Recherches héraldiques SUISSES
Posté par francesca7 le 7 juin 2013
Presque tous les Suisses ont des armoiries. Même si beaucoup se sont eux-mêmes octroyés leurs blasons, on s’intéresse beaucoup à la science héraldique en Suisse. L’influence de certains pays étrangers, à divers époques, se reflète dans les armories nationales. Elles ont été accordées aux citoyens suisses à diverses périodes de l’histoire par les Allemands, les Français, les Hongrois, les Bohémiens et même les Anglais.
Nous trouverons aussi de nombreuses armoiries où l’armet traditionnel est remplacé par le « bonnet de la liberté de Guillaume Tell ».
L’emploi des armoiries fédérales est soumis à des conditions différentes La croix suisse est définie comme une croix blanche, verticale et alésée, placée sur un fond rouge et dont les branches, égales entre elles, sont d’un sixième plus longues que larges.
Les armoiries officielles sont constituées d’une croix suisse placée dans un écusson. Les reproductions fidèles ou les reproductions partielles des armoiries sont dorénavant réservées aux collectivités, tout comme les signes susceptibles d’être confondus avec elles. Il ne suffit donc pas de modifier les proportions des armoiries protégées ou d’utiliser une autre forme d’écusson, ni d’utiliser une autre couleur, si elle ne se différencie pas clairement de la couleur du signe protégé, pour écarter le risque de confusion.
Ainsi, une croix blanche verticale sur un écusson à fond orange est un signe susceptible d’être confondu avec les armoiries de la Confédération, parce que la couleur choisie ne se distingue pas suffisamment du rouge utilisé dans les armoiries nationales. Une croix blanche verticale sur un écusson à fond bleu est par contre propre à exclure tout risque de confusion, de sorte que son emploi n’est soumis à aucune condition particulière.
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