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    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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Charles Trenet pour la France

Posté par francesca7 le 17 juillet 2013

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Charles Trenet (né Louis-Charles-Augustin-Georges Trenet le 18 mai 1913 à Narbonne - mort le 19 février 2001 à Créteil) est un poète auteur-compositeur-interprète français.

Surnommé « le Fou chantant », il est l’auteur de près de mille chansons, dont certaines, comme La MerY’a d’la joieL’Âme des poètes, ou encore Douce France (écrite par Charles Trenet en 1943), demeurent des succès populaires intemporels, au-delà même de la francophonie.

 

Y’a d’la joie : La chanson a été écrite par Trenet alors qu’il effectuait son service militaire à la caserne d’Istres, intégrée en octobre 1936, où il s’ennuie beaucoup. Il confie ainsi qu’il l’a créée pour se donner du courage en balayant la cour de la caserne.

Elle a été interprétée pour la première fois sur la scène du Casino de Paris le 10 février 1937 par Maurice Chevalier, vedette du music-hall de l’époque. La chanson lui avait été apportée par le producteur Raoul Breton. Chevalier avait d’abord refusé devant le surréalisme de certains de ses passages, avant de se laisser convaincre par Breton, aidé en cela par Mistinguett, qui croyait aussi en Trenet4.

En septembre 1937, devant le succès remporté par cette chanson qu’il a enregistrée, Chevalier fait monter Trenet sur la scène du Casino de Paris pour en présenter l’auteur à son public (ce qui ne se fait pas généralement), qui l’ovationne. Trenet avait déjà commencé une carrière artistique avant d’être appelé sous les drapeaux, mais restait encore relativement méconnu : c’est donc là son premier contact avec le public à grande échelle.

Un mois plus tard, Trenet est libéré de ses obligations militaires, et Breton le fait alors engager par le Théâtre de l’ABC pour assurer la première partie du spectacle de Lys Gauty. C’est là qu’il pourra interpréter lui-même sa chanson : c’est le début du succès pour le jeune chanteur.

Cette chanson correspond bien à l’air du temps de l’époque : elle arrive dans un contexte d’insouciance, à l’heure où les réformes sociales du Front populaire en 1936, font découvrir les loisirs aux Français (avec notamment la réduction du temps de travail à 40 heures hebdomadaires, et la création des congés payés, quelques années avant que ne débute la Seconde Guerre mondiale.

Charles Trenet pour la France dans CHANSON FRANCAISE trenetCharles Trenet est né le 18 mai 1913 à Narbonne dans la maison de ses parents – aujourd’hui son musée – au 2, rue Anatole-France (désormais 13, avenue Charles-Trenet). En 1920, ses parents divorcent. Charles partage alors son enfance entre Narbonne où réside sa mère, et Saint-Chinian où habite son père, Lucien, notaire et violoniste amateur. Plus tard, Trenet évoquera d’ailleurs sa vision de la féminité en Narbonne comme celle de la masculinité pour Perpignan[réf. nécessaire]. Il développe sa sensibilité au swing grâce à sa mère qui joue au piano le morceau Hindustan et écoute sur le phonographe familial des standards de jazz de George Gershwin.

Charles et son frère Antoine sont placés dans un collège religieux à Béziers. « L’école était libre mais pas moi », confiera-t-il bien plus tard. Le poète garde de ses années de pensionnat le souvenir douloureux de l’absence maternelle, thème récurrent dans son œuvre (Le Petit Pensionnairel’Abbé à l’HarmoniumVrai vrai vrai…).

Trenet découvre le théâtre, la poésie et le sens du canular, par l’intermédiaire d’Albert Bausil, poète perpignannais ami de son père, et de son journal hebdomadaire Le Coq catalan, dont le titre est déjà un calembour (coq à talent). Dès l’âge de 13 ans, il publie des poèmes dans ce journal, sous le pseudonyme de Charles ou Jacques Blondeau, ou joue dans différentes pièces. Pendant deux ans, il dévore les ouvrages de poésie de la bibliothèque personnelle de Bausil, développant sa culture littéraire.

En 1928, après avoir été renvoyé du lycée suite à une injure envers le surveillant général, Trenet quitte Perpignan pour Berlin où vivent sa mère Marie-Louise et son second mari, le réalisateurBenno Vigny, tandis que son père se remarie avec Françoise. Pendant 10 mois, il fréquente une école d’art et rencontre des célébrités allemandes, amies de son beau-père, comme Kurt Weill ouFritz Lang, et voyage également à Vienne et Prague aux côtés de sa mère.

À 16 ans, à son retour en France, il se rapproche du poète Albert Bausil. Il se destine à la peinture (son premier vernissage a eu lieu en 1927), prépare un roman, Dodo Manières, qui sera publié en 1939, et s’identifie totalement au monde des arts.

Fatigué, Charles Trenet se retire chez lui, où deux accidents cardio-vasculaires successifs l’épuisent. Transporté à l’hôpital Henri-Mondor de Créteil, il y décède le 19 février 2001, à l’âge de 87 ans. Charles Trenet est crématisé et ses cendres sont déposées, au cimetière de l’ouest de Narbonne, dans le caveau familial en simple ciment.

Il a légué quelques années plus tôt la totalité de son patrimoine à Georges El Assidi, qui fut son secrétaire particulier pendant près de vingt ans. Selon Lucienne Trenet (demi-sœur de Charles), et Wulfran Trenet (fils de Claude et neveu de Charles), Georges El Assidi aurait dilapidé l’héritage, et ils contestent en 2008 le testament signé du 28 décembre 1999 en assignant Georges El Assidi pour « abus de faiblesse, extorsion, violence et homicide volontaires ». L’affaire aboutit à un non-lieu. Un second procès en appel se tient depuis le 31 janvier 2013. La Cour d’appel a rejeté la demande d’annulation du testament le 06 mars 2013.

 

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