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    « La restauration est une opération qui doit garder un caractère exceptionnel. Elle a pour but de conserver et de révéler les valeurs esthétiques et historiques du monument et se fonde sur le respect de la substance ancienne et de documents authentiques. Elle s’arrête là où commence l’hypothèse, sur le plan des reconstitutions conjecturales, tout travail de complément reconnu indispensable pour raisons esthétiques ou techniques relève de la composition architecturale et portera la marque de notre temps. » citation Charte de Venise, art. 9, ICOMOS, 196.

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    La France, je l'aime corps et biens, en amoureux transi, en amant comblé. Je la parcours, je l'étreins, elle m'émerveille. C'est physique. Pour l'heure, c'est le plus beau pays du Monde, le plus gracieux, le plus spirituel, le plus agréable à vivre. En dépit de ses défauts, le peuple français a des réserves inépuisables de vigueur, d'astuce et de générosité. j'écris cela en toute connaissance de la déprime qui périodiquement enténèbre nos compatriotes. Ils ont une pente à l'autodénigrement, une autre au nihilisme. Je suis français au naturel et j'en tire autant de fierté que de volupté. J'ai pour ce vieux pays l'amour du preux pour sa gente dame, du soudard pour la servante d'auberge, de l'érudit pour ses grimoires, du paysan pour son enclos, du bourgeois pour ses rentes, du croyant des hautes époques pour les reliques de son saint patron... J'ai la France facile, comme d'autres ont le vin gai ; je l'ai au coeur et sous la semelle de mes godasses. Je suis français, ça n'a pas dépendu de moi et ça n'a jamais été un souci. Ni une obsession. Toujours un bonheur...

    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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la légende héraldique

Posté par francesca7 le 7 juin 2013


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la légende héraldique dans AUX SIECLES DERNIERS legendeDifférentes disciplines scientifiques servent à étayer des légendes héraldiques fantaisistes mais flatteuses pour la famille qui portent ces armoiries légendaires. La géographie, la généalogie, la philologie, ainsi que, curieusement, la géologie, servent à nourrir ces légendes ; ces dernières, presque toujours issues des récits imaginaires et faussement érudits des hérauts d’armes des xivet xve siècles, se colportent jusqu’au xviie siècle par le biais des publications et des manuscrits de ces hérauts, mais aussi par les traditions orales familiales, comme en attestent de nombreux auteurs héraldistes qui relatent les circonstances de leur découverte de ces légendes. Ces dernières expliquent la nature des motifs héraldiques des armoiries des familles par un système assez simple d’analogies plastiques. Ainsi, des bandes horizontales sur un écu pourraient par exemple rappeler un fleuve, une disposition géographique ou une anecdote le plus souvent flatteuse sur les origines de la famille concernée. Une attention particulière a été ici apportée au cas de l’hermine de Bretagne, expliquée par plusieurs légendes mobilisant l’histoire antique, ou des récits romanesques concernant des princes bretons. L’examen détaillé de ces dires montre une véritable érudition, fondée sur l’imagination ou la réputation, qui se met au service des connaissances héraldiques.

La fable aux origines des armoiries

Les érudits du xviie siècle, même « Ménestrier », dans une certaine mesure, rapportent volontiers des prodiges, des concessions fabuleuses, ou des exploits aussi fabuleux, aux origines de certaines armoiries. Il existe de très nombreux exemples d’armoiries de familles dont l’origine est réputée être un exploit guerrier remarquable ou extraordinaire, au cours d’une bataille, d’une chasse ; cet exploit fait parfois lui-même référence au motif de l’écu, mais il peut aussi s’agir d’une concession royale accordée suite à cet exploit. Il existe aussi des histoires de miracles, souvent liés à un événement mystique, faisant par exemple allusion à la vision de Constantin au pont Milvius, ou à un miracle eucharistique.  Il est intéressant de constater que le xviie colporte un grand nombre de ces légendes, mais en exclut certaines, comme la légende des armes de la famille de Lalaing, pourtant célèbre : ce travail ne concerne donc que les légendes rapportées au xviie siècle ; les autres sont en général redécouvertes au xixe siècle, friand de ces récits flatteurs pour la noblesse, ou les nations.

 

 

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Les Grands Voyageurs

Posté par francesca7 le 5 juin 2013

20 avril 1828. René Caillié est le premier Européen à atteindre Tombouctou et à en revenir vivant.

 

Il apprend l’arabe, étudie le Coran et se fait passer pour un Égyptien pour parvenir à ses fins sans se faire massacrer.

Les Grands Voyageurs dans FONDATEURS - PATRIMOINE lewino

Quand, le 20 avril 1828, le jeune René Caillié, 28 ans, découvre enfin Tombouctou, on peut dire que rarement un explorateur aura autant souffert pour atteindre son but. Il en a bouffé du sable, des injures et du Coran. Sans parler du scorbut, de la faim et des blessures. Même un chameau n’aurait pas résisté. Caillié, si ! Jamais il ne renonce à atteindre la ville mythique nichée au coeur du continent noir, même mourant sur sa couche. Il est animé par une énergie indomptable. Il veut être le premier Européen à visiter Tombouctou et à en revenir vivant. La ville aux 333 saints de l’islam ! La cité recluse !

Aussi, devant la cité interdite, il ressent une immense satisfaction : « Je n’avais jamais éprouvé une sensation pareille, et ma joie était extrême. [...] Avec quelle ardeur je le [Dieu] remerciai de l’heureux succès dont il avait couronné mon entreprise ! Que d’actions de grâce j’avais à lui rendre pour la protection éclatante qu’il m’avait accordée… » La joie candide d’un François Hollande au soir du 6 mai 2012…

Après quelques minutes d’exaltation, Caillié revient à la réalité des choses. Ce qu’il a sous les yeux, ce n’est qu’une bourgade misérable. « Je trouvai que le spectacle que j’avais sous les yeux ne répondait pas à mon attente ; je m’étais fait de la grandeur et de la richesse de cette ville une tout autre idée ; elle n’offre, au premier aspect, qu’un amas de maisons en terre, mal construites ; dans toutes les directions, on ne voit que des plaines immenses de sable mouvant, d’un blanc tirant sur le jaune, et de la plus grande aridité. » Terrible désillusion. Après tout ce qu’il a souffert ! Le pingouin est bien d’accord…

Malaria

La grandeur de Caillié ne vient-elle pas de ce terrible parcours du combattant qu’il accomplit seul, sans argent, sans porteurs, sans protection armée, comme ces Livingstone, Mungo Park ou autres Brazza ? Des explorateurs devenus célèbres, alors que lui reste dans l’ombre. Injustice. Rien ne prédestinait cet apprenti cordonnier à courir le monde, sinon les chaussures. Et encore n’en porte-t-il pas lors de sa balade africaine… Déjà, gamin, il dévore Robinson Crusoé et tous les autres romans d’aventures qu’il trouve. Ils lui permettent d’oublier un père boulanger (dans les Deux-Sèvres) condamné au bagne. Une fois que le poison de l’aventure a commencé à couler dans ses veines, il ne s’est plus arrêté.

À 17 ans, il entre au service d’un officier de marine d’une flûte - La Loire - qui s’apprête à lever l’ancre pour le Sénégal. Elle appartient à une escadre de quatre navires envoyée par Louis XVIII pour récupérer cette nation africaine rétrocédée par les Britanniques. C’est au cours de ce voyage que la frégate La Méduse fait naufrage sur le banc d’Arguin, obligeant l’équipage à embarquer à bord du fameux radeau… de La Méduse.

La Loire, elle, arrive sans encombre à Saint-Louis du Sénégal, où le jeune Caillié, après quelques mois, est libéré de son service. Il se met alors en tête d’aller secourir le major Gray retenu au royaume du Boundou. Accompagné de seulement « deux nègres », il s’enfonce dans la forêt, mais la marche forcée lui provoque de telles souffrances qu’il doit abandonner son projet. Un ami officier qui le prend sous son aile lui offre un passage gratuit pour la Guadeloupe afin d’y chercher des aventures plus à sa portée.

Au bout de six mois, le voilà de retour à Bordeaux, puis à Saint-Louis en 1818. Il se joint alors à une caravane partant approvisionner en marchandises, toujours le même major Gray. Un calvaire ! Le jeune homme, obligé de suivre à pied les membres de l’expédition perchés sur des chameaux, privé d’eau, est vite à bout de forces. Ses compagnons boivent de l’urine en désespoir de cause. Le major Gray est retrouvé. Le retour à la civilisation est un autre enfer. Épuisé par la malaria, Caillié rallie Saint-Louis dans un tel état qu’il doit rentrer en France.

Caillié perd la raison

Durant quatre ans, il travaille pour un négociant en vins de Bordeaux, mais garde l’Afrique en tête. Il devient littéralement obsédé par Tombouctou, d’autant que la Société de géographie promet 10 000 francs à l’explorateur qui atteindra la ville et, surtout, qui en reviendra vivant. En 1824, Caillié débarque une fois de plus à Saint-Louis avec un plan parfaitement au point dans sa tête. Puisqu’il n’a pas un sou et que personne ne veut l’aider, le prenant pour un illuminé, il voyagera seul, en se mêlant aux innombrables caravanes de marchands qui sillonnent le continent.

Pour passer inaperçu, il décide de se faire passer pour un musulman d’Égypte qui regagne sa patrie après avoir été capturé, enfant, par l’armée de Bonaparte. Pour peaufiner sa couverture de musulman, il effectue un stage de formation de huit mois chez les Maures Brakna de l’actuelle Mauritanie. Caillié y apprend des rudiments d’arabe, étudie le Coran et les principales coutumes locales. Il en sait bientôt davantage que Merah… Le voilà fin prêt à entreprendre son expédition, mais le gouverneur du Sénégal, qui lui avait promis 6 000 francs, lui fait faux bond. Commence alors pour lui une longue période d’attente durant laquelle il devient la risée des Occidentaux avec son déguisement d’Arabe qu’il ne quitte pas.

Lire la suite ici………. 

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Les Frères Lumière

Posté par francesca7 le 5 juin 2013

19 mars 1895 – VIDÉO. Tournage de la première des trois versions de « La sortie des usines Lumière ».

Les Frères Lumière dans FONDATEURS - PATRIMOINE mars1 

Celui qu’on présente comme le premier film des frères Lumière est, en réalité, la troisième version, objet d’une mise en scène.

Quel cinéphile n’a pas écrasé une larme émue en visionnant La sortie des usines Lumière, tout premier film projeté sur un écran ? Qu’elles sont mimi, ces ouvrières lyonnaises surprises après une journée de dur boulot ! On ne voudrait pas jouer les rabat-joie, mais tout ce que vous voyez à l’écran, c’est de la mise en scène ! Premiers réalisateurs au monde, les frères Lumière ont également été les premiers menteurs du cinéma. Les premiers manipulateurs. Louis et Auguste ont tourné trois versions de leur Sortie des usines Lumière. La première, datée du 19 mars 1895, ne leur convenant pas, ils l’ont retournée à deux reprises, l’été suivant. C’est l’une d’elles qu’ils utiliseront lors de la première projection commerciale du film à Paris et des suivantes.

Reprenons depuis le début. Le 13 février 1895, les frères Lumière déposent le brevet d’un « appareil servant à l’obtention et à la vision des épreuves chronophotographiques ». À plusieurs reprises, ils essaient avec succès leur caméra-projecteur, saisissant ainsi quelques secondes de film. Ils veulent maintenant tourner quelque chose d’un peu plus consistant. Ils se mettent d’accord pour filmer la sortie de leur usine, dans laquelle les ouvrières fabriquent des plaques photographiques. Mais il faut beaucoup de lumière pour impressionner les premiers films en celluloïd, qu’un de leurs contremaîtres est allé acheter directement chez le fabricant, à New York. Or, la météo n’est pas d’humeur cinématographique. Les giboulées ne cessent d’obscurcir le ciel. Il faut patienter. Enfin, le mardi 19 mars 1895, en se levant, les deux frères Lumière découvrent un ciel bleu !

Silence, on tourne !

En fin de matinée, Lumière et Lumière installent leur caméra dans la salle à manger de leur contremaître Vernier, dont la fenêtre donne sur leur usine. Elle ressemble à un gros moustique avec un corps constitué d’une lourde boîte en bois portant un gros oeil de verre sur l’avant et une manivelle sur le côté. À l’intérieur, des rouages savants pour faire défiler derrière l’objectif le film perforé ; une bande de celluloïd de 17 mètres de long. L’inventeur du mécanisme, c’est Louis, qui a trouvé l’inspiration dans une machine à coudre… À midi, la sirène de l’usine libérant le personnel retentit. Le soleil est toujours présent. Silence, on tourne ! 

Louis attrape la manivelle pour la tourner aussi régulièrement que possible à raison de deux tours par seconde, ce qui permet d’impressionner quinze images, toujours par seconde. Il a calculé que c’est amplement suffisant pour assurer une fluidité des mouvements tout en disposant d’une quarantaine de secondes de tournage. Les ouvrières, pas conscientes de poser pour l’éternité, sortent pour se répandre dans la rue. Au milieu d’elles, quelques hommes à la belle moustache. Les femmes sont en blouse blanche et coiffées de grands chapeaux. Les hommes portent la casquette. Le gros chien du concierge, cabot comme pas un, traverse la scène en jappant. Une voiture attelée à un cheval noir se fraie un chemin entre les ouvriers. Soudain, la manivelle tourne dans le vide. La bobine est arrivée en fin de course avant la fin de la sortie. Dommage.

Choc

La première projection officielle du film se déroule trois jours plus tard lors d’une conférence tenue à la Société d’encouragement pour l’industrie nationale, rue de Rennes, à Paris. Louis y évoque le développement de l’industrie photographique. Et pour esquisser l’avenir de celle-ci, il convoque son petit film. En vedette américaine. La projection fait un carton. Tous les vieux messieurs présents ce jour-là sont émoustillés par ces petites jeunettes si vivantes à l’écran. C’est un choc. Léon Gaumont, alors directeur du Comptoir général de la photographie, est époustouflé.

Les frères Lumière, qui ont la bosse du commerce, comprennent qu’avec leur modeste invention ils tiennent un bon filon pour faire de l’argent. Comme Thomas Edison, avec son kinétoscope qui montre des images animées dans une lunette. Ou comme d’autres inventeurs encore qui expérimentent des procédés différents, tombés dans l’oubli. 

Mise en scène

Alors, ils se mettent à tourner d’autres petits films documentaires avec une version améliorée de leur caméra : La voltigeLes forgeronsLa pêche aux poissons rougesL’incendie d’une maisonLe jardinierLe repas de bébé… Une douzaine de projections privées sont organisées, à Paris, à La Ciotat, à Bruxelles, à Lyon, à Grenoble… Puis ils décident de retourner leur Sortie des usines Lumière,car sa fin tronquée ne les satisfait pas. En mai ou en juillet, on ne sait pas trop, 1895, ils sont de nouveau chez leur contremaître, la caméra braquée sur le portail de leur usine. 

Mais, aujourd’hui, c’est un dimanche, et on ne travaille pas. Aussi, les frères Lumière ont demandé à leurs ouvriers de simuler la scène après avoir assisté à la messe. Voilà pourquoi sur le film on les voit endimanchés. On ne met pas de grands chapeaux et des robes amples pour travailler en usine ! Avec, déjà, l’habileté des frères Coen, les frères Lumière ont savamment pensé la mise en scène. Ils demandent à leurs employés de partir vers la droite ou vers la gauche pour bien se montrer et d’accélérer la manoeuvre afin de pouvoir refermer le portail avant la fin de la bobine. Ils font même une deuxième prise. C’est finalement celle-ci qui est choisie pour la première projection publique et payante au monde, dans le Salon indien du Grand Café de Paris, le 28 décembre 1895. Sacrés frères Lumière !

REGARDEZ les trois versions du film des Lumière : http://www.lepoint.fr/c-est-arrive-aujourd-hui/19-mars-1895-video-tournage-du-premier-film-par-les-freres-lumiere-et-premiers-remakes-19-03-2012-1442643_494.php

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Bordeaux 2012

Posté par francesca7 le 5 juin 2013

nous ne vieillirons pas ensemble !

 

La dégustation des primeurs 2012 fait apparaître des vins fruités, mais qui ne se conserveront pas très longtemps. À boire vite, mais avec modération.

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Le millésime 2012 n’offre pas de vins de garde. Il sera à boire assez rapidement selon Jacques Dupont, même s’il recèle de jolies réussites. La pluie, tombée en continu jusqu’au 14 juillet, a fortement perturbé le cycle de la vigne. Et si de la mi-juillet à septembre le beau temps se montrait favorable à la maturation des raisins, la pluie est revenue en fin de mois ainsi que pendant les vendanges. Des conditions difficiles donc qui devraient favoriser les terrains argileux. En Sauternes, Château d’Yquem a même annoncé qu’il renonçait à mettre en bouteille afin de préserver l’excellence et le mythe de ce cru d’exception. 

Mais une fois encore, il faut affiner en examinant les cépages et les parcelles pour livrer un avis précis et forcément plus nuancé. Derrière les légitimes déceptions se cachent des perles que les conditions climatiques défavorables de l’année écoulée permettent de distinguer. C’est à ce travail que s’est livré Jacques Dupont en dégustant pour les lecteurs du Point plus de 900 crus pendant cinq semaines.

 

REGARDEZ les constats de Jacques Dupont sur la qualité du millésime 2012 : 

http://www.lepoint.fr/vin/bordeaux-2012-nous-ne-vieillirons-pas-ensemble-21-05-2013-1670686_581.php

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Trésor de l’abbé

Posté par francesca7 le 4 juin 2013

Rennes-le-Château ou le trésor
de l’abbé Bérenger Saunière

(Source : Le Point)

 

Trésor de l'abbé dans CHATEAUX DE FRANCE rennesLe 1er juin 1885, monseigneur Félix Billard, évêque de Carcassonne, envoie Bérenger Saunière, jeune prêtre de 33 ans sans le sou, tenir la cure d’une bourgade de l’Aude : Rennes-le-Château. Le village est dans un piteux état, la maison de Dieu à moitié en ruine, et le presbytère presque inhabitable…

Pour le professeur de séminaire à Narbonne, ce n’est pas vraiment une promotion. Rebelle à la hiérarchie, le curé paie son insolence et son indépendance. Fidèle à lui-même, il commence par prendre une décision choquante pour les paroissiens : il engage, comme gouvernante, une jeune servante de dix-huit ans, Marie Denarnaud. Puis, il entreprend des travaux dans l’église avec l’argent prêté par la mairie.

Quelques années plus tard, le prêtre a non seulement entièrement refait et décoré son église, tout comme son presbytère, mais il a aussi fait sortir de terre de formidables constructions à des coûts incompatibles avec ses moyens financiers connus. Lui-même laisse entendre qu’il a trouvé un trésor, amplifiant les rumeurs sur son origine, mais, jamais, il n’aurait imaginé que son histoire allait déclencher un tel tintamarre plusieurs décennies plus tard. À l’époque, cette affaire n’est connue que du village.

Le curé aux milliards, pain bénit pour l’ésotérisme
Dans les années qui suivent la Seconde Guerre mondiale, le domaine de l’abbé est racheté par Noël Corbu, industriel perpignanais, qui le transforme en hôtel-restaurant. Mais, isolé, le village n’attire guère les touristes. Il a alors l’idée géniale de médiatiser l’histoire de Rennes-le-Château. Les clients, venus de la France entière, pouvaient en prendre connaissance, au cours des repas, grâce à un magnétophone, disposé sur la table.

La presse régionale se fait l’écho de l’affaire du curé aux milliards. Les spécialistes en ésotérisme, comme Pierre Plantard et Gérard de Sède, la récupèrent, provoquant un déferlement littéraire qui a pour effet de tout embrouiller. D’une simple histoire de trésor, on en vient à évoquer l’existence d’un descendant caché des dynasties mérovingiennes.

Pour les tenants d’une lignée occulte, l’histoire des Mérovingiens ne s’est pas arrêtée au dépôt de Childéric III par Pépin le Bref en 751, père de Charlemagne. Le roi Dagobert II, roi d’Austrasie de 674 à 679, aurait eu un fils caché, un certain Sigisbert. La légende dit qu’après l’assassinat de son père, tué d’un coup de lance dans l’oeil, le rejeton aurait été pris en charge par sa mère Gisèle, puis envoyé se terrer dans le Razès, tout près de Rennes-le-Château, d’où celle-ci était originaire. Il y aurait fait « souche », donnant naissance à une ligne cachée de rois mérovingiens. L’Histoire n’en conserve aucune trace, même sous forme de rumeur.

Accédez à l’article complet 

 

À lire

Grandes énigmes de l’histoire de France par Didier Audinot, 2009, Grancher, 2009.

Mythologie du trésor de Renne : histoire véritable de l’abbé Saunière, curé de Rennes-le-Château, René Descadeillas, Mémoires de la Société des arts et des cciences de Carcassonne, 1971-1972.

Rennes-le-Château : autopsie d’un mythe par Jean-Jacques Bedu, Loubatières, 1990.

 

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Le château de Nérac

Posté par francesca7 le 4 juin 2013

Le château de Nérac :
voyage au bout de l’Histoire

(lot et garonne)

Le château de Nérac dans CHATEAUX DE FRANCE nerac

Incontournable adresse pour les amoureux de l’Histoire de France, comme les non-initiés, le château de Nérac abrite l’exposition « Henri de Navarre sur les marches du trône », ainsi qu’une section archéologique. Un site à découvrir absolument !

Aussi célèbre qu’il puisse être dans le département et ses alentours, le musée Henri IV de Nérac ne lasse jamais les visiteurs de passage comme les habitués, prêts à découvrir ou redécouvrir ce site témoin des premières années du prince de Navarre. Perle du patrimoine lot-et-garonnais, le château qui l’abrite se réduit aujourd’hui à l’aile nord et sa tour intérieure, suite au passage de sans-culottes quelque peu énervés.

En dépit de l’ouvrage destructeur de ces « enquiquinants révolutionnaires », la bâtisse conserve encore aujourd’hui un charme certain. Ses murs se veulent le symbole du (gros) quart d’heure de gloire que la splendide cité de Nérac a connu dans la seconde moitié du XVIe siècle.

Un musée sur deux étages
Henri de Bourbon-Vendôme, alors Henri III de Navarre, séjourne en compagnie de son épouse la Reine Margot de 1577 à 1582 dans le château, fief de la maison d’Albret. Le premier étage du musée est consacré au futur roi et à la cour de Nérac. Plusieurs dates et anecdotes sont égrainées au fil d’une visite rapide, le lieu n’étant pas immense. Son mariage avec Margot, le massacre de la Saint-Barthélemy – auquel il échappa, lui le protestant, en vertu de son sang royal – et son accession au trône de Navarre, le tout en 1572, sont indiqués et expliqués sous l’angle de ce monarque devenu image d’Épinal à partir du XVIIIe siècle.

Un certain nombre de tableaux sont exposés, retraçant (avec leur part d’affabulations et de grandiloquences graphiques caractéristiques de l’époque) les grands moments de la vie du roi. Une majestueuse huile sur toile du peintre Pierre-Jérôme Lordon, datant de 1827, peut notamment être admirée.

Le rez-de-chaussée renferme des vestiges archéologiques retrouvés en Albret, du Néolithique à la période gallo-romaine. Histoire de compléter la visite de ce musée autant dédié au champion de la poule au pot (si l’on en croit la légende) qu’à l’histoire de la ville de Nérac et de ses environs.

Renseignements pratiques 
Ouvert en ce moment tous les jours de 10h à 18h.
Tarifs : plein 4 euros, réduit et groupes 3 euros, gratuit pour les moins de 12 ans.

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Recherches héraldiques en Belgique

Posté par francesca7 le 2 juin 2013


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Recherches héraldiques en Belgique dans AUX SIECLES DERNIERS noblesse-217x300

Il semble qu’en Belgique, seule la noblesse privilégiée, du roi aux chevaliers, ait eu le droit de porter des armoiries. Vous trouerez les armories des vieilles familles belges ainsi que celles des familles anoblies par ses divers conquérants. L’histoire de la Belgique est tumultueuse. En effet, ce pays a subi l’influence de nombreuses régions, et vous devez donc vous attendre à trouver des armories et des symboles qui ressemblent à ceux du Saint Empire romain, des Espagnols, des Français et des Hollandais.

 Fondé en 1942, l’Office généalogique et héraldique de Belgique (OGHB) compte en 2010 un millier de membres intéressés par la généalogie et/ou l’héraldique. Leur champ d’intérêt couvre toutes les régions de Belgique, même si le caractère de l’association est résolument francophone. La renommée de l’association est liée notamment au sérieux de ses publications, ainsi qu’à l’expertise de nombreux dirigeants de l’association, et ce, dès sa création.

Le Parchemin est une publication bimestrielle de l’office généalogique et héraldique de Belgique créée en 1936. C’est une revue où sont publiées des études sur des sujets divers et variés touchant à la généalogie ou à l’héraldique.

  • Notes généalogiques sur des familles belges ou étrangères
  • Études sociologiques sur l’évolution en Belgique de la population et de sa structure
  • Études historiques ou juridiques sur les changements de la législation en matière généalogique
  • Rubrique « Héraldique vivante »
  • Bibliographie contenant la description d’ouvrages récents ou de revues sur des sujets intéressants
  • Comptes-rendus de colloques ou séminaires nationaux ou internationaux

A noter qu’en matière d’armoiries de personnes appartenant à la noblesse officielle du royaume, seul le Conseil de Noblesse est compétent. Par ailleurs, ce Conseil examine toute requête en reconnaissance de noblesse, adressée au Roi. La jurisprudence de ce Conseil, appelé antérieurement Conseil héraldique de Belgique, a fait l’objet d’une publication bilingue: P. De Win (éd.), Le droit nobiliaire et le Conseil héraldique (1844-1994), Bruxelles, 1994, 274 pp. Pour toute information, s’adresser au Conseil de Noblesse, c/o Ministère des Affaires étrangères, à l’attention du greffier, M. Paul De Win, Egmon II, rue des Petits Carmes 15, 1000 Bruxelles.

De 1974 à 2011, l’Office a enregistré près de 400 blasons anciens ou nouveaux dans la rubrique « Héraldique vivante » de sa revue Le Parchemin. Tous ces blasons sont consultables dans l’Armorial Héraldique vivante sur le présent site. Dans un esprit de service aux membres, l’Office est présentement disposée à aider et à conseiller ses membres pour la préparation de leurs dossiers auprès des Conseils héraldiques des deux communautés. Si vous désirez bénéficier de ces conseils et que vous êtes membre de notre association, vous pouvez  prendre contact avec notre secrétariat.

 

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Titres d’honneur dans la société française

Posté par francesca7 le 2 juin 2013


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Titres d’honneur dans la société française dans AUX SIECLES DERNIERS contesse-131x300

« Madame«  : cette appellation, jadis réservée à la reine et aux princesses de sang royal par un sens de courtoisie et d’honneur, s’est progressivement étendue aux grandes dames, aux bourgeoises et enfin à toutes les femme.

 Le titre de « Monsieur » désigne lui aussi les princes royaux, puis les nobles titulaires d’un fief (seigneur ou sieur de…) les bourgeois et enfin tous les hommes sans distinction.

 Le titre de chevalier, qui ne se porte guère en France, est très courant en Belgique, en Espagne, en Italie et aux Pays-bas. Il est la plus haute dignité féodale, la base de l’ordre de la noblesse, tout page ou écuyer pouvant être armé chevalier par un autre chevalier.

Les qualifications de majesté, Altesse royale ou impériale, Monseigneur ou Sire, sont réservées aux personnages royaux ; actuellement les fils et filles de souverains sont appelés princes et princesses alors qu’au Moyen Age, ils avaient le titre de comte et comtesse puis de duc et duchesse à partir du 12ème et 13ème siècle.

 Dans le courant du 19ème siècle, il a été établi, en tenant compte à la fois de la hiérarchie féodale et des usages, l’échelle des titres suivants : chevalier, baron, comte, marquis, duc, prince (issus de familles ducales ou comtales), souverain, prince royal, impérial (portant  le titre de prince, duc ou comte), roi et empereur.

Vers le milieu du dit 19ème siècle, s’est répandu l’usage du port du titre immédiatement inférieur au titre familial, les autres frères soit déclinant le titre chacun à leur tour, soit portant le même titre que leur aîné mais précédé de leur propre prénom.

 Premier exemple :

Père :                                                  Marquis de B….

1er fils :                                               Comte de B….

2ème fils :                                             Vicomte de B….

3ème fils :                                             Baron de B….

4ème fils :                                             Chevalier ou Baron de B…., le titre de chevalier étant progressivement tombé en désuétude.

Deuxième exemple :

Père :                                                  Marquis de B…

1er fils :                                               Comte de B….

2ème fils :                                             Comte Pierre de B….

3ème fils :                                             Comte Paul de B….

4ème fils :                                             Comte Jean de B….

En parlant ou en écrivant, on dit indifféremment : Monsieur le Marquis ou Comte et Madame la Comtesse ou Baronne, suivant en cela les usages allemands, anglais, espagnols, italiens, etc.

 En cardinal est appelé Eminence et un évêque, Monseigneur ou Excellence, un abbé mitré, de même, un chanoine, Monsieur le Chanoine en France et ailleurs Monseigneur, les grands maîtres des ordres de chevalerie ont en général la qualification d’Escellence et même de Prince.

 Contrairement à une opinion courante, les titres nobiliaires peuvent être confirmés ou concédés de nos jours, en s’adressant à une maison royale régnante ou ex-régnante et qui le concède ou le confirme en raison des services rendus dans la société. Ils ne sont pas vendus, contrairement à ce qui se dit. Le Conseil historique et héraldique de France à Paris, auquel vous pouvez vous adresser sans frais, peut se charger de la présentation de votre demande si, à son avis, vous semblez remplir les conditions.

La collation ou la confirmation d’un titre de noblesse peut être sollicitée pour assurer la publicité de la transmission à l’époque actuelle, soit pour organiser la transmission collatérale, soit pour permettre la transmission féminine ou la sanctionner ou encore pour concéder à tous les héritiers la possibilité selon les us et coutumes des Etats carolingiens bernicien, par exemple, de porter le titre nobiliaire de la famille ou encore de réaliser une « sanatoria » d’un ou plusieurs degrés généalogiques. En résumé, cette confirmation porte aussi bien sur le titre que sur les clauses de succession et le blason de la famille.

 La concession d’un titre nobiliaire peut, elle aussi, être appuyée sur le nom de famille ou sur un fief ou terre rappelant, par exemple, le lieu d’origine ou une propriété de la famille. La confirmation et la concession actuelle d’un titre de noblesse ont la même valeur juridique et historique qu’un titre conféré dans le passé : rappelons-nous que n’importe quel titre a eu lui aussi sa première année lorsqu’il fut concédé. La renommée d’une personnalité issue d’une famille bourgeoise ou civile, soit que cette illustration tire son origine des sciences, de l’industrie, des finances, des forces armées, de la politique, des lettres, des beaux-arts, du clergé et ainsi de suite, se dissout et disparaît en peu d’années, ramenant cette famille dans l’anonymat et la dépouillant de tout lien avec cette personnalité illustre. La concession d’un titre nobiliaire constitue au contraire cette famille en maison noble et se trouve ainsi distinguée des autres familles homonymes, et assure dans le même temps, la pérennité de la gloire de son fondateur et de ses descendants actuels et à venir.

 Cette considération est également valable dans le cas où durant une recherche généalogique, des personnes illustres sont découvertes dans l’ascendance. Cette résurgence réintègre ces personnages à leur gloire injustement obscurcie ou oubliée et la concession ou la confirmation d’un titre de noblesse à ceux qui en sont les descendants n’est qu’une mesure de justice envers tous.  Les Français ont toujours eu le droit d’accepter des titres nobiliaires de la part des souverains étrangers, tout au plus devaient-ils les solliciter du pouvoir souverain et en faire état « officiellement ». Or, par une déclaration en date du 14 décembre 1906, publiée au Journal officiel du 16 décembre 1906, le Gouvernement a fait une déclaration par laquelle cette autorisation ne serait plus donnée à l’avenir. Or, le droit à l’acceptation n’ayant été aucunement révoqué, modifié ou supprimé, il s’ensuit que les Français doivent se passer de cette autorisation : les nombreuses personnes investies de titres prestigieux par une dynastie régnante ou ex-régnante le savent fort bien et n’ont jamais été inquiétées.

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Les délais de communication des archives

Posté par francesca7 le 2 juin 2013

UN FORUM à votre disposition : http://devantsoi.forumgratuit.org/

 

Les délais de communication des archives dans AUX SIECLES DERNIERS archives

Depuis la loi du 3 janvier 1979 sur les archives, les documents d’archives publiques sont librement communicables à l’expiration d’un délai de 30 ans. Toutefois, le délai est plus élevé pour certaines catégories de documents précisées par l’article 7 de cette loi et par l’article 1er du décret du 3 décembre 1979.

1 – Dossiers médicaux : 150 ans à compter de la date de naissance pour les documents comportant des renseignements individuels à caractère médical ; ce délai concerne notamment les dossiers d’aliénés.

 2 – Dossiers du personnel : 120 ans à compter de la date de naissance.

 3 – Justice : 100 ans à compter de la date de l’acte ou de la clôture du dossier pour les documents relatifs aux affaires portées devant les juridictions, y compris les décisions de grâce.

4 – Notaires : 100 ans pour les minutes et répertoires. Le délai de communication des dossiers est laissé à la décision du notaire.

5 – Etat civil : 100 ans.

6 – Enregistrement : 100 ans.

7 – Recensements et enquêtes : 100 ans à compter de la date du recensement ou de l’enquête pour les documents contenant des renseignements individuels ayant trait à la vie personnelle et familiale et, d’une manière générale, aux faits et comportements d’ordre privé, collectés dans le cadre des enquêtes statistiques des services publics. Si des dérogations sont prévues pour les autres délais, l’article 8 de la loi prévoit qu’aucune dérogation ne peut être accordée pour ces documents.

 8 – Vie privée : 60 ans à compter de la date de l’acte pour les documents mettant en cause la vie privée, notamment : police nationale, dossiers fiscaux et domaniaux, rapports d’inspections générales.

9 – Sûreté de l’Etat : 60 ans à compter de la date de l’acte.

10 – Présidence de la République et Premier ministre : 60 ans pour les archives en provenance de leurs services.

 11 – Dommages de guerre : 60 ans.

12 – Autorisations d’exceptions : sauf en ce qui concerne les documents de base des recensements et enquêtes dont il vient d’être question plus haut, l’administration des archives peut autoriser la consultation des documents d’archives publiques avant l’expiration des délais prévus par l’article 7. Cette consultation n’est assortie d’aucune restriction, sauf disposition expresse de la décision administrative portant autorisation.

 

 

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Le Cri du cœur (film, 1974)

Posté par francesca7 le 1 juin 2013

Le Cri du cœur (film, 1974) dans CINEMA FRANCAIS le_cri_du_coeur-219x300

Le Cri du cœur est un film français réalisé par Claude Lallemand, sorti en 1974.

 

Résumé :
Dans notre pays dit des droits de l’homme, des hommes et des femmes purgeant leurs peines, conformément aux jugements rendus par nos tribunaux, vivent, en secret, une inexorable agonie, dans ce que l’on pourrait appeler « les cachots de la République ». À savoir les cellules des quartiers d’isolement (Q.I.), dans lesquelles certains détenus se voient affectés et maintenus, durant toute leur captivité, en toute impunité, par les directeurs d’établissement. C’est ce déni de démocratie patent qu’Omar El Hadj Top entend, sans rien renier de ses responsabilités envers la société, dénoncer en racontant sans fards son histoire. Depuis la maison d’arrêt de Villefranche-sur-Saône, il confiait à son avocat, Pierre Lumbroso : « C’est pour échapper à la condition de bête fauve à laquelle je me trouve réduit depuis si longtemps par le système carcéral, que je me lance, dans une telle entreprise. Sinon à quoi bon vivre ‘ Je ne tiendrai bientôt plus à ce régime-là et je ne veux pas mourir sans avoir hurlé haut et fort que la peine de mort existe toujours dans ce pays et qu’elle ne passe pas par les tribunaux ! »

 

Biographie:
Omar Top El Hadj a été condamné à 10 ans de réclusion criminelle pour une fusillade contre des policiers en 2002. Le 15 février 2009, il s’évade de la prison de Moulins-Yzeure et est actuellement détenu à la maison d’arrêt de Villefranche-sur-Saône. Auteur de En-quête de justice (1998), l’avocat pénaliste Pierre Lumbroso a déjà cosigné avec l’écrivain et éditeur Christian Séranot La Légitimité des juges d’instruction (2001) et La Prison, une machine à tuer (2002).

 

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