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    La France, je l'aime corps et biens, en amoureux transi, en amant comblé. Je la parcours, je l'étreins, elle m'émerveille. C'est physique. Pour l'heure, c'est le plus beau pays du Monde, le plus gracieux, le plus spirituel, le plus agréable à vivre. En dépit de ses défauts, le peuple français a des réserves inépuisables de vigueur, d'astuce et de générosité. j'écris cela en toute connaissance de la déprime qui périodiquement enténèbre nos compatriotes. Ils ont une pente à l'autodénigrement, une autre au nihilisme. Je suis français au naturel et j'en tire autant de fierté que de volupté. J'ai pour ce vieux pays l'amour du preux pour sa gente dame, du soudard pour la servante d'auberge, de l'érudit pour ses grimoires, du paysan pour son enclos, du bourgeois pour ses rentes, du croyant des hautes époques pour les reliques de son saint patron... J'ai la France facile, comme d'autres ont le vin gai ; je l'ai au coeur et sous la semelle de mes godasses. Je suis français, ça n'a pas dépendu de moi et ça n'a jamais été un souci. Ni une obsession. Toujours un bonheur...

    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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  • > Archives pour le Dimanche 18 août 2013

Demoiselles à 4 ailes

Posté par francesca7 le 18 août 2013

Demoiselles à 4 ailes dans FAUNE FRANCAISE libellule_4taches_f2-300x167 

Vous voyez voler de tous côtés ces beaux insectes à quatre ailes de gaze, si connus sous le nom de Demoiselles. Leur appétit carnassier contraste singulièrement avec la forme élégante et gracieuse qui leur a mérité ce nom.

Avec quelle ardeur elles poursuivent dans les airs la proie ailée qui rarement peut leur échapper ; portées sur leurs ailes rapides, elles parcourent en un clin d’œil un espace considérable, et saisissent au vol la mouche qu’elles dévorent sans s’arrêter. Tout en elles est approprié à cette vie de rapine ; leurs ailes sont d’une grandeur démesurée, et leurs pieds sont courts et robustes, leurs mandibules sont très fortes, et leurs yeux, plus grands que ceux d’aucun autre insecte, leur permettent de voir dans toutes les directions.

Elles font parties de l’ordre des névroptères, dont elles sont le type ; leurs antennes sont en forme d’alène, composées de sept articles au plus, dont le dernier plus effilé dépasse à peine la tête ; leurs mandibules et leurs mâchoires sont entièrement couvertes par le labre et la lèvre ; elles ont trois petits yeux lisses les deux gros yeux à réseau, et leurs tarses ont trois articles.

On les partage en trois genres : les libellules, les aeshnes et les agrions. Les libellules et les aeshnes ne diffèrent guère que par la forme de l’abdomen, qui est court et aplati chez les premières, et, au contraire, cylindrique, grêle et allongé chez celles-ci. On remarque aussi une certaine différence dans les nervures des ailes, dont les antérieures présentent, près de leur base, chez les libellules seulement, une cellule triangulaire bien remarquable avec la pointe dirigée en arrière. Leurs larves ne diffèrent que par leur forme plus ou moins allongée ; elles ont toutes l’abdomen terminé par cinq lames dures et pointues.

Les agrions, au contraire, se distinguent bien par l’écartement des yeux, par leurs ailes plus étroites, plus faibles, qui sont rapprochées et appliquées les unes contre les autres au lieu d’être étalées. Leurs larves diffèrent aussi beaucoup ; ce sont celles que vous voyez plus effilées et plus délicates ; elles sont vertes et leur corps est toujours terminé par trois lames en nageoire, ce qui leur permet de nager dans l’eau et de se mouvoir avec un peu plus d’agilité. En donnant quelques coups de filet dans les marais, nous allons avoir toutes ces larves en quantité. Elles sont vraiment bien remarquables par la forme singulière de la pièce qui remplace la lèvre inférieure ; cette pièce, que Réaumur nommait la Mentonnière, recouvre, comme un masque, tout le dessous de la tête ; elle est allongée, un peu plus large en avant où elle porte deux crochets mobiles, et s’articule en arrière sur un pédicule presque aussi long et mobile qui leur permet de s’avancer beaucoup. La larve, dont les mouvements sont trop lents pour lui permettre de poursuivre sa proie, se sert de cette pièce pour atteindre le petit insecte qui passe à sa portée. Cette longue palette se déploie subitement comme un ressort qui se détend ; elle saisit la proie avec ses tenailles ou crochets, et la rapporte contre les mâchoires.

Une autre singularité de ces larves, c’est leur manière de respirer. Elle font entrer une grande quantité d’eau dans leur intestin, qui est garni à l’intérieur de douze rangées de petites taches noires, symétriques, composées de petits tubes respiratoires ; puis quand cette eau est épuisée de l’air qu’elle contient, elles la lancent avec force, et se procurent ainsi un moyen de changer de lieu, à la manière des pièces d’artifices ou d’artillerie, qui reculent par l’effet de l’inflammation de la poudre.

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La Têt des Pyrénées

Posté par francesca7 le 18 août 2013

La Têt des Pyrénées dans COURS d'EAU-RIVIERES de France 250px-tet_villefranche-de-conflent

La Têt est un fleuve des Pyrénées. Le régime de ce cours d’eau des Pyrénées est tributaire de l’enneigement et de la fonte des neiges au printemps, et secondairement des pluies automnales. Si son débit est souvent faible, la Têt peut connaître des crues spectaculaires et son débit atteindre un record de 3 600 m3⋅, comme lors de l’aiguat d’octobre 1940.

Son débit a été observé sur une période de 32 ans (1973-2004), à Rodès, petite localité des Pyrénées-Orientales, située au pied du barrage de Vinça et donc assez éloignée de son embouchure dans la mer. Le bassin versant du fleuve y est de 974 km2, c’est-à-dire 63 % de sa totalité (qui vaut 1 400 km). Les débits suivants ne sont donc pas les débits naturels, car fortement influencés par la mise en service du barrage en 1976. On distingue trois périodes annuelles au niveau du barrage de Vinça. La première période ou période de remplissage va du 1er avril au 30 juin. Du 1er juillet au 30 septembre se déroule la deuxième période ou période de déstockage, qui permet de soutenir le débit du fleuve en été, et aussi de fournir de l’eau pour l’irrigation des cultures. Enfin, du premier octobre au 31 mars, c’est la période d’attente : le barrage est presque vide et est prêt pour l’écrêtement de crues éventuelles.

La Têt présente des fluctuations saisonnières typiques d’un régime à dominante nivale incontestable. On y distingue en effet deux périodes de crue. Les hautes eaux de fin d’automne portent le débit mensuel moyen à 10,2 m3⋅/s, en décembre, et sont suivies d’une légère baisse de débit jusqu’à 8,56 m3⋅/s en février. Suit alors une deuxième montée du régime aboutissant à un second sommet – de loin le plus important – en mai (22,7 m3⋅/s). Il est dû à la fonte des neiges. Par après, dès le mois de juin, s’amorce une décrue rapide suivie des basses eaux d’été qui mènent le débit moyen à son étiage du mois d’août avec une moyenne mensuelle de 7,49 m3⋅/s, ce qui reste assez élevé, il est vrai. Au total, les oscillations saisonnières paraissent ainsi fort peu importantes, mais les fluctuations sont bien plus prononcées sur de plus courtes périodes.

Pour se faire une idée de l’importance de ces débits de crue, on peut les comparer à ceux du Loing, affluent important de la Seine, en amont de Paris, dont les crues sont renommées et furent longtemps redoutées, mais rivière quelque peu régularisée actuellement. Le QIX 5 du Loing vaut 150 m3⋅/s(contre 240 pour la Têt) et son QIX 20 se monte à 220 m3⋅/s (moins que les 360 de la Têt). Comme on le constate, les crues de la Têt sont nettement supérieures à celles du Loing en amont de Paris, et ce bien que son bassin soit quatre fois moins étendu, et son débit deux fois moins abondant.

Le débit instantané maximal enregistré durant la période d’observation de 32 ans a été de 533 m3⋅ le 19 mai 1977, tandis que la valeur journalière maximale était de 345 m3⋅ le même jour. En comparant la première de ces valeurs avec l’échelle des QIX du fleuve, il apparaît que cette crue était bien plus importante que la crue cinquantennale calculée (QIX 50), et sans doute très exceptionnelle.

Au total, la Têt est un petit fleuve moyennement abondant, alimenté avant tout par les précipitations, surtout neigeuses, des sommets orientaux des Pyrénées. La lame d’eau écoulée dans son bassin versant est de 323 millimètres annuellement, ce qui est modéré, équivalent à la moyenne d’ensemble de la France tous bassins confondus. Le débit spécifique du fleuve (ou Qsp) atteint 10,2 litres par seconde et par kilomètre carré de bassin.

La Têt prend sa source au pied du pic Carlit, à 2405 m d’altitude, dans la commune d’Angoustrine-Villeneuve-des-Escaldes, traverse d’ouest en est le département des Pyrénées-Orientales, d’abord le Conflent, puis le Roussillon et a son embouchure dans la mer Méditerranée, sur la commune de Canet-en-Roussillon, après avoir traversé la ville de Perpignan.

Son cours est barré, dans sa partie amont, aux Bouillouses (barrage hydro-électrique) et à Vinça (barrage-réservoir).

 

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Sur les berges de La Virlange

Posté par francesca7 le 18 août 2013

 

Sur les berges de La Virlange dans COURS d'EAU-RIVIERES de France telechargement-41 petite rivière baignant la commune de Saugues en Haute-Loire, passait pour être le repaire de moules d’eau douce abritant de véritables perles de joaillerie dont la nacre, si elle n’égalait pas celle de l’Orient, suscitait quelques vocations d’amateurs en quête d’une pêche miraculeuse

La Virlange longe le territoire de la commune de Saugues depuis Esplantas jusqu’au moulin de Pouzas où elle se jette dans l’Ance. Elle est ainsi mentionnée par le Père Louvreleul : « Il y a, en Gévaudan, une petite rivière nommée Virlange, qui vient du pied de la Margeride, près de Chanaleilles, et passe par Ombret, dans laquelle, quand elle est fort basse, on trouve de dans laquelle, quand elle est fort basse, on trouve de véritables perles avec leur nacre, durant l’espace d’une lieue, savoir, depuis le village des Plantats, jusqu’au dessous de la ville de Saugues. »

Audigier, dans son Histoire d’Auvergne, rapporte quant à lui qu’ « on voit quelque chose qui n’est guère moins surprenant sur les frontières de l’Auvergne, du côté de Saugues. Près d’un lieu, nommé Plantat, coule un ruisseau dans lequel on trouve des huîtres que les paysans et les bergers ramassent en été pour en faire un mets assez délicieux. Ils ne vont à cette pêche que lorsque l’eau est fort basse. On découvre dans ces huîtres des perles de la grosseur d’un pois. Toutes donneraient quelque perle, si on ne les ouvrait point avant qu’elles fussent achevées de former. Si la coquille est ouverte avant que la perle ait commencé à se former, on trouve au milieu une figure ronde toute noire ; si elle a quelque commencement, cette couleur noire devient de la couleur de blanc d’oeuf, et lorsqu’elle est dans sa perfection, elle prend la figure et la couleur des véritables perles. Un gentilhomme du voisinage, dans la longueur du temps, en avait ramassé un grand nombre dont il fit un collier qui fut estimé cinquante pistoles à Montpellier. »

L’Annuaire de Pasquet (1835), nous révèle qu’ « une espèce de coquillage fluviatile, l’unio pictorum, se pêche dans la Virlange ; il renferme des perles qui, lorsqu’elles sont d’une belle eau, ont autant de prix pour les joailliers que celles qui viennent de l’Inde. » Divers auteurs, Legrand d’Aussy dans son Voyage en Auvergne, et Payan Dumoulin dans le Bulletin de la Société d’Agriculture du Puy, ont parlé de ce coquillage et des perles qu’il produit. Ce mollusque, d’abord appelé unio pictorum, puis unio margaritifera et enfin aujourd’huimargaritana margatifera, en attendant qu’on lui cherche plus tard un autre nom, se trouve en assez grande abondance dans l’Ance, moins commun dans la Virlange, et extrêmement rare dans la Seuge. La reproduction en est assez longue, et la cupidité des naturels, par des recherches continues, en a singulièrement diminué le nombre. Sa chair ne semble pas comestible, car pour avoir ouvert seulement quelques-uns de ces coquillages, les mains gardent une odeur tenace de nauséabonde fétidité.

Il semble qu’on peut s’estimer heureux quand, après avoir éventré une centaine de ces mollusques, on est arrivé à trouver trois ou quatre perles seulement. Sur ce nombre, il est rare qu’il y en ait une seule qui soit irréprochable de forme et de couleur. Les plus belles n’ont pas l’orient des perles de l’Inde, leur teinte est pus mate et leur éclat pus éteint.

Il est possible que quelques-unes de ces perles ne soient autre chose que des corps étrangers, introduits par accident entre les valves du mollusque, qui les recouvre de nacre, afin que ses tissus ne soient point blessés à leur contact, lorsqu’il peut les expulser. Les coquillages chez lesquels on a le plus de chance d’en trouver sont ceux qui ont été meurtris et déformés par le pied des animaux traversant la rivière, ou par tout autre accident. On rencontre de ces perles à toutes les périodes de transformation : les unes noires et irrégulières, les autres rougeâtres, d’autres enfin finement arrondies et d’un blanc laiteux. L’acharnement déployé à cette pêche à la fin du XIXe siècle, aussi peu fructueuse que rémunératrice, semblait faire prévoir qu’une époque viendrait où il ne resterait de ce mollusque guère autre chose que le souvenir. Et dans les faits, cette espèce est aujourd’hui en voie de disparition.

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