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    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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Recherche d’ancêtres néo-zélandais

Posté par francesca7 le 8 juillet 2013


 Recherche d’ancêtres néo-zélandais dans AUX SIECLES DERNIERS vieu-300x209

Lors de nos recherches d’ancêtres néo-zélandais, nous devrons nous rappeler que les registres furent conservés non seulement pour les premiers Européens mais également pour les Maoris.

 Nos recherches consisteront à trouver les certificats de naissance, de mariage et de décès, les renseignements sur les listes des passagers des navires et les registres des églises. L’enregistrement civil des naissances, des mariages et des décès des Européens débutera en Nouvelle-Zélande en 1848 mais ne devint obligatoire qu’en 1856. L’enregistrement des mariages des maoris devint obligatoire en 1911 et l’enregistrement des naissances, des mariages et des décès suivit en 1913. Ces  registres peuvent être trouvés au « Registrar general’s Office de Nouvelle Zélande ». Ce bureau peut fournir au chercheur une copie certifiée des certificats ou une copie imprimée du microfilm, s’il s’agit d’inscriptions faites avant 1901. Une vérification personnelle des inscriptions faites dans les années 1900 peut également être faite. Les listes électorales à partir de 1928 jusqu’à ce jour sont également disponibles.

 Presque tous les mêmes renseignements sur l’enregistrement de l’état civil sont disponibles… cependant, les listes électorales datant d’avant 1900 ne peuvent être trouvées qu’aux Archives nationales, où sont également détenues les séries les plus complètes des listes des passagers des navires pour la Nouvelle-Zélande. Il est suggéré de leur écrie si vous désirez obtenir ces renseignements. Les différents répertoires disponibles sont énumérés :

 -       avant 1839 : aucun registre n’existe

-       1839 – 1850 : Compagnie de la N.Zélande (immigrants subventionnés)

-       1853 – 1870 : Gouvernement provincial (immigrants subventionnés)

-       1870 – 1888 : Gouvernement/Plan Vogel (immigrants subventionnés)

-       1887 – 1973 : Listes de tous les immigrants.

 Si vous faites des recherches se situant avant l’enregistrement de l’état civil, vous devrez alors consulter les registres des églises. Plusieurs paroisses détiennent des registres des premiers baptêmes, mariages et décès. Ces registres peuvent être sous la garde du prêtre ou du ministre de la paroisse où l’événement eut lieu. Toutefois, c’est aux archives diocésaines appropriées que vous devrez écrie en premier. Plusieurs de ces registres sont conservés en sécurité dans les archives des différentes églises.

 La Nouvelle-Zélande est l’un des territoires les plus tardivement peuplés : les premiers colons sont des Polynésiens de l’est (îles de la Sociétéîles Cook, les îles australes de Polynésie française) qui arrivent probablement entre 1200 et 1300 après J.-C., naviguant dans des waka avec l’aide des systèmes météorologiques subtropicaux ou des oiseaux migrateurs ou des baleines et établissent la culture indigène Maor. C’est vers la même époque que d’autres groupes de Polynésiens s’installent aux îles Kermadec et l’île Norfolk ; ce n’est que plusieurs siècles plus tard qu’ils coloniseront les îles Chatham, y développant leur propre culture Moriori.

La date de l’arrivée des premiers Maori varie selon les sources, mais la plupart s’accordent sur le siècle entre 1250 et 1350. L’historien néo-zélandais Michael King suggère le xiiie siècle, tandis qu’un autre historien néo-zélandais, James Belich, suggère le milieu du xiè.

Ils arrivent au nord de l’île du Nord et rencontrent des forêts tempérées et des espèces qu’ils n’avaient pas vues auparavant dans les îles à climat plus doux d’où ils étaient originaires (le moa, l’aigle de Haast, laweta…). Ils introduisent le chien et le rat polynésien (« kiore »), le taro, la variété de patate douce appelée kūmara, le mûrier à papier et l’épinard hawaïen.

Les iwi (tribus) se divisent en hapū (clans) qui peuvent se disputer ou se combattre, mais coopèrent en cas d’hostilité de la part d’un autre iwi à l’encontre du leur. Les hapū, comportant jusqu’à plusieurs centaines de personnes, sont eux-mêmes divisés en whānau (parentèle), aujourd’hui un concept culturel encore très respecté des Maori et à la base de la structure de leur société. Les iwi et hapū pouvaient se modifier sous l’effet des conflits (particulièrement sur les ressources exploitables), de l’élargissement ou diminution du nombre de membres, des fusions… Leurs noms pouvaient venir d’un illustre ancêtre (femme ou homme), d’un évènement marquant dans leur histoire, voire du nom des chefs des groupes ayant décidé de resserrer leurs liens et de fusionner.

 Il est également possible de communiquer avec « The New Zealand Society of Genealogists » car cette société a été formée en 1967 pour rassembler les personnes intéressées par leur patrimoine familiale afin qu’elles puissent s’aider et s’encourager entre elles dans leurs recherches. La société peut également aider à trouver un généalogiste professionnel qui consentirait à travailler avec vous.

 Cet institut : « The Genealogical Research Institut of Nex Eealand » a été établi en 1986 afin de former un corps professionnel pour l’enseignement de la généalogie et il détient également des archives pour fins de recherches et de formation. La bibliothèque est un des meilleurs endroits où l’on peut trouver une quantité de renseignements gratuits sur la généalogie, l’héraldique et l’historie. Parfois même davantage. Par exemple, la bibliothèque « Alexander Turnbull« , à Wellington possède la série la plus complète des listes électorales disponibles de toues les bibliothèques de la Nouvelle-Zélande. …

 

 

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Recherches d’ancêtres juifs en Europe

Posté par francesca7 le 8 juillet 2013

Recherches d’ancêtres juifs en Europe dans AUX SIECLES DERNIERS juifs-245x300

 

Beaucoup de descendants juifs ont longtemps cru qu’il leur était impossible de retracer l’historique de leur famille en Europe. Bien que beaucoup de registres aient été détruits, il y a eu un effort concerté pour recouper et cataloguer l’information préservée depuis longtemps. Notre premier effort de recherche devra se porter du côté des synagogues locales. Les personnes de croyance juive enregistrèrent les événements cruciaux de leur vie auprès des synagogues, grâce aux rabbins. Nous découvrirons aussi que les juifs durent faire enregistrer leur identité auprès de prêtres de certains diocèses, qu’ils soient catholiques ou luthériens. N’oublions pas qu’il existe des registres d’ancêtres juifs dans beaucoup d’archives généalogiques classiques, dans la plupart des pays européens.

 Une fois porté nos recherches auprès des synagogues locales, des registres paroissiaux et des archives publiques, nous devons examiner les listes des passagers des bateaux à Hambourg. Ceci est particulièrement important si certains de nos ancêtres ont émigré d’Europe centrale et d’Europe de l’Est vers les Amériques, et si nous avons quitté le continent pour d’autres destinations. Bien qu’il y ait eu beaucoup d’émigrations individuelles par la Manche vers l’Angleterre depuis la conquête normande, les premiers groupes de juifs émigrant vers l’Angleterre vinrent du Portugal, aux 16ème et 17ème siècles. Il y eut d’autres émigrations de juifs vers l’Angleterre, venant de Pologne, de France, de Hollande, d’Europe centrale et de l’Est, durant le 18ème siècle. Bien que les premiers immigrants juifs soient arrivés aux Etats-Unis vers 1654, la grande migration juive ne commença qu’au début des années 1800. les archives juives américaines ont collecté toutes les informations disponibles des personnes juives des Etats-Unis avant 1900.

 Il y a également plusieurs excellentes sources de contact en Israël telles que les Archives centrales de l’histoire du peuple juif, qui furent fondées en 1949. Les archives centrales ont le plus grande quantité de documents et d’archives au monde. Ces mêmes archives réactualisent les renseignements obtenus sur chaque sujet juif par les autres archives du monde. Pour l’instant, les archives contiennent presque tous les renseignements concernant l’identité de la communauté juive allemande, de 1800 à 1876, lorsque les enregistrements civils commencèrent.

 Près des archives centrales se situe la Bibliothèque universitaire et nationale juive…. Elle possède de très importants registres de naissances d’Autriche, de France, d’Allemagne, de Grèce, de Hongrie, d’Italie, de Pologne, de Turquie et d’URSS. Malheureusement, les renseignements provenant des pays de l’est de l’Europe sont limités, mais ils pourront nous dire qu’ils possèdent les informations spécifiques à certaines communautés.

 Bien que nous soyons rompu aux obstacles tels que les modifications des tracés de frontières et les changements de noms de sites, nous constaterons fréquemment aussi des changements de noms de famille. Par exemple, Moïse, prénom de mon père, devient Morris, et Martinez devient Martin. Le problème des traductions des noms sera aussi un obstacle de plus à surmonter dans nos recherches. Par exemple, « Levi » en hébreu devient « Hart » en anglais et « Hirsch » en allemand.

 

 

 

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Recherche d’ancêtres Européens

Posté par francesca7 le 8 juillet 2013


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Retracer l’historique de nos ancêtres sur le continent européen peut poser des difficultés. Cependant, si nous sommes déterminés à aboutir, il y a une chance pour que les résultats dépassent nos espérances. Les recherches généalogiques en Europe ont été considérablement affectées par les révolutions, les persécutions religieuses, les guerres, les changements de frontières et les agitations politiques. Les spécialistes en recherche généalogique doivent prendre tout cela en compte. Les trois événements majeurs qui ont transformé la vie de millions de gens ont été :

 

1 – La dissolution de l’Empire ottoman (1830 – 1913)

2 – La dissolution de l’Empire austro-hongrois (1918 – 1919)

3 – La division de l’Allemagne et la perte de ses territoires de l’Est (1946).

 

L’Empire ottoman / Au début du 19ème siècle, l’Empire ottoman consistait en un vaste conglomérat de peuples et de territoires sur les continents européens, africain et asiatique. En Europe, plus de 9 millions de personnes étaient sous le contrôle des lois ottomanes ; la plupart d’entre elles étaient chrétiennes. Les premières grandes rébellions contre l’Empire commencèrent au début du 19ème siècle. Durant 80 ans, la Serbie, la Grèce, le Montenegro, la Roumanie et la Bulgarie luttèrent pour leur indépendance. Après l’indépendance de l’Albanie (1912), le vieil Empire ottoman fut confiné aux alentours de Constantinople. Si vous êtes capable de retracer l’historique de votre famille jusqu’à l’Empire ottoman, vous pourrez obtenir des informations dans les archives de Turquie. Nous vous conseillons d’écrire. Bous pourrez obtenir des informations relatives à vos ancêtres qui vivaient à cette période en Albanie, en Bulgarie, en Grèce, en Yougoslavie et en Roumanie.

L’Empire austro-hongrois / Durant les années de l’Empire austro-hongrois, 11 groupes nationaux différents vivaient dans les frontières contrôlées par la dynastie des Habsbourg. Ces peuples étaient les Autrichiens, les Croates, les Tchèques, les Allemands, les Hongrois, les Italiens, les Roumains, les Serbes, les Slovaques et d’autres groupes éthniques minoritaires. Les Autrichiens vivaient dans les limites actuelles de l’Autriche. Les Croates vivaient en Yougoslavie, les Allemands vivaient dans certaines provinces de la Hongrie d’aujourd’hui, les Tchèques en Bohème et en Moravie, les Hongrois en Hongrie et dans les provinces de l’Est, les Italiens dans le sud du Tyrol et dans l’Istra, les Roumains en Transylvanie, les Serbes en Yougoslavie et les Slovaques en Slovaquie.

 L’un des nombreux problèmes que chaque chercheur risque de rencontrer, c’est le changement des noms de sites dû à la dissolution de l’Empire austro-hongrois. Si vous ne pouvez pas obtenir l’information voulue dans un lieu déterminé, pensez à recouper vos renseignements aux alentours de ce même lieu. Des millions d’Allemands ont quitté la Tchécoslovaquie et des milliers d’Autrichiens se sont retrouvés en Italie. L’Autriche elle-même fut réduite à un petit pays, perdant tous ses territoires de l’Est et du Sud-Est. Les Hongrois, dont les ancêtres vécurent en Transylvanie pendant des milliers d’années, furent forcés de fuir ou de devenir des citoyens de seconde classe en Roumanie. Aujourd’hui, plus d’un million et demi de descendants hongrois résident en Roumanie. Le chercheur devra faire attention aux changements des noms de sites et aux modifications des frontières survenues au fil des années.

 

La division de l’Allemagne / Suite au traité de Potsdan (1945), tous les territoires allemands à l’est des rivières Oder et Neisse furent placés sous contrôle polonais. Les territoires de Königsberg, du Nord-Est de la Prusse, et Memel furent cédés à l’URSS. Ces accords affectèrent un quart de l’Allemagne. De plus, les territoires des Sudètes retournèrent à la Tchécoslovaquie. Un transfert d’Allemands de Pologne, d’Hongrie et de Tchécoslovaquie fut décidé. De cette façon, commença l’un des plus grands mouvements de population du monde. Plus de 4 millions d’Allemands fuirent à l’approche des Russes. Après l’acte du traité de Potsdam, 5 millions d’Allemands furent expulsés des territoires occupés par la POlogne, ainsi que 3 autres millions d’Allemands des Sudètes vivant toujours en Tchécoslovaquie. Ainsi, plus de 15 millions d’Allemands émigrèrent des territoires sur lesquels ils avaient vécu pendant des siècles, et plus d’un million moururent durant l’exode.

 En 1948, les territoires allemands de l’Ouest, occupés par les Alliés, devinrent la République fédérale d’Allemagne. La zone russe devint la République démocratique d’Allemagne. De 1948 à 1961, plus de 3,5 millions d’Allemands fuirent l’Allemagne de l’Est pour l’Allemagne de l’Ouest.

 Bien que les mouvements des populations, les modifications du tracé des Frontières, les changements des noms de sites et des noms de famille puissent vous décourager dans vos recherches, n’oublions pas que les registres existent encore à l’heure actuelle…. Il faut persévérer.

 

 

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