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    La France, je l'aime corps et biens, en amoureux transi, en amant comblé. Je la parcours, je l'étreins, elle m'émerveille. C'est physique. Pour l'heure, c'est le plus beau pays du Monde, le plus gracieux, le plus spirituel, le plus agréable à vivre. En dépit de ses défauts, le peuple français a des réserves inépuisables de vigueur, d'astuce et de générosité. j'écris cela en toute connaissance de la déprime qui périodiquement enténèbre nos compatriotes. Ils ont une pente à l'autodénigrement, une autre au nihilisme. Je suis français au naturel et j'en tire autant de fierté que de volupté. J'ai pour ce vieux pays l'amour du preux pour sa gente dame, du soudard pour la servante d'auberge, de l'érudit pour ses grimoires, du paysan pour son enclos, du bourgeois pour ses rentes, du croyant des hautes époques pour les reliques de son saint patron... J'ai la France facile, comme d'autres ont le vin gai ; je l'ai au coeur et sous la semelle de mes godasses. Je suis français, ça n'a pas dépendu de moi et ça n'a jamais été un souci. Ni une obsession. Toujours un bonheur...

    Dictionnaire amoureux de la France - Denis Tillinac.

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  • > Archives pour le Dimanche 23 juin 2013

Un dramaturge breton

Posté par francesca7 le 23 juin 2013


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Tanguy MALMANCHE

Un dramaturge breton dans Bretagne tangyEn 2003, la Bretagne honorait Auguste BRIZEUX à l’occasion du bicentenaire de sa naissance, la médiathèque de Lorient organisa des conférences et une exposition, le petit monde des généalogistes se souvint lui aussi, ainsi qu’en 2002 bicentenaire de la naissance de  » Marie » la muse du poète. L’année 2003 fut également celle du cinquantenaire de la disparition du dramaturge breton Tanguy MALMANCHE, mais l’évènement fut du plus discret. Ces deux écrivains proviennent de familles de notables, pour le premier de la ville de Lorient et le second de celle de Brest, ce qu’ils ont de commun : un père dans la marine militaire, une mère d’origine extérieure à la Bretagne, ils passèrent une partie de leur jeunesse à travers les landes d’une Bretagne celtique mystérieuse et poétique, Auguste BRIZEUX chez l’abbé LE NIR, frère d’un oncle paternel par alliance, au presbytère d’Arzano et Tanguy MALMANCHE chez sa grand-mère paternelle, née Marie-Thérèse LE BESCOND de COATPONT, au manoir du Rest, à Plabennec, leur inspiration provenant d’une  » Marie « , Marie PELLAN la fillette du Moustoir pour le romantique, Marie ROUS, la conteuse du moulin du Rest pour le dramaturge. Des compositeurs s’intéressèrent à leur œuvre, Hector BERLIOZ écrivit une musique pour deux poèmes de Marie et Jean CRAS nous laissa « deux chansons » de Gurvan.

Un ensemble scolaire de Quimper porte le nom d’Auguste BRIZEUX, verrons-nous bientôt un groupe scolaire dénommé Tanguy MALMANCHE ?

Tanguy MALMANCHE 1875 – 1953 : Tanguy MALMANCHE vit le jour à Saint-Omer (Pas-de-Calais) le 7 septembre 1875, chez ses grands-parents maternels, le grand-père étant un colonel d’artillerie en retraite. Son père Gustave MALMANCHE, originaire de Brest, commissaire de marine, demeurant à l’époque à Paris, sa mère Marie Louise PIEDALU originaire de Douai (Nord). Il est enregistré sous le prénom de Tanneguy, nous retrouvons cette orthographe dans le Guide Pittoresque du voyageur en France édité en 1838, parlant de Landuvez à 6 lieues de Brest et où « sont les vastes souterrains d’un château où naquit, dit-on, le fameux Tanneguy du Châtel », ce prénom est toujours donné de nos jours, par exemple nous relevons le général Tanneguy LE PICHON, qui en 1996 fut commandant de la région militaire Ouest, Tanneguy DE KERROS et Véronique DE LAVERGNE proposant des chambres d’hôtes au château de Saint Gabriel Percy dans le Calvados. Ces informations nous indiquent, qu’il n’y a pas eu d’erreur de compréhension du prénom lors de la rédaction de l’acte de naissance, car Tanneguy est dérivé de Tanguy. Les bretonnants actuels l’écrivent Tangi, mais nous respecterons la forme Tanguy. Laissons-lui la parole, il saura mieux que nous, décrire ce qu’il était :

Je suis, de métier, maître-forgeron.

Mon tablier n’a pas de trous.

Je sais comme un chacun,

construire une batteuse, ou des automobiles.

Tout le long du jour je travaille ;

je travaille âpre et dur : il faut gagner ma vie.

Mais, quand descend le soir, quand mon corps engourdi

pèse lourdement vers la terre,

quand se ferme mes yeux devant la vilenie

du monde, et devant sa misère,

mon esprit aime à s’envoler

de l’autre côté des étoiles

pour contempler mon pays tant aimé,

là-bas, et pour y conserver

d’anciennes choses disparues

avec nos grands-parents, ceux du très, très vieux temps

 

Ce que nous pouvons dire de Tanguy MALMANCHE, est que son ascendance provient d’horizons divers, celle-ci est plus bourgeoise que paysanne, mais en sortant de la ville sa sensibilité s’est développée par la découverte d’une Bretagne celtique, il s’imprégna de sa mythologie et de son légendaire, au contact des êtres et de leur lieu de vie où il a mûri. Son éducation, lui a permis d’observer, de réfléchir et de rêver sur ce qui l’entourait, ce que les enfants d’autres milieux ne pouvaient découvrir, leur horizon se limitant aux travaux des champs rythmés par le clocher de l’église de leur paroisse, comme  » Kou le corbeau  » qui fut amené à franchir les frontières de son univers restreint, pour découvrir d’autres réalités.

 

 

Publié dans Bretagne, FONDATEURS - PATRIMOINE, LITTERATURE FRANCAISE | Pas de Commentaire »

JACQUES BUREL et OUESSANT

Posté par francesca7 le 23 juin 2013


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PORTRAIT D’UNE ÎLE ÉTERNELLE

JACQUES BUREL et OUESSANT dans Bretagne ouessant

Juillet 1945. Un jeune homme de 23 ans arrive à Ouessant pour la première fois. De son enfance passée dans les bois de Coat   Meur, à Landivisiau, Jacques Burel a gardé le goût des natures intactes. Ouessant va le combler. En quatre semaines il y accumule croquis, dessins et peintures. Il reviendra souvent.

L’île, alors, semble hors du temps. A 11 milles du continent, loin des innovations, on y a préservé des pratiques agricoles, techniques et sociales basées sur la solidarité : culture de la terre à la bêche, moissons à la faucille, battages au fléau …

Toute une série de dessins vont surgir de ces amitiés qui se nouent entre le jeune artiste et la population de l’île : portraits de femmes, intérieurs de maisons, travaux des champs, scène de cimetière … Tout cela est possible parce que le peintre est totalement accepté.

L’année suivante, Jacques Burel reviendra compléter son étude.

Rassemblés, ses dessins composent le portrait riche et nuancé d’une île éternelle : vastes espaces de champs ouverts, jardins bordés de murs de pierres sèches où poussent timidement quelques arbres, scènes de pêche à bord du Vive-Jaurès, atmosphère admirablement restituée du passage à bord du courrier où se côtoient les hommes et les bêtes …

Passionné très tôt par la Bretagne et les objets d’art populaire, Jacques Burel avait saisi toute l’importance documentaire de son travail. En mer, avec Henri Chalm, il n’oublie pas de relever le mécanisme du gui à rouleau, la forme exacte des casiers. A terre, il note soigneusement les gestes des champs, les détails d’un moulin, d’une façade, d’une hutte …

« Tout donc me paraissait beau, à la fois nouveau et antique, en tout cas précieux et à noter de toute urgence comme tout ce qui est menacé » … 

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Les Calvaires en Bretagne

Posté par francesca7 le 23 juin 2013


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Construits entre 1450 et 1650, les calvaires sont une création originale de la basse Bretagne. Œuvres anonymes d’architectes, de sculpteurs et d’ « ymageurs », transformés au cours de l’histoire, ils sont sans équivalent en chrétienté. Si la Passion en est le thème central, de nombreuses scènes de la vie du Christ et des figurations de saints honorés localement viennent s’y ajouter. Autant que la mort, c’est la vitalité de la foi qu’ont voulu figurer les riches paroisses qui les ont commandés.

Les tout premiers calcaires sont ceux de Kerbreudeur en Saint Hernin et de Tromoën (vers 1450), Pleyben (vers 1550), Quilinen et Saint Sébastien (1547), suivis à la fin du siècle par Cléden-Poher (1575) et Guimiliau (1581-1588). Même si Bastien et Henry Prigent, « ymageurs », signent le calvaire de Plougonven, les autres demeurent, pour la plupart, des œuvres anonymes, qui subissent au cours du temps divers remaniements ou bouleversements : ainsi Pleyben, commencé vers 1550, est-il déplacé et complété en 1650 par Ozanne, puis repris encore en 1738.

Les calvaires bretons représentent souvent d’autres personnages entourant la croix. Parfois, deux autres croix se dressent aussi sur le rocher, en arrière-plan ou de part et d’autre de celle du Christ : celle du « bon larron » et celle du « mauvais larron ». La Bretagne compte une multitude de calvaires préservés et particulièrement riches en personnages, dont le plus ancien est celui de la Chapelle Notre-Dame-de-Tronoën sur la commune de Saint-Jean-Trolimon au sud du Finistère, près de la Pointe de la Torche. Sept calvaires bretons sont dits « monumentaux », ceux de Saint-Thégonnec, Guimiliau, Pleyben, Plougastel-Daoulas, Plougonven, Guéhenno et de St Jean Trolimon.

Les Calvaires en Bretagne dans Bretagne calvaire-227x300

C’est à la chapelle de Notre-Dame de Tréminou que fut discuté et voté l’un des codes paysans. Réputé pour être le plus ancien monument du genre, le grand calvaire de Saint-Jean-Trolimon aurait donc servi de modèle aux constructions futures en imposant, notamment, l’emploi d’un important massif de maçonnerie. Sa datation est rendue possible par l’étude comparative d’œuvres de la même période comme la verrière de Lantic (1450-1460) où l’on a représenté des personnages portant des tenues vestimentaires similaires à l’œuvre de Saint-Jean-Trolimon. Ce monument Historique, soumis aux effets conjugués des embruns de la baie d’Audierne et des vents chargés de sable, souffre d’une importante érosion de ses motifs.

En tant que doyen, le calvaire de Saint-Jean-Trolimon introduit une certaine disposition dans la physionomie des calvaires monumentaux avec l’utilisation d’un imposant massif comportant des registres sculptés surmontés des croix de la crucifixion. La statuaire, réalisée en granit et en kersanton, serait l’œuvre de plusieurs ateliers dont un pourrait être localisé à Scaër.

Des scènes remarquables

  • Les anges de la Crucifixion recueillent le sang du Christ pendant que l’un d’entre eux écarte ses cheveux.
  • La Nativité propose une vision peu courante de Marie. Elle est représentée en couches, les seins dénudés.
  • Le baptême du Christ a été représenté à deux reprises sur le monument.

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Les moulins à marée de Bretagne

Posté par francesca7 le 23 juin 2013

 

 

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Le moulin a longtemps constitué un maillon privilégié de la société rurale. Dernier lieu de culte païen,  où l’on glorifiait la terre, l’eau et le vent, le moulin fascine. Le  seul mot évoque en outre deux images paisibles ; la colline et son moulin à vent, la rivière et son moulin à eau. Les moulins à mer ou « à eau bleue », moins connus, était une originalité du littoral Breton, surtout morbihannais, jusque dans les années soixante. L s épis étaient le fruit de la complicité de la terre et du paysan, la farine de blé « naissait » de l’alliance du vent et du meunier.

Les moulins à marée de Bretagne dans Bretagne mecanisme-moulin-300x294

La roue extérieure , est reliée par un essieu à une roue intérieure, appelée roue d’angle, plus petite, en fonte et garnie de dents de bois. Elle commande la rotation, par l’intermédiaire d’un pignon en fonte, d’un axe vertical, le « pied de fer », qui entraîne une ou deux meules, en pierre, coiffées d’un entourage de bois. Le grain tombe de la trémie dans l’auget , qui permet d’en régler le débit. La meule du dessus, la « coureuse », écrase le grain sur la meule du dessous, la « dormante ». La farine obtenue est recueillie dans une boîte

La marée conditionnait le fonctionnement des moulins à eau bleue : il arrivait ainsi que le meunier travaillât la nuit. Aux marées de morte-eau, le flot n’étant pas suffisant pour fournir l’énergie nécessaire, le meunier en profitait pour faire sa tournée ou « piquet » les deux meules (c’est à dire en recreuser, à l’aide d’un marteau spécial, les sillons que le travail avait émoussés). Souvent, il possédait aussi, perché sur une butte toute proche, un moulin  à vent qui lui permettait d’éviter le chômage technique.

Un moulin à marée est constitué d’une digue comportant des vannes à sens unique. La digue isole une petite baie appropriée, ou une partie d’un estuaire, afin de former derrière elle un bassin de retenue.

moulin dans BretagneÀ marée montante, la mer remplit le bassin. Lorsque la marée recommence à descendre, les vannes se ferment et empêchent le bassin de se vider. À marée descendante, quand la différence entre le niveau du bassin et de la mer est suffisamment important, les vannes sont ouvertes : l’eau du bassin se déverse alors dans la mer en actionnant la roue du moulin.

Compte tenu de son mode de fonctionnement, le moulin à marée ne peut fonctionner que durant une partie de la journée, lorsque le niveau de la mer est plus bas que celui du bassin (par exemple 6 heures toutes les 12 heures). Cette durée est plus courte lorsque le coefficient de marée est faible.

Les moulins à marée sont généralement situés dans les estuaires, suffisamment protégés des vagues mais assez proches de l’océan pour obtenir une amplitude de marée raisonnable. En Europe, ce type de moulin existe depuis le Moyen Âge et pourrait remonter à l’époque romaine.

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