettent et s’entrechoquent. Deux grands panneaux en métal tapent de chaque côté de la coque dans un bruit sourd. « Lorsque le chalut est au fond de la mer [à environ 60 mètres de profondeur, NDLR], c’est ce qui nous sert à écarter le filet pour en faire une sorte d’entonnoir », raconte Régis. Des bourrelets maintiennent le chalut au fond, des flotteurs en plastique élèvent sa partie supérieure vers le haut. À la manière d’une gigantesque épuisette qui raclerait les fonds. Un nouveau treuil est actionné pour remonter un long filet vert qui flotte à la surface : le chalut. Quelques poissons sont coincés entre les mailles, déjà morts. Le reste forme une grande masse opaque, suspendue par un câble. Puis, soudain, tout se déverse sur le pont. Des centaines de kilos de pétoncles, de raies, d’encornets, de rougets et de lottes.

 REGARDEZ un diaporama sur le travail des marins-pêcheurs

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